Rendre accessibles les titres, à tous les sens du terme, des budgets (Etat et collectivités publiques)
Encore une question de technocrate. La fiscalité est relativement juste et efficace mais elle est trop lourde ce qui oblige à la modifier trop fréquemment pour s'ajuster à la concurrence internationale, sans grand succès, tout en inquiétant les contribuables par son instabilité.
La priorité c'est de baisser les dépenses. Ensuite il sera toujours possible de se poser cette question.
Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Toutes et aussi et surtout les attributaires et les modalités d'attribution. Il est parfaitement illogique que les aides soient définies par l'Etat alors qu'elles sont pour beaucoup à la charge des collectivités locale. Toutes les aides devraient être attribuées au niveau local (Communauté de commune ou d'agglomération) pour en avoir un meilleur contrôle de près et éviter leur multiplication au delà d'un seuil pour un même attributaire. Comment l'Etat peut-il gérer cela depuis le 6ème arrondissement de Paris? S'agit-il d'un domaine régalien?
Les cantines scolaires.
Aucun
Beaucoup de services publics d'Etat et même certains ministères ne sont d'aucune utilité, du moins à ce niveau. L'Etat devrait se contenter de gérer (bien si possible) les domaines régaliens justice, police, défense (y compris économique), les affaires étrangères, la monnaie, les réseaux nationaux d'infrastructure. Tout le reste devrait être géré selon le principe de subsidiarité à des échelons inférieurs de l'organisation territoriale. Le drame de la France c'est de ne pas pouvoir mener une politique de plein emploi parce qu'elle a abandonné la souveraineté sur sa monnaie et sur son économie aux structures hors sol de l'Union Européenne dirigées par la puissante RFA, maintenant une ligne qui fait passer sous ses fourches caudines tous les autres "partenaires", avec trois principes qui bloquent cette Europe: un Euro fort, pas de déficit budgétaire, pas de budget fédéral de l'UE. Pour la France, cela interdit toute politique de relance pour retrouver un plein emploi. Bref, pour s'en tirer, le président de la République devra impérativement oser s'opposer à l'Allemagne!
La seule véritable réussite de Macron est d’avoir bousculé les lignes qui soutenaient la politique intérieure de la France depuis le début de la Vème république. Sans dynamiter complètement le clivage droite/gauche qui scandait, depuis 60 ans, l’alternance démocratique, il fait s’imposer, en superposition, un autre clivage qui hantait le pays depuis le référendum de 2005 sans que les partis dits « de gouvernement » en aient accepté, depuis lors, les implications: souverainistes contre fédéralistes européens. Le clivage droite/gauche s’est dorénavant réduit au seul plan sociétal à l’opposition entre traditionalistes et néo-progressistes, y compris aux extrêmes de l’éventail politique. Ces extrêmes se caractérisent maintenant par le refus de la mondialisation et de l’Union Européenne en tant que telle. Au centre de l’échiquier, on note un courant de « suiveurs » assez indifférents aux clivages décrits. Déplié dans cette nouvelle configuration, l’éventail politique se compose comme suit de gauche à droite : • Extrémistes néo-progressistes • Souverainistes néo-progressistes • Fédéralistes néo-progressistes • Suiveurs indifférents • Fédéralistes traditionalistes • Souverainistes traditionalistes • Extrémistes traditionalistes Les clientèles habituelles du PS et de LR/UDI se trouvent ainsi divisées chacune en trois groupes bien distincts, ce qui explique leur éclatement. Dorénavant, une fois apaisées les jacqueries des GJ, et c’est un changement majeur, les majorités se feront sur le clivage souverainistes/fédéralistes plus que sur celui traditionalistes/néo-progressistes. Or on doit constater que le débat souverainistes/fédéralistes est jusqu’à présent arbitré, de l’extérieur, par la seule République Fédérale Allemande sur le critère de ses seuls intérêts. Il faudra bien, un jour proche, que nos gouvernants prennent avec courage leurs responsabilités vis-à-vis de la RFA et de l’Euro pour nous permettre de nous orienter soit vers le souverainisme en sortant de l’Euro, soit vers le fédéralisme en acceptant un budget fédéral ; deux hypothèses exclues par les dirigeants allemands pour continuer à tirer les marrons du feu ! Avant ce probable avènement d’une politique plus sereine, il faudra tirer constitutionnellement les conséquences de la collusion objective entre Macron et les Gilets Jaunes pour dynamiter la crédibilité, depuis longtemps entamée, de tous les corps intermédiaires, à l’exception des seuls élus locaux. Le choix s’imposera bientôt entre la dictature ou des corps intermédiaires renouvelés sur les débris des syndicats, des médias, de l’institution judiciaire et de la multitude des « comités Théodule » inutiles, sauf pour rémunérer les copains et laissés pour compte du système. Quand on connait le coût de tenue d’une élection et le peu d’empressement de ses partisans à tenir un bureau pendant les longues heures d’un dimanche, le soi-disant RIC n’est probablement pas une solution gérable. Il n’y a pas vraiment d’autre issue que de refonder ces corps intermédiaires, sur des bases plus actuelles, tout en sachant que le processus peut s’avérer long car il ne peut se faire que du bas vers le haut ; les multiples contradictions internes des GJ montrent combien ce sera difficile.
Non
Toujours la même bêtise technocratique: il ne faut pas donner (de haut en bas) mais accepter (de bas en haut).
Eviter les élus "hors sol" et le bon moyen c'est que chaque niveau élise celui du dessus. Le mode d'élection au Sénat, contrairement aux idées simplistes et parisianistes bobo reçues, est un excellent système!
Une mauvaise chose
Produit des élus "hors sol" comme notre député LAREM...
Admettre un minimum de proportionnelle ( quelques % d'élus hors sol) pour que ces sensibilités puissent s'exprimer.
Oui
Trois sénateurs par département (quelle que soit sa population): ce sont les élus des élus qui permettent aux élus locaux un accès vers le gouvernement ( environ 300 sénateurs). Trois députés par département, élus par circonscription, plus un député par tranche de 500.000 habitants au dessus de 500.000 dans un même département, toujours par circonscription, plus 15% d'élus à la proportionnelle sur liste nationale (pour éviter les représentants régionalistes) (environ 400 députés).
Il est toujours difficile de faire boire un âne qui n'a pas soif!
Oui
Un vote blanc, par nature, n'est pas un suffrage exprimé. Cependant il faudrait systématiquement publier le nombre de votes blanc et celui de votes nuls.
Simplement en respectant leur vote, même s'il déplaît à "l'establishment" au pouvoir comme pour le référendum de 2005! Obliger à choisit entre emploi dans la fonction publique et mandat d'élu national ou Président d'une collectivité locale (= mettre fin au régime des mises en disponibilité des fonctionnaires et assimilés).
Non
On peut parier que ceux là même qui réclament le soi-disant RIC n'accepteront pas de passer une dizaine de dimanches par an à tenir les urnes dans un bureau de vote... Sans parler du coût de gestion ni de l'impact de la lassitude sur la participation!
Ce n'est pas une question opportune: la réponse est à trouver dans le cloisonnement strict des responsabilités et des budgets à chaque niveau de l'organisation territoriale.
Rien à changer pour le parlement et ses deux chambres. La chambre des députés représente la "vox populi", le sénat représente la défense des collectivités locales . Le CESE devrait être réformé sur les fondements.... du référendum de 1969!
Oui
Le CESE devrait être réformé sur les fondements.... du référendum de 1969! Il n'aura d'utilité que s'il apporte une vision plus technique et plus liée aux pratiques professionnelles et associatives. Ce ne doit pas être une sinécure pour copains et coquins mis sur la touche.
S'en tenir strictement à l'article 2 de la Constitution. Ni plus, ni moins.
En commençant par sanctionner financièrement les multiples incivilités.
Respecter les élus
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Eduquer les enfants. L'école instruit, pas très bien, mais elle n'éduque plus.
Supprimer les prétextes qui les génèrent et les "justifient" comme, par exemple, toutes les fraudes aux allocations, aux subventions, aux statuts de réfugié, etc. Idem pour les passe-droit.
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Oui
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Le problème se résume à celui du plein emploi. On ne se posait pas la question dans les années 50/60... avec une immigration proportionnellement plus importante.
Par rapport à la plupart de nos riches voisins européens la France est sous peuplée avec une densité de population moyenne deux fois plus basse ce qui a des conséquences qu'on ne met pas suffisamment en exergue sur la densité de nos infrastructures et leur entretien.
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L'apprentissage de la langue et l'assimilation de notre culture.
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Comparée à celle de pratiquement tous les pays de par le monde, l’organisation territoriale de la France se caractérise par un millefeuilles multicouches poreuses. Du local au central on compte : la commune, la communauté (de communes, d’agglomération ou urbaine selon le cas), le département, la région et l’Etat. Chaque strate avec son budget propre, ses moyens, ses attributions qui se recouvrent plus ou moins dans de nombreux domaines, sans compter leurs dérivés multiples EPCI, EPL, SEM, CCAS, etc. Chaque tentative de simplification s’est soldée par un échec parce qu’on a jamais voulu dissocier les enjeux psychologiques, fortement liés aux traditions, des enjeux de simple gestion. On a ainsi alimenté les réticences et les leviers offerts aux opposants par intérêt particuliers (élus et agents des collectivités locales principalement) pour saborder ce type de réforme. Pour réussir une réforme territoriale, il ne faut surtout pas toucher à la topologie ni à la toponymie, ni aux habitus usuels de dénomination des concepts ancrés dans les esprits. Par contre, il faut donner une réalité aux liens entre ces concepts préexistant et les modalités des réformes que l’on veut faire. Compte tenu de l’évolution de la société et du monde dans lequel nous vivons, il semblerait possible de limiter l’organisation territoriale à seulement 3 niveaux budgétaires et ceci moyennant très peu d’aménagements par rapport à l’organisation actuelle. L’avantage serait, d’une part, de raccourcir la distance entre le citoyen et l’Etat (moins d’intermédiaires) et, d’autre part, de supprimer les doublons et recouvrements inutiles, donc de réaliser des économies de moyens et de budget. Au premier niveau, on pourrait retenir la Communauté. Chaque commune composante serait représentée au Conseil Communautaire en fonction de sa population et au minimum par un Maire Délégué et un Maire Adjoint. Il n’y aurait plus de budget municipal mais un conseil municipal aux mêmes prérogatives que les conseils de quartiers dans certaines villes. Aucun motif de toucher aux dénominations ni aux limites des communes. Le Conseil de Communauté cumulerait les responsabilités qui échoient actuellement aux communes et différents types de communautés. Toutes les aides sociales seront du ressort de la Communauté. Les communes seront allégées de toutes les tâches administratives. A l’exception des très grandes métropoles, tous les présidents de communauté auront des petites communes sous leur ressort ce qui permettra d’atténuer le ressenti d’abandon rural et de mutualiser les ressources à leur bénéfice. Au second niveau, on retiendra les Régions telles qu’elles existaient avant l’absurde réforme de 2014. Les Communautés seraient représentées au niveau de la Région par des membres élus au sein de leur propre conseil, au moins deux et proportionnellement à la population. Une région comprendrait environ une quarantaine de communauté. Les régions reprendront le reste des responsabilités des conseils départementaux actuels. Au troisième niveau, subsiste évidemment l’Etat et son organisation centrale qui se démultiplie à l’échelon de préfectures départementales pour étayer un maillage du territoire suffisant. On peut également concevoir un niveau supérieur qui serait celui d’une fédération d’Etats, ce qui n’est pas aujourd’hui le cas de l’UE. Un point fondamental dans une construction de ce type est l’observation stricte du principe de subsidiarité qui veut que l’échelon supérieur accepte de faire totalement confiance à l’échelon inférieur dans le respect de la Loi commune et dans le cadre des responsabilités attribuées à chaque niveau.
Oui
Toutes celles que requière une véritable subsidiarité; en gros ce qui ne relève pas des domaines strictement régaliens.
Oui
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Non
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Le portail internet de notre ville.
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Oui
Oui
Oubli de déclaration IRPP suite à grave problème médical.
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En regroupant et en cloisonnant les budgets
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Les pollutions de toutes natures et le pillage des ressources naturelles.
Prendre des normes et les faire respecter
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Pas encore vraiment.
Oui
Ne pas mélanger les questions: la pollution de l'environnement n'a pas grand chose à voir avec le réchauffement climatique. C'est l'idéologie "écologiste" qui tente de nous forcer à assimiler les deux pour des raisons bassement politiciennes.
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Adopter des normes et les faire respecter.
Oui
Convaincre l'Architecte des Bâtiments de France local à accepter les panneaux photovoltaïques sur les toits!
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Les transports en commun|Le covoiturage|L'auto partage|Le transport à la demande|Le vélo
En grande partie les collectivités locales
Etre réaliste et éviter la confusion entre pollutions et réchauffement climatique. Entre ce qui est du ressort de l'humanité et ce qui s'impose à elle sur des périodicités variables et multi-millénaires.
Il y a une gabegie de dépenses en éoliennes et en panneaux photovoltaïques qui sont des ressources non permanentes. Actuellement, tous les investissement dans ces deux domaines impliquent de les doubler en kw , un pour un, par des sources permanentes... comme des centrales nucléaires! C'est le consommateur qui paie pour les deux investissements, à la fois, et pour le subventionnement de l'énergie produite à des coûts prohibitifs par ces éoliennes et panneaux! Nous restons dans l'attente des futurs panneaux qui fonctionneront par temps couverts et de solutions durables fondées sur le cycle de l'hydrogène. Le gaz carbonique, nécessaire à la photosynthèse des végétaux, indispensables à notre propre survie, n'est pas et de loin celui qui est le plus préoccupant des gaz à effet de serre. On nous berne avec la taxe carbone. Sur un plan pratique, on supprime les sacs plastiques en même temps que la grande distribution augmente en taille et en volume les blisters et suremballages divers pour emplir nos poubelles: de qui se fiche-t-on?
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