Tous les professionnels qui vendent des fournitures ou des services aux citoyens contribuables devraient être au fait des informations relatives aux incitations fiscales du Gouvernement et donc relatives aux dispositifs d'accompagnement des citoyens contribuables.
La fiscalité n'est ni l'alpha ni l'oméga des politiques sociales. La classe politique a perdu de vue qu'une République moderne a pour sens, pour ambition et pour raison d'être d'assurer à chaque citoyen et à chaque citoyenne : un toit, un travail et sa sécurité. Chaque citoyen doit quant à lui avoir au cœur et à l'esprit la volonté de contribuer aux charges communes en proportion de ses capacités. Tout citoyen qui viole délibérément la Loi se déclare en état de guerre avec la Société. Il en est de même de tout fraudeur devant l'Impôt. Les robots et les ordinateurs contribuent pour partie à la casse de l'emploi et il serait légitime et judicieux qu'une taxe sur tout matériel produisant de la richesse soit instaurée. Une telle taxe financerait au moins en partie les dépenses sociales.
Quelles dépenses peuvent être évitées ? Car le mécanisme normal consiste à définir d'abord les politiques qu'un Gouvernement souhaite mettre en oeuvre. Dès lors, celui-ci détermine le budget dont il a besoin pour appliquer ses politiques. Enfin, le Gouvernement décide la part de l'effort qui revient à l'entreprise et celle qui revient aux ménages. Faire l'inverse : déterminer le budget soutenable socialement puis en faire pour tant... c'est la négation de la politique et de la Res publica.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Augmenter le temps de travail
Il faut lutter résolument contre la fraude aux aides sociales et renforcer les sanctions (dissuasion forte). L'aide aux personnes d'origine étrangère ne doit pas être au même niveau que l'aide aux citoyens français. L'aide humanitaire et fraternelle aux personnes d'origine étrangère doit leur permettre seulement de survivre tant qu'elles sont sur le territoire national, mais elle ne doit pas générer une incitation à l'immigration illégale. L'aide aux migrants (réfugiés politiques) doit être l'Honneur de la France des Lumières. L'aide aux migrants climatiques devrait relever de la compétence d'un Haut commissariat aux Réfugiés Climatiques (à créer au sein de l'ONU) et qui organiserait la contribution des États de départ des migrants climatiques pour le financement de leur accueil dans les États les recevant. L'accès au travail est l'aide sociale la plus pertinente. L'aide sociale (due par l'État, eu égard aux obligations d'une République moderne, aux citoyens dépourvus de toit, de travail et de sécurité) devrait d'abord aller aux personnes sans-abri, aux personnes sans emploi et aux personnes dont la sécurité n'a pas été assurée par l'État (victimes). Toutes les autres prestations sociales (personnes âgées, personnes handicapées, politique familiale, personnes dépendantes, etc.) relèvent de la Solidarité nationale qui ne constitue qu'une obligation morale dont l'intensité est moindre.
Les domaines prioritaires sont ceux qui correspondent aux obligations d'une République moderne (logement, emploi, sécurité). D'ailleurs la sécurité s'entend dans une acception large : protection contre le terrorisme, contre la violence, contre la criminalité, contre la délinquance, contre les catastrophes accidentelles ou naturelles, contre l'intolérance, contre les maladies et les pandémies, etc.
Cette question me choque car elle m'apparaît démagogique. La règle de la non-affectation des recettes aux dépenses lui retire tout fondement. Cette manière de poser la question de la réduction de la pression fiscale ne m'apparaît pas la bonne. La bonne question est celle de la soutenabilité de l'impôt (de la pression fiscale). Le montant optimal de toutes les recettes fiscales devrait pouvoir être calculé par les services du Ministère des Finances. Cette donnée permettrait de définir la hauteur du volume des dépenses à supprimer. J'ai l'intuition que la remise en cause de la technostructure dans son format actuel pourrait restituer à l'État les marges de manœuvre qu'il a perdues. Combien d'agences nationales ? Combien d'autorités administratives indépendantes ? Combien de comités Théodule ? D'où, combien de hauts fonctionnaires et de fonctionnaires qui alimentent quotidiennement le Léviathan en normes, en réglementations, en législations, tout en inspectant, en contrôlant, en auditant, et au bout du compte en sclérosant la vie des particuliers, des entreprises et aussi des administrations et autres services publics ? Mon ambition de citoyen contribuable, soucieux d'obtenir ses droits et d'assumer ses devoirs, est de verser au Trésor public la juste contribution que je lui dois. Il appartient à mes élus de voter les budgets et de contrôler l'usage qui est fait des deniers publics. Et je ne vote pas pour des candidats, notamment aux législatives, dont la probité est sujette à caution ou dont les convictions partisanes abusives mettent en doute la capacité à contrôler sérieusement l'action du Gouvernement.
La politique du Gouvernement réservant l'application de l'impôt de solidarité sur la fortune sur les biens immobiliers a été annoncée pendant la campagne des élections présidentielles et semble frappée au coin du bon sens puisqu'elle est capable de favoriser l'orientation des capitaux vers l'activité économique, les entreprises... et leurs salariés !? La baisse de 5 € de l'allocation pour le logement était dans son esprit une bonne chose puisqu'elle consistait à reprendre aux propriétaires les 5 € supplémentaires accordés par les gouvernements du Président HOLLANDE aux allocataires, qui s'étaient aussitôt faits spolier par les propriétaires. Le Gouvernement est semble-t-il confronté à un sérieux problème de communication politique puisqu'il ne parvient pas à se faire entendre des citoyens, dans un contexte de défiance paroxystique.
C'est aux élus que je fais le plus confiance pour me représenter dans la société, car dans une démocratie représentative ce sont naturellement les représentants du Peuple qui ont vocation à me représenter. Ensuite, il y a le parti politique, le syndicat et les associations auxquels j'appartiens qui ont vocation à exprimer mes attentes et à défendre mes points de vue et mes intérêts.
Non
None
Il faut en revenir au sens primordial, à l'ambition et à la raison d'être d'une République moderne : assurer un toit, un emploi et sa sécurité à chaque citoyen. Quand un citoyen jouit de ces droits fondamentaux, il s'occupe de vivre sa vie, il laisse son gilet jaune dans sa boîte à gants et la démocratie représentative s'exerce naturellement.
Une bonne chose
Le non-cumul des mandats est une bonne mauvaise chose, car l'électeur a toujours raison et rien ne devrait pouvoir restreindre son choix... Mais la féodalité républicaine s'est instaurée au fil du temps avec l'assentiment des électeurs et s'est même renforcée sous la Ve République du fait du mode de scrutin. Le non-cumul des mandats permet par conséquent d'élargir le nombre des élus, mais le statut de l'élu reste à faire !
Une dose de proportionnelle serait opportune aux élections législatives.
Non
None
Rendre le vote obligatoire pourrait être une bonne solution afin de contrecarrer l'abstentionnisme endémique et nocif. Si l'obligation peut apparaître contre-productive, il faudrait alors inventer une mesure d'incitation forte. La valorisation des contributions citoyennes à la collectivité (participation à tous les votes sauf cas de force majeure, mandats électifs, engagement associatif, etc.) par une bonification des pensions de retraite par exemple pourrait s'avérer plus efficace.
Oui
Quand le vote blanc est majoritaire (majorité absolue ou relative), l'élection devrait être refaite et les candidats (têtes de liste) au scrutin initial devraient être remplacés pour le vote suivant.
La démocratie par essence est participative. Les partis et groupements politiques concourent à l'expression du suffrage. Si les citoyens veulent que la politique leur ressemble, alors ils ont tout le loisir de s'inscrire dans le parti politique de leur choix ou de créer leur propre parti politique, afin de s'engager dans le débat politique. La politique 2.0 c'est confisquer sa souveraineté au Peuple pour la livrer à l'opinion publique. Et l'opinion publique en proie aux réseaux sociaux et aux instituts de sondage est trop souvent l'expression de ceux qui ont du temps. Personnellement, je travaille au moins 50 heures par semaine et je n'aurai jamais le loisir de surfer sur la toile pour me donner le sentiment de maîtriser mon destin.
Non
None
Ce n'est pas le rôle des citoyens de contrôler l'utilisation de l'argent public. La Cour des Comptes et les Chambres régionales des comptes ont cette compétence. Quels citoyens auraient les connaissances, les compétences et le temps de faire ce que des centaines de magistrats financiers font. Quand ces derniers décèlent un mésusage des deniers publics, ils rédigent des rapports qui sont portés à la connaissance des citoyens. Ceux-ci ont ensuite la possibilité de sanctionner dans les urnes les élus malhonnêtes ou seulement incompétents. Cette question me gêne car elle est capable d'accréditer que l'argent public est mal utilisé et que seuls les citoyens sont capables de jouer les chevaliers blancs !
Le rôle qui leur revient de représentation du Peuple et de défenseur de l'intérêt général. Il n'y a rien de nouveau. Il faut certes que les assemblées et notamment l'Assemblée Nationale, soit davantage représentative de la diversité de la population nationale. Ensuite, en démocratie représentative, un mandataire du Peuple doit remplir son rôle de représentant, rendant des comptes à ses mandants puisque le mandat n'est pas impératif.
Oui
Il faut faire évoluer le mode de scrutin. Idéalement, il faudrait remettre en cause le scrutin majoritaire uninominal à deux tours source de tant de problèmes. Mais cela attenterait à la solidité de l'édifice de la Ve République. Donc, a minima, une dose de proportionnelle doit être introduite dans les élections législatives.
Dans un pays comme la France qui a souffert des guerres de religion, la laïcité devrait être un principe intransigeant et structurant de la vie publique. Toute expression d'une conviction religieuse dans la sphère publique devrait être sanctionnée. La République devrait également montrer l'exemple et ne devrait pas tolérer que des manifestations publiques se déroulent dans des édifices religieux. La République devrait également dialoguer avec toutes les religions et ce sont les religions elles-mêmes qui devraient éduquer leurs fidèles à la Laïcité.
Pour garantir ce respect, il est indispensable de sanctionner tout acte et toute parole d'irrespect.
Pour renforcer l'engagement citoyen dans la vie quotidienne ou collective, il serait judicieux de valoriser tous les engagements citoyens. Quelle est la proportion des Français qui se sont vus attribuer une décoration ou une médaille ? Il y a 14 millions de bénévoles en France. Créer une médaille décernée par les citoyens pour récompenser ceux d'entre eux qui ont mené un engagement ayant apporté du Bien à la collectivité, peut paraître farfelu mais une partie de la réponse se situe par là. Sinon, il y a toujours la possibilité de valoriser l'engagement citoyen et de le traduire en bonification des pensions de retraite au terme d'une vie d'engagement !
Les comportements civiques à promouvoir sont : le don de soi, l'abnégation, le désintéressement, l'humanité, la fraternité, la solidarité, l'engagement citoyen, la préservation des ressources, de la biodiversité et de la nature, etc.
Même question, même réponse. La valorisation républicaine des comportements civiques est plus incitative que l'indifférence républicaine.
Les citoyens engagés pourraient être distingués et pourraient obtenir des "marques de reconnaissance" (accès gratuit dans les musées, guichet prioritaire dans les services publics, tarifs réduits dans les services publics ou dans les entreprises publiques, etc.)
Le sentiment d'impunité source de tant d'actes révoltants qui créent l'incompréhension chez les citoyens civiques qui respectent les règles de vie collective et qui constatent tant d'incivilités impunies. Un renforcement de la présence policière serait capable de dissuader les incivilités, mais la République comporte des zones de non-droit et l'effort budgétaire à consentir pourrait ne pas apparaître réaliste.
Il convient d'abord de prévenir les incivilités en éduquant les parents à la responsabilité parentale, en éduquant les enseignants à la responsabilité de l'adulte. Les incivilités et les actes de petite délinquance ont suscité plusieurs théories (tolérance zéro, "broken window", orphelins de 16 heures, etc.). Certaines ont fait leurs preuves dans des contextes particuliers. Une volonté collective partagée est a minima nécessaire.
Il faudrait faire changer la peur de camp. Les citoyens inciviques devraient craindre de commettre leurs incivilités en public, quand aujourd'hui la plupart des gens s'interdisent d'exprimer leur désapprobation face aux incivilités. Voter aux extrêmes dans le secret des isoloirs ne fera jamais reculer les incivilités.
Les gens du voyage sont discriminés. Les homosexuels et les transgenres le sont aussi. Les quinquagénaires et les sexagénaires le sont également dans le monde du travail. Les jeunes et aussi les habitants des quartiers populaires sont discriminés.
Il faut que chaque citoyen trouve sa place dans la société pour que n'y sévisse aucune discrimination. Dès qu'il manque de places dans une Société, la chasse aux boucs-émissaires commence au détriment des Juifs, des migrants, des immigrés, des pédés, des francs-maçons, des noirs, des maghrébins, des handicapés, etc.
Non
None
La question n'est pas celle de la politique migratoire. Elle est plutôt celle de la porosité des frontières et plus en amont celle de l'échec du colonialisme et désormais celui de la coopération africaine. L'aide européenne et internationale pour l'Afrique préserverait l'Europe de l'immigration illégale, bien plus efficacement que la meilleure des politiques migratoires.
Des quotas parlementaires comme rempart à l'immigration non désirée : c'est dommage que l'idée n'ait pas été formulée plus tôt !
Il faut répondre aux causes de l'immigration illégale pour la réduire ou l'éteindre. Il faut considérer fraternellement tous les êtres humains. Il faut se rappeler que la fortune est une pathologie du capitalisme. La répartition équitable des richesses changerait l'atmosphère dans le monde.
Il faut mettre un terme aux modalités d'exclusion les plus efficaces et les plus injustes. Il faut faire disparaître les quartiers de relégation sociale. Il faut que la République aime tous ses enfants et donne à chacun les mêmes chances. Il faut mettre en lumière la diversité et ses bienfaits. Il faut libérer les énergies, lever les contraintes inutiles, promouvoir l'audace et travailler davantage pour le plus grand profit des générations à venir.
None
La France est sur-administrée. Il ne faut pas s'y tromper, c'est le poids, la lourdeur de son Administration qui accule actuellement au désespoir les Français. Il faut tout de suite préciser qu'il n'y a pas trop de parlementaires en France, bien au contraire ! Des députés et des sénateurs un peu plus nombreux pourraient davantage contrôler l'Administration et faire en sorte qu'elle entende davantage les administrés. Il y a aussi la tarte à la crème sur l'air : "Combien faut-il supprimer d'enseignants ? d'infirmières ? de policiers ?" La réponse est claire : "Surtout, aucun !" Ce qui tue la France aujourd'hui par constriction, par étouffement, c'est la technostructure ! Combien avons-nous d'agences diverses et variées !? combien avons-nous d'autorités administratives indépendantes !? combien avons-nous de machins et autres comités Théodule !? combien cela représente-t-il de fonctionnaires plus ou moins hauts !? combien cela coûte-t-il !? combien de hauts fonctionnaires font-ils toute leur carrière dans les cabinets ministériels ?Aucun Français ne le sait ni ne le devine. D'ailleurs personne n'en parle. Pourtant les Français savent, connaissent et ressentent le carcan normatif que génère cette technostructure. Parce que tous ces fonctionnaires qui a la différence des enseignants, des infirmières et des policiers ne font fonctionner aucun guichet ouvert au public, pourraient avoir l'élégance de coûter cher sans nuire à la vie des Français. Mais il n'en est rien, soucieux (Grâce leur en soit rendue) que leur service soit certifiée comme fait afin de justifier leurs traitements, ils passent leur temps à générer des normes, des délais, des exigences qui assaillent et font désormais suffoquer jusqu'aux administrations d'en bas (services publics, établissements publics et municipalités). Cette hystérie normative amenée par la technostructure hypertrophiée ferait presque oublier le Décalogue confié à Moïse pour conduire le peuple d'Israël. Plus prosaïquement, ce carcan normatif a pour effet délétère de faire vivre les Français dans un État de Droit qui est de moins en moins un État de Justice. C'est notre Liberté qui est désormais en jeu. Les Français le ressentent et leurs gilets jaunes le clament.
Non
Il faut surtout que l'État monarcho-républicain lâche du lest, qu'il libère les énergies et qu'il fasse des économies dans les palais publics nationaux... Plutôt l'audace et la responsabilité individuelle que la sclérose et le principe de précaution !
Oui
La technologie et le numérique permettent aujourd'hui de développer des guichets uniques dans lesquels les administrés peuvent accéder à des réponses globales et transversales en un minimum de temps. La fin de l'Administration organisée en tuyaux d'orgues est aujourd'hui non seulement possible, elle serait même très opportune. L'Administration ne devrait plus être la survivance ou la sempiternelle résurgence du Passé. Elle devrait être le bras séculier de l'action publique et la principale source du bien vivre ensemble. Accompagner, guider et faciliter devrait être son ambition permanente, au lieu de contraindre, sanctionner et refuser.
Internet permet beaucoup de développement de services sur la toile. Il faut toutefois ne pas perdre de vue l'inégal accès au numérique. Certaines personnes âgées, certaines personnes handicapées, certaines victimes des fractures sociales... en définitive, tous les Français n'ont pas un égal accès au numérique et il convient là aussi tout particulièrement de ne laisser personne sur le bord de la route ! Attention à la fracture numérique !
Oui
Oui
Il serait idyllique que les administrés soient reçus au guichet unique par des cadres aptes à émettre, quand c'est possible, une réponse immédiate en opportunité et en Droit (illustration d'une Administration réellement à l'écoute), plutôt que de conserver l'image de l'agent qui n'est autorisé qu'à demander un dossier en plusieurs exemplaires et qui doit le refuser s'il manque la moindre pièce exigée par la technostructure.
Ceux auxquels les pouvoirs publics ont demandé d'évoluer dans le bon sens (services fiscaux notamment, mais aussi les "Bleus" [Police, Gendarmerie], les "Blancs" [Hôpital] et les "Rouges" [Sapeurs-pompiers] qui sont tous les jours le dernier carré des secours à la population quand tous les autres services publics dorment).
Ceux auxquels les pouvoirs publics n'auraient contestablement rien demandé.
Oui
Non
None
La contestation d'un forfait post-stationnement infligé pendant que je payais mon stationnement à l'horodateur. La procédure de recours est ubuesque et vise à les dissuader ou à faire en sorte que les requérants n'aillent pas au bout de leurs démarches, qu'ils aient ou non payé leur stationnement. Ma commune vient d'adopter son plan local d'urbanisme et dans la même séance du conseil municipal, une délibération a été prise pour lancer l'élaboration d'un nouveau PLU. En effet, quand une commune refuse un PLU, le plan national d'urbanisme s'applique et le Préfet applique le PLU refusé par la commune jusqu'à ce qu'il soit remplacé par un autre PLU !
Oui
Un fonctionnaire doit être à même de discerner si une question ou un projet est légitime ou non, s'il est capable d'apporter une amélioration pour son promoteur ou pour l'intérêt général. Le bon sens est dit "paysan", il est par conséquent plus particulièrement présent dans le terrain !
Oui
Peu importe la voie pourvu que nous convenions du but à atteindre ! Les fonctionnaires devraient considérer qu'ils sont au service des administrés bien plus qu'à celui de leur administration. Leur mission devrait être d'accompagner, de guider et de faciliter. Le sens du service public est antinomique du pouvoir de dire: "Non, car je suis l'expression de la puissance publique !" Cette réflexion veut dire qu'il faut en effet changer la formation dans les écoles de la Fonction Publique et qu'il faut probablement instaurer plus de mobilité entre les secteurs public et privé. Un salarié du privé peut être en capacité de rejoindre la Fonction Publique pour une mission plus ou moins longue quand il a développé ses connaissances ou ses compétences dans un domaine au point de pouvoir apporter une contribution intéressante au Service Public.
Il faut que l'État et les collectivités territoriales comprennent et acceptent, sinon de déchoir, à tout le moins de descendre de leur piédestal pour s'ancrer dans les réalités et y agir davantage en exhausteur de talent et en facilitateur de projet qu'en générateur de rigidités. Il faut probablement également remettre en cause la compétence générale de tous les acteurs publics étatique et territoriaux. C'est en fait, le féodalisme républicain qu'il convient de remettre en cause : à quelle strate est-il efficace de gérer un problème eu égard aux possibilités qu'offre le numérique ? Quand la réponse est arrêtée qui désigne la compétence d'une strate, les autres strates devraient juridiquement être tenues de ne pas s'immiscer à peine de nullité absolue de leurs initiatives. Pour les territoires les plus en difficulté, il va falloir en revenir à une idée qui a surgi au cours de la dernière période, celle de mission : mettre des moyens pour atteindre un objectif. Si l'on observe le chômage ou la politique de la ville, entre autres exemples, il est patent que la France a développé notamment pour ces deux problèmes endémiques une économie d'accompagnement... combien de personnes ont une activité salariée autour des chômeurs et des quartiers populaires !? Que deviendraient ces personnes dans l'éventualité d'un retour pérenne au plein emploi ou de l'éradication des difficultés observées dans les actuelles zones où la République n'est plus présente !?
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Non concerné
Pour ce qui concerne la santé et les remboursements de soins, tout d'abord il n'est pas normal que je doive demander au pharmacien le prix des médicaments qui me sont prescrits et qui sont payés par l'Assurance Maladie et ma mutuelle. Si je ne pose pas la question, je ne le sais pas, malgré les relevés de la CPAM et de la mutuelle qui sont à l'égal de la Pierre de Rosette. Il est en revanche très appréciable que les assurés sociaux soient épargnés par l'envoi de la feuille maladie à la CPAM puis le relevé de la CPAM à la mutuelle. La Carte VITALE est un progrès éminent. Il est en revanche tout à fait contestable que de nombreux praticiens libéraux refusent la Carte VITALE et astreignent par conséquent leurs patients à des démarches administratives évitables.
Non concerné personnellement. En revanche, dans ma famille un entrepreneur, ayant créé son entreprise à 22 ans, est arrivé à 25 ans sans pouvoir, ni lui ni son associé, se servir un salaire du fait des ponctions du RSI. A 25 ans, il lui est diagnostiqué une tumeur à la mâchoire pour le traitement de laquelle il a interrompu son activité professionnelle pendant plusieurs mois. Quand il a demandé à percevoir des indemnités journalières, elles lui ont été refusées du fait d'un quota d'heures travaillées insuffisant...
Je n'ai pas créé d'entreprise mais il est de notoriété publique qu'il y a un problème avec le régime social des indépendants. Plus largement, la France est le pays de la Sécurité Sociale (modèle social souvent envié à l'étranger mais jamais imité). Celle-ci bénéficie aux assurés sociaux du fait des prélèvements obligatoires sur les rémunérations servies. Il est parfois choquant de constater que de nombreux acteurs économiques sont "dispensés" de cotiser et sont par conséquent éligibles à des aides très modiques de l'État financées par l'impôt quant ils rencontrent des difficultés sociales. Tous les acteurs économiques français ET en France, ne devraient-ils pas cotiser à la Sécurité Sociale afin de préserver nos contributions. Les agriculteurs, les commerçants, les artisans, etc. sont souvent présentés comme non éligibles aux prestations sociales. Pour autant, ils ne parviennent pas tous à se constituer des réserves pour leurs soins ou leur retraite. Les conjoints des professionnels de ces catégories sont davantage encore exposés.
Non concerné
Non concerné
Le chèque emploi service universel est une belle mesure qui m'apparaît aussi utile qu'elle est judicieuse.
Non concerné
Non concerné
Il faut ouvrir l'ère de la Démocratie routière dans laquelle des représentants élus des usagers de la route prendront dans chaque département toutes les décisions utiles de restriction ou de limitation sur la base des rapports des services déconcentrés ou décentralisés compétents : conseil départemental (voirie), police, gendarmerie départementale, gendarmerie des autoroutes, direction des territoires, préfecture. Animation du réseau des correspondants "sécurité routière" des communes.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Mettre un terme à tous les comportements nocifs pour la biodiversité (cultures intensives, pesticides) et favoriser le développement des pratiques vertueuses (permaculture, filières courtes).
Oui
Fortes chaleurs l'été, hausse de la fréquence et de l'intensité des phénomènes météorologiques, contributions financières fréquentes pour venir en aide aux concitoyens éprouvés, matraquage des informations médiatiques relatives aux pollutions phénoménales à la surface de la planète.
Oui
Renonciation au diesel, achat d'un véhicule hybride et d'un véhicule respectueux des dernières normes anti-pollution en remplacement de 2 véhicules polluants, création d'une forêt-jardin, création d'un poulailler, tri des déchets, compostage des déchets verts, remplacement d'une chaudière polluante et énergivore par une chaudière à condensation à haut rendement, chauffage complémentaire au bois, isolation des combles, installation de fenêtres à double-vitrage, limitation des déplacements en avion au strict nécessaire, ouverture d'un compte sur Blablacar (co-voiturage), récupération des eaux de pluie pour l'arrosage. Je m'efforce le plus souvent de rouler de 5 km/h à 20 km/h en-dessous des limitations de vitesse afin de réduire ma consommation en carburant et ainsi augmenter mon pouvoir d'achat. La limitation à 80 km/h sur les routes nationales et départementales peut paraître contraignante mais cette mesure va dans le bon sens.
Sensibilité à toutes les incitations fiscales du Gouvernement.
Crédits d'impôts en faveur du développement durable, prêts à taux zéro sans condition de ressource pour le remplacement des équipements polluants.
Oui
Faciliter financièrement le remplacement de la chaudière au fioul même si elle est à condensation à haut rendement.
Non
None
co-voiturer des personnes se rendant à proximité de mon lieu de travail.
Personne. Je me suis inscrit sur Blablacar, mais je n'ai pas beaucoup de succès car j'ai des horaires de cadre de direction.
C'est vrai ? La France ne sait pas quoi faire !? Il faudrait à tout le moins des sanctions budgétaires pour les États membres climato-sceptiques ou qui font passer leurs intérêts économiques égoïstes avant le devenir de la bio-diversité et de l'Humanité. Les amandes versées à l'Europe (éventuellement par réfaction des subventions versées par l'Union Européenne aux dits États membres inconséquents) serviraient au financement des aides aux citoyens européens (y compris ceux des États membres inconséquents) pour le remplacement des équipements polluants. Les entreprises polluantes contribueraient également à ce fonds européen.
Un conseiller développement durable devrait être présent dans chaque cabinet ministériel afin de s'assurer que les politiques ministérielles soient conformes aux engagements de la France (COP 21, Agenda 21, etc.) et soient en cohérence avec la politique gouvernementale portée par le Ministre de la transition écologique.
Votre message a bien été envoyé.