En théorie, le député car il devrait être et demeurer l'unique délégataire de la souveraineté nationale. En réalité, l'immense majorité des lois votée sont des transpositions de directives européennes. Par conséquent, je ne me sens pas représenter dans la société à l'échelle nationale et dans l'établissement de la loi de mon pays.
Oui
A condition que ces associations, syndicats ou organisations professionnelles soient représentatives. Ce qui n'est pas manifestement pas le cas aujourd'hui où la plupart des associations recueillant l'immense majorité des subventions publiques ne représentent qu'une infime minorité de personne. Il en est de même pour les syndicats.
Valoriser les échelons administratifs de proximité (mairie, département) au détriment des échelons régionaux et européens et diversifier la provenance sociale des élus.
Une mauvaise chose
Le non-cumul des mandats favorise la déconnexion des élus nationaux. S'il peut s'entendre pour les députés, il est un non-sens institutionnel pour le Sénat qui est censée être la chambre représentant les collectivités territoriales. Au non-cumul des mandats, il aurait été préférable de privilégier un non-cumul ou un plafonnement des rémunérations issues des mandats.
Instaurer une dose de proportionnelle dans les élections nationales.
Oui
Suppression de l'échelon administratif qu'est la région et donc des conseillers régionaux.
La participation des citoyens aux élections est faible, notamment en raison du scrutin majoritaire à deux tours entraînant des résultats au deuxième tour complètement déconnectés par rapport aux résultats du premier. Instaurer la proportionnelle permettrait d'avoir des résultats plus en adéquation avec le vote initial des premiers tours, par conséquent cela permettrait d'accentuer le sentiment d'être mieux représenter et d'avoir une voix qui compte ainsi cela inciterait à participer davantage aux élections.
Non
None
Respecter les programmes et promesses sur lesquels sont élus les représentants et faire participer les citoyens par référendum sur les grandes questions sociétales.
Oui
Supprimer la condition des 1/5 de parlementaires et le contrôle du Conseil constitutionnel.
Faire voter par les citoyens les grandes orientations budgétaires par le biais de référendum local ou national.
Le Sénat doit continuer de jouer son rôle de chambre haute du Parlement en proposant, amendant et votant la loi. Quant au Conseil économique, social et environnemental, ne servant à rien, à part coûter de précieux deniers publics, il doit être supprimé.
Oui
Suppression du CESE.
La France a été construite sur 1500 ans de christianisme, par conséquent les religions ne peuvent être traitées sur un pied d'égalité en France et la laïcité ne peut s'appliquer avec la même intensité à leurs égards. La laïcité doit avoir pour objectif de préserver l'empreinte chrétienne de la France en modérant les signes ostentatoires des autres religions.
En promouvant et en enseignant la grande Histoire de France, et justement en ne la limitant pas à celle de la République.
None
L'entraide, la bienveillance, la courtoisie etc...
Il faudrait responsabiliser le citoyen en cessant de le materner. Chacun doit devenir un acteur civique de son quartier, village ou de sa commune. En organisant notamment des conseils de quartier / village / commune au cours desquels seront organisés la vie commune, les situations d'entraide à mettre en place, l'entretien et le nettoyage.
Responsabiliser le citoyen, qu'il cesse d'attendre et de dépendre de l'administration et des pouvoirs publics. Et en échange, que l'administration et les pouvoirs publics cessent de materner les citoyens en essayant de régir la plupart de ses comportements par des normes.
Les dégradations, les nuisances, le manque de respect à l'égard des installations publiques et du voisinage et le fait de salir les lieux publics.
Déchoir du bénéfice de certaines installations et services publics les citoyens qui seraient reconnus coupables d'y avoir porté atteinte.
Que les citoyens cessent de se taire ou de détourner le regard lorsqu'ils sont témoins d'incivilités. Si les personnes commettant des incivilités étaient systématiquement et publiquement stigmatisés pendant leurs méfaits, les incivilités seraient moins nombreuses.
Les discriminations sociales à l'égard des plus démunis.
None
Oui
Les personnes percevant des allocations de solidarité n'ayant pas d'activité professionnelle à plein temps devraient être contraintes de donner, en contrepartie, quelques heures de leur temps libre à l'intérêt général !
La politique migratoire appliquée actuellement en France est totalement irresponsable, l'immigration non-régulée, devient massive et crée des déséquilibres sur tous les plans de la société (enseignement, sécurité, finances publiques, laïcité). La politique migratoire doit être limitée aux besoins de la France, à sa capacité d'accueil et à sa capacité à assimiler les personnes issues de l'immigration.
Le droit d'asile constitue l'honneur et le devoir de la France d'accueillir des personnes menacées dans leurs pays. Cependant, il doit cesser d'être dénaturé comme il l'est actuellement via de véritables réseaux mafieux d'immigration. Outre le fait de rendre au droit d'asile son véritable sens, il est urgent de fixer des quotas d'immigration et que ceux-ci soit bas pour compenser les excès de ces 30 dernières années.
Limiter l'immigration en empêchant que les situations de fait illégales soient créatrices de droit et en renvoyant systématiquement les personnes arrêtées en situation irrégulière sur le territoire français. Parallèlement, il faut cesser de déséquilibrer les pays d'Afrique et du moyen-orient via les guerres comme en Lybie. De plus, il faut entrer dans une optique de coopération avec le continent africain pour son développement et la maîtrise de sa démographie.
Favoriser une immigration méritante et souhaitant s'intégrer à la société française. Enseigner la langue, la culture et l'histoire de France aux personnes issues de l'immigration. Conditionner le bénéfice des aides sociales à un certain temps d’activité professionnelle en France. Ne pas hésiter à renvoyer dans leur pays d'origine les personnes se rendant coupables d'infractions graves à la loi pénale.
None
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