114 réponses (0.0% du corpus) en rapport avec "henri" ont été trouvées et analysées en temps réel pour produire cette page, en respectant les filtres choisis. 
114 personnes (0.1% des répondants) se sont exprimées sur votre requête.


Comment utiliser l'outil ?

Vous pouvez filtrer les résultats de la recherche par zone géographique (en haut à gauche) ou par source de données (à droite).
Les premières parties de cette page visent à donner une information agrégée sur les résultats de la recherche. Le bas de page permet de se plonger directement dans les différentes contributions qui répondent à votre recherche.


Thématiques associées aux réponses

Les répondants ont eu la possibilité de remplir plusieurs questionnaires, regroupés en 4 grandes thématiques.

Il est toutefois possible que des réponses ayant un rapport avec votre requête henri soient présentes dans une thématique différente de celle lui étant naturellement attribuée.

D'autres sources de données, complémentaires à celles recueillies sur la plateforme du grand débat, sont amenées à être ajoutées à cet outil par la suite.

Origine des réponses

Les réponses proviennent de 90 questions différentes, réparties dans quatre questionnaires.

Ci-contre, vous trouverez le top 5 des questions dans lesquelles votre requête henri est présente.

1) Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée : (45 réponses)

2) Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ? (6 réponses)

3) Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ? (6 réponses)

4) Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (6 réponses)

5) Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (6 réponses)

+

Répartition des réponses dans le temps

Ci-contre, vous trouverez la répartition des réponses associées à votre requête henri, par date de mise en ligne.

Rappelons que la plateforme du Grand Débat était accessible du 22 janvier au 8 mars avec un important pic de participation dans les premiers jours.

Thèmes associés

La requête henri est associée à différents concepts. Ci-dessous, vous trouverez les principaux concepts souvent évoqués en lien avec la requête.

La taille des mots est proportionnelle à l'importance du thème, et la couleur à la positivité moyenne des réponses dans lesquelles le thème apparaît. Plus d'informations sont disponibles dans la rubrique ("Analyse de sentiments") ci-dessous. 

iv (62 réponses)
louis (26 réponses)

Types de répondants

Répartition des résultats de la recherche henri selon le type de répondant, parmi les catégories suivantes :

- Citoyen / Citoyenne
- Elu / Elue et institution
- Organisation à but lucratif
- Organisation à but non lucratif

Densité de réponses

La carte ci-contre présente la surreprésentation de votre requête henri par département. Plus la part de réponse traitant de votre requête est élevée dans un département, plus sa couleur est foncée.



Created with Raphaël 2.2.0 Les moins densesIntermédiairesLes plus denses
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Répartition géographique

La carte ci-contre permet d'analyser la répartition géographique des réponses en lien avec votre requête henri. Elle indique les villes dans lesquelles on retrouve le plus de fois des réponses pertinentes par rapport à votre recherche, avec le top 10 suivant :

Paris (9 réponses)
Lyon (4 réponses)
Bordeaux (2 réponses)
Hagedet (2 réponses)
Jouy-Mauvoisin (2 réponses)
Marseille (2 réponses)
Pessac (2 réponses)
Aigrefeuille-sur-Maine (1 réponses)
Allègre (1 réponses)
Andernos-les-Bains (1 réponses)

Created with Raphaël 2.2.0 Moins de 5 réponsesEntre 5 et 100 réponsesEntre 100 et 500 réponsesPlus de 500 réponses

La visualisation des réponses pour les régions d'outre-mer sera très bientôt disponible.



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Analyse de sentiments

(A titre indicatif)

La carte ci-contre présente la positivité moyenne des réponses retrouvées dans la recherche, agrégées au niveau des départements. Pour ce faire, l'ensemble des réponses ayant un rapport avec votre recherche henri a été analysé. Selon le lexique et les tournures de phrases employées dans ces réponses, un algorithme détermine si celles-ci sont plutôt négatives, positives, ou neutres (voir encadré pour une explication sur la méthode).
Du fait de l'imperfection de ces méthodes, en français notamment, les résultats sont à interpréter avec précaution.

Comment fonctionne l'analyse de sentiments ?

L’analyse de sentiments permet de déterminer la tonalité émotionnelle qui se cache derrière une phrase ou un paragraphe. L’algorithme apprend à identifier la positivité des phrases à partir de corpus annotés (les critiques de cinéma par exemple). Ce qui a été appris peut ensuite être réexploité dans des bases non annotées, comme celle du Grand Débat.



Created with Raphaël 2.2.0 Les plus négatifsIntermédiairesLes plus positifs
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Détail des réponses

Ci-dessous, la liste des réponses associées à votre requête henri.

Chaque encadré correspond à une réponse qui fait figurer les termes de votre recherche, accompagnée de la question associée. En cliquant sur « Ouvrir », vous pourrez accéder à l’ensemble du questionnaire de la personne concernée, pour les quatre thématiques.




En savoir plus


Etat Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?


En étant présent et en montrant de beaux locaux. Et puis casser l'entre soi, quel qu'il soit. C'est idiot, mais lorsque l'on observe les bâtiments qu'il nous reste de la 3e République, l'on voit que cela a fait parti de leur politique d'enracinement de la République. Cela a un côté noble, solennel, qualitatif, que n'ont plus les bâtiments actuels avec leurs préfabriqués, leur crépi gris, leurs néons et leur faux plafond en damier. L'image de la République passe aussi par là. Alors c'est sûr que nous n'avons pas le même budget, mais tout de même, il serait important de penser à proposer une image forte, stable, faite pour durer dans le temps de la République, pour ses citoyens et auprès d'eux et pas seulement réserver cela à l'image internationale, avec ces locaux, avec une charte visuelle uniforme. C'est aussi une façon de gâter les personnes qui se sentent loin des préoccupations de l'Etat ou même délaissées par lui. Quand on compare un lycée de banlieue difficile comme celui de Stains et Janson de Sailly ou Henri IV, on imagine bien que d'emblée, le lycéen qui rentre dans l'un ou dans les autres n'a pas du tout la même image de lui-même et la même image de la République. Moi-même, qui ai fait mes études en province, j'ai été dans des établissements assez beaux (école Jean Mermoz de Marseille, Collège Monticelli de Marseille, même le lycée Périer, avec sa belle pinède) où je me suis sentie bien accueillie et fière des institutions françaises. J'ai même eu la chance de faire une prépa dans le magnifique Lycée Thiers de Marseille. En revanche quand je suis arrivée à l'université des sciences humaines d'Aix Marseille j'ai eu l'énorme sentiment d'être un déchet dans ce bâtiment, alors que les cours sont de très bonne qualité et que j'étais la même personne.

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Etat Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?


Trop complexe et donc anonyme car gérer par une administration cloisonnée et qui organisée de manière Taylorisée depuis trop longtemps, se protégeant. Le pouvoir appartient davantage à l'administration plutôt qu'aux politiques. Dans les strats de notre administration, il suffit de regarder l'évolution des personnels de l' Education Nationale en mettant en face l'évolution de la démographie pour comprendre une anomalie majeure. Alors que l'on se plaint: - que le nombre d'élèves par classe est trop élevé et qu'il manque donc des enseignants - les effectifs globaux des personnels Public+privé sont à peu près constants depuis des décennies alors que le nombre d'élèves n'a pas évolué en forte hausse - que le nombre total des personnes rémunérées reste à peu près dans les mêmes chiffres avec 1million200000 personnes rémunérées pour 850000 environ d'enseignants, ceux qui en classe, voire au front pour certains quartiers. Que font les 350000 qui ne sont pas en classe ? De l'orientation ? Non, car ils ne connaissent pas l'entreprise et ses attentes. Ils refont les manuels d'histoire ? Non, car Henri IV a toujours été assassiné par Ravaillac en 1610 rue de la Ferronnerie à Paris. Ré allouons des ressources qui coutent, en allant vers l'essentiel et revenons vers cette organisation qui au fil du temps s'est organisée syndicalement pour protéger ses "cadres". Qu'un ministre se promène dans un rectorat d'étage ne étage, de bureau en bureau et il aura peut-être envie de dire "Il faut dégraisser le mammouth". Pendant ce temps là, on envoi des jeunes dans les classes difficiles de banlieue alors qu'il vaudait mieux utiliser des hommes avec quelques années d'expérience.

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Etat Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :


L'éducation nationale s'est tristement transformée depuis de nombreuses années en une sorte de club educatif, d' où un réel LAXISME ambiant, mettant l'élève au centre de la classe ("Merci" M. Jospin !), à l'image de ce qu il est trop souvent devenu chez lui, ce qui n'a fait qu'empirer les choses. Je m'explique : beaucoup d'écoles, de collèges et de lycées sont devenus des lieux que l'on évite soigneusement car LES RÈGLES de savoir vivre, l'exigeance, la politesse, la Non violence ..... sont des valeurs désormais passéistes. En tant que parents, nous recherchons un enseignement de qualité dans lequel Le professeur (pièce maîtresse de l'echiquier) est RESPECTÉ à la fois par les élèves, les parents .... et son administration, ce qui est (très) loin d'être le cas un peu partout en France. Dans ces conditions là, un climat apaisé, propice aux études et aux progrès s'installe et les parents peuvent confier leurs enfants en toute confiance à l' Éducation Nationale. Or, ce n'est absolument pas le cas actuellement dans les établissements de second cycle en France ! Or, Voilà ce que veulent et recherchent les parents, Voila Aussi Pourquoi de nombreux parents se tournent vers le privé car, les élèves perturbateurs sont renvoyés manu militari (alors que c'est le parcours du combattant pour une exclusion définitive en collèges et lycées publics..... sauf sans doute à Henri IV et Louis le Grand à Paris !). Une réelle ORIENTATION (sans concession) au sortir de la 3e est nécessaire, Le Brevet des collèges doit devenir un véritable examen (où la dictée, l'orthographe, la grammaire, l'expression écrite joue un rôle primordial)et sans concession. Comment réussir en lycée lorsque l'on ne parvient pas à aligner deux mots correctement et que l'on a bénéficié d'une tolérance démagogique tout au long de sa scolarité ? Voilà le scandale qui en satisfait certains !

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Démocratie Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?


Il me semble qu’il est bien évident que la tâche de rendre compréhensible les valeurs de la République est dévolue depuis sa création à l’éducation par l’école publique instituée pour tous. L’éducation permet en effet de comprendre un texte de référence, un discours, d’apprendre à réfléchir de manière dialectique et donc à débattre. C’est ainsi que l’on permet à tout un chacun de devenir un citoyen libre et réfléchi de notre République. Comment comprendre la République sans l’apprentissage de l’Histoire? Comment même demander la laïcité comme valeur commune si elle n’est pas rendue intelligible pour tous par la compréhension de son origine et son sens actuel? Ainsi, l’éducation est primordiale dans une société. Elle l’est d’autant plus dans une société dans laquelle de plus en plus de jeunes se sentent marginalisés jusqu’à se tourner vers les extrêmes. Mais pour que le système éducatif tiennent ses engagements, il faut lui en donner les possibilités. Les écoles primaires et secondaires doivent être dotées de moyens satisfaisants pour rester efficientes. Comment doit-on enseigner sans le matériel adéquat ? Dans une société où les médias ont une importance capitale, comment enseigner lorsque l’établissement ne possède pas ou peu d’ordinateurs fonctonnels, de vidéo-projecteurs? Comment interdire le téléphone portable quand la wifi est défectueuse et qu’on se retrouve avec seulement les smartphones et la 4G pour mener une recherche ? Et bien sûr, comment assurer une éducation égalitaire en réduisant le nombre de professeurs? Et ceux qui restent par vocation, car oui il y en a, comment doivent-ils ne pas se découragés face à la manière dont ils sont traités? Des salaires insuffisants pour vivre bien, un manque de moyens permanents pour assurer convenablement leur travail, une réforme qui n’est en rien en rapport avec la réalité du terrain... car oui, le terrain n’a rien à voir avec un établissement tel que le lycée Henri IV à Paris! Imaginez-vous travailler dans un établissement qui n’a que peu de salles de classe sécurisées, tout simplement car elles ne ferment pas à clé : comment allez-vous suspendre vos fameux drapeaux sans que les élèves les décrochent et partent avec pour s’amuser ? N’aurait-il pas été plus important de sécuriser les salles de classe et d’installer des vidéo projecteurs pour créer ces fameux citoyens de demain ?

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Etat Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?


La France demeure inéluctablement novice et brouillonne en matière de République. Pour preuve : cinq Républiques se sont succédé depuis la scission avec "l'Ancien Régime", sans véritable continuité, ni retour au rayonnement d'antan. Il manque cruellement aux Français des symboles forts et un idéal qui poussent chacun à se surpasser, à vouloir devenir un initié ; cette once de rêve qui a scotché des millions de téléspectateurs devant les mariages princiers de nos voisins. La possibilité d'être adoubé pour s'élever. La cinquième République a été taillée pour un homme, puis modulée au gré de ses successeurs... Comment atteindre une véritable démocratie si la personnification de la fonction prend le pas sur cette fonction elle-même ? Une monarchie constitutionnelle a cet avantage de donner des symboles au peuple et de faire rayonner celui-ci au-delà des frontières. C'est le prestige attaché à la personne royale et aux grands qui le servent qui prime sur ces personnes elles-mêmes. La force du symbole et des institutions n'a-t-elle pas permis à l'Empire byzantin de perdurer si longtemps, malgré le déferlement de basileus qui se sont succédé ? Et pourtant, dans une monarchie parlementaire, chère à certains brillants penseurs des Lumières, c'est bien les parlementaires qui ont la main ; le monarque ayant un rôle symbolique, appuyant celui de l'exécutif en place. De la même manière, nos départements, aujourd'hui regroupés anarchiquement, ont été lésés au profit de Paris et de Régions étranges. C'est pourtant la diversité de notre territoire qui en fait sa plus grande force. ll conviendrait de redonner à nos départements une partie de leur souveraineté, tant symbolique que réelle. Aujourd'hui, une caste d'énarques se partage les privilèges, comme jadis un groupuscule de courtisans ridicules riait du peuple qui les faisait vivre. Mais aujourd'hui le président de la République, comme hier Louis XVI, convoque les États généraux. Alors, pourquoi ne pas réfléchir à une nouvelle constitution, faisant la synthèse de son vécu, sans rejeter son passé, qu'elle sait, à bien des égards, glorieux. Nous sommes les héritiers de Charlemagne, d'Hugues Capet, de Philippe Auguste, de François 1er, d'Henri IV, de Louis XIV, de La Fayette, de Robespierre, de Barras, de Carnot, de Talleyrand, de Napoléon Ier, de Louis XVIII, de Louis-Philippe, de Napoléon III, de Thiers, de Carnot, de Faure, de Poincaré, de Coty, de De Gaulle, jusqu'à Emmanuel Macron. Prendre l'avant 1789, l'après et apprendre de nos erreurs, pour en faire une remarquable synthèse et n'en retenir que l'essence.

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Etat Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :


Ce questionnaire est très orienté et évidemment il ne pose pas la question du choix des ministres lors de la formation d'un gouvernement. Par le passé certains ont imaginé que recruter une ou un ministre par son extrême connaissance du secteur était un plus. On l'a vu avec François Guillaume l'ancien président de la FNSEA devenu ministre de l'agriculture, il devait en connaître un rayon sur son domaine mais il n' a servi que les intérêts de ses mandants et pas l'intérêt public. Ce fut le cas aussi avec ce ministre de l'Industrie issu de la Métallurgie lourde (dont j'ai oublié le nom) et qui a bradé Arcelor à Mital etc … Avec le gouvernement Macron Philippe, on bat des records!!! A Buzin, issue de l'industrie pharmaceutique ne sert que l'intérêt des labos. Elle a organisé une rencontre avec le 1er ministre pour garantir aux Labos, dont ceux desquels elle avait été salariée, une croissance de leur chiffre d'affaires de 3%/an soit le double de la croissance du PIB, croissance évidemment payée par la sécurité sociale c'est à dire par nous les cotisants, du moins ceux dont les patrons payent leurs cotisations) à l'URSAFF (20 milliards d'impayés par an, elle fait quoi la Buzin pour récupérer ce "pognon de dingue"). Elle avait frappé fort en 2017 en imposant 11 vaccins obligatoires, plus 3 par rapport à la normal, alors que bon nombre de français sont opposés à la vaccination, parce qu'ils craignent et savent que les labos utilisent des salopperies à base l'aluminium qui génèrent des troubles forts dans l'organisme (voir le livre de Guirardi, chef d'un service hospitalier à Henri Mondor, j'en sais quelque chose avec 1 de mes enfants qui a développé une SEP après le vaccin hépatite B rendu obligatoire par l'excellentissime ministre des Yaourts M Kouchner), MMe Buzin a une fois de plus donner des gages à ses anciens employeurs. En 2018 elle a organisé avec les labos la descente en flèche des remboursements de l'homéopathie, en décembre et en catimini, terminer les remboursements homéopathiques……... Elle recommence avec le vaccin pour la grippe, ça y est celui de cette année n'est pas assez efficace, elle est en train de monter un coup médiatique pour faire un coup en douce pour octobre novembre 2019......les retraités non vaccinés ne toucheront plus leur retraites, c'est ça le projet? Alors il faut changer la constitution, et imposer que les personnes issues du monde de l'entreprise et du monde associatif ne pourront pas être choisies comme ministre d'un domaine qu'elles auraient eu à connaître à titre professionnel ou associatif. Peut être Mme Buzin est compétente pour être ministre, sauf de la Santé puisqu'elle était salariée des labos pharmaceutique. C'est le cas de N Hulot, peut être est il compétent pour être ministre sauf de l'environnement puisqu'il présidait une fondation liée à l'environnement. Un ministre n' a pas à connaître son domaine sur le bout des doigts, puisqu'il a des fonctionnaires qui le font pour lui, il doit avant tout être bon en management, savoir déléguer, savoir faire des diagnostics avant toute décision, savoir être présent, écouter, savoir expliquer ses projets et communiquer. Est ce que l'on demande à un Directeur Général de Renault ou de Peugeot de savoir régler un moteur? Non alors pourquoi ce serait différent pour une ou un ministre

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Etat Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :


Le rectorat: le logiciel affelnet qui affecte selon un algorithme opaque les élèves dans un lycée a prouvé ces dernières années son iniquité car chaque collège n'alimente pas de façon homogène le logiciel affelnet. Il faut savoir que les notions de notation par compétences censée compléter l'analyse des connaissance d'un élève ne sont pas comprises de la même la façon selon chaque enseignant et ne permet pas aujourd'hui de rendre compte de la progression de l'élève et un contrôle raté entraine une non validation de compétence, laquelle n'est pas réévalué même si l'élève a ensuite progressé. Il n'y pas ici de "droit à l'erreur" bien au contraire. et l'analyse faite par l'algorithme occulte les efforts et les performances des élèves notamment parce qu'il ne tient pas compte des appréciations. La conséquence de cette méthodologie est l'accélération du départ vers les établissements privés des familles qui en ont les moyens. L'enseignement privé lui choisi ses élèves sur dossier et entretient. Cette "fuite" contribue à réduire la notion d'égalité des chances pour tous. En classant les élèves en fonction de leurs résultats (notes et compétence), le logiciel affelnet contribue à faire des lycées de niveau ce qui est contraire à la logique d'égalité républicaine. Dans le même ordre d'idée, certains lycée : deux à Paris ( Louis le grand et Henri IV) continuent eux à choisir leurs élèves dans une logique affirmée de choix de l'excellence ne retenant que des élèves aux excellents résultats et ce sans passer par la moulinette du logiciel affelnet puisque les élèves qu'ils choisissent savent avant la mise en route de ce logiciel que leurs dossiers sont retenus dans un de ces deux établissements. Les élèves de troisième, c'est particulièrement vrai à Paris, sont donc sous pression pendant toute leur année de troisième pour essayer d'obtenir le lycée de leur choix et au final leurs efforts sont souvent déçus et ils se retrouvent dans des établissements ne présentent pas notamment les langues qu'ils souhaitent étudiés et désormais cela sera encore plus compliqué car les élèves risquent de se retrouver dans des lycées ne proposant pas les spécialités qu'ils souhaitent obtenir et ces élèves ne pourront pas changer d'établissement car tous les établissement sont au maximum de leurs effectifs. Les proviseurs des lycées expliquent en ce moment aux familles des élèves de seconde que les enfants ne pourront pas faire telle ou telle spécialités car elles ne sont pas proposées dans leurs établissements et qu'ils ne pourront pas les faire dans un autre établissement car il n'y a pas de place pour eux dans les établissements les proposant. De plus, les proviseurs refusent aussi certains assortiment de choix de spécialités car ils peuvent pas organiser leurs classes n'ayant pas assez de locaux ou d'enseignants pour rendre possible tous les assortiments de spécialités. Comme argument de refus, ils expliquent que les élèves font des choix non cohérents alors que justement la reforme arguait la possibilité de choisir n'importe quelle spécialité. Au final il y a une reproduction non dite de la filière S avec comme choix de spécialités : math physique SVT, de la filière ES avec comme choix de spécialités SES Histoire-Géographie et mathématique et L avec comme choix de spécialités: humanités-littérature et philosophie, Langues-Littérature et culture étrangères et selon les disponibilités Histoire-Géographie géopolitique et sciences politique ou littérature langues et cultures de l'antiquité. les options qui existaient précédemment sont elles totalement supprimées ce qui restreint de fait l'accès pour tous à une certaine cultures générale. Ainsi un élève prenant comme spécialité math physique SVT se voit contraint d'abandonner le latin ou le grec par exemple. cette reforme contribue ainsi à appauvrir en fait les accès à une culture générale préalablement possible.

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Fiscalité Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?


Mesdames, Messieurs, Préambule : J'adopterais le rôle d'un citoyen contributeur qui exprimera des besoins et les accompagnera d'un raisonnement et je m'abstiendrais d'intervenir comme architecte de solutions. Je contribuerais donc à formuler un cahier des charges que des experts compétents de différent corps d’État sauront satisfaire ou pas de façon plus ou moins agile. Les références sont multiples pour décrire les signes devenus évidents du changement d'ordre dont nous sommes les contemporains. L'une des caractéristiques de ces transitions de phases -diraient des physiciens-serait une rupture de symétrie ou de topologie. Je ferais l'hypothèse que la fiscalité et les dépenses publiques sont aussi impliquées dans cette transition d'ordre. Une fois admis l'aspect inéluctable de la transition et acquise la meilleure vision possible de la cible, il s'agirait donc d'organiser l'accompagnement du changement qui touche aussi les institutions puisqu'elles sont les colonnes de l'ordre initial du système qui se transforme. A quoi ressemblerait la cible ? Sans être grand clerc, la cible ne comprendrait plus uniquement de grandes composantes connexes solides constituant une parfaite partition du monde. Ces anciens chênes isolés et robustes qui seuls se répartissaient le monde devront coexister avec des champs de tournesols épars coordonnés pour atteindre une finalité commune. Les modèles pertinents pour gouverner et gérer durablement cette demeure sont évidemment différents des modèles économiques initiaux. Aussi, la maison Europe et ses différentes pièces, dont la France, devraient être non pas redécorées, mais réarchitecturées en imaginant des séjours, chambres et dépendances dont les propriétés de connexité, de compacité pourraient singulièrement différer de celles en oeuvre à ce jour. Ainsi, il deviendrait obligatoire de gérer la complexité et les instabilités. Par analogie avec le triangle de Mundell en économie, ou les incertitudes d'Heisenberg en physique, la cible comprendrait, mutatis mutandis, des risques et une dualité intrinsèques, à l'instar de notre devise Européenne "In varietate concordia". L'un des enjeux identifié serait de constituer , sur la base de cette devise, un peuple d'Europe, avec une stratégie pour y parvenir bien différente de celle d'un empereur -fut-il Napoléon ou Charlemagne. Ainsi, sans faire passer les moyens tactiques avant la stratégie, face aux enjeux majeurs pour l'humanité, la terre, l'économie que constitue notre passage à l'âge de la multitude- selon l'expression de Nicolas Colin et Henri Verdier - je souhaiterais vous soumettre une proposition d'outil constitué par la généralisation du modèle OpenSource - bien connu dans le secteur du développement logiciel. Ce modèle durable pourrait, a minima, servir d'échafaudage pour étayer la transition présente et contribuer à maintenir une vie bonne et prospère en évitant l'écroulement. L'extension à considérer de ce modèle OpenSource devrait satisfaire à plusieurs exigences clefs. Parmi celles-ci, exprimons les suivantes qui concernent la fiscalité et les dépenses publiques : - articuler l'économie marchande et non marchande en revisitant la fiscalité de la valeur créée et en valorisant les contributions citoyennes comme des contributions à l'impôt - articuler microéconomie et macroéconomie en revisitant la notion d'entité imposable et la traçabilité des activités en instituant, de la bonne façon, un système de crédit social à la française (c. à d. construit sur les valeurs d'Egalité, de Liberté et de Fraternité) qui contribuerait à allier nos intelligences collectives et individuelles comme le sel permet de mélanger de l'eau et de l'huile. Veuillez agréer, Mesdames, Messieurs, l'expression de ma haute considération. Thierry MOTSCH

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Etat Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?


Pourquoi les politiques publiques de réduction de la pauvreté restent vaines dans les zones Françaises en difficultés ? Pour comprendre le sujet et notamment les enjeux du Grand Débat qui a eu lieu ce jour 03/02/2019 sur Trappes, j'invite à bien saisir le modèle conceptuel ci-dessous: 1 - Structure stratégique : a - Réseaux (maçonnique et autres) b - Partis politiques 2 - Fonctionnement (structure opérationnelle) local : a - Populations laissées pour compte, b - Acteurs sociaux (maires-associations apolitiques et politiques) 3 - Environnement : a - Communes voisines En clair il y a un fonctionnement local qui est phagocyté par des acteurs sociaux qui souvent utilisent les communes pauvres comme pied à terre avec juste une boite à lettre mais n'y habitent point. C'est le cas du Maire actuel de Trappes Guy Malandain et de son protégé Benoit Hamon qui avait été bombardé sur la commune par recommandation de feu Henri Emmanuelli. Ces acteurs sociaux ont au-delà de leur parti politique d'appartenance des liens indéfectibles notamment à travers les réseaux dont les loges maçonniques et autres. C'est ainsi que malgré la baisse des dotations financières aux communes avoisinantes, Trappes commune bien dotée continue à être la zone de profit des habitants des communes voisines où les populations disposent de relations solides auprès des acteurs sociaux de la ville. Toutes les dotations de la ville sont littéralement aspirées par les communes riches environnantes avec la complicité du Maire de la Ville. Pour s'en convaincre, si on ferme la N10 dans les deux sens et les routes départementales, l'activité sur Trappes s'arrête parce que tous les salariés exerçant sur la ville viennent d'ailleurs. Sur la ville dortoir de Trappes ne résident que des bénéficiaires des transferts sociaux. Ceci du fait des acteurs sociaux dont le Maire. Le Maire étant un opportuniste et un homme pluriel (socialiste, gauche modérée et membre des réseaux et autres lobbies) sert en priorité ses amis sur les dotations de la ville au lieu d'aider les populations à qui sont destinés les fonds alloués. Voilà en partie ce qui explique que Trappes et les communes de même configuration sociale soient victimes de la double peine : • Subtilisation frauduleuse par le Maire des emplois au profit de ses amis et sans état d'âme, • Relégation des habitants de la commune dans la pauvreté et à qui on affecte des aides sociales Trappes est une des communes les plus aidées par l'État Central, mais étant entendu que le maire fait du pantouflage, il saupoudre les pauvres populations en aides sociales et réserve les opportunités à ses amis et relations. Ceci au mépris de toutes les règles. Encore plus grave, c'est dans le financement des lieux de cultes et associations que le Maire de Trappes entretient sa clientèle politique. Cela n'est un secret pour personne. Sur Trappes des associations financées sur fonds publics pour assurer du soutien scolaire, alors que les membres sont eux-mêmes en situation d'échec scolaire ! Sur Trappes la commune pirate les projets des associations qu'elle finance et pilote ou fait piloter par sa clientèle politique. En l'occurrence le Maire de Trappes m'a invité à lui transmettre trois (3) de mes projets qu'il a gardé sous le coude en attendant soit pour s'en inspirer soit pour les pirater comme il est en coutumier. Pendant ce temps les pauvres populations laissées pour compte, vivotent entre les acteurs sociaux et pour davantage faire semblant qu'on s'occupe d'eux, elles sont conviées à un grand débat lequel je présume ne sert à rien. C'est ce qui explique également le phénomène Gilets Jaunes et les mouvements banlieues. Le pouvoir est détenu par les mêmes qui font du pantouflage. Quand ils ne sont pas du même parti ou syndicat, ils sont de même obédience maçonnique ou autres ! Face au clientélisme, au népotisme et au service camarades du Maire, de ses colistiers et suppôts, comment s'étonner dès lors que les politiques publiques de réduction de la pauvreté ne puissent atteindre les cibles ? M. Thiémoko DIAKITE 3, Allée des Ecrivains 78190 Trappes

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Démocratie Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?


Je propose que l'on demande par referendum la modification des paroles de notre hymne national. Je suis en plein accord avec d’éminentes personnalités qui souhaitent que l’on modifie les paroles de notre hymne national. Il serait bon de savoir ce qu'en pense l'ensemble des français.   Abbé PIERRE,  « Nous ne pouvons pas entretenir le culte de la pureté du sang après avoir vécu ce que nous avons vécu en France. Cette idée que nous pourrions avoir un sang pur et que celui des autres serait impur est tout à fait inacceptable. C'est du racisme. On nous fait chanter et célébrer du racisme. »       Charles AZNAVOUR, " Pour ma part, je garderais, en les remaniant, le premier et le dernier couplet, et je brûlerais le reste. Une Marseillaise humanisée serait plus à l’image de la France et des Français.   Pierre BERGE, « Dans mon enfance, mes parents m’interdisaient de chanter la Marseillaise. Ils trouvaient les paroles scandaleuses. J’ai toujours partagé ce point de vue et je n’ai jamais pu me résoudre à les prononcer. »   Georges BRASSENS, " La Marseillaise ? Non ! La musique n'est pas mal, mais les paroles sont très discutables, sur le rapport de la qualité !"     François de CLOSETS, « lorsque la France pourra de façon consensuelle réécrire de façon pacifique les paroles de la Marseillaise, alors on sera prêt pour moderniser le pays. »     Natalie DESSAY, (a refusé de chanter l’hymne en 2015), et Laurent NAOURI, "Même si je me sens parfaitement française, je n'aime pas ces paroles de la Marseillaise, je trouve qu'il faudrait les changer. Moi je ne peux pas dire qu'un sang impur abreuve nos sillons, voilà. » « j’ai du mal à comprendre pourquoi on n'est pas capable d’un aggiornamento comme les Allemands »     Geneviève de FONTENAY, « Pourquoi ne pourrions nous pas remplacer la Marseillaise avec ses paroles gênantes par la magnifique chanson de notre poète Jean Ferrat Ma France ?' »      Françoise GIROUD, « Les paroles sont évidemment affligeantes. »   Albert JACQUARD, " Vraiment, ne faut-il pas avoir abandonné tout bon sens, toute raison, tout contact avec la réalité, pour appeler aujourd'hui les petit Français à abreuver les sillons de leurs campagnes du sang impur de ceux qui viennent égorger leurs compagnes ?   Dominique JAMET, «  Enfants de la patrie que nous sommes, et fiers de l'être, est-il indispensable que nous mettions encore la baïonnette au canon pour aller aux chants dont un sang impur abreuve les microsillons? Faire sa toilette à la Marseillaise s'impose. » Jeannie LONGO, " Je connais très mal les paroles de la Marseillaise. Elles me semblent toutefois trop violentes et guerrières. Je souhaiterais qu'elles reflètent davantage le sens de l'honneur, la fierté dans la grandeur de l'action pour la patrie. C'est ce que je ressens sur le podium. "   Macha MERIL,  " Moi présidente, la première mesure que je prendrais, ce serait de changer les paroles de la Marseillaise."   Danielle MITTERRAND," Il est vrai que les paroles de notre hymne national sont très guerrières et qu'elles peuvent choquer les esprits pacifiques, parmi lesquelles je me compte." Bernard MOITESSIER, « qu'on n'ait pas encore changé les paroles de cette "Marseillaise", dégoulinante de sang, me fait honte pour une France qui se prétend le phare des autres peuples.» Théodore MONOD, « la France pacifique, lumière des nations... n'a pas de chant plus officiel et plus sacré qu'un appel aux armes, aggravé d'un refrain sanguinaire et raciste... On admettrait, en le déplorant, qu'un État raciste ait la triste franchise de réciter son credo, mais voir un pays se disant foncièrement pacifique contraindre d'innocents bambins à chanter... un appel au meurtre, cela passe l'imagination. »    Professeur Claude OLIEVENSTEIN, « Il est vrai que certaines paroles sont archaïques et cruelles, et que nous pourrions les améliorer. »   Michel PLATINI, « Pour moi, un match de foot, c’est un jeu et pas la guerre. “Aux armes, citoyens!” : je n’arrivais pas à chanter ces paroles avant une rencontre. »   HUBERT REEVES, « Ce qualificatif "impur", quel qu'en ait été le sens lors de l'écriture de la Marseillaise, n'est plus acceptable aux enfants de France et du monde."   Simone ROZES, « Les paroles devraient être modifiées, pour mettre en valeur les principes à défendre : la patrie, bien sûr, mais aussi l'amitié entre les peuples et leur nécessaire solidarité dans le monde d'aujourd’hui. " Michel SERRES, « Ces paroles ignobles de la Marseillaise où on parle du sang impur des ennemis, qui est un mot d'un racisme tel qu'on devrait avoir honte de l'enseigner aux enfants... j'aurais honte de l'enseigner à mes étudiants, ils ont tous un sang pur et l'impureté du sang est quelque chose qui me fait horreur. » « ces joueurs vont jouer une rencontre où on maîtrise la violence… Dans cette bataille, parfois chaude, règnent des règles de paix, sans que jamais le sang coule. … Ces jeunes gens s’adonnent donc à la construction, quasi utopique, d’un immense modèle de société idéale, où les oppositions, même très violentes, ne versent jamais le sang. Et vous voulez apprendre à des jeunes gens, dès l’école maternelle, primaire ou secondaire, à verser un sang impur qui abreuve nos sillons… De quelle époque dinosaure parlez-vous ? A quel avenir sinistre désirez-vous les préparer ?... »     Bernard STASI, « L'hymne national d'un pays comme la France doit exprimer des sentiments de fraternité universelle et ne doit pas être porteur d'un discours nationaliste, belliqueux et xénophobe, comme celui qui s'exprime à travers les couplets d'origine. "   Henri TISOT, « Tout bien pesé, je crois qu'il faudrait des paroles pour le temps de paix, et le texte que nous connaissons pour le temps de guerre.   Gilbert TRIGANO, « Un nouveau texte, respectant le passé et rempli d'espoir pour l'avenir, devrait s'inscrire dans une volonté commune de préparer l'avenir et d'en être les premiers artisans. »   Paul-Emile VICTOR, « Il faut garder la musique de la Marseillaise, qui est magnifique et connue dans le monde entier. Pour le texte, il faudrait une seule strophe : de belles paroles pacifiques et qui aient une portée mondiale. La première initiative serait donc un concours ... »   Michel VOVELLE,  « ...qu’est-ce que ce « sang impur qui abreuve nos sillons »... Tout cela dans une langue qui n’est plus la nôtre. Il faudrait au moins réécrire les paroles pour éviter de se faire siffler dans des stades par des jeunes qui n’y comprennent rien… »   Lambert WILSON, « je suis sidéré qu'on continue à chanter ça. Les paroles de La Marseillaise sont sanguinaires, sont racistes, sont xénophobes... La musique de cet hymne est fantastique. »

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