La pollution de l'air
contraindre les industries à limiter les rejets polluants et développer les transports propres (les véhicules électriques, le cyclisme, le transport ferroviaire pour les transports en commun et pour le transport des marchandises), limiter les transports de marchandises en produisant plus localement, limiter les chauffages poluants
Oui
diminution des ressources d'eau naturelles (sources)
Oui
tri des déchets, diminution de la consommation électrique et d'eau, au niveau transport: privilégier le train quand c'est possible, proposer du covoiturage, réduire ma vitesse en voiture, utilisation de compost plutôt que d'engrais chimiques. Devrais arrêter d'utiliser la cheminée l'hiver.
une meilleure offre des transports en commun et des tarifs attractifs surtout sur le transport local et urbain
prix des véhicules électriques plus bas
Oui
Diminuer l'utilisation de la cheminée et ne chauffer qu'à l'électrique
Oui
Diminuer le temps de transport en commun et les changements (bus, train, métro, bus) qui augmentent beaucoup trop le temps de transport. changer d'activité professionnelle car les horaires irréguliers et imprévisibles compliquent le covoiturage
None
les collectivités locales en accord avec l'état
limiter ses importations de produits pouvant être produits en France, pour les marchés publics faire attention à l'impact sur la pollution des entreprises choisies, taxer les entreprises polluantes, taxer le transport international qui ne fait que transiter par la France, ne pas importer de produits provenant de pays qui n'ont pas de politique de protection de l'environnement et créer des consortium entre pays en ayant.
Retard phénoménal pris en recherche scientifique dans ce domaine du fait des lobbies économiques et donc orienter les choix politiques à venir en fonction d'études scientifiques rigoureuses menées par des organismes indépendants, favoriser la géothermie et non le solaire et l'éolien dont la pollution se manifestera bientôt par le problème du traitement des panneaux devenus inutilisables. Avoir des politiques scientifiques et non des écologistes incapables de comprendre la nature des problèmes écologiques