Publier un bilan annuel des recettes / utilisations avec un focus détaillé sur les 20/80, bilan certifié par la cour des comptes
"Ce qui est gratuit n'a de fait aucune valeur". Combien de fois a t-on entendu "on peut casser, ce sera remplacé", ou encore "l'assurance remboursera"... Une fiscalité juste est une fiscalité à laquelle tous les citoyens devraient participer. S'agissant de l'impôt sur le revenu, il faudrait ajouter un certain nombre de tranches plus progressives de façon à ce que tout citoyen paye au minimum 1/120 de l'ensemble de ses revenus annuels (salaires + pension de retraite + prestations sociales + revenus mobiliers + revenus immobilier) et au maximum les 2/12. Quitte à redistribuer d'avantage aux plus démunis. Mais toutes les prestations sociales devraient rester sous un contrôle étroit afin de s'assurer périodiquement de la réalité de la situation ouvrant le droit aux prestations sociales. Ex : Une personne vivant le drame du chômage doit être aidée, pour autant qu'elle recherche elle aussi à se sortir de cette situation en recherchant activement du travail.
Le problème n'est pas le montant de chacun des impôts pris séparément mais plutôt l'empilage des impôts et taxes. Par exemple quand je gagne 100€, je paye des impôts sur le revenus sur ces 100€. Mais quand je les dépense, je repaye une taxe en l'occurrence la TVA et en finalité, je vais payer un impôt sur la part de mes revenus versé au titre de la TVA. Et le bien que j'aurai ainsi acquis supportera de nouveau une taxe quand par exemple mes enfants le recevront en héritage. Et puis il y a la CSG, dont la forte augmentation a été compensée par la suppression d'un certain nombre de cotisations salariales et qu'en definitive, seuls les retraités qui au passage ont travaillé et cotisé plus de 40 ans à l'assurance retraite, devront acquitter sans aucune compensation. Même inégalité devant l'impôt avec la suppression de la taxe d'habitation pour certains et pas pour d'autres. Et pourtant, les équipements et les services communaux sont utilisés et profitent à tous.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Un projet quel qu'il soit doit avoir des objectifs "avouables", réalistes, mesurables et vérifiables. Il en est de même de toutes les aides sociales à défaut de devenir de l'assistanat. Toute situation donnant droit à des aides sociales doit pouvoir être justifiée, mesurée, contrôlée. Et pour certaines d'entre-elles (ex chômage, RSA...), disposer d'une contre partie. Ex donner du temps à titre de benevole dans des associations, participer à des travaux de nettoyage de l'environnement, et autres tâches collectives.
Le chômage, le RSA et d'une manière générale tout ce qui concerne les minimas sociaux
Tout ce qui concerne la santé, l'aide à l'enfance et l'aide aux personnes âgées
Trop d'impôt tue l'impôt. Le malaise actuel trouve son creuset dans une fiscalité devenue beaucoup trop lourde. Il ne peut être question de payer globalement plus d'impôt. En 10 ans, la part d'impôt sur le revenu payée par les classes moyenne est passé de 51 Mds€ à 74Mds€ soit une progression de +45% ! cela suffit. Par contre, l'évasion fiscale représenterait entre 80 et 100 Mds€. Il semble alors bien plus productif de s'attaquer enfin à cette problématique que de rechercher un nouvel impôt.
Même s'il est évident que les dépenses de fonctionnement de l'Etat reste faible en pourcentage et que l'économie qui pourrait être réalisée ne règlerait probablement rien, un état et des dirigeants vertueux maintiennent la cohésion sociale. A l'inverse, un état et des dirigeants non vertueux démobilisent.
Sur un plan local, le maire qui est sur le terrain, et facilement accessible. Sur un plan national, le député élu dont la mission centrale st de représenter les administrés et d'être rapporteur de leurs besoins.
Oui
Les syndicats (CFE-CGC, CFDT...) pour tout ce qui concerne le droit du travail et les aspects économiques. Les associations professionnelles pour les aspects concernant leur secteur d'activité et leur capacité à solliciter les compétences de professionnels sur le terrain
Plus de confiance = plus de transparence mais aussi des élus plus en cohérences avec ce que vivent les citoyens. Ce qui impliquerait de ramener l'ensemble de leurs revenus à un niveau décent, en rapport bien sur avec leurs responsabilités et les compétences nécessaire à le tenue de leur fonction. Ex, quand un élu gagnant plus de 20k€ considère que de réduire l'APL de 5€, ce n'est rien, il n'est pas crédible par rapport à un citoyen travaillant et gagnant le SMIC. Mais aussi, en "obligeant" les élus à remplir leur fonction : c'est toujours très affligeant de voir un débat à l'assemblée nationale avec des rangs parfois plus que clairsemés ! Et dans ce cas l'absentéisme devrait avoir une incidence sur leur rémunération.
Une bonne chose
"Qui trop embrasse mal étreint !" Je pense qu'être député ou sénateur (par ex), c'est un travail à plein temps si la personne s'investit dans sa fonction avec tout le sérieux que nous, les citoyens, sommes en droit d'attendre. Député + maire d'une petite commune rurale, pourquoi pas. Mais si la ville compte plus de 2000 ou 3000 habitants, cela nécessite trop de temps de travail et de présence pour être compatible avec un mandat de député ou sénateur.
Les instances démocratiques - Assemblée nationale, Sénat - devrait être représentatives du paysage politique de la Nation. Il devrait de fait y avoir obligatoirement une forte dose de proportionnalité dans leurs rangs.
Non
Veiller cependant à ce que les différentes couches ne possèdent pas de redondances.
En rendant au vote toute sa valeur et donc en intégrant toutes les formes d'expression - prise en compte du vote blanc -et en ouvrant le mode de vote à d'autres moyens existants -ex vote par internet, vote par courrier - le vote pourrait être rendu obligatoire.
Oui
En considérant qu'au delà d'une certaine proportion - par exemple 50% des inscrits -, différente selon l'objet du scrutin, le résultat du scrutin n'est plus représentatif et donc nul. En cas de très forte contestation, il y aurait un risque de bloquer les institutions, mais la démocratie doit intégrer la possibilité d'entendre cette forte contestation.
C'est un rêve et une utopie. Un rêve car quoi de plus précieux pour la démocratie que de donner à tout un chacun la possibilité de s'exprimer en commissions consultatives ou autres groupes de travail. (cela étant, quand on constate le faible taux de participation aux différents scrutins, on peut avoir un doute sur le résultat d'une telle initiative). C'est une utopie car alors on risque fort d'avoir autant d'idées et de points de vue qu'ils y aura de personnes s'étant exprimées. La consolidation puis la synthétisation de tous ces avis ne satisfera personne (ou presque) et l'exercice s'avèrera inutile. Je pense que c'est le rôle du député et de son équipe, qui devraient, en dehors des cessions parlementaire, animer des thèmes de réflexions et recueillir les avis, soit au cours de permanences dans les mairies, soit par voies dématérialisées par mail ou directement sur un site internet tel que celui-ci
Oui
Réduire les contraintes actuelles qui rendent l'exercice improbable. Réduire peut être aussi le périmètre à la région pour accueillir des problématiques plus locales, mais aussi pour un sujet d'ordre national, les résultats des différents RIP étant ensuite consolidés.
Utilisation de l'argent public par l'état : creation d'une commission paritaire -assemblée nationale et sénat - dans laquelle tous l'éventail politique ayant obtenu plus de 5% des résultats à la précédente élection présidentielle serait représenté au prorata des résultats obtenus. Cette commission pourrait alors valider ou invalider un projet avant d'engager 'argent public, quitte le cas échéant à ce que le député / sénateur consulte son propre électorat sur le sujet pour déterminer sa position auprès de la commission.
Le rôle central comme écrit précédemment. Le rôle de catalyseur des revendications, le rôle d'écoute et de "courroie de transmission intelligente" (car il y a indubitablement besoin d'un filtre)
Oui
En plus du pouvoir législatif, leur donner le rôle de contrôle de la dépense publique. Mais cela implique qu'eux même soient vertueux et refuser à la quasi unanimité le recul de leurs émoluments n'est pas très sérieux. Eux aussi doivent faire des efforts.
Être stricte sur nos valeurs actuelles, mais juste et équitable : refuser le port de tout signe extérieur lié à la pratique d'une religion ou à une croyance. Ainsi un bijou ayant une connotation religieuse (main de Fatma mais aussi croix chrétienne) devrait être porté caché.
Le respect des valeurs tient du culturel et aucune loi, aucune sanction ne pourra jamais le garantir. C'était le rôle de l'éducation civique pratiquée dans les années 1960. C'était aussi l'un des point très positif lié au service militaire. Aujourd'hui, le retour de l'instruction civique et le service citoyen vont dans ce sens. Je crains que l'affichage des paroles de la Marseillaise dans les classes, ainsi que la présence des drapeaux ne se révèlent contre-productifs.
Avant de le renforcer, il faudrait qu'il existe. Le premier des engagements citoyen n'est-il pas de participer aux différents scrutins. Réformons le scrutin pour le rendre plus facile à organiser comme a y participer, et permettant de recueillir le vote de tous (prise en compte des votes blancs)
la solidarité et le bénévolat
Rendre le bénévolat presque "gratuit" en considérant que les frais de déplacements engagés et justifiés par les bénévoles soient défiscalisés
Les rendre visibles, et surtout (mais c'est partiellement déjà le cas - versus représentant des usagers du système de santé ) les défrayer.
les dégradations des biens public comme des biens privés, les propos tenus à l'égard de certaines catégories de personnes - dont d'ailleurs les politiques -. Pour lutter contre les dégradations, rendre tout citoyen imposable et imposé, pour qu'il s'approprie les biens publics comme étant son propre bien et le respecte comme tel. Pour ce qui est des propos tenus, des amalgames, des préjugements, de l'arbitraire, c'est de nouveau un problème de culture précédemment évoqué.
Des rappels à l'ordre pour les plus légères, mais beaucoup de fermeté pour les plus graves - dégradation, violences verbales et/ou physiques, menaces -
L'éducation des enfants
Les retraités (messages et actes discriminatoires véhiculés par l'Etat), les grands malades et malades en rémission (difficulté d'obtenir un prêt faute de satisfaire au volet "assurance vie")
Pour ce qui est des retraités, adopter un discours plus juste et plus honnête sur un plan intellectuel. Dans sa lettre au français, notre président écrit, je cite, "...ceux qui travaillent financent les pensions des retraités". Puis dans la fiche "fiscalité", la décomposition de la dépense publique place au premier rang des dépenses toutes catégories la dépense sociale pour les retraites avec 26.8%. De fait, depuis plusieurs mois, on entend fréquemment "que les retraités ont plus de pouvoir d'achat que la moyenne française, justifiant ainsi l'inégalité avérée devant la fiscalité. C'est oublier volontairement de dire que chacun des retraités a cotisé à l'ASSURANCE retraite (cf le terme générique du cite de la CNAV https://www.lassuranceretraite.fr/portail-info/salaries) pendant plus de 40 ans, et qu'une assurance obligatoire pour le régime général et partiellement facultatif pour le régime complémentaire se justifie par une contrepartie - le versement de la pension de retraite - quand l'objet assuré est activé. Reste à charge effectivement pour la collectivité la part des minimas sociaux - minimum vieillesse - et plus globalement l'écart pouvant exister entre le cumul des cotisations des actifs - part salarié + part employeur - et le cumul des pensions versées au titre du régime général. Pour ce qui est de l'accès aux prêts bancaires des malades en rémission, il faudrait assouplir les conditions d'obtention des assurances et intégrer ce risque très relatif aux contrats
Oui
Comme déjà proposé dans une autre fiche, en tenant compte de la nature de l'allocation, instaurer un service "civique" au niveau des municipalités ou la possibilité de choisir d'être bénévole dans une association réputée d'utilité publique.
"La France, terre d'accueil" ça a toujours été un des fondements de notre société. Ne touchons pas à cela Par contre, pour reprendre un ancien propos, il faudrait opter pour une immigration choisie et non pas une immigration subie. Il ne sert à rien d'accueillir des hommes, des femmes, des enfants si on n'a pas précédemment des places disponibles dans les structures d'accueil, et si ensuite nous ne sommes pas en capacité de leur proposer une intégration dans la vie sociale et professionnelle leur permettant d'acquérir leur autonomie.
non, trop rigide
Pas d'autres idées
Eviter les regroupements formant ghetto, rendre obligatoire l'apprentissage et une pratique minimale de la langue. La scolarité étant obligatoire en France, elle l'est tout autant pour les immigrés une fois l'aspect langage résolu
non
Quel est l'organe le plus important ? Le coeur, le poumon, les reins ? TOUS bien sûr, car ensemble, ils contribuent à la Vie. Une chaine n'existe que si l'ensemble de ses maillons existent.
Favoriser une évolution culturelle en formant - pourquoi pas dès l'école - à une prise de conscience des problèmes environnementaux et en favorisant par une fiscalité juste et équitable les efforts de chacun. Pourquoi des subventions, crédits d'impôt, TVA à taux réduit pour l'amélioration de l'habitat existant, et 0 subvention, 0 crédit d'impôt et TVA taux plein pour la construction d'une maison passive neuve ? Pourquoi être inciter à construire "mal" et moins cher aujourd'hui, pour bénéficier d'ici 2 ans des avantages de la rénovation ?
Oui
Coût de l'énergie en hausse impactant le budget chauffage, avec des écarts climatiques de plus en plus fréquents et d'amplitude de plus en plus forte. Dégradation du cadre de Vie, disparition des polinisateurs, appauvrissement de la terre nourricière impliquant l'usage de produits chimiques, de cultures hors sol etc... toutes chose qui nous éloigne de la nature.
Oui
Limitation des déchets, limitation du gaspillage systématique de l'eau, de l'électricité, utilisation quand c'est possible des transport en commun, du covoiturage. Production d'énergie via des panneaux photovoltaïques - mais il est totalement illusoire d'y rechercher un retour sur investissement - en préférant les systèmes de chauffage par pompe à chaleur - y compris production d'eau chaude sanitaire, sèche linge, etc...-
Des transports en commun confortables, relativement fréquents, à un coût kilométrique inférieur au coût variable d'utilisation d'un véhicule automobile
Une TVA réduite. La transition écologique est nécessaire pour la survie de notre environnement et probablement à long terme de l'espèce. C'est probablement aussi fondamentale que de se nourrir, même si l'un est sur du très long terme et l'autre du domaine du besoin quotidien.
Non
None
Oui
Des transports en commun confortables, relativement fréquents, à un coût kilométrique inférieur au coût variable d'utilisation d'un véhicule automobile
None
La région
100 fois sur ton métier… Difficile face à certains acteurs, y compris de pays très développé. Créer et animer un noyau de pays convaincu pour peu à peu, selon le principe de la tâche d'huile, entrainer les pays les moins réticents
Adopter un discours officiel VRAI. Il est vrai qu'il faut basculer progressivement - mais pas du jour au lendemain- sur des énergies renouvelables et moins polluantes. Il est faux de prétendre que l'Eolien ou le photovoltaïque, hors subvention, constituent des systèmes rentables. S'il est vrai de prétendre que les panneau photovoltaïques actuels produisent de l'électricité même sans soleil, encore faut-il préciser que la production est alors tellement faible que cela peux tout juste servir à allumer une ampoule, qui plus est de jour… Un discours volontairement tronqué, pour ne pas choquer, pour ne pas faire hésiter est totalement contre productif
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