None
-Lutter vigoureusement et réellement contre l'évasion fiscale et la fraude fiscale. -Rendre impossible l'optimisation fiscale. -Créer des tranches supplémentaires pour les hauts revenus. Taxer à des taux confiscatoires les très hauts revenus. -Diminuer voire supprimer la fiscalité indirecte.
None
None
Ce ne sont pas tant les conditions d'attribution des aides qu'il faut modifier mais la politique de l'Etat et des entreprises pour les rendre inutiles. Cette question est tendancieuse : les réponses possibles sont envisagées selon un présupposé d'absence d'alternatives aux valeurs socio-économiques actuelles.
None
-Pour une politique écologique volontaire (sans sanctionner les plus faibles par des taxes aveugles). -Pour une politique ferme d'éradication du chômage, du travail précaire, de la grande pauvreté; -Pour un accueil décent des migrants.
Très régulièrement, des aides diverses sont dispensées aux entreprises. Les effets ne sont pas souvent évidents et l'utilisation de ses aides n'est pas toujours faite à bon escient. Les aides aux entreprises doivent être distribuées sous conditions de résultats. Si l'utilisation des aides n'a pas porté ses fruits, elles doivent être remboursées et des sanctions financières dures doivent être appliquées lorsqu'il y a abus. Prévoir en particulier une législation pour les entreprises qui se délocalisent après avoir profité d'aides de l'Etat.
None
Oui
-Les syndicats doivent reprendre leur place d'interlocuteurs actifs pour la conduite de la politique sociale. Il faut dans ce but encourager la resyndicalisation et sanctionner les intimidations que pratiques certaines entreprises. -Il faut encourager les assemblées citoyennes et en officialiser le rôle.
-Les citoyens ne peuvent pas se retrouver dans la représentation tant que les systèmes d'élection restent ce qu'ils sont. Il faut au moins une représentation proportionnelle, les sensibilités minoritaires et très minoritaires doivent pouvoir s'exprimer. -Les campagnes électorales sont des campagnes publicitaires. Les prétendants aux élections doivent prendre l'habitude d'un parler vrai. -Les élus doivent être responsables devant leurs électeurs avec possibilité, dans certains cas, de révocation. -On aimerait que les gouvernants cessent de mettre sur le compte de manque de "pédagogie" les difficultés de gouvernance. Ceci donne à penser qu'ils détiennent les vérités sans alternatives et que les administrés sont des apprenants pas toujours disciplinés. Les sachants (les gouvernants) devraient avoir la modestie de prendre en compte les avis des apprenants.
Une bonne chose
-On ne comprend pas que plusieurs responsabilités nécessitant individuellement des quantités de travail quotidien considérables puissent être simultanément assumées efficacement par une même personne. -Le cumul des mandats freine le renouvellement du personnel politique et donc la circulation des idées et il favorise la professionnalisation de la politique.
On ne vote plus pour exprimer ses préférences mais pour choisir le moins mauvais des candidats. -Généralisation de la proportionnalité. -Le vote de valeur est une proposition solidement étayée qui pourrait être efficace. C'est une méthode complètement passée sous silence qui doit être exposée au public. -Lors des campagnes électorales, les grands partis sont outrageusement favorisés par la possibilité de financer des shows à grands spectacles largement répercutés par les médias. Il faut limiter considérablement les droits aux dépenses scandaleuses de ces campagnes.
Non
None
Tant que les citoyens ne pourront intervenir dans les orientations politiques qu'à intervalles de plusieurs années en déposant une feuille de papier sur laquelle est inscrite un nom, voire un "oui" ou un "non", aucun progrès n'est possible. Si, en plus, les candidats font leurs campagnes comme des camelots en ne faisant miroiter que des promesses alléchantes souvent non tenables, ce n'est pas la peine de se déplacer.
Oui
-Un vote ne recueillant pas plus de votes exprimés que de votes blancs et abstentions devrait être annulé. -Lors d'une élection nominative, le vote blanc est pris en compte comme s'il représentait un candidat virtuel (la part des voix attribuées à un candidat est comptée par rapport aux nombre de votants et non par rapport aux suffrages exprimés ; dans le cas d'une élection à la majorité relative, si le vote blanc est majoritaire, aucun candidat n'est élu).
-Favoriser l'organisation et les interventions d'assemblées citoyennes. -Interdire le lobbying en particulier auprès de l'Assemblée législative. -Rendre les élus responsables devant les électeurs et donner la possibilité de leur révocation. -Donner la possibilité à des collectifs de citoyens de déposer des projets de lois.
Oui
Le référendum d'initiative partagée doit être étendu au référendum d'initiative populaire, tout en offrant les garanties que cet outil soit utilisé, parcimonieusement, dans le respect de l'esprit démocratique.
-Internet et les réseaux sociaux permettent de sonder rapidement une grande partie de la population (évidemment pour consultation seulement). -Des assemblées citoyennes doivent être régulièrement consultées. -Des collectifs de citoyens doivent pouvoir déclencher des votes nationaux et régionaux.
-Le Sénat est une institution archaïque qui n' a pas abandonné son rôle de modération des décisions de l'Assemblée élue au suffrage universel. Il devrait disparaître, à la rigueur remplacé par une assemblée restreinte contrôlant la régularité des lois votées. -Le Conseil Constitutionnel n'est pas dans son rôle. Organisme non démocratique, il intervient exagérément sur les lois votées en usant d'arguties juridiques.
None
None
Il ne faut pas renforcer les principes de laïcité, il faut les appliquer.
None
None
None
Education et exemple.
None
Pour lutter contre les incivilités : éducation et exemple
- Education et exemple. - La police de proximité devrait être réintroduite avec essentiellement un rôle de protection et de prévention. - Les contrôles au faciès et les contrôles à répétition sont humiliants et contre productifs, ils devraient cesser (tant pis pour la chasse aux étrangers en situation irrégulière). - Le rôle de la prison, qui est une école supérieure de la criminalité, doit être revisité : incarcération uniquement en cas de nécessité pour la protection publique ; conditions d'incarcérations donnant l'exemple du respect (sécurité, entretien des locaux, arrêter la surpopulation, préparation à la réinsertion). En contrepartie, les décisions judiciaires doivent être appliquées effectivement.
Education et exemple
None
Education et exemple.
Non
None
La gestion administrative et policière des migrants et à la fois stérile dans ses effets et (involontairement peut-être) inhumaine. Les réponses aux demandes d'asile doivent être rapidement traitées et avec bienveillance. Les actions répressives doivent être consacrées aux exploiteurs de la misère (passeurs, employeurs voyous).
non
None
-Les migrants doivent être accueillis dans de bonnes conditions de confort et de santé. -Il faut tenir compte des problèmes posés par la cohabitation imposée par les grands rassemblements de migrants dans l'idée d'apaiser les conflits. -Il faut fournir aux migrants un forme d'enseignement des valeurs et des coutumes du pays d'accueil et de la nécessité de les respecter pour une cohabitation pacifique.
-Il faudrait diffuser et expérimenter le vote de valeur. -Se rappeler que la démocratisation politique et impossible sans démocratisation de l'économie. -En tout état de cause, la constitution actuelle, mise en place par De Gaulle dans des conditions politiques, géopolitiques, sociales et sociétales maintenant complètement transformées, est obsolète. Le pouvoir exécutif empiète outrageusement sur le pouvoir législatif. Les pouvoirs du Président sont excessifs. Les modes d'élections bloquent le brassage des idées : les conditions d'expression de la démocratie ne sont pas remplies si bien que les revendications ne se traduisent que par des manifestations ou des grèves.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
La part importante de la responsabilité humaine sur le dérèglement climatique est attestée par la grande majorité des scientifiques concernés. Il est dans ce cas criminel de continuer à donner la priorité aux intérêts économiques (qui sont surtout des intérêts financiers) sur le risque non immédiat mais qui concerne toute l'humanité. Il faut non pas seulement chercher des alternatives "écologiques" à la production d'énergie (toutes critiquables) mais surtout favoriser la diminution drastique de la consommation d'énergie. En particulier, il faut envisager un avenir des transports orienté au maximum vers les transports en commun. Il s'agit dans tous les cas d'une politique à très long terme ce qui est incompatible avec les modes de gouvernance contemporaine où le court terme est primordial pour le maintien au pouvoir.
Oui
On constate un renforcement des extrêmes : j'ai beaucoup souffert des températures estivales ; la végétation est en souffrance à (maturation précoce à cause des hivers très doux puis vagues de froid au printemps et sécheresse inhabituelle en été). Mais ces soucis sont ridicules par rapport aux phénomènes catastrophiques (renforcement des violences des ouragans et de leur nombre).
Oui
Pas d'utilisation de la voiture pour les déplacements courts. Utilisation préférentielle des transports en commun. Tri consciencieux. Eviter les gaspillages (utilisation jusqu'à épuisement des appareils ménagers). Résistance aux tentations de la publicité pour éviter la surconsommation.
Une offre de marchandises à usages durables (en finir avec l'obsolescence programmée) et sans accessoires superflus (nombres incalculables de programmes sur les machines à laver, décos tape à l'oeil sur les cartables d'écolier...)
None
Oui
Pour changer un mode de chauffage il faut que le besoin soit suffisant pour envisager une dépense très significative. Personnellement, mon installation est assez raisonnablement écologique pour ne pas envisager mieux. Il faudrait baisser considérablement, par exemple, la dépense pour s'équiper en panneaux solaires pour ne pas attendre plusieurs années pour amortir les frais engagés.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
Les transports en commun
Les services de transport de ma communauté de communes
L'Europe a su mettre en commun de nombreux choix de fonctionnement économique (c'est, semble-t-il, le fondement de cette communauté). Il faut utiliser les mêmes méthodes pour imposer les choix en matière d'environnement.
Les citoyens les plus défavorisés ont, par nécessité, probablement plus de difficultés à contribuer à la protection de l'environnement (produits bio plus chers, voitures plus anciennes, installations de chauffages non performantes...). Les politiques environnementales doivent être menées avec suffisamment de tact pour ne pas infliger une double peine.
Votre message a bien été envoyé.