Date de publication : 2019-02-11
Code postal : 79000

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Rendre accessibles les titres, à tous les sens du terme, des budgets (Etat et collectivités publiques)

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Encore une question de technocrate. La fiscalité est relativement juste et efficace mais elle est trop lourde ce qui oblige à la modifier trop fréquemment pour s'ajuster à la concurrence internationale, sans grand succès, tout en inquiétant les contribuables par son instabilité.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

La priorité c'est de baisser les dépenses. Ensuite il sera toujours possible de se poser cette question.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Toutes et aussi et surtout les attributaires et les modalités d'attribution. Il est parfaitement illogique que les aides soient définies par l'Etat alors qu'elles sont pour beaucoup à la charge des collectivités locale. Toutes les aides devraient être attribuées au niveau local (Communauté de commune ou d'agglomération) pour en avoir un meilleur contrôle de près et éviter leur multiplication au delà d'un seuil pour un même attributaire. Comment l'Etat peut-il gérer cela depuis le 6ème arrondissement de Paris? S'agit-il d'un domaine régalien?

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Les cantines scolaires.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Aucun

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Beaucoup de services publics d'Etat et même certains ministères ne sont d'aucune utilité, du moins à ce niveau. L'Etat devrait se contenter de gérer (bien si possible) les domaines régaliens justice, police, défense (y compris économique), les affaires étrangères, la monnaie, les réseaux nationaux d'infrastructure. Tout le reste devrait être géré selon le principe de subsidiarité à des échelons inférieurs de l'organisation territoriale. Le drame de la France c'est de ne pas pouvoir mener une politique de plein emploi parce qu'elle a abandonné la souveraineté sur sa monnaie et sur son économie aux structures hors sol de l'Union Européenne dirigées par la puissante RFA, maintenant une ligne qui fait passer sous ses fourches caudines tous les autres "partenaires", avec trois principes qui bloquent cette Europe: un Euro fort, pas de déficit budgétaire, pas de budget fédéral de l'UE. Pour la France, cela interdit toute politique de relance pour retrouver un plein emploi. Bref, pour s'en tirer, le président de la République devra impérativement oser s'opposer à l'Allemagne!

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

La seule véritable réussite de Macron est d’avoir bousculé les lignes qui soutenaient la politique intérieure de la France depuis le début de la Vème république. Sans dynamiter complètement le clivage droite/gauche qui scandait, depuis 60 ans, l’alternance démocratique, il fait s’imposer, en superposition, un autre clivage qui hantait le pays depuis le référendum de 2005 sans que les partis dits « de gouvernement » en aient accepté, depuis lors, les implications: souverainistes contre fédéralistes européens. Le clivage droite/gauche s’est dorénavant réduit au seul plan sociétal à l’opposition entre traditionalistes et néo-progressistes, y compris aux extrêmes de l’éventail politique. Ces extrêmes se caractérisent maintenant par le refus de la mondialisation et de l’Union Européenne en tant que telle. Au centre de l’échiquier, on note un courant de « suiveurs » assez indifférents aux clivages décrits. Déplié dans cette nouvelle configuration, l’éventail politique se compose comme suit de gauche à droite : • Extrémistes néo-progressistes • Souverainistes néo-progressistes • Fédéralistes néo-progressistes • Suiveurs indifférents • Fédéralistes traditionalistes • Souverainistes traditionalistes • Extrémistes traditionalistes Les clientèles habituelles du PS et de LR/UDI se trouvent ainsi divisées chacune en trois groupes bien distincts, ce qui explique leur éclatement. Dorénavant, une fois apaisées les jacqueries des GJ, et c’est un changement majeur, les majorités se feront sur le clivage souverainistes/fédéralistes plus que sur celui traditionalistes/néo-progressistes. Or on doit constater que le débat souverainistes/fédéralistes est jusqu’à présent arbitré, de l’extérieur, par la seule République Fédérale Allemande sur le critère de ses seuls intérêts. Il faudra bien, un jour proche, que nos gouvernants prennent avec courage leurs responsabilités vis-à-vis de la RFA et de l’Euro pour nous permettre de nous orienter soit vers le souverainisme en sortant de l’Euro, soit vers le fédéralisme en acceptant un budget fédéral ; deux hypothèses exclues par les dirigeants allemands pour continuer à tirer les marrons du feu ! Avant ce probable avènement d’une politique plus sereine, il faudra tirer constitutionnellement les conséquences de la collusion objective entre Macron et les Gilets Jaunes pour dynamiter la crédibilité, depuis longtemps entamée, de tous les corps intermédiaires, à l’exception des seuls élus locaux. Le choix s’imposera bientôt entre la dictature ou des corps intermédiaires renouvelés sur les débris des syndicats, des médias, de l’institution judiciaire et de la multitude des « comités Théodule » inutiles, sauf pour rémunérer les copains et laissés pour compte du système. Quand on connait le coût de tenue d’une élection et le peu d’empressement de ses partisans à tenir un bureau pendant les longues heures d’un dimanche, le soi-disant RIC n’est probablement pas une solution gérable. Il n’y a pas vraiment d’autre issue que de refonder ces corps intermédiaires, sur des bases plus actuelles, tout en sachant que le processus peut s’avérer long car il ne peut se faire que du bas vers le haut ; les multiples contradictions internes des GJ montrent combien ce sera difficile.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Toujours la même bêtise technocratique: il ne faut pas donner (de haut en bas) mais accepter (de bas en haut).

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Eviter les élus "hors sol" et le bon moyen c'est que chaque niveau élise celui du dessus. Le mode d'élection au Sénat, contrairement aux idées simplistes et parisianistes bobo reçues, est un excellent système!

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Produit des élus "hors sol" comme notre député LAREM...

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Admettre un minimum de proportionnelle ( quelques % d'élus hors sol) pour que ces sensibilités puissent s'exprimer.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Trois sénateurs par département (quelle que soit sa population): ce sont les élus des élus qui permettent aux élus locaux un accès vers le gouvernement ( environ 300 sénateurs). Trois députés par département, élus par circonscription, plus un député par tranche de 500.000 habitants au dessus de 500.000 dans un même département, toujours par circonscription, plus 15% d'élus à la proportionnelle sur liste nationale (pour éviter les représentants régionalistes) (environ 400 députés).

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Il est toujours difficile de faire boire un âne qui n'a pas soif!

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Un vote blanc, par nature, n'est pas un suffrage exprimé. Cependant il faudrait systématiquement publier le nombre de votes blanc et celui de votes nuls.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Simplement en respectant leur vote, même s'il déplaît à "l'establishment" au pouvoir comme pour le référendum de 2005! Obliger à choisit entre emploi dans la fonction publique et mandat d'élu national ou Président d'une collectivité locale (= mettre fin au régime des mises en disponibilité des fonctionnaires et assimilés).

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

On peut parier que ceux là même qui réclament le soi-disant RIC n'accepteront pas de passer une dizaine de dimanches par an à tenir les urnes dans un bureau de vote... Sans parler du coût de gestion ni de l'impact de la lassitude sur la participation!

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Ce n'est pas une question opportune: la réponse est à trouver dans le cloisonnement strict des responsabilités et des budgets à chaque niveau de l'organisation territoriale.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Rien à changer pour le parlement et ses deux chambres. La chambre des députés représente la "vox populi", le sénat représente la défense des collectivités locales . Le CESE devrait être réformé sur les fondements.... du référendum de 1969!

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Le CESE devrait être réformé sur les fondements.... du référendum de 1969! Il n'aura d'utilité que s'il apporte une vision plus technique et plus liée aux pratiques professionnelles et associatives. Ce ne doit pas être une sinécure pour copains et coquins mis sur la touche.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

S'en tenir strictement à l'article 2 de la Constitution. Ni plus, ni moins.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

En commençant par sanctionner financièrement les multiples incivilités.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Respecter les élus

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Eduquer les enfants. L'école instruit, pas très bien, mais elle n'éduque plus.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Supprimer les prétextes qui les génèrent et les "justifient" comme, par exemple, toutes les fraudes aux allocations, aux subventions, aux statuts de réfugié, etc. Idem pour les passe-droit.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Le problème se résume à celui du plein emploi. On ne se posait pas la question dans les années 50/60... avec une immigration proportionnellement plus importante.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Par rapport à la plupart de nos riches voisins européens la France est sous peuplée avec une densité de population moyenne deux fois plus basse ce qui a des conséquences qu'on ne met pas suffisamment en exergue sur la densité de nos infrastructures et leur entretien.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L'apprentissage de la langue et l'assimilation de notre culture.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Comparée à celle de pratiquement tous les pays de par le monde, l’organisation territoriale de la France se caractérise par un millefeuilles multicouches poreuses. Du local au central on compte : la commune, la communauté (de communes, d’agglomération ou urbaine selon le cas), le département, la région et l’Etat. Chaque strate avec son budget propre, ses moyens, ses attributions qui se recouvrent plus ou moins dans de nombreux domaines, sans compter leurs dérivés multiples EPCI, EPL, SEM, CCAS, etc. Chaque tentative de simplification s’est soldée par un échec parce qu’on a jamais voulu dissocier les enjeux psychologiques, fortement liés aux traditions, des enjeux de simple gestion. On a ainsi alimenté les réticences et les leviers offerts aux opposants par intérêt particuliers (élus et agents des collectivités locales principalement) pour saborder ce type de réforme. Pour réussir une réforme territoriale, il ne faut surtout pas toucher à la topologie ni à la toponymie, ni aux habitus usuels de dénomination des concepts ancrés dans les esprits. Par contre, il faut donner une réalité aux liens entre ces concepts préexistant et les modalités des réformes que l’on veut faire. Compte tenu de l’évolution de la société et du monde dans lequel nous vivons, il semblerait possible de limiter l’organisation territoriale à seulement 3 niveaux budgétaires et ceci moyennant très peu d’aménagements par rapport à l’organisation actuelle. L’avantage serait, d’une part, de raccourcir la distance entre le citoyen et l’Etat (moins d’intermédiaires) et, d’autre part, de supprimer les doublons et recouvrements inutiles, donc de réaliser des économies de moyens et de budget. Au premier niveau, on pourrait retenir la Communauté. Chaque commune composante serait représentée au Conseil Communautaire en fonction de sa population et au minimum par un Maire Délégué et un Maire Adjoint. Il n’y aurait plus de budget municipal mais un conseil municipal aux mêmes prérogatives que les conseils de quartiers dans certaines villes. Aucun motif de toucher aux dénominations ni aux limites des communes. Le Conseil de Communauté cumulerait les responsabilités qui échoient actuellement aux communes et différents types de communautés. Toutes les aides sociales seront du ressort de la Communauté. Les communes seront allégées de toutes les tâches administratives. A l’exception des très grandes métropoles, tous les présidents de communauté auront des petites communes sous leur ressort ce qui permettra d’atténuer le ressenti d’abandon rural et de mutualiser les ressources à leur bénéfice. Au second niveau, on retiendra les Régions telles qu’elles existaient avant l’absurde réforme de 2014. Les Communautés seraient représentées au niveau de la Région par des membres élus au sein de leur propre conseil, au moins deux et proportionnellement à la population. Une région comprendrait environ une quarantaine de communauté. Les régions reprendront le reste des responsabilités des conseils départementaux actuels. Au troisième niveau, subsiste évidemment l’Etat et son organisation centrale qui se démultiplie à l’échelon de préfectures départementales pour étayer un maillage du territoire suffisant. On peut également concevoir un niveau supérieur qui serait celui d’une fédération d’Etats, ce qui n’est pas aujourd’hui le cas de l’UE. Un point fondamental dans une construction de ce type est l’observation stricte du principe de subsidiarité qui veut que l’échelon supérieur accepte de faire totalement confiance à l’échelon inférieur dans le respect de la Loi commune et dans le cadre des responsabilités attribuées à chaque niveau.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Toutes celles que requière une véritable subsidiarité; en gros ce qui ne relève pas des domaines strictement régaliens.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Le portail internet de notre ville.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Oui

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

Oubli de déclaration IRPP suite à grave problème médical.

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Non

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Non

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

En regroupant et en cloisonnant les budgets

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les pollutions de toutes natures et le pillage des ressources naturelles.

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Prendre des normes et les faire respecter

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Pas encore vraiment.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Ne pas mélanger les questions: la pollution de l'environnement n'a pas grand chose à voir avec le réchauffement climatique. C'est l'idéologie "écologiste" qui tente de nous forcer à assimiler les deux pour des raisons bassement politiciennes.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

None

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Adopter des normes et les faire respecter.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Convaincre l'Architecte des Bâtiments de France local à accepter les panneaux photovoltaïques sur les toits!

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le covoiturage|L'auto partage|Le transport à la demande|Le vélo

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

En grande partie les collectivités locales

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Etre réaliste et éviter la confusion entre pollutions et réchauffement climatique. Entre ce qui est du ressort de l'humanité et ce qui s'impose à elle sur des périodicités variables et multi-millénaires.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il y a une gabegie de dépenses en éoliennes et en panneaux photovoltaïques qui sont des ressources non permanentes. Actuellement, tous les investissement dans ces deux domaines impliquent de les doubler en kw , un pour un, par des sources permanentes... comme des centrales nucléaires! C'est le consommateur qui paie pour les deux investissements, à la fois, et pour le subventionnement de l'énergie produite à des coûts prohibitifs par ces éoliennes et panneaux! Nous restons dans l'attente des futurs panneaux qui fonctionneront par temps couverts et de solutions durables fondées sur le cycle de l'hydrogène. Le gaz carbonique, nécessaire à la photosynthèse des végétaux, indispensables à notre propre survie, n'est pas et de loin celui qui est le plus préoccupant des gaz à effet de serre. On nous berne avec la taxe carbone. Sur un plan pratique, on supprime les sacs plastiques en même temps que la grande distribution augmente en taille et en volume les blisters et suremballages divers pour emplir nos poubelles: de qui se fiche-t-on?