191832 réponses (3.5% du corpus) en rapport avec "aides" ont été trouvées et analysées en temps réel pour produire cette page, en respectant les filtres choisis.
106499 personnes (59.8% des répondants) se sont exprimées sur votre requête.
Les répondants ont eu la possibilité de remplir plusieurs questionnaires, regroupés en 4 grandes thématiques.
Il est toutefois possible que des réponses ayant un rapport avec votre requête aides soient présentes dans une thématique différente de celle lui étant naturellement attribuée.
D'autres sources de données, complémentaires à celles recueillies sur la plateforme du grand débat, sont amenées à être ajoutées à cet outil par la suite.
Les réponses proviennent de 90 questions différentes, réparties dans quatre questionnaires.
Ci-contre, vous trouverez le top 5 des questions dans lesquelles votre requête aides est présente.
1) Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous... (68172 réponses)
2) S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ? (34853 réponses)
3) Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ? Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ? (9022 réponses)
4) Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ? (8579 réponses)
5) Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (7675 réponses)
Ci-contre, vous trouverez la répartition des réponses associées à votre requête aides, par date de mise en ligne.
Rappelons que la plateforme du Grand Débat était accessible du 22 janvier au 8 mars avec un important pic de participation dans les premiers jours.
La requête aides est associée à différents concepts. Ci-dessous, vous trouverez les principaux concepts souvent évoqués en lien avec la requête.
La taille des mots est proportionnelle à l'importance du thème, et la couleur à la positivité moyenne des réponses dans lesquelles le thème apparaît. Plus d'informations sont disponibles dans la rubrique ("Analyse de sentiments") ci-dessous.
Répartition des résultats de la recherche aides selon le type de répondant, parmi les catégories suivantes :
La carte ci-contre présente la surreprésentation de votre requête aides par département. Plus la part de réponse traitant de votre requête est élevée dans un département, plus sa couleur est foncée.
La carte ci-contre permet d'analyser la répartition géographique des réponses en lien avec votre requête aides.
Elle indique les villes dans lesquelles on retrouve le plus de fois des réponses pertinentes par rapport à votre recherche, avec le top 10 suivant :
La visualisation des réponses pour les régions d'outre-mer sera très bientôt disponible.
(A titre indicatif)
La carte ci-contre présente la positivité moyenne des réponses retrouvées dans la recherche, agrégées au niveau des départements.
Pour ce faire, l'ensemble des réponses ayant un rapport avec votre recherche aides a été analysé. Selon le lexique et les tournures de phrases employées dans ces réponses, un algorithme détermine si celles-ci sont plutôt négatives, positives, ou neutres (voir encadré pour une explication sur la méthode).
Du fait de l'imperfection de ces méthodes, en français notamment, les résultats sont à interpréter avec précaution.
Ci-dessous, la liste des réponses associées à votre requête aides.
Chaque encadré correspond à une réponse qui fait figurer les termes de votre recherche, accompagnée de la question associée. En cliquant sur « Ouvrir », vous pourrez accéder à l’ensemble du questionnaire de la personne concernée, pour les quatre thématiques.
L'attribution de chacune des aides doit être évaluée à l'aune de la totalité des aides déjà perçues. Il n'y a pas de hiérarchie ou de classement absolus dans l'ordre des aides. Cela dépend du contexte. Seule la totalité des aides obtenues a une importance.
supprimer l'AME et privilégier les familles françaises dans l'attribution des aides rétablir l'universalité des allocations familiales supprimer les aides au logement source d'inflation des loyers ne pas concentrer les aides sur les familles mono parentales et encourager les familles stables ne pas rembourser l'IVG et privilégier les aides pour les mères à garder leur enfant
Supprimer les allocations familiales ( exception française,répondant après la seconde guerre mondiale à un objectif de natalité, non pertinent aujourd'hui devenue aujourd'hui une véritable pompe aspirante à l' immigration ); les remplacer par des aides accrues en faveur des personnes les plus démunies et en incapacité de trouver un emploi(handicapés, parent isolé..) Réserver les aides non contributives ( RSA, aides sociales , APL, CMU...)aux personnes de nationalité française . Conditionner les aides non contributives à des critères de ressources ( revenus inférieurs à 1 SMIC par personne) . Pour ces personnes , l'ensemble aides diverses doit permettre d'avoir un SMIC par individu , majoré de 1/2 SMIC par enfant à charge. Pas d' aides sociales , allocations pour les personnes ayant des revenus au-dessus du seuil ci-dessus. Conditionner les aides sociales aux personnes en capacité d'avoir un emploi à une obligation de formation et de recherche d' emploi. Interdire et empêcher le transfert des aides par les allocataires à l' étranger (l' aide prenant la forme d'une carte de crédit utilisable seulement en France) Reserver l' APL aux étudiants sans ressources financières suffisantes ( par ex: seuil de 800 euros)
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Combiner les aides pour ne pas toujours les donner à ceux qui en ont déjà et mieux les répartir. notamment entre aides nationales et aides locales. Une aide globale en fonction des revenus globaux du foyer
Il est important d'entretenir les français riches et les salariés. C'est uniquement eux qui font marchés l'économie. Aujourd'hui, les aides ne sont plus des "aides" mais des dons car les bénéficiaires ont eu ses aides depuis des générations. Pour que le pays s'enrichissent de nouveaux, faut augmenter les contrôles pour les bénéficiaires des aides. En effet, lorsque nous sommes salariés, nous ne bénéficions d'aucun recours et les négociations sont extrêmement difficile avec l'administration
fiscaliser les aides sociales qui sont un revenu comme un autre ce qui eviterait que quelqu'un vivant des aides sociales puissent ne pas payer d'impots alors que celui qui travaille pour le meme revenu en paye. Cela eviterait les doublons d'aides en permettant de regrouper les aides de differents organismes sociaux
Toutes. Voir ci-dessus. Il faut davantage de clarté dans l’attribution et les montants des aides sociales Il faut que les aides sociales soient assimilées à un revenu et en tant que tel assujetti à l’IR Toujours privilégier les aides en nature - pour tous et sans conditions de revenus- aux aides en numéraire.
Toutes en réalité c'est le cumul des aides qui est à revoir. Les aides doivent soutenir la consommation des ménages mais ne doivent pas dissuader le travail. Par conséquent les petits revenus doivent bénéficier de plus d'aides et le cumul d'aides doit être plafonné de sorte d'inciter au travail.
Très régulièrement, des aides diverses sont dispensées aux entreprises. Les effets ne sont pas souvent évidents et l'utilisation de ses aides n'est pas toujours faite à bon escient. Les aides aux entreprises doivent être distribuées sous conditions de résultats. Si l'utilisation des aides n'a pas porté ses fruits, elles doivent être remboursées et des sanctions financières dures doivent être appliquées lorsqu'il y a abus. Prévoir en particulier une législation pour les entreprises qui se délocalisent après avoir profité d'aides de l'Etat.
Les aides sociales sont une bonne chose, mais il faut absolument améliorer le contrôle sur des aides attribuées de façon systématique aux étrangers mais aussi toutes les aides médicales qui ne sont pas toujours pertinentes. Les aides telles le RSA qui sont attribuées pratiquement à vie sont inacceptables pour des personnes valides en age de travailler! Chacun doit participer à la construction de la France. Les personnes qui ne veulent pas travailler et qui ont des aides sociales de très longue durée doivent participer à des travaux d’intérêts communs en vue de baisser les frais de fonctionnement des collectivités territoriales ou de l'état.
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