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Une idée pour revaloriser les petites retraites sans coûter un seul euro de plus aux caisses obligatoires et complémentaires. Les retraites sont calculées proportionnellement aux cotisations versées, quelque soit le mode de calcul. Il est donc normal que les personnes ayant versé par leur salaire plus important des cotisations plus importantes touchent des retraites plus importantes. Les revalorisations sont appliquées par pourcentage. De ce fait, les retraités bénéficiant des retraites les plus confortables perçoivent les revalorisations les plus importantes, accentuant ainsi, revalorisation après revalorisation, l’écart entre petites retraites et grosses retraites. La division du montant global des revalorisations par le nombre de retraités aurait le double avantage de mieux revaloriser les petites retraites sans rogner sur le pouvoir d’achat des retraités aisés et d'apporter plus d'équité entres retraités.
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Ayant fait carrière dans un organisme de protection sociale, j'ai toujours été frappé par l'ignorance des Français sur, selon moi, le ciment principal de la société Française : les dispositifs de solidarité et de redistribution des impôts et cotisations sociales : CMU, AMC, Allocations familiales, Retraites, Assurance maladie, maternité, invalidité, décès, accidents du travail et maladies professionnelles, allocations chômage, etc. Une grande majorité de Français considèrent que ces prestations sont un dû, d'autres considèrent qu'elles sont insuffisantes. Très peu d'informations sur les obligations et devoirs de chacun sont inculqués. Il faudrait, soit par l'Education nationale, soit par le futur service civique, apprendre aux citoyens ces fondements de notre société.
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Les difficultés auxquels sont confrontées quotidiennement des millions de français pour leurs prises de rendez-vous médicaux risquent de devenir de plus en plus prégnantes. Ceci devient progressivement un problème majeur de santé publique. Le pouvoir public doit s’emparer du principe de libre installation des professions médicales institué dans la première partie du 20ème siècle. Assurément, ce principe de libre installation qui laisse s’installer par exemple un énième ophtalmologiste ou dermatologiste dans une région sur-dotée est à revoir en urgence.
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