None
None
None
None
None
None
None
Il faudrait supprimer de très nombreux comités "théodule" (ces commissions consultatives placées auprès des administrations de l'Etat). Je ne citerai dans cette contribution qu'un seul exemple : le CNFEL (conseil national de la formation des élus locaux), organisme constitué auprès de la DGCL. Son rôle consiste à donner un avis sur l'agrément des organismes susceptibles d'être rémunérés par des collectivités territoriales pour la formation de leurs élus. Copinage et incompétence au menu. Laissons faire le marché et les collectivités territoriales décider si tel ou tel formateur est ou non digne de former leurs élus. En cas de corruption, la justice devra passer, mais de grâce pas de procédure d'agrément préalable !
Je n'ai pas une immense confiance dans mes représentants politiques mais j'accepte les règles du jeu. Je n'ai pas confiance dans les organisations professionnelles (syndicats et autres organisations corporatives) et n'en fais pas partie.
Non
None
Il faut d'abord des citoyens ayant une meilleure culture en matière politique, économique et sociale. Et donc éduquer les citoyens. Avec des citoyens éduqués, le niveau des élus politiques serait tiré vers le haut. Le discours d'un grand nombre de politiciens nationaux est d'une pauvreté affligeante, mais je ne suis pas sûr que les citoyens méritent mieux aujourd'hui.
Je ne sais pas
None
Une petite dose (10% des sièges) de proportionnelle à l'Assemblée Nationale semble nécessaire, même si cela n'aura pas que des conséquences positives.
Oui
Supprimons d'abord les conseillers départementaux.
Tout citoyen a le droit de ne pas participer aux élections. Aucun citoyen ne devrait par contre avoir le droit de contester (en manifestant, en pétitionnant) une décision politique s'il n'a pas lui-même voté lors de l'élection du pouvoir ayant pris cette décision.
Non
Les votes blancs sont déjà comptabilisés séparément des votes nuls. Que veut-on de plus ?
Un débat comme celui-ci sera peut-être utile. Mais ne comptons pas sur la démocratie participative pour sauver la démocratie représentative, malade de l'inculture de trop de citoyens et du cynisme de trop de politiciens.
Non
None
Commençons déjà par les informer correctement et systématiquement à ce sujet.
Qui s'intéresse au CESE ?
Oui
Il faudrait supprimer le CESE. Je pense que le Sénat devrait être maintenu, mais qu'il faudrait réduire sa capacité à ralentir le travail législatif (une seule lecture par projet de loi).
None
None
None
None
None
None
Il faudrait déjà cesser le mot "incivilités" à propos de petits délits ou contraventions : les tags sur les bâtiments publics ou privés, la resquille dans les transports en commun, les vélos qui circulent sur les trottoirs, le dépôt de déchets dans l'espace public, sans parler évidemment des actes de vandalisme commis ou non dans le cadre de manifestations.
Une répression sévère, selon le principe de la tolérance zéro : des amendes fortes, des travaux d'intérêt général, des peines de prison courtes mais effectives.
Que chaque citoyen balaie devant sa porte ! Et que l'on cesse de pleurnicher quand ces "incivilités" sont réprimées.
Je n'ai pas été récemment témoin de discriminations.
Je pense que la société est trop tolérante à l'égard des diverses formes de délinquance et pas assez tolérante à l'égard de l'opinion d'autrui. Quant à la solidarité, comptons plus sur les initiatives individuelles ou associatives et moins sur les politiques publiques !
Oui
En ce qui concerne le RSA, l'obligation de chercher effectivement un travail (avec à la clé un contrôle effectif de cette recherche). Le bénéfice de cette allocation devrait d'ailleurs être limité dans le temps. En ce qui concerne l'APA, la récupération des sommes versées sur la succession.
Une grande majorité de Français ne supporte plus que leur pays ressemble de moins en moins à la France qu'ils ont connue dans leur enfance. De même, ils supportent de moins en moins que les élites politiques, judiciaires, économiques et une minorité charitable leur dictent la manière de "bien penser" au sujet de l'immigration. Le problème de la non-acceptation de l'immigration est accru par le fait que de nombreux descendants d'immigrés ne sont pas correctement intégrés à la nation française (bien qu'ils ne soient pas eux-mêmes des immigrés, mais souvent des nationaux français).
1. Les obligations d'asile ont bon dos : la France peut accueillir des individus persécutés pour leurs opinions ou leurs engagements mais pas des peuples entiers victimes des guerres civiles et des terrorismes qui ravagent l'Afrique et une partie du Moyen-Orient. Qui plus est, l'immigration économique d'opportunité ne dit pas toujours son nom et prend souvent le prétexte du droit d'asile. 2. Pour l'immigration économique, fixer un quota annuel assorti de critères.
1. Tout séjour durable d'un non-ressortissant de l'UE devrait être conditionné non seulement à l'intégration économique mais aussi à une démarche d'intégration sociale : apprentissage de la langue, apprentissage des bases de la loi française (instruction civique), engagement à respecter toutes les lois françaises, y compris celles relatives à la laïcité, à la liberté religieuse, etc. 2. L'entrée irrégulière doit entraîner dans tous les cas la rétention administrative puis l'expulsion. La violation des lois par un immigré régulier doit aussi entraîner un réexamen de sa situation. 3. La violation des lois sur l'immigration par les Français doit être également réprimée.
Instruction civique à tous les stades de la vie !...
Par pitié, que nos responsables politiques arrêtent de proclamer que le droit de manifester sur la voie publique est un droit fondamental de la personne humaine !
La décentralisation initiée dans les années 80 était dans son principe une bonne chose mais la manière dont elle a été conduite a abouti à un désastreux millefeuille de collectivités dont les compétences se superposent. Cette organisation est illisible pour le citoyen et coûteuse pour le contribuable. Une rationalisation suppose des choix. Il faut notamment trancher sur l'avenir des départements (les faire absorber par les régions ?) et choisir entre les intercommunalités et les fusions de communes. Ces réformes nécessaires, quels que soient leurs contenus, seront combattues par une majorité d'élus locaux et seront d'abord impopulaires. Il faut néanmoins résister à la tentation de faire des fausses réformes qui ne feraient que renforcer l'imbroglio en ajoutant une strate au millefeuille. Il faudrait au moins une mesure forte pour marquer les esprits ; la moins difficile à accomplir serait la suppression des conseils départementaux et le transfert aux régions de la plupart de leurs compétences.
Non
Quelques ajustements sont sûrement envisageables (par exemple l'hébergement d'urgence des SDF, qui bizarrement est encore une mission de l'Etat). Mais dans l'ensemble, le transfert de nouveaux gros paquets de compétences ne doit pas être mis à l'ordre du jour aussi longtemps que l'organisation des collectivités territoriales n'aura pas été rationalisée. Je mets de côté la question de la réglementation de la vitesse sur les routes, question sur laquelle l'Etat aurait bien fait de se montrer modeste...
Oui
Je n'ai pas de problème d'accès aux services publics. J'ai quelques doutes sur les contestations relatives à la "disparition des services publics en milieu rural". Que veulent les gens qui parlent de cela ? Le maintien d'une recette des finances publiques ou d'un bureau de poste, mais pour quoi faire ? Par contre la désertification médicale de vastes zones (absence de médecins généralistes notamment) est un vrai problème, qu'on ne résoudra sûrement pas par la coercition, mais plutôt par une meilleure reconnaissance des médecins libéraux.
Je pense que l'e-administration se développe plutôt bien, même si on pourrait sans doute faire mieux. Il faut surtout se préoccuper de la situation des gens (personnes âgées ou handicapées) qui ne savent pas ou ne peuvent pas utiliser internet.
Non
None
Sachons résister à la tentation des gadgets... En tout cas ce n'est pas à l'Etat de créer ce genre de services.
None
None
Oui
Non
None
None
Oui
Concernant l'autonomie des fonctionnaires de terrain, j'ai coché la case "oui" mais je pense "oui et non". Une catégorie de fonctionnaires de terrain particulièrement nuisible est selon moi celle des architectes des bâtiments de France (les UDAP), qui profitent souvent de leur autonomie pour donner des avis absurdes, alors que par ailleurs il se fait souvent n'importe quoi en matière de construction neuve. Par contre, dans le cas des politiques sociales, il faudrait alléger sensiblement les normes (lois, décrets, arrêtés, circulaires, ...) et juger les gens sur les résultats. Le code de l'action sociale et des familles est devenu au fil du temps une accumulation de règles complexes, rarement comprises par ceux qui sont chargés de les appliquer, que ces derniers soient des fonctionnaires étatiques ou territoriaux. Mais si l'on veut alléger les normes, il faut commencer par tailler dans les effectifs des administrations centrales, car la compétence principale de leurs fonctionnaires est précisément la production de normes . On pourrait du jour au lendemain réduire d'un bon tiers les effectifs de la DGCS, la France s'en porterait beaucoup mieux.
Oui
Je pense notamment à la nécessité de réformer les statuts des fonctions publiques. Il faut rompre avec la tentation de multiplier les statuts différents (des fonctionnaires + des CDI + des CDD longs + des CDD courts + des CDD de droit privé). Plutôt que de faire de fausses réformes, il faudrait s'attaquer à la simplification des règles statutaires qui sont aujourd'hui trop protectrices. Je pense que la réforme la plus importante serait la création d'un régime d'assurance-chômage obligatoire auquel cotiseraient tous les agents publics, car en l'absence de ce régime les collectivités publiques ne peuvent ni diminuer ponctuellement leurs effectifs, ni se séparer d'agents peu performants. Je pense aussi qu'il faudrait enfin se décider à supprimer la gestion paritaire des carrières des fonctionnaires (les CAP), le rôle des syndicats devant être de défendre les intérêts collectifs des salariés et non de cogérer les ressources humaines.
Je ne suis pas sûr qu'il y ait une réponse à cette vaste question. Ne faut-il pas plutôt se demander si les politiques suivies depuis 40 ans n'ont pas contribué aux difficultés de ces territoires (désindustrialisation, exode des agriculteurs, déliquescence de certaines zones urbaines sensibles) ?
None
None
None
None
None
None
None
None
None
Les obligations des entreprises concernant le calcul et la déclaration des salaires sont complexes. Heureusement, étant à la tête d'une TPE, j'ai pu utiliser le TESE, qui est une heureuse initiative. Mais les restrictions imposées aux entreprises qui souhaitent faire appel à des contrats courts sont absurdes, et il faut éviter que ces obligations soient encore alourdies.
None
None
None
La surpopulation mondiale
Amener les pays à natalité galopante à pratiquer un strict contrôle des naissances (taux de fécondité tendant vers 2 dans tous les pays).
Oui
Un peu, à travers la fonte des glaciers
Oui
J'essaie d'éviter de gaspiller...
None
None
None
None
None
None
None
None
None
J'aimerais qu'on cesse de poser le problème écologique à l'échelle de la France ou même de l'Europe. Certes il faut montrer le bon exemple. Mais le problème de la terre est avant tout celui de l'explosion démographique, dont les conséquences ne se résument pas à la production croissante de gaz à effets de serre, mais englobent toutes sortes de problèmes dont le premier est un risque de pénurie alimentaire. 1 milliard d'hommes il y a 200 ans, 9 milliards aujourd'hui... La France doit, en matière démographique, adapter son système d'allocations familiales de façon à ne pas encourager les familles nombreuses. Mais chacun sait que les pays développés ne sont pas dans ce domaine les mauvais élèves de la terre (notre taux de fécondité est déjà à 2). C'est vers les pays à démographie galopante (pays d'Afrique notamment) que doit porter prioritairement l'effort mondial.
Votre message a bien été envoyé.