Compte tenu des différents scandales qui ont eu lieux ces 10 dernières années, j'ai une confiance très limitées vis à vis des "représentants élus". Je commence à comprendre que cela est probablement dû au mécanisme même de l'élection. Il nous (en tant que citoyen) faut probablement des représentants pour un certain nombre de chose. Mais il nous manque tous les contrôles nécessaires pour s'assurer que nos représentants nous représentent. C'est aux citoyens d'écrire les règles de la représentation. Ce n'est évidemment pas aux représentants pour eux-mêmes !
Oui
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant (dommage qu'on ne puisse répondre que par oui ou non).
Avec la mise en place d'un RIC en toute matière et écrit par les citoyens, les élus se retrouverons "sous contrôle citoyen", puisse que les citoyens pourrons annuler les décisions des représentants, dans les cas où cela ne correspond pas au besoin des citoyens.
Une bonne chose
C'est bien la moindre des choses. Vu ce qu'on demande à un parlementaire, il est nécessaire et obligatoire que se soit un travail à plein temps. D'ailleurs, ce travaille doit pouvoir être public et contrôlable de façon à éviter d'autres dérives : non présence, non travaille effectif, ou participation à des campagnes électorales en même temps (les exemples ne manques pas).
La question n'est pas de représenter les différentes sensibilités politiques, mais de représenter l'ensemble des citoyens. Pour cela, il est nécessaire de ne pas mettre en place d'elections. Mais de mettre en place un système de tirage au sort avec les contrôles nécessaires. Le mécanisme de tirage au sort permet à ce que tous les citoyens soient statistiquement représentés. Bien sûr, cela peut "faire peur" au premier contact de cette idée, mais en étudiant de plus près les expérimentations qui ont déjà été mises en place dans le mode, il est tout à fait réaliste de le mettre en place avec les contrôles nécessaires. Bien sûr, c'est un mécanisme très sérieux qui évite les dérives de l'elections.
None
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant (dommage qu'on ne puisse répondre que par oui ou non).
La mise en place du "RIC en toute matière et écrit par les citoyens" est un premier bon moyen de permettre à tous les citoyens de se ré-approprier la politique de notre pays. Et ainsi, petit à petit, comprendre que "l'election parmi des candidats" (actuelle) est une procédure qui n'est pas représentative, car elle ne permet de ne représenter que les courants politiques (partis) ayant les moyens et les ambitions de "prendre le pouvoir". Or élire parmi ceux qui "veulent" le pouvoir n'est pas une procédure démocratique : "demos-cratos" nécessite que se soit les citoyens, eux-même, qui aient le pouvoir. Le RIC permettra que les citoyens puissent agir directement sur les politiques menées / décidées lorsque les décisions des représentants ne vont pas dans la direction souhaitée.
Oui
Bien sûr, il y a de nombreuses manières d'en tenir compte. Tout comme l'abstention. Ne pas tenir compte de cette expression du "je ne suis pas venu voter" et du "aucun des choix qui me sont proposées ne me convient", est justement non-démocratique, puisse qu'actuellement, on ne tient pas compte de ces avis des citoyens (ou est le "cratos" du "demos" dans ce cas ?). Juste un exemple (mais j'en aurais bien d'autres) : au second tour de l'election présidentielle à 2 tours, il faut que l'un ou l'autre des candidat ai au moins 50% des votes des citoyens en age de voter (donc y compris les votes blancs et abstentions). Car sinon, quelle légitimité du candidat élu, si il n'a pas été élu avec 50% des citoyens en age de voter ?
Demander à des citoyens tirés au sort d'écrire les règles du RIC en toute matière, et intégrer ces règles dans la constitution. Ainsi, Le "demos" (nous, les citoyens) commencerons à avoir du "Cratos". Les représentants de notre cinquième république seront ainsi "sous contrôle" citoyen dans les cas où ils ne représenterons pas les représentés (les citoyens) par les choix et décisions qu'ils prennent.
Non
Le RIP (avec un P) est inutile et inutilisable, même si on souhaite "faciliter son déclenchement" (comme indiqué dans la question). Le besoin actuel n'est pas de "continuer comme avant". Mais bien de mettre en place les mécanismes d'une vrai démocratie. Le "RIC (avec un "C") en toute matière" est une première étape utile et nécessaire. Il n'est pas question que les représentants (élus) contrôlent les initiatives citoyennes. Mais je rappèle ici que ce sont normalement les représentés (les citoyens) qui doivent contrôler les représentants (élus) dans une démocratie digne de ce nom.
Avec le RIC en toute matière, cela ne posera aucun problème. Il est important que le RIC puisse s'appliquer "en toute matière", donc aussi sur ces questions. Je ne vois pas pour l'instant de véritable raison d'en limiter ou restreindre l'usage.
La mise en place du RIC est le point prioritaire pour remettre de la démocratie dans nos institutions dans un premier temps. Nous pourrons ainsi, si nécessaire, revoir et débattre du rôle et des responsabilités de chacune de nos assemblées.
Oui
Probablement, oui. Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant (dommage qu'on ne puisse répondre que par oui ou non). Par contre, le diagnostic est que les citoyens ne se sentent plus assez représentés. et cela provoque une montée des violences et des extrémismes en tout genre (c'est souvent le cas lorsque les gens ne se sentent pas assez écoutés et pris en compte). Sur la question du comment transformer ces institutions, ma réponse, en tant que démocrate, est de faire en sorte que les membres de ces institutions ne soient pas élus, mais tirés au sort (encore une fois : avec les contrôles associés). L'election n'assure pas une représentativité puisque sont élus ceux qui veulent le pouvoir (les candidats) et qui ont les moyens suffisants pour se faire élire (financement, visibilité médiatique, appartenance à un partis). A contrario, le tirage au sort permet la représentativité des citoyens.
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant. Mais c'est intéressant. Or il nous manque un organe neutre et indépendant pour pouvoir en débattre. Les principaux médias actuels ne sont pas indépendants (puisqu'ils appartiennent à des actionnaires privés). Il est important d'instituer des médias neutres et indépendants. Il y a déjà des idées pour rendre cela possible, et s'assurer (contrôler) que ces principes de neutralité et d'indépendance soient respectés.
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant.Il me semble que le rôle de l'école est ici très importante. De façon à permettre l'esprit critique, la compréhension de valeurs de notre république. de la signification de la Démocratie (la vraie : voir définition dans tout bon dictionnaire encyclopédique et/ou wikipédia) et du rôle primordial des citoyens dans ces institutions, (non pas seulement pour élire), mais pour voter les lois (décider).
En ayant recours au RIC, cela impliquera les citoyens de façon mécanique. Car la source, l'origine du non-engagement actuel est probablement dû au fait qu'aujourd'hui, même si on souhaite s'impliquer, le pouvoir de changer les choses est très très limité. Avec le RIC, chacun aura un rôle à jouer dans la politique du pays, avec des possibilités de prise de décision via le RIC.
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant.
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant.
A partir du moment où les représentants ne sont pas élus mais tirés au sort, les citoyens sont appelés à exercés une responsabilité pendant une partie de leur parcours de vie. C'est un honneur, une contribution citoyenne à la vie démocratique du pays. Il est tout à fait possible de rendre ces participations honorifiques lorsque cette participation a été effectuée et lorsqu'elle a été bien effectuée (notion d'évaluation en fin de mission publique).
Toutes les formes de violence (physiques, morales, psychologiques ou autre).
Faire appliquer les lois existantes serait déjà une première étape importante. Il est inutile d'en ajouter d'autres.
Le respect et l'écoute sont deux éléments permettant de faire reculer la plupart des violences.
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant.
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant.
Oui
Je n'ai pas d'idée spécifiques sur ce sujet pour l'instant. Mais de façon générale, pour respecter une notion d'égalité de traitement, on peut envisager que toute allocation de solidarité puisse être conditionné par une contre-partie. Cela peut être graduel, proportionné. Il peut aussi exister des cas spécifiques où cela n'est pas justifié ou souhaitable.
Je ne connais pas la politique migratoire actuelle.
Cela peut être des objectifs définis par le parlement, mais à condition que les parlementaires en débattent avec les citoyens, et non pas que se soit des décisions politico-politiciennes de partis politiques ou de prises de position personnelles à des fins de conquêtes du pouvoir. Pour cela, encore une fois, la mise en place du RIC permettra un contrôle citoyen a posteriori en cas de dérive ou de prise de décision non conforme à l'interêt général.
Je propose que lorsque les représentants ayant le pouvoir (le chef de l'état + le gouvernement + les parlementaires du parti majoritaire à l'assemblée) sont confrontés à une question ou une situation qui porte controverse (lorsque les partisants du "pour" et ceux du "contre" sont équilibrés, ou lorsqu'il est difficile de dégager un consensus), la décision soit prise par les citoyens (dans ce cas, c'est un RIP, avec un P) qui eux, doivent avoir le dernier mot dans une démocratie.
Donner un accès à l'éducation (y compris pour les adultes) de façon à permettre un apprentissage de la langue française, les mathématiques, l'histoire, la géographie, etc. (à chacun son niveau).
Nos institutions actuelles (5ième république, qui date de 1958) ont été écrites et proposées par des hommes politiques qui ont aujourd'hui disparus (Yves Guena, Michel Debré, Général De Gaulle, entre autres) dans un contexte politique spécifique. Le monde a bien changé depuis. Cette constitution doit évoluer et s'adapter au monde actuel. Si on souhaite une démocratie (que les citoyens "demos" aient du pouvoir "cratos"), il est nécessaire que se soit les citoyens qui établissent les règles du pouvoir (et nombreux sont ceux qui s'y préparent déjà) : il n'y a pas besoin de compétence politique spécifique pour cela. Les représentants actuels (hommes politiques) ne sont pas légitimes pour faire cela puisqu'ils seraient en conflit d'interêt (ce n'est pas à eux de définir les règles qui vont régir, contôler et limiter leur propre pouvoir). A court terme, la mise en place du RIC en toute matière (dont les règles doivent être étudiées et mise en place par les citoyens eux mêmes) va permettre de redonner une orientation démocratique à nos institutions actuelles et permettre de remettre nos représentants "sous contrôle citoyen". Cela me semble être la priorité qui permettra de débloquer beaucoup de blocages (entre autre, idéologiques) actuels.
Que l'on passe des paroles à l'action
De nombreuses solutions techniques existent dès aujourd'hui. Mais peu sont connues et utilisées par manque de moyens (moyens pour la recherche & pour les mettre en place) sous prétexte d'une dette publique déjà importante. Or, il est de la responsabilité de l'Etat "souverain" de gérer la création monétaire suffisante pour nos besoins. Si la création monétaire en Euro n'est pas sous contrôle de l'Etat français, rien n'empêche la création d'une monnaie spécifique (comme une "monnaie locale écologique") pour financer toutes les actions nécessaires à une nouvelle économie écologique. Il est envisageable d'imaginer une "économie" complète associée à cette monnaie spécifique. Un exemple de monnaie spécifique existe en Suisse. Ce n'est pas une utopie, mais bien une piste de solution bien réelle.
Oui
La piètre qualité des ressources alimentaires, les changements climatiques avec potentiel manque d'eau, le manque d'autonomie énergétique.
Oui
Mettre en place un système d'autonomie énergétique dans mon logement (souhait). et Aujourd'hui déjà : acheter des produits alimentaires bio et/ou locaux. J'ai également réduit de 60% ma consommation de carburant par une pratique de conduite douce.
Qu'on arrête de me prendre pour un idiot en m'imposant des choix : grosse publicité venant de nos représentants concernant les voitures électriques (alors que bien d'autres solutions plus écologiques existent), imposer des règles spécifiques de raccordement au réseau EDF, alors qu'il y a des solution d'autonomie complètes. Ce ne sont que quelques exemples.
Que je puisse être certain que les solutions à appliquer soient très fortement pour l'intéret général et ne permettent pas que des intérêts particuliers privés puisse les utiliser pour un enrichissement personnel.
Oui
Que le financement soit assuré par la création monétaire spécifique ("monnaie écologique" spécifiques parrallèle à l'euro, cf. mon premier point). Que ces équipements soient créés et mis en place par des entreprises françaises (économie locale).
Non
il n'y a pas de possibilités alternatives
Les transports en commun|Le vélo
Le développement des transports en communs : la région, le département, l'Etat en général.
La création de cette "monnaie locale écologique" (en parallèle à l'euro) fera des envieux au niveaux de nos partenaires européens.
Cette monnaie locale écologique doit en premier lieu financer la recherche française en matière écologique et co-financer les PME/PMI qui ont des projets concrêts proches de la mise sur le marché, mais qui sont ralenties par manque de moyens. En imposant que le "circuit économique" (fournisseurs -> clients) doit rester français , cela contribuera également à proposer un important besoin de nouveaux métiers et de nouvelles perspectives pour réduire le chômage.
Votre message a bien été envoyé.