Déjà, il faudrait les informer, tout simplement : cette information est assez confidentielle, laissant le champ libre aux commentateurs, qui disent ce qui les arrange en fonction de ce qu'ils ont bien voulu lire et de la ligne qu'ils défendent. Il devrait y avoir une information officielle honnête, transparente, diffusée régulièrement sur de grands canaux d'information; pas des informations complexes et détaillées, surtout les grandes masses, pour comprendre l'affectation des ressources publiques par secteur d'activité ou d'intervention. Ensuite, pour améliorer cette information, il est urgent de supprimer le nouvel impôt à la source, qui procède uniquement d'une logique comptable et constitue une atteinte inacceptable à la conscience démocratique de l'impôt puisqu'il devient quasi invisible : comment peut-on avoir eu une telle idée en France, alors qu'un prélèvement mensuel rendu obligatoire aurait abouti au même résultat sans faire des entreprises des agents du fisc bénévoles.
Rétablir une multiplicité des tranches d'imposition pour que la progressivité fiscale ait toujours un sens. Aggraver les sanctions contre les évadés fiscaux et les GAFA qui ne paient pas leur dû, sans se préoccuper de la législation européenne : puisque chacun fait ce qu'il veut en matière fiscale (ex.: Irlande, Luxembourg...), la France doit pouvoir décider librement de son organisation dans ce domaine. Si certains menacent de quitter la France ou de la mettre à l'index, rappelons que nous y avons suffisamment de talents nationaux ou étrangers désireux de s'y établir et que si certains veulent aller voir ailleurs, bon débarras puisque cela prouvera surtout qu'ils n'apprécient pas notre pays à sa vraie valeur.
Le thème de la baisse des impôts est une question inutile et insidieuse qui n'a de sens que pour les égoïstes compulsifs, les comptables qui nous gouvernent (ce n'est pas ce qu'on demande en priorité à un politique, il existe de vrais comptables pour cela) et pour des gens sans grandes ressources qui n'arrivent pas à équilibrer leur budget. Or, en principe, ces derniers ne paient pas d'impôt à part la TVA. Il faudrait donc surtout adapter cette dernière pour les plus précaires. Car au nom de la fausse bonne idée selon laquelle il ne faut pas "stigmatiser" une partie de la population, on oblige les faibles revenus à payer leurs denrées de première nécessité aussi cher que n'importe qui, et à se rendre dans les organisations caritatives, ce qui est quand même assez discriminant. Ce n'est sûrement pas facile mais ne pourrait-on imaginer un système aux modalités à définir permettant à certaines personnes de payer une TVA réduite, que ce soit au moment de l'acte d'achat ou par un système de remboursement ?
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Rendre l’assurance maladie aux salariés et aux employeurs, donc aux acteurs du financement, alors qu'en fait, il y a longtemps qu'elle a été confisquée par le corps médical et l’industrie pharmaceutique soutenus par tous les gouvernements. On assiste dans le domaine de la santé à une débauche considérable de moyens se traduisant par une énorme déperdition de ressources disponibles, compte tenu de l'efficience assez faible constatée du système de soins. Exemples : revenus excessifs des médecins, médicaments essentiellement dérivés de produits issus de la chimie et prescrits à tort et à travers, stratégies pharmaceutiques ruineuses pour les deniers publics, examens inutilement prescrits ou au contraire abusivement refusés, dépenses colossales pour certaines vaccinations controversées, conflits d’intérêts, déserts médicaux dus à cette survivance corporatiste inacceptable qu'est la liberté d'établissement des médecins...
La recherche publique (çar la recherche privée ne poursuit pas nécessairement des buts d'intérêt général) axée sur l'écologie (ex.: trouver de nouveaux moteurs propres) et sur le médical (ex.: alternatives aux antibiotiques) avec obligation de résultat !
Créer des instances de contrôle renforcé sur les dépenses de l'Etat ou sur les investissements et certaines dépenses des collectivités territoriales (ex. : stade financé en PPP, salle polyvalente surdimensionnée, DSP déséquilibrée...) ; une péréquation plus importante des ressources fiscales au plan national ; la mise en place d'une forme de planification pour plus d'égalité dans l’ensemble du pays et d'efficience dans l'affectation des ressources. Mais aussi le rétablissement de la taxe d'habitation car, s'il est urgent de contrôler ce que font les collectivités territoriales de l'argent public, il n’est pas illogique de leur laisser une relative autonomie financière liée à l’existence d’un impôt local, qui a aussi une vertu de pédagogie citoyenne auprès des administrés.
La réponse attendue est évidemment "le président de la République" car, roi ou président, c'est naturellement la tête qui nous représente. En réalité, une bonne représentation n'est pas liée à une seule personne mais découle d'une organisation adaptée qui aboutit à ce que l'on se sente bien représenté : en ce sens, tous les rouages sont concernés.
Oui
Il faut permettre à des organisations professionnelles, syndicales et associations de jouer un rôle officiel de proposition auprès des pouvoirs publics. Dans tous les domaines, un projet ou une proposition de loi ne pourrait pas être discuté sans validation préalable d'une commission citoyenne composée notamment de représentants de ces structures car eux, contrairement aux parlementaires, ne sont pas hors sol.
Réformer les institutions en profondeur. Il faudrait par exemple diminuer d’environ de moitié les effectifs de parlementaires du Sénat et de l'Assemblée nationale mais sans supprimer le Sénat; au niveau des assemblées locales, instituer sous une forme à déterminer un "regard citoyen critique" car l'entre-soi ne produit jamais rien de bon ni de démocratique surtout.
Une bonne chose
Parce que le rôle premier d'un député doit être la représentation nationale et pas les "petits arrangements entre amis" : il y a suffisamment d'élus locaux par ailleurs pour faire un travail de proximité et rien n’empêche un député d’essayer de devenir conseiller municipal s’il s’intéresse encore à sa ville. L'unité du pays acquise depuis longtemps et les moyens de communication actuels nous dispensent d'avoir autant de députés et de sénateurs pour faire la navette physique entre Paris et la province.
Il faut naturellement recourir davantage à la proportionnelle mais aussi, en parallèle, remplacer l'influence des partis politiques (qui ne représentent qu'une faible partie de l'intelligence et de la capacité d'action de la société) par un autre système moins "partisan" et plus représentatif des sensibilités sociétales.
Oui
Tous sauf municipaux : régionaux, départementaux, communautaires.
Non pas en les sanctionnant mais en trouvant les bonnes solutions pour les motiver à y aller, ce qui signifie : montrer que la politique, ce n'est pas parler pour ne rien dire ou tout changer pour ne rien changer; que ce n'est pas une assemblée de comptables mais surtout de personnes à la fois pragmatiques et dotées de beaucoup d'imagination, non pas pour changer ce qui marche bien, mais pour progresser vers un monde plus juste et plus agréable à vivre.
Oui
En en faisant une plus grande publicité et en en tirant les conséquences lorsqu'il est massif.
Une des solutions consisterait dans un tirage au sort (comme pour les jurés d'assises) de personnes qui auraient un siège dans les assemblées représentatives : de la même façon qu'il existe des enquêtes publiques pour s'assurer qu'une décision ne passera pas à côté des vrais besoins, il est normal qu'un "regard extérieur" soit présent dans toute assemblée institutionnelle pour briser le consensus ambiant. Ces témoins produiraient régulièrement des observations critiques portées à la connaissance du public.
Non
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Le référendum n'est pas une bonne solution car si toute question mérite d'être posée, les résultats qui en découlent sont rarement pertinents et trop peu de sujets y sont abordés. Autant se contenter des pétitions sur internet... Je préfère par exemple l'organisation d'un grand débat national comme celui-ci, même si je ne me fais pas trop d'illusions sur la suite. La question du contrôle de l'utilisation de l'argent public est délicate et il n'existe pas de solution facile. On pourrait par exemple soumettre en amont tout projet onéreux à une commission indépendante (nationale ou régionale selon le cas) pour qu'elle émette un avis d'opportunité sur la base de certains critères à définir; la Cour des comptes pourrait ne plus être seulement un haut-parleur de voeux pieux a posteriori mais serait consultée en amont là aussi pour donner un avis d'opportunité.
Il faudrait déjà que les citoyens soient concrètement informés du rôle et de l'utilité du C.E.S.E. S'agissant du Parlement, les députés et les sénateurs doivent arrêter la course aux lois et aux amendements qui aboutit un jour ou l'autre à l'idée absurde de "suppression d'une norme pour chaque nouvelle norme créée". Pour rendre les élus nationaux plus proches des citoyens, ou tout au moins plus transparents dans leurs choix, je propose la mesure suivante : régulièrement, une information légale paraîtrait dans les journaux pour indiquer le positionnement de chaque député et sénateur du département sur chaque texte soumis au vote des assemblées. En effet, rien n'empêche aujourd'hui des élus de tenir officiellement des positions contraires à leurs votes réels. Cela amoindrirait la fameuse « discipline de parti » qui ne mène nulle part.
Oui
Diviser par deux le nombre de parlementaires
La meilleure façon de renforcer la laïcité, c'est de lui ficher la paix ! On applique la loi de 1905 et on ne discute plus ce sujet qui n'a pas lieu de ressurgir : la mondialisation existe mais la France reste mon pays avec ses règles et ses traditions, point final.
Par des rappels, de la pédagogie et des sanctions s'il le faut. Mais le meilleur moyen reste la fierté affichée de nos principes et l'inflexibilité à l'égard de toute dérive.
Leur rendre la confiance qui se perd peu à peu, en même temps que s'éloignent les centres de décision et se calfeutrent un peu plus les décideurs : par exemple, revenir aux régions d'avant la fusion, limiter les pouvoirs des instances intercommunales, interdire aux exécutifs locaux toute publication sous forme de propagande des actions conduites pour s'en tenir strictement à la réalité des faits.
Cette question me paraît hors sujet "Grand débat national".
Cette question me paraît hors sujet "Grand débat national".
Montrer l'exemple, redonner la confiance en valorisant l'idée de nation. Et cela passe par plus de services publics, plus de fonctionnaires, c'est à dire le contraire de ce qui se fait depuis trente ans.
Toutes les incivilités sont pénibles. Face à cela, la société est dotée de structures éducatives, de police et d'une justice : appliquons les règles et les lois tout simplement. Et puisqu'il manque des places de prison (il en faudrait 400000 en France si l'on était aux standards américains), construisons-en (250000 serait déjà bien) et recrutons de nouveaux gardiens fonctionnaires.
Leur travail.
Cette question me paraît hors sujet "Grand débat national".
Les inégalités et la pauvreté, fruit de discours politiques à l’unisson qui, au-delà des apparences, servent traditionnellement à conforter un système discriminant au service des riches, qui ne parlent pas beaucoup mais tiennent bien le cap.
La tolérance relève de chacun. Pour ce qui est d’une société plus solidaire et moins discriminante, il faudrait que nos dirigeants n’aient plus peur que telle ou telle mesure politique fasse fuir les riches : si des riches partent, d’autres viendront et des initiatives multiples les remplaceront. Au final, ce n’est pas la masse globale de richesse qui compte mais l’emploi et le bonheur des gens au singulier.
Oui
Exemple : agir, dans certaines conditions, sur le niveau des allocations en cas de commission de certaines infractions par les parents ou les enfants.
Mettre en place des quotas annuels compatibles avec les capacités d'accueil estimées et diminuer le cas échéant les afflux de population en provenance de pays surreprésentés.
Oui.
Dans un premier temps, mettre hors d'état de nuire tous ces aventuriers français du buziness qui partent faire leurs petites affaires en Afrique en exploitant la misère et en faisant fructifier la corruption locale. Ensuite, développer une vaste politique française d'aide désintéressée à l'Afrique pour faire en sorte que les africains vivent bien chez eux et n'aillent plus perdre leur vie en Europe.
Par définition, un immigré doit se prendre en charge tout seul pour s'intégrer s'il a fait le choix de l'expatriation. Pour le logement, qui est essentiel, il existe des aides. Quant à l'emploi, cela est plus difficile et dépend de la conjoncture économique. Au niveau culturel, il serait normal qu'un immigré fasse le choix de s'intégrer à la société qui l'accueille mais certaines religions y sont rétives et il n'y a visiblement pas grand chose à espérer à ce niveau.
Non
Si l'on souhaite viser plus d'égalité, de justice et de solidarité, il faut inévitablement conserver nos services publics peu à peu détruits par les comptables politiciens, et maintenir forcément le nombre de fonctionnaires, car la relation, c'est important, internet ne remplacera pas celle-ci. Toutefois, je propose de créer une vraie fonction publique territoriale comme celle de l'Etat, qui soit donc moins soumise au clientélisme local, et de limiter les aides financières à des organismes dont l'utilité pour l'Etat n'est pas flagrante dans la période d'urgence sociale que l'on connaît. Ex.: organismes travaillant sur les discriminations (antisémitisme, islamophobie, homophobie, sexisme...) ou sur la "violence routière". Un recentrage des priorités d'action et de financement s'impose, sans s'imaginer qu'internet résoudra tous les problèmes.
Non
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Oui
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Aucun
Non
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Le fonctionnement des urgences dans les hôpitaux est un vrai scandale dont la cause est la mainmise excessive du corps médical sur l'organisation des soins : la médecine de ville doit jouer son rôle afin de désengorger les urgences pour faire cesser ces longues attentes toujours pénibles et parfois mortelles.
Je ne vois pas d'évolution positive flagrante.
Les services publics doivent être maintenus dans des secteurs traditionnels qui n'auraient jamais dû être soumis à la concurrence comme le rail ou l'énergie.
Oui
Oui
Le "droit à l'erreur" n'a rien de nouveau : autrefois, on appelait cela ""bonne foi" et l'Administration fiscale, par exemple, en tenait compte en n'appliquant pas de pénalités.
L'Administration, dont sont issus la plupart des politiques qui veulent la réformer en la dépouillant, n'est pas qu'un ramassis de tracassiers. Il faut plutôt aller chercher ces derniers du côté de ministres ou parlementaires qui, dépourvus de la moindre imagination, ont tendance à compenser ce handicap par la proposition de mesures a minima inutiles quand elles ne sont pas décalées ou nocives. Ex.: la limitation à 80 km/h sur les routes ; "parent 1 - parent 2" sur les formulaires.
Non
None
Non
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Il doit y avoir une co-action Etat-collectivités la plus efficiente possible, quel que soit le "territoire" : si on met plus souvent en avant la recherche d'égalité couplée au souci constant d'une hiérarchisation dans l'affectation des moyens, on n'aura plus ce problème de "territoires les plus en difficulté".
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Il faut arrêter de vouloir inventer de nouvelles mesures qui ne sont absolument pas un progrès et contribuent à envahir un peu plus chaque jour le maquis des règles en laissant les vrais problèmes de côté, comme l'environnement. Il faut arrêter de penser que ce sont les milliers de fonctionnaires qui coûtent cher, mais jamais ces privilégiés qui nous gouvernent et qui refusent de tailler dans les dépenses ou les ressources excessives de ceux qui leur ressemblent. Il faut arrêter de laisser tous ces "décideurs" engager au total des milliards d'euros pour des réalisations dont l'utilité n'est pas toujours avérée mais présentent l'avantage non négligeable de flatter leur égo. Ne pourrait-on pas organiser une fois un concours d'initiatives à l'usage des "décideurs", qui les obligerait à prendre des mesures à la fois utiles et qui coûtent peu ?
La pollution de l'air ET la biodiversité : d'une part, les autres dérèglements climatiques sont surtout une conséquence de la pollution de l'air; d'autre part, nous ne sommes pas plus importants que les autres espèces.
Au lieu de passer une bonne partie de leur temps à parler de "changement" (ce qui n'a aucun sens), les dirigeants devraient avoir le souci de provoquer concrètement de nécessaires transformations. Il est inconcevable qu'à notre époque high tech, on en soit encore à utiliser des moteurs fumants et pétaradants ! L'Etat français doit donc "ordonner" par tous les moyens aux chercheurs et industriels de trouver une alternative au moteur traditionnel : le développement d'un moteur révolutionnaire, à eau, à hydrogène ou que sais-je, doit être sérieusement encouragé. Et pour commencer, une solution très simple : interdire très rapidement les cyclomoteurs 2 temps dont le mélange à base d'huile est très polluant, en "ordonnant" là encore aux industriels de trouver en urgence un kit de remplacement pour les actuels détenteurs, qui doivent quand même continuer à rouler.
Oui
Les étés dans le midi de la France (comme ailleurs) sont de plus en plus fatigants : températures élevées qui durent, nuits chaudes ne permettant pas de récupérer.
Oui
Aujourd'hui pas grand-chose car peu de mesures concrètes sont prises au niveau national et local. Mais je pourrais participer au covoiturage s'il était bien organisé, acheter un véhicule alternatif s'il existait (la voiture électrique telle que conçue n'est pas aujourd'hui une solution, aussi bien au plan environnemental qu'économique).
Je voudrais acheter un second véhicule "propre" mais aucune solution valable n'existe aujourd'hui sur le marché parce que les politiques laissent faire, préférant volontiers se consacrer à l’anecdotique, plus simple, qu’à l’essentiel. Habitant à l'extérieur de la ville, je ne peux pas renoncer à l'utilisation de mon véhicule pour me déplacer.
Le télétravail est une solution partielle à développer sans doute. Il pourrait y avoir aussi une campagne massive des pouvoirs publics pour "guider" les comportements dans tous les domaines qui impactent l'environnement.
Oui
Il y a mieux que mon chauffage mais j'estime, à tort peut-être, que le gaz, bien qu'énergie fossile, n'est pas une énergie très polluante.
Oui
Les solutions alternatives s'appuient nécessairement sur une implication forte des pouvoirs publics : les élus locaux, quelle que soit la strate administrative concernée, s'occupent de tout et consacrent beaucoup trop de moyens à des réalisations matérielles visibles mais pas nécessairement très prioritaires, au détriment du gros investissement humain et financier qu'exigerait aujourd'hui une organisation efficace des déplacements. Si je pouvais compter sur une organisation performante et dynamique des déplacements, je changerais sûrement une partie de mes habitudes individuelles.
None
L’ensemble des services publics (Etat et collectivités) doivent être les principaux acteurs de ces solutions alternatives. Par ailleurs, ce genre de réforme qui vise à transformer les comportements individuels doit être promu par l'ensemble des décideurs et des acteurs de la société réunis autour d'un même discours et d'une même action. On a connu cela pour le tabac ou la sécurité routière et, à long terme, les résultats ont été au rendez-vous.
Faire des propositions à ses partenaires mais d'abord montrer l'exemple en mettant réglementairement en avant une circonstance d’urgence, car s'il faut attendre que chacun soit d'accord avec nous, on risque de ne pas avancer très vite...
Le succès des dernières mesures incitatives pour l'acquisition d'un véhicule plus propre par des gens aux ressources limitées montre qu'en matière d'environnement, l'action concrète peut avoir des résultats rapides. Par ailleurs, nous ne devons plus considérer l'écologie comme un champ d'action parmi d'autres mais comme LA priorité, puisque c'est l'un des seuls domaines où l'on fait d'une pierre trois coups : la préservation de l'environnement global, le progrès vers plus de justice sociale et, en prime, une relance économique sans précédent, qu’on a le tort de redouter au prétexte que cela rebattrait forcément toutes les cartes !
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