Date de publication : 2019-01-22
Code postal : 77350

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Sans rapport

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Le salarié est lourdement taxé pour financer les charges sociales. Celui qui fait du business ne l'est que très peu en comparaison. C'est très injuste.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Les cotisations sociales freinent l'emploi. Les entreprises françaises délocaliseraient moins, embaucheraient plus, seraient plus compétitives si le coût du travail était moindre.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Augmenter les impôts sur la consommation, sur l'épargne, sur la propriété.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Plus d'aides pour les personnes précaires, dans le logement, la formation, l'emploi, la garde d'enfants et aides à la scolarité, adaptation au handicap, financement des lieux médicalisés pour les ainés.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Priorité aux plus démunis, jusu'à leur pleine autosuffisance.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Sur les produits de Fret international, sur les produits polluants, sur les produits à obsolescence programmée, sur les produits jetables

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Aujourd'hui, pour qu'un salarié achète un produit 100€ HT, il aura un salaire brut de 150€, et son employeur aura dépensé 210€ en charges salariales. Soit 210% de taxes, sans compter les impôts complémentaires. C'est invivable. La TVA sociale a l'avantage d'être payée par tous, pas seulement par les salariés. D'autre part, elle s'applique autant sur les produits français que sur la production étrangère. Aujourd'hui, notre fiscalité privilégie les produits étrangers, ce qui est contraire à l'urgence climatique, qui demande à ce que nous privilégions la consommation locale.