?
Oui
Fuir les lobbies, accorder leur place aux organisations syndicales, aux associations de professionnels (type associations des personnels de santé...), aux associations "humanitaires"; mais se défier des associations communautaristes, "indigénistes" et assimilés; bref, accorder la priorité à la laïcité française, à l'intégrations des individus et non à la coexistence de groupes.
Donner toute sa valeur au républicanisme laïque: veiller à respecter le mode d'intégration français, qui s'intéresse aux individus sans les assigner à quelques traits identitaires simplistes. NE PAS TOUCHER A LA LOI DE 1905!! Et donc supprimer ou profondément réforme l'Observatoire de la laïcité devenu un idiot utile du communautarisme et de l'intégrisme. Renvoyer le plus vite possible J.L. Bianco!! En profiter pour demander instamment aux médias de cesser de se référer systématiquement à des soi-disant "communautés"; nous ne sommes pas chez les anglo-saxons! DE TOUTE URGENCE revenir à un enseignement construit de l'histoire, de la géographie et de la culture françaises. Cesser de les noyer dans des objectifs trop vastes et vagues, mais se fixer pour premier objectif que la population française (dont les nouveaux entrants, mais aussi tous les autres) puise raisonnablement maîtriser l'orthographe et la syntaxe françaises, la connaissance des grands mouvements culturels en France, l'espace français, l'histoire nationale. Bref, redonner sa place aux "humanités". Développer un service civique qui favorise la rencontre de tous les jeunes vivant en France, au service de la solidarité nationale. Mais aussi redonner son lustre à la justice. Et à la culture (moyens, mais aussi redéfinition des objectifs des ministères et des institutions).
Une bonne chose
Cela évite les baronnies, porte ouverte à bien des tentatives de corruption.
?
None
Je n'ai pas d'avis tranché sur cette question.
Indispensable bien sûr. Mais comment les faire revenir vers les urnes alors que certains, comme le montre l'actualité, dénient toute valeur au principe de représentation?
Oui
Décompter les votes blancs comme suffrages exprimés, tout simplement.
Il ne faudrait pas abuser des consultations de type référendaire. Car avec la lassitude, seuls les membres des groupes de pression et les extrêmes voteraient, ce qui mènerait à une réduction de la démocratie de fait.
Je ne sais pas
None
Que les députés organisent des réunions d'information et de consultation dans chacune des communes de leur circonscription une ou deux fois pas an.
Le parlement, c'est-à-dire le pouvoir législatif, doit évidemment avoir toute sa place; en espérant que chaque député agisse en âme et conscience, sans forcément se faire le "godillot" de son parti quand il est au pouvoir. Mais... Je n'ai jamais très bien compris à quoi sert le Sénat. Quant au Conseil...
None
Je ne sais pas.
NE PAS TOUCHER A LA LOI DE 1905 (voir plus haut) !
Redonner sa place aux "humanités" dans l'école, et ne pas avoir honte d'enseigner en priorité la géographie, l'histoire et la culture françaises, ce qui permettra aux entrants de s'intégrer dans le pays où ils désirent s'intégrer, et à ceux qui sont nés français de savoir dans quel espace ils vivent (voir plus haut, là encore).
Un service civique travaillant à la solidarité nationale. Mais aussi des politiques moins centrés sur leur carrière, et davantage sur le destin national (revoir la formation de l'ENA, peut-être, et son recrutement?).
None
Je ne sais pas.
Je ne sais pas.
Les incivilités routières, l'absence de respect de l'environnement au sens large, et de l'environnement quotidien. Et bien sûr cette dérive individualiste qui veut que "la loi c'est ma loi".
Là est le problème... Eviter en tout cas les discours moralisants qui considèrent les citoyens comme des enfants, et donnent surtout envie de franchir les bornes. Ne pas exagérer la surveillance. Et revoir la place accordée à l' "enfant au centre" de l'école, revenir au sens premier de "l'élève", celui que l'école veut élever ; bref, redonner leur place aux enseignants au centre du système de formation.
L'idéal serait que chacun se considère comme membre de la société aqu même titre que tous les autres. Mais le monde actuel n'y pousse guère...
La société française repose depuis bien longtemps sur le mépris: celui des pauvres, des femmes (surtout pauvres), des faibles et des malades, des provinciaux.
Je ne sais pas.
Non
None
Le problème est européen. Mais on pourrait attendre que la France respecte les engagements d'accueil qu'elle a pris. Il est évident que la France doit être une terre d'asile. Qu'elle doit se préparer aux futures migrations climatiques. Mais qu'elle ne doit pas non plus inciter les habitants des pays africains à écouter les sirènes des réseaux mafieux de passeurs en ouvrant trop largement les portes à l'immigration de travail.
Pourquoi pas.
Au moins que nos instituions politiques réfléchissent aux conditions d'accueil des futures migrants climatiques.
Des logements décents, des possibilités de travail, mais avant tout l'éducation, des enfants mais aussi des parents. Au fait, avec le Brexit, ne serait-il pas temps de rompre l'accord du Touquet et de libérer les côtes françaises de la gestion des frontières du Royaume-Uni?
None
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Rendre les "solutions" accessibles à tous: pérenniser les subventions à l'isolation et à l'amélioration des modes de chauffage, obliger les offices de HLM à lutter contre les "passoires thermiques" (par des incitations mais aussi des sanctions), ne pas se laisser enfermer dans les "modes" (ainsi la lutte contre le plomb poussa au diésel, aujourd'hui la lutte contre les particules fines pousse vers l'essence alors que ce carburant produit p)lus de CO2 que le diésel...). Envisager des incitations plutôt que des punitions pour pousser les Français à adopter un comportement plus raisonnable.
Oui
La montée de la température, sensible ces dernières années. Et l'aggravation des catastrophes climatiques, même dans nos zones tempérées.
Oui
J'isole ma maison, je trie mes déchets, je réduis mes déchets, je me chauffe pour partie au bois, je limite mes déplacements quotidiens en voiture, etc.
Justement l'inquiétude devant les dangers que court la nature.
Le crédit d'impôt pour l'isolation me paraît un bon système. Comme les aides au changement de véhicule.
Non
None
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
Les transports en commun|Le covoiturage|Le transport à la demande
Commune, département, région. Mais les "niveaux" locaux me semblent plus sensibles, plus fragiles face aux lobbies, mais aussi aux groupes de pression (ainsi tous ceux qui s'opposent au développement de l'éolien pour "sauver" le prix de revente de leur maison, et tous ceux qui s'opposent aux taxes sur l'automobile afin de sauver le prix de revente de leur SUV diésel...). Un contrôle de l'état est donc nécessaire. Il serait plus que temps d'en revenir à un développement organisé par des plans à moyen voire long terme plutôt que s'enfermer dans la gestion à courte vue, voire au coup par coup...
Refuser de signer les traités internationaux (type CETA) qui laissent le pouvoir aux multinationales plus qu'aux états. Mener une politique plus active et volontariste de développement des énergies renouvelables afin d'être crédible dans les négociations.
Il faudrait prendre distance avec la FNSEA, orienter le maximum de subventions vers l'agriculture locale et bio. Conditionner certaines aides aux entreprises à des engagements (dont l'exécution sera contrôlée) environnementaux. Obliger la grande distribution à transformer ses parkings en centrales solaires. Et bien sûr ne pas faire reposer toute la lutte contre le changement climatique sur les individus, s'attaquer à la recherche du profit immédiat de l'industrie et de l'industrie agro-alimentaire. Prendre vraiment conscience de ce que signifie être le pays le plus touristique du monde: veiller à l'entretien du paysage (et financer les agriculteurs qui l'entretiennent), orienter la production agricole vers la qualité. Et aider les agriculteurs à développer l'accueil touristique dans leurs fermes. Pourquoi ne pas faire un moratoire des dettes des agriculteurs afin de leur laisser le loisir de se réorienter vers la production raisonnée voire bio? Se détacher d'un développement, d'une recherche de croissance fondés sur les "géants", les "champions", les multinationales et accorder bien plus de place (et de subventions) à l'agriculture raisonnée, à l'artisanat, à la recherche de la qualité en général. Multiplier le nombre de contrôleurs des entreprises dont les entreprises agricoles.
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