Date de publication : 2019-01-30
Code postal : 88240

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

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2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

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3. Si oui, lesquelles ?

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4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

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5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

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6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

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7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

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8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

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9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

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10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

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11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

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12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

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13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

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14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

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15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

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16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

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17. Si oui, comment ?

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18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

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19. Si oui, comment ?

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20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

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21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faut revenir sur l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau secondaire. Cette mesure a été imposée sans concertation, après une expérimentation biaisée aux résultats peu probants, contre l’avis des Français. Cela pénalise injustement les conducteurs : temps de trajet rallongés, dépassements dangereux, camions collés aux voitures… Sans parler des radars qui flashent à tout va ! Le Gouvernement doit veiller à l’entretien des routes, au lieu d’y baisser la limitation de vitesse ! Le Gouvernement doit mettre la politique de sécurité routière au service des conducteurs, au lieu d’en faire une politique fiscale et un véritable racket par les radars ! Le Gouvernement doit traiter les conducteurs en citoyens responsables, acteurs indispensables de la sécurité routière : laissez-nous adapter notre vitesse aux conditions de circulation, au lieu de détourner notre attention de la route, en nous obligeant à rouler à une vitesse inutilement réduite, les yeux rivés sur le compteur ! Voilà, il ne vous reste plus qu’à valider votre contribution en cliquant sur "Soumettre" ! Et après, pensez à transférer cet email autour de vous. C'est très important ! Il faut que chacun d’entre nous insiste auprès de quatre ou cinq amis conducteurs et s’assure qu’ils envoient bien, eux aussi, leur contribution au Grand débat national. Nous comptons sur vous. C’est essentiel pour la réussite de cette mobilisation. Le 80 km/h, les Français n’en ont jamais voulu. Ensemble, avec tous les membres et sympathisants de la Ligue de Défense des Conducteurs, nous nous sommes battus pendant des mois contre cette mesure arbitraire : nous avons recueilli plus de deux millions de signatures contre l’abaissement des limitations de vitesse, mobilisé parlementaires et élus locaux, participé aux manifestations et combattu sans relâche la désinformation du Gouvernement. Il faut le rappeler : l’intérêt du 80 km/h pour améliorer la sécurité sur les routes n’a jamais été démontré. Pour justifier sa mesure, le Gouvernement s’est abrité derrière une expérimentation bidonnée, avec des résultats peu probants, biaisés par des travaux réalisés sur les tronçons concernés. Aujourd’hui, 86 % des Français souhaitent que le Gouvernement revienne sur sa décision. Sur la route, les conducteurs en font les frais tous les jours : temps de trajet rallongés, dépassements dangereux, camions collés aux voitures… Sans parler des radars qui flashent à tout va, quand ils n’ont pas été pris pour cible par des Gilets jaunes excédés ! Pour apaiser la colère des Français, le Gouvernement prétend leur donner la parole. Mais sur le site officiel du Grand débat national, parmi les dizaines de questions posées, il n’y a pas un mot sur le 80 km/h ! Avec la hausse du prix des carburants, c’est pourtant ce qui a mis le feu aux poudres… C’est donc à nous, conducteurs, d’imposer le 80 km/h dans le Grand débat national… pour en finir une fois pour toutes… et, à la place, exiger une politique de sécurité routière digne de ce nom ! Aujourd’hui, le Président de la République et son Gouvernement semblent prêts à lâcher du lest : ils parlent vaguement de réaménager la mesure au niveau local. Mais il n’est pas question de se contenter de quelques assouplissements ici ou là : c’est le retrait pur et simple du 80 km/h que nous exigeons ! Il faut absolument nous faire entendre maintenant car nous n’aurons sans doute pas d’autre occasion de remettre en cause le 80 km/h. C’est pourquoi votre mobilisation aujourd’hui contre le 80 km/h est indispensable, comme celle de tous les conducteurs : avec toutes nos contributions, nous allons submerger les organisateurs du Grand débat national. Ensemble, nous allons imposer la voix des conducteurs dans le Grand débat national pour exiger le retrait du 80 km/h, la fin du tout-répressif et le retour aux fondamentaux de la sécurité routière : que les pouvoirs publics entretiennent les routes… et qu’ils laissent les conducteurs libres de se concentrer sur leur environnement, en adaptant leur vitesse en conséquence !