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Modifier de fond en comble la notion de revenu: le revenu, ce devrait être tout ce qui rentre (salaire, traitement, retraites, rentes, allocations et aides sociales diverses, subventions, bénéfices, dividendes) moins tout ce qui sort (impôt sur le revenu, taxes d'habitation et foncière, CSG) ce qui éviterait de payer un impôt sur l'impôt et mettrait à égalité des ménages aux mêmes rentrées que celles-ci soient dues à leur travail ou à l'aide des collectivités. Cela aurait aussi comme effet de bord de réduire un certain nombre de niches fiscales. Ce serait un gros travail de mise à plat, mais le résultat devrait valoir le coup!
Compte tenu de ma proposition précédente, toute la grille d'imposition devrait aussi être revue, sinon, baisse des taxes sur l'énergie (y compris carburants) ainsi que sur tout ce qui concerne les éléments indispensables à la vie (logement, eau transport... - non exhaustif)
Voir ma première réponse: les dépenses sociales seraient alors autorégulées par l'impôt tel que proposé au premier alinéa (à condition d'y inclure aussi l'équivalent des aides en nature, comme pour n'importe quel salarié)
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Les situations de Handicap: système éducatif, assistance aux parents ou aidants, aménagement des locaux (la protection sociale, ce n'est pas forcément que de l'argent à distribuer) et des transports, où pas grand chose ne bouge malgré la législation
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J'ai mis dans le volet l'organisation de l'état deux points qui touchent aux dépenses: renforcer le rôle pénal des cours des comptes, et aussi rechercher dans la fonction public tous les postes sans valeur ajoutée réelle. Par ailleurs, un point annexe mais révélateur: on tire à boulets rouges sur le Code du Travail qu'il faudrait "simplifier" parce que "trop compliqué". Pourtant, il ne fait qu'à peu près la moitié du code des impôts...
par mes élus locaux: ils connaissent mieux les problématiques du terrain, alors que, plus on monte dans la hiérarchie, plus on se heurte à des élus qui ont plus d'idées reçues que de réelles connaissance.
Oui
En tant qu'ancien membre influent de mon syndicat, j'ai tendance à promouvoir leur rôle dans la vie institutionnelle, tant que ce rôle ne se montre ni politique, ni manipulateur. Cela veut dire aussi qu'un représentant de syndicat ne doit pas se conduire comme un lobbyiste (cela vaut aussi pour les associations)
Des élections plus rapprochées dans le domaine du législatif
Je ne sais pas
Comme la langue d'Esope, c'est à la fois une bonne et une mauvaise chose: c'est plus la personnalité de l'élu qu'il faut voir qu'un système. Peut-être faudrait-il instaurer des formations professionnelles assorties d'examens à la capacité d'être un bon élu?
Instaurer une dose de proportionnelle semblerait adéquat car on a vu des partis non représentés alors qu'ils avaient rassemblé un nombre de voix important. Cependant, il ne faut pas tomber dans un régime parlementaire à la façon de la 4ème république. La dose de proportionnelle sera donc difficile à évaluer
Non
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Instaurer un quorum (comme pour les élections professionnelles)Par exemple, si la participation n'atteint pas 50% des inscrits, les candidatures sont annulées, le nombre de signatures nécessaires est abaissé et les élections sont à refaire.
Oui
Blanc ou nul, ce type de bulletin indique que l'électeur a fait l'effort de venir voter. Déterminer un pourcentage au-delà duquel la légitimité du scrutin serait remise en cause, ou ajouter le nombre de ces bulletins aux suffrages exprimés pour donner les pourcentages obtenus qui seraient ainsi minorés d'autant.
Certainement pas par des referendum à tout va. Le mieux serait de rendre les décideurs responsables des erreurs dans leurs décisions (Possibilité d'avoir une consultation pour renvoyer un élu)
Non
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Les associer à la gestion de cet argent. Un point trop souvent oublié c'est que l'argent public n'existe pas: il commence par être de l'argent privé. Il est normal que le privé participe à cette gestion.
Réquilibrer les pouvoirs du Sénat par rapport à l'Assemblée nationale qui actuellement a toujours le dernier mot, sans pour autant que ce soit plus légitime que l'avis des sénateurs.
Oui
J'ai très souvent vu le Conseil économique et social servir de bâton de maréchal pour des personnalités en fin de carrière. Dans ces conditions, je ne sais pas s'il a un rôle indispensable...* Par contre, le Conseil Constitutionnel me paraît devoir être renforcé. je ne sais pas s'il est possible qu'il s'auto saisisse d'une loi?
Je suis pour le Status quo: actuellement, les tentations de révision de la loi de 1905 ne me paraissent pas prioritaires face à la dette, à l'emploi et à la productivité. Cela me semble plus être une évolution quelque peu entâchée d'anticléricalisme.
Théoriquement, il y a une instruction civique dans nos établissements scolaires. Est-elle toujours vraiment dispensée, et avec suffisamment de compétence? Il ne serait pas inutile de mettre cette matière en évaluation continue.
Lui donner la possibilité de remplir cet engagement sans perdre son emploi (pour les salariés entre autres)
Promouvoir le bon citoyen par rapport au contrevenant (la carotte, en plus du bâton)
Je retourne la question: quelle est la place que la fonction publique est prête à laisser au citoyen dans son fonctionnement?
Voir ci-dessus: l'administration, telle que vous la présentez dans cette question semble externe au reste des citoyens....
L'égoïsme: il est heureux de voir de temps en temps des citoyens s'oublier eux-même pour venir en aide aux autres dans une situation de détresse. Mais la plupart du temps, qu'il s'agisse du comportement sur la route ou dans la vie, c'est le règne du "moi d'abord". Et ce n'est pas un problème que l'on peut régler par de la législation.
Tolérance zéro. Les anciens disaient "qui vole un oeuf vole un boeuf" (ils disaient aussi "dura lex sed lex"). Je pense que l'on rejoint un problème d'éducation et d'intégration En outre, introduire la notion de "réparation" plus que de punition: mettre certains délinquants en prison ne peut que faire empirer les choses. Leur faire réparer les torts commis (quand c'est possible) serait nettement plus exemplaire
Justement: promouvoir des rôles d'éducateurs (non professionnels). Pour commencer... (après, on verra)
Le communautarisme, qu'il soit ethnique, ou basé sur des critères plus subtils (social, sexuel, croyance,...). Tout comportement d'un groupe pour en exclure ceux qui ne remplissent pas leurs critères subjectifs s'apparente pour moi au racisme.
A ce niveau, je n'ai pas d'idée, hélas. C'est toujours un problème d'éducation.
Oui
"Ce qui ne coûte rien ne vaut rien". Les allocations sont en général données dans un but: il faut s'assuere qu'elles ne sont pas détournées de ce but.
Il est normal que des personnes en situation de détresse économique, alimentaire, ou de guerre vienne voir chez nous si l'herbe est plus verte. Par contre, il faudrait s'assurer que certains n'en profitent pas pour contourner les règles naturelles pour immigrer dans notre pays, sinon autant fermer nos ambassades et consulats!
Notre pays s'est construit à coup d'immigration (parfois appelées "invasions" dans des siècles plus reculés). Et aucun parlement n'en a jamais fixé les objectifs...
A vrai dire, au vu l'évolution démographique de certains pays et continents, faire des propositions me semble bien illusoire... A moins que nous incitions les immigrants à rester chez eux, en améliorant les conditions d'existence qui les poussent à partir. En avons-nous les moyens? La réponse devrait être au moins Européenne. En tout cas, pas question de construire un mur, physique ou administratif.
Une langue commune: bon nombre d'immigrés ont des problèmes d'intégration parce qu'ils ne maîtrisent pas le langage parlé ou écrit (et cela les met parfois à la merci de truchements pas toujours bien intentionnés)
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Désynchroniser les élections présidentielles et législatives; mandat de député raccourci. Instaurer dans les élections un quorum des inscrits en dessous duquel les candidatures sont annulées et les élections à refaire
Oui
Augmenter le pouvoir des maires et conseillers départementaux face aux préfets qui ne sont pas élus.
Non
Tout miser sur internet, c'est faire preuve d'une grande méconnaissance de la réalité dans les territoires, . Rien ne remplace un contact humain
Aucune: Internet doit rester une solution de secours, mais pas une obligation.
Non
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J'ai eu du mal à noter une évolution à part des changements de nom et des concentrations.
Un peu tous, non dans leur rôle mais dans leurs effectifs notamment indirects (et en priorité chez le Ministère des Finances): toutes les administrations connaissent les "inutiles qui ont su se rendre indispensables": ils coûtent mais n'apportent rien de réel tout en s'étant établis en point de passage obligé; c'est là qu'il y a des gains potentiels. Voir aussi pourquoi les administrations connaissent un taux d'absentéisme sans commune mesure avec les métiers à risque du privé.
Oui
Oui
Déclaration fiscale. Contact avec un responsable, et aucun problème.
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Oui
Leur donner un pouvoir de décision élargi, mais en même temps, leur faire savoir qu'ils sont responsables de leurs décisions.
Oui
Inclure davantage d'élus issus du salariat privé: ils sont sous-représentés (bien plus que les femmes...)dans quasiment tous les niveaux de l'état, y compris les conseils municipaux: donner ainsi aux salariés l'équivalent de la "mise en disponibilité" à laquelle ont droit les fonctionnaires élus à une représentation.
Vérifier que l'Etat et les collectivités connaissent réellement la situation des territoires dont ils ont la charge. En particulier, attention aux experts et autres conseillers dont il faudrait diminuer drastiquement le nombre: il y a assez d'élus en France pour constituer des Think Tanks compétents (et pas chers) , et comme l'on sait, les conseilleurs sont rarement les payeurs.
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Rectorat: très mauvaise orientation pour qu'un de mes enfants puisse se former pour être professeur des écoles (en plus, a subi une réforme par an du cursus!) Finalement, c'est l'Enseignement privé qui l'a formé et diplômé...
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Renforcer le pouvoir pénal des cours des comptes. Et surtout, que l'Etat fasse un peu plus preuve d'humilité en méditant cette citation de Nietzsche tirée d' "ainsi parlait Zarathoustra": L’Etat, c’est le plus froid de tous les monstres froids. Il ment froidement et voici le mensonge qui rampe hors de sa bouche : « moi, l’Etat, je suis le Peuple ».
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