Pesticides, déchets
Donner aux consommateurs des clés pour mieux consommer en - privilégiant le « vrac » et les aliments non transformés (fiscalité avantageuse, TVA à 0% pour les produits non transformés, non emballés...) - à l’inverse, augmentant les taxes sur les produits sur-emballés et « sur-transformés » ex : fruits et légumes sous blister, une aberration ! - privilégiant les produits de saison et les circuits courts (en magasin, sur les marchés) : par exemple, on pourrait taxer les pommes venant de Chine ou de Chili alors même qu’on produit des pommes en France. - instaurant une obligation d’étiquetage de la composition de tous les produits d’entretien. Aujourd’hui les étiquettes sont plus qu’évasives sur la composition des produits (ex sur un gel WC, voici la composition marquée sur l’étiquette: moins de 5% d’agents de surface anioniques, contient aussi:parfums.) ce qui ne permet pas au consommateur de faire un choix éclairé. - créant une base de données nationale ou européenne des produits alimentaires, cosmétiques, d’entretien.. sur le modèle de ce qu'ont fait Yuka, 60millions de consommateurs et maintenant des enseignes de supermarché. contenant la composition, les commentaires sur la valeur nutritionnelle des aliments, les résultats des tests de recherche de pesticides sur les fruits et légumes par exemple. TRI DES DECHETS / REDUCTION DES DECHETS - Facilitation du tri des déchets : les consignes de tri ne sont pas identiques sur le territoire français. Il est difficile de demander aux gens de changer de méthode de tri selon l’endroit où ils se trouvent. Même au domicile, les poubelles jaunes sont régulièrement refusées pour des erreurs de tri, souvent les mêmes (sacs plastiques, bois, barquettes plastique..). - La mise en place de la collecte différenciée des déchets alimentaires dans ma ville m'a permis de me rendre compte du volume de déchets qui ne sont ni recyclables dans la filière « poubelles jaunes », ni dans les déchets alimentaires. Un levier pour améliorer la gestion des déchets, outre le recyclage, est de faire baisser la quantité de déchets à la source. - Possibilité de laisser une partie des déchets cartonnés/plastiques en magasin, après le passage en caisse. Les grandes enseignes ont plus de pouvoir de se retourner vers les industriels pour leur faire baisser la quantité d’emballages inutiles. - Etudier l’avantage du retour à la consigne (verre notamment) comme le font certains pays européens. - Avantageant la fiscalité des produits non emballés (fruits et légumes, savons, shampoings solides.. autres)
Non
Pas encore de manière quotidienne en région parisienne
Oui
Je me tiens éloignée des circuits de grande distribution. Privilégier la vente directe par le producteur ou les circuits raccourcis (la ruche qui dit oui) et les initiatives pour rendre le Bio accessible (Aurore Market). Manger moins de viande mais de meilleure qualité.
None
TVA à 0% sur les produits bio, locaux et non emballés
Non
Manque une section "je ne sais pas"
Oui
J'utilise déjà le covoiturage, et la marche à pied.
Les transports en commun|Le transport à la demande|Le vélo
Est-on sûr que les particuliers représentent la plus grosse part de la pollution atmosphérique ? Quid de la pollution industrielle, du transport par camion, par cargo ? Avant de répondre à des questions aussi précises, ils serait interessant d'avoir une visibilité sur les différentes sources de pollution et la part qu'elles représentent
None
EDUQUER LE FUTUR CONSOMMATEUR - en incluant dans les programmes scolaires une sensibilisation sur les méthodes de production, la saisonnalité et la variété des produits agricoles - en réduisant la proportion ou la fréquence de viande dans les cantines scolaires, au profit de produits plus qualitatifs. On sait que la consommation de viande est excessive et induit des problèmes sanitaires et environnementaux. - sucre : interdire les « cochonneries » industrielles dans les cantines publiques Enfin, concernant les interdictions de circuler à Paris imposées à certains véhicules en fonction de leur âge; ce dispositif devrait être plus nuancé. Par exemple, on interdit à un deux-roues de circuler à cause de son ancienneté alors qu’on permet à une voiture, plus récente et forcément plus polluante qu’un deux roues, de circuler -alors même que le taux d’occupation des voitures est très bas : beaucoup de gens se déplacent seuls pour aller au travail, et utilisent une voiture pour une seule personne. Le résultat : au lieu d’utiliser un deux roues, moins polluant et prenant moins de place sur la voie publique, on se retrouve à prendre une voiture pour une personne, plus polluante et plus dissociée à garer. Cela n’a pas de sens !
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