Date de publication : 2019-02-23
Code postal : 38800

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

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2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

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3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Il ne s'agit pas de baisser les impôts, il s'agit de les calculer de manière juste et équitable.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Rien de tout cela mais plutôt réévaluer les choses de manière juste. Par exemple, trouvez-vous normal et équitable d'imposer plusieurs fois la même chose (peu importe le nom de l'impôt d'ailleurs, c'est toujours un prélèvement).Nos grands parents et parents ont travaillé toute leur vie durement pour réussir à transmettre un bien aux générations suivantes, ce bien a été imposé combien de fois ? C'est pourtant le même bien et il n'a pas été volé, il n'a été que le fruit d'un travail. Et comment certains, bien informés et bien conseillés, arrivent t-ils à passer au travers de cela ? ou en tous cas à payer moins proportionnellement à la valeur de leur bien ? Faites vous la différence entre un bien acquis par le travail honnête et volontaire, et un bien acquis parce qu'il vous est tombé tout droit d'un héritage avec d'autres biens voire des privilèges inconsidérés ? Tant mieux pour eux, je ne suis pas du tout contre le fait d'être anti et de gagner beaucoup d'argent, cela ne me pose aucun problème et chacun a la vie qu'il a, mais ce qui me gêne c'est, encore une fois, l'inégalité et le manque de proportions en tenant compte du travail réel et sans privilèges aux uns et pas aux autres.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

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6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

La protection de l'enfance et de la famille. Actuellement, j'ai le sentiment qu'on mise tout sur la peur de passer à côté d'un danger réel pour l'enfant et tant mieux mais on en oublie de plus en plus l'humanité et le lien très fort et indispensable à la survie psychique d'un enfant avec ses parents et sa mère quand il est très jeune en particulier. Cela aboutit à des prises de décisions visant plus à se protéger en tant que services sociaux qu'à protéger l'enfant et à veiller à ne pas détruire plus qu'on ne protège. Ce n'est pas toujours le cas c'est vrai, je ne veux pas noircir le tableau. Travaillant moi-même en contact avec l'ASE, je sais le travail accompli dans la plupart des cas pour assurer le mieux-être de l'enfant ; mais trop souvent, les décisions sont prises de manière unilatérale, par des professionnels qui n'ont pas une formation assez solide et qui, pourtant, écrivent des comptes rendus lus par un juge qui va s'en remettre totalement à ces comptes rendus. Comment oublier que toute personne peut projeter des choses d'elle-même, ou adopter une position jugeante et non objective ? Or là c'est grave ! Quand un enfant (voire une fratrie) est enlevé (parce que c'est le terme) aux parents de manière brutale et en force, à la sortie de l'école ou au domicile, quand un enfant n'a plus de lien avec ses parents d'un instant à l'autre, quand on accuse au lieu d'accompagner et d'aider concrètement, quand on exige que pour "rendre" l'enfant, il faut que la famille devienne parfaite alors que nul n'est parfait, comment voulez vous qu'un jour l'enfant revienne chez lui ? Parce que c'est ainsi que ça se passe, en dépit de toutes les théories et les blablas. La meilleure place pour un enfant c'est d'être avec ses parents, l'un de ses parents, sa famille ; quand on considère qu'il y est malheureux, délaissé, en souffrance physique et/ou psychologique, on doit prendre les décisions qui s'imposent d'accord et bien sûr, mais la décision du placement est-elle la seule et unique possibilité de décision ? comment mesure t-on le bénéfice entre le placement dans une famille d'accueil et la rupture du lien affectif ? Il y a beaucoup de cas, trop malheureusement, où l'on n'a pas fait la distinction entre une situation typiquement dangereuse et une situation où la prise en charge et la guidance parentales, l'accompagnement facilité sur le plan psychologique et éducatif, le non jugement et la bienveillance, pourraient largement suffire, sans rompre un lien affectif indispensable. Et quand on sait les conséquences à long terme, mesure t-on vraiment l'impact réel, psychologique, humain, et même financier ? Si l'on veut protéger l'enfant de la violence et qu'on le plonge dans une autre forme de violence (car c'en est une !)... où va t-on ???

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

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8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

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Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La biodiversité et la disparition de certaines espèces

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Ne pas faire les choses à l'envers comme c'est le cas. Reposer le problème mais dans le bon sens : -interdire immédiatement le glyphosate et autres pesticides : cela va faire perdre des emplois ? Cela va en créer d'autres. Cela ne peut être remplacé ? On sait très bien qu'il y a des centaines voire des milliers de gens créatifs et chercheurs qui sont capables d'inventer des alternatives naturelles ou au moins mille fois moins polluantes. Organisons DES CONCOURS ET DES APPELS A LA CREATIVITE ET AU GENIE AU SERVICE DE LA PLANETE ET DE LA SANTE HUMAINE ! Mais alors sans se cacher derrière des objectifs de profit financier... -aller chercher l'argent nécessaire à la transition écologique en verbalisant sévèrement les pollueurs et en taxant ceux qui génèrent des profits énormes sur le dos de la planète ; -cesser de nous taxer, nous les gens du peuple, qui faisons déjà TOUT CE QUE NOUS POUVONS AU QUOTIDIEN pour contribuer à notre échelle à la protection de l'environnement ; les PDG, les ministres, les députés, les personnes qui font les lois (dont celles de la transition écologique) trient-ils eux-mêmes leurs déchets ? emmènent-ils leurs enfants à vélo à l'école, en passant par la crèche pour le petit dernier, en faisant un détour par l'épicerie pour le repas du soir et en faisant attention aux emballages, à la composition et à la provenance des produits alimentaires et autres ? bêchent-ils leur jardin pour y faire pousser des légumes en se disant que la pluie et l'air sont pollués... est-ce bon tout ce travail ? Est-ce que mes efforts sont utiles ? Savent-ils ce que cela représente pour une mère de famille lambda EN PLUS de tout le reste ? Comment faire encore payer des taxes à des gens qui se battent tous les jours pour la planète avec leur volonté et leur travail ? C'est d'une injustice ! -prendre des mesures internationales pour CESSER DE DETRUIRE les populations ne pouvant se défendre en détruisant leurs ressources et en les "polluant" dans tous les sens du terme pour s'enrichir ; -cesser de détruire les habitats naturels de la faune dans certaines contrées, cesser de mépriser la nature ! Elle sera plus forte de toute façon... cesser de faire la sourde oreille à tous ces signaux parce que le seul objectif de certains c'est : comment gagner plus ? -cesser l'hypocrisie : la plupart des documents administratifs sont envoyés par internet à présent, même si on ne l'a pas demandé... c'est déjà un problème pour ceux qui n'ont pas internet et/ou qui ne peuvent consulter ou imprimer leurs documents de manière autonome (eh oui ils existent et on se doit de les respecter non ? ) ; cette mesure a t-elle été prise pour limiter la quantité de papier et d'encre ou pour générer un profit de plus pour les administrations ? Très bien, c'est important de ne pas gaspiller mais on fait peser cela aux contribuables qui eux vont la plupart du temps imprimer leurs papiers parce que c'est parfois compliqué de devoir consulter ses documents sur ordinateur alors qu'on n'est pas à l'aise avec cet outil et que quand vous faites un dossier, on vous demande encore le plus souvent de le donner sur papier...? Mais admettons tout de même que ce soit un geste écologique bienvenu, que dire dans ce cas des milliers d'euros perdus lorsqu'on veut changer un logo comme ANPE transformée en Pôle Emploi, Conseil Général transformé en Département etc...? Des milliers d'euros pour ne pas dire des millions pour refaire tous les documents à la bonne en-tête ? sans compter tous les documents inutiles qui vont passer à la corbeille ? Ce n'est sûrement rien pour vous tout ce que je dis...une goutte d'eau dans la mer et c'est bien le problème : les petites économies qui demandent de grands efforts au peuple vous paraissent plus importantes que les grandes économies qui demandent moins d'efforts aux "grands" de cette société, pour qui mille euros ne représentent... qu'une goutte d'eau dans la mer...eh oui, tout est là à qui veut réfléchir "dans le bons sens et avec bon sens"...

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

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4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

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5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

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6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

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7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

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8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

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9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

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10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

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11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

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12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

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13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

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14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

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15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

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16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

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