Date de publication : 2019-01-23
Code postal : 44240

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Une vraie transparence des dépenses y compris les dépenses des élus

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Faire des investissements judicieux

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Les impôts sur les pme tpe

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

La prime de Noël pour les chômeurs , la prime de rentrée des classes. Limiter à 10000€ les retraites et supprimer le cumul au delà et 12000€ pour un couple.certains de nos élus sont des cumulards et touchent +de 20000€ de retraite.sans compter certains avantages réservés au anciens premier ministres notamment

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

La santé

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Je suis prêt à payer d avantage à condition de savoir où va l argent et que l ont supprime d abord tous les avantages exorbitants de nos hommes politiques et de certains fonctionnaires

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faut que les impôts soient juste pour être acceptés, les multinationales payent très peu d impôts par rapport aux TPE PME.les riches c ‘est exactement la même chose par rapport aux classes moyennes Indexer les retraites sur l inflation.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Le maire car il est proche de nous

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

A condition qu il ou elle soit représentative. Ce qui n est pas le cas des syndicats

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Arrêter de penser uniquement à sa carrière et à sa réélection

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Il faudrait aller beaucoup plus loin et ne faire que 2 mandats

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Oui 25%de proportionnelle serait parfait

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Conseil départemental et conseil generale

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

En faisant que nos élus tiennent leurs promesses

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

De la façon la plus réelle

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Que les élus ne reviennent pas sur les référendums et sur les consultations (Sarkozy pour un référendum sur l Europe et Macron sur le vote pour ND des Landes)

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

En faisant une pétition avec 1 million de signatures

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Faire des consultations

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Aucun puisse que le sénat ne peut rien imposer à l Assemblée nationale et que le ce et social n a qu un rôle consultatif et donc ne sert à rien si ce n est à placer les copains des dirigeants du pays

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Les supprimer

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Ne plus financer les cultes

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

En responsabilisant les citoyens

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

En faisant participer les citoyens qui le souhaitent

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Le respect de chacun et les valeurs de notre république

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Peut être en responsabilisant dès le plus jeune âge

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Prendre si il faut des mesures coercitives

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Le manque d éducation et de respect

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Le répression intelligente, par du travail pour la communauté

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Éviter de faire au autres ce que l ont ne veux pas qu ils nous fassent

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Contre les femmes

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Etre plus sévère et qu il y ai une vrai égalité

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Le travail collectif

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Il faut que les étrangers qui sont sur notre territoire est la volonté d une vraie intégration

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

En fonction de nos besoins

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Aider les pays pauvres pour qu ils puissent nourrir la population

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Le respect de nos us et coutumes et nous des leurs

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Que nos hommes politiques soit intégrés et qu ils travaillent vraiment pour nous et non pour leurs carrières

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

D une façon plus autonome

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Le 80 km/h, les Français n’en ont jamais voulu. Ensemble, avec tous les membres et sympathisants de la Ligue de Défense des Conducteurs, nous nous sommes battus pendant des mois contre cette mesure arbitraire : nous avons recueilli plus de deux millions de signatures contre l’abaissement des limitations de vitesse, mobilisé parlementaires et élus locaux, participé aux manifestations et combattu sans relâche la désinformation du Gouvernement. Il faut le rappeler : l’intérêt du 80 km/h pour améliorer la sécurité sur les routes n’a jamais été démontré. Pour justifier sa mesure, le Gouvernement s’est abrité derrière une expérimentation bidonnée, avec des résultats peu probants, biaisés par des travaux réalisés sur les tronçons concernés. Aujourd’hui, 86 % des Français souhaitent que le Gouvernement revienne sur sa décision. Sur la route, les conducteurs en font les frais tous les jours : temps de trajet rallongés, dépassements dangereux, camions collés aux voitures… Sans parler des radars qui flashent à tout va, quand ils n’ont pas été pris pour cible par des Gilets jaunes excédés ! Pour apaiser la colère des Français, le Gouvernement prétend leur donner la parole. Mais sur le site officiel du Grand débat national, parmi les dizaines de questions posées, il n’y a pas un mot sur le 80 km/h ! Avec la hausse du prix des carburants, c’est pourtant ce qui a mis le feu aux poudres… C’est donc à nous, conducteurs, d’imposer le 80 km/h dans le Grand débat national… pour en finir une fois pour toutes… et, à la place, exiger une politique de sécurité routière digne de ce nom ! Il faut que le Gouvernement assume enfin ses responsabilités : Qu’il veille à l’entretien des routes, au lieu d’y baisser la limitation de vitesse ! Qu’il mène une politique de sécurité routière au service des conducteurs. Qu’il traite les conducteurs en citoyens responsables, acteurs indispensables de la sécurité routière ! Qu’il les laisse libres d’adapter leur vitesse aux conditions de circulation, au lieu de détourner leur attention de la route, en les obligeant à garder les yeux rivés sur le compteur ! Il faut absolument nous faire entendre maintenant car nous n’aurons sans doute pas d’autre occasion de remettre en cause le 80 km/h. Aujourd’hui, le Président de la République et son Gouvernement semblent prêts à lâcher du lest : ils parlent vaguement de réaménager la mesure au niveau local. Mais il n’est pas question de se contenter de quelques assouplissements ici ou là : c’est le retrait pur et simple du 80 km/h que nous exigeons ! Cette mesure a été imposée dans toute la France à titre soi-disant expérimental. Mais si nous ne profitons pas de cette opportunité pour en finir une fois pour toutes, le 80 km/h deviendra certainement définitif car le Gouvernement sortira encore un argument bidon pour parvenir à ses fins. Et ensuite, les ayatollahs anti-vitesse en obtiendront encore plus. Ils sont en embuscade, et cherchent Stop au 80 km/h sur nos Routes Il faut revenir sur l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau secondaire. Cette mesure a été imposée sans concertation, après une expérimentation biaisée aux résultats peu probants, contre l’avis des Français. Cela pénalise injustement les conducteurs : temps de trajet rallongés, dépassements dangereux, camions collés aux voitures… Sans parler des radars qui flashent à tout va ! Le Gouvernement doit veiller à l’entretien des routes, au lieu d’y baisser la limitation de vitesse ! Le Gouvernement doit mettre la politique de sécurité routière au service des conducteurs, au lieu d’en faire une politique fiscale et un véritable racket par les radars ! Le Gouvernement doit traiter les conducteurs en citoyens responsables, acteurs indispensables de la sécurité routière : laissez-nous adapter notre vitesse aux conditions de circulation, au lieu de détourner notre attention de la route, en nous obligeant à rouler à une vitesse inutilement réduite, les yeux rivés sur le compteur !

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

None

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

None

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

None

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Stop au 80 km/ h Cher ami conducteur, Avec le Grand débat national, nous avons l’occasion ou jamais d’exiger le retrait du 80 km/h, une mesure imposée sans concertation par un Gouvernement qui s’est obstiné de façon insensée ! Le 80 km/h, les Français n’en ont jamais voulu. Ensemble, avec tous les membres et sympathisants de la Ligue de Défense des Conducteurs, nous nous sommes battus pendant des mois contre cette mesure arbitraire : nous avons recueilli plus de deux millions de signatures contre l’abaissement des limitations de vitesse, mobilisé parlementaires et élus locaux, participé aux manifestations et combattu sans relâche la désinformation du Gouvernement. Il faut le rappeler : l’intérêt du 80 km/h pour améliorer la sécurité sur les routes n’a jamais été démontré. Pour justifier sa mesure, le Gouvernement s’est abrité derrière une expérimentation bidonnée, avec des résultats peu probants, biaisés par des travaux réalisés sur les tronçons concernés. Aujourd’hui, 86 % des Français souhaitent que le Gouvernement revienne sur sa décision. Sur la route, les conducteurs en font les frais tous les jours : temps de trajet rallongés, dépassements dangereux, camions collés aux voitures… Sans parler des radars qui flashent à tout va, quand ils n’ont pas été pris pour cible par des Gilets jaunes excédés ! Pour apaiser la colère des Français, le Gouvernement prétend leur donner la parole. Mais sur le site officiel du Grand débat national, parmi les dizaines de questions posées, il n’y a pas un mot sur le 80 km/h ! Avec la hausse du prix des carburants, c’est pourtant ce qui a mis le feu aux poudres… C’est donc à nous, conducteurs, d’imposer le 80 km/h dans le Grand débat national… pour en finir une fois pour toutes… et, à la place, exiger une politique de sécurité routière digne de ce nom ! Il faut que le Gouvernement assume enfin ses responsabilités : Qu’il veille à l’entretien des routes, au lieu d’y baisser la limitation de vitesse ! Qu’il mène une politique de sécurité routière au service des conducteurs, au lieu d’en faire une politique fiscale et un véritable racket par les radars ! Qu’il traite les conducteurs en citoyens responsables, acteurs indispensables de la sécurité routière ! Qu’il les laisse libres d’adapter leur vitesse aux conditions de circulation, au lieu de détourner leur attention de la route, en les obligeant à garder les yeux rivés sur le compteur ! Il faut absolument nous faire entendre maintenant car nous n’aurons sans doute pas d’autre occasion de remettre en cause le 80 km/h. Aujourd’hui, le Président de la République et son Gouvernement semblent prêts à lâcher du lest : ils parlent vaguement de réaménager la mesure au niveau local. Mais il n’est pas question de se contenter de quelques assouplissements ici ou là : c’est le retrait pur et simple du 80 km/h que nous exigeons ! Cette mesure a été imposée dans toute la France à titre soi-disant expérimental. Mais si nous ne profitons pas de cette opportunité pour en finir une fois pour toutes, le 80 km/h deviendra certainement définitif car le Gouvernement sortira encore un argument bidon pour parvenir à ses fins. Et ensuite, les ayatollahs anti-vitesse en obtiendront encore plus. Ils sont en embuscade, et cherchent déjà à imposer la généralisation du 30 km/h dans les villes et le passage à 110 km/h sur les autoroutes. C’est pourquoi votre mobilisation aujourd’hui contre le 80 km/h est indispensable, comme celle de tous les conducteurs : avec toutes nos contributions, nous allons submerger les organisateurs du Grand débat national. Alors, s’il vous plaît, prenez quelques minutes pour apporter votre contribution au Grand débat national et demander le retrait du 80 km/h. Vous trouverez ci-dessous un modèle de contribution que vous pourrez déposer sur le site internet officiel du Grand débat national. Vous pouvez y ajouter votre propre commentaire si vous le souhaitez. L’essentiel, c’est que le Président et le Gouvernement sachent que nous sommes extrêmement nombreux et déterminés à nous opposer à leur politique délétère en matière de sécurité routière, concrétisée par le 80 km/h. Avant de vous expliquer comment participer au Grand débat, nous tenons à vous dire combien c’est important de solliciter les conducteurs autour de vous. Pour cela, s’il vous plaît, transférez ce message à vos contacts. Il faut que chacun d’entre nous insiste auprès de quatre ou cinq amis conducteurs et s’assure qu’ils envoient bien, eux aussi, leur contribution au Grand débat national. Nous comptons sur vous. C’est essentiel pour la réussite de cette mobilisation. Ensemble, nous allons imposer la voix des conducteurs dans le Grand débat national pour exiger le retrait du 80 km/h, la fin du tout-répressif et le retour aux fondamentaux de la sécurité routière : que les pouvoirs publics entretiennent les routes… et qu’ils laissent les conducteurs libres de se concentrer sur leur environnement, en adaptant leur vitesse en conséquence ! Comment apporter votre contribution au Grand débat national Rendez-vous sur le site internet officiel du Grand débat national : https://granddebat.fr/ Inscrivez-vous (bouton vert en haut à droite) : Il vous suffit d’entrer votre nom ou un pseudonyme, votre email, un mot de passe et votre code postal (sans oublier de cocher les cases permettant d’accepter les conditions d’utilisation et de dire que vous n’êtes pas un robot). Vous recevrez ensuite un message pour confirmer votre adresse email : il suffit de cliquer sur le lien qu’il contient pour terminer votre inscription. Vous voilà maintenant prêt à apporter votre contribution au Grand débat national ! Dans le menu tout en haut, cliquez sur "Contributions". Puis cliquez sur le lien "Accéder à l’espace dédié". Choisissez "Organisation de l’État et des services publics" et cliquez sur "Partager vos propositions". Cliquez sur "Déposer une proposition" (bouton vert). Donnez un titre à votre contribution : Stop au 80 km/h sur route Descendez tout à la fin du formulaire, à la question "Y a-t-il d’autres points sur l’organisation de l’État et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?". Il vous suffit de copier-coller la réponse suivante : Il faut revenir sur l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau secondaire. Cette mesure a été imposée sans concertation, après une expérimentation biaisée aux résultats peu probants, contre l’avis des Français. Cela pénalise injustement les conducteurs : temps de trajet rallongés, dépassements dangereux, camions collés aux voitures… Sans parler des radars qui flashent à tout va ! Le Gouvernement doit veiller à l’entretien des routes, au lieu d’y baisser la limitation de vitesse ! Le Gouvernement doit mettre la politique de sécurité routière au service des conducteurs, au lieu d’en faire une politique fiscale et un véritable racket par les radars ! Le Gouvernement doit traiter les conducteurs en citoyens responsables, acteurs indispensables de la sécurité routière : laissez-nous adapter notre vitesse aux conditions de circulation, au lieu de détourner notre attention de la route, en nous obligeant à rouler à une vitesse inutilement réduite, les yeux rivés sur le compteur !