Il faut avant tout simplifier l’impôt, de manière générale, supprimer les niches fiscales, les exceptions, les cas particuliers catégoriels qui ont été créés au fil du temps, et jamais réévalués. Cela permettrait de faire en sorte que l'impôt soit plus simple à comprendre et à évaluer.
les impôts devraient être progressifs, par une formule de calcul, et non "par tranches". Ainsi, une faible augmentation de revenu ne ferait plus "sauter une tranche", et augmenter d'un coup le montant, comme c'est le cas actuellement. Il faut également simplifier toutes les exceptions, cas particuliers, et autres, pour que l'impôt soit plus facile à estimer. Enfin, il faut que ceux qui travaillent - et de ce fait, financent une grande partie des aides, prestations diverses, santé, retraite, chômage... - soient moins "pénalisés" par l'impôt sur le revenu, et qu'on "pénalise" fortement l'argent qui dort, gros patrimoines immobiliers (dont l'évaluation ne doit plus être laissée aux soins du seul déclarant), rentiers, et qu'on punisse de façon marquante l'argent mal acquis (travail au noir, trafics en tous genres, détournements...).
Lzs revenus du travail devraient être moins taxés que les rentes, plus-values immobilières importantes, revenus des diverses spéculations financières, immobilières). De même, les "gros" héritages devraient être fortement taxés, pour aider les jeunes qui débutent dans la vie sans bénéficier de ce genre de "coup de pouce"
Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|taxer à leur cout réel, tout ce qui induit une charge pour la société (par ex. le tabac, dont le coût pour la collectivité est colossal, comparé au niveau des taxes)
revoir les conditions d'attribution et surtout fixer des conditions de maintien des aides sociales pour les personnes en âge et en état de travailler qui ne vivent que des aides sociales. Privilégier les salariés à faible revenu dans l'attribution de logements social situés à proximité de leur lieu de travail. imposer des conditions pour l'attribution des logements sociaux: par ex., si le nombre de personnes diminue dans le foyer, l'attribution d'un autre logement social plus petit doit être la règle, pour permettre à une famille qui en a réellement besoin, d'accéder à ce logement Et, dans tous les cas, imposer une règle absolue: le niveau de vie d'un salarié, même à temps partiel, doit être nettement supérieur à celui d'une personne d'âge et de condition similaire qui ne travaille pas et n'a pas de revenu propre, en prenant en compte toutes les aides et avantages / réductions (transport, logement, santé, garde d'enfant...).
santé, handicap, logement
Avant de penser à augmenter les impôts, il faudrait d'abord diminuer les dépenses inutiles de l'état, notamment ces "usines à gaz" administratives qui emploient beaucoup de personnel sans réelle utilité. Cela permettrait de dégager des fonds pour améliorer l'action publique. Une fois que cela sera fait, il pourra être question de nouveaux impots
L'ISF était un impôt symboliquement fort, mais mal construit, punitif pour les riches qui financent l'emploi, la culture vivante ou des causes sociales et environnementales d'intérêt. Et surtout il était mal et peu contrôlé (exemple du montant du patrimoine immobilier généralement très largement sous-évalué), d'où une efficacité faible. Dans le cas où la valeur d'un bien intervient dans le calcul de l'impôt, des règles liées à la revente de ce bien doivent être fixées, par exemple, interdiction de revente à un prix supérieur au celui déclaré, ou redressement d'un montant égal à la différence de déclaration.
Je souhaites des élus qui sont plus concernés par les problèmes des français et qui les connaissent, donc moins d'élus "professionnels de la politiques". Des élus qui sont réellement résidents dans leur circonscription, qui ont une expérience professionnelle hors de la politique.
Oui
association de citoyens qui oeuvrent pour la collectivité et qui sont reconnus pour leurs actions, et connaissent réellement le terrain, dans différents domaines: aide aux personnes, éducation, environnement...
des élus vraiment représentatifs, par exemple élus en binômes: moitié homme / femmes, salariés / retraités, des élus qui résident réellement dans leur circonscription (qu'on a pu croiser dans la rue ou au supermarché), interdire les candidatures "parachutées" (les couples qui se présentent à 2 endroits différents, les élus d'une circonscription qui se présentent dans une autre à l'élection suivante...). Des élus qui ont au moins 5 ou 10 ans d'expérience salariée. Et mettre fin aux "carrières politiques" des hauts fonctionnaires.
Une bonne chose
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Les différentes assemblées sont pour moi, représentatives d'un territoire, la commune, le département, la région, et non d'une sensibilité politique. Je ne souhaite pas qu'on accroisse le "poids" des partis politiques, ils sont en partie responsables de la situation actuelle
Oui
On pourrait remplacer le sénat par une assemblée d'élus "en poste", par exemple des maires représentatifs à la fois des petites et grandes communes, des centres urbains et des milieux ruraux, et répartis en fonction des sensibilités politiques des élus français.
je trouve inadmissible de se plaindre de ses élus quand on a refusé de voter. Mais cela signifie aussi que certains ne se reconnaissent pas dans les candidats proposés, il faudrait faire évoluer les conditions pour être candidat et pour faire campagne, pour permettre à plus de sensibilités d'être représentées
Oui
au 1er tour de chaque élection.
Beaucoup de sujets sont très complexes, nécessitent un gros travail et une connaissance fine des domaines pour être réellement compréhensibles par n'importe quel citoyen, quel que soit son niveau d'étude ou son expérience. Certains lobbyistes ou populistes s'empresseraient d'induire en erreur les citoyens, à grands coups de campagnes de désinformation. Par contre, les associations, généralement proches des français et ayant une bonne connaissance de nombreux sujets, seraient un bon intermédiaire pour faire participer les citoyens à la vie de notre pays.
Oui
Le RIP pourrait être déclenché par d'autres élus que les parlementaires, par exemple un ensemble de maires soutenus par un ensemble de citoyens de leurs communes
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Ces assemblés, notamment le sénat, ont trop souvent l'image d'un refuge pour anciens élus ou ministres. il faut les réformer.
Oui
des élus plus représentatifs de la vie réelle de notre pays, donc, des élus "neufs", des acteurs économiques majeurs, des acteurs associatifs impliqués dans l'évolution de notre territoire devraient y avoir une place.
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Le service national, s'il était souvent inintéressant à mon époque, permettait de rassembler des gens qui ne se seraient jamais croisés, de milieux sociaux culturels variés notamment. Un service civique ou militaire portant sur la participation active de chaque jeune adulte à la vie du pays, dans des domines tels que la défense, l'aide aux démunis ou aux jeunes en difficulté scolaire, la formation professionnelle... devrait être obligatoire pour acquérir l'ensemble des droits du citoyen. Il faudrait, par contre l'adapter, en fonction des profils, pour éviter, par exemple qu'un jeune qui a trouvé un emploi soit obligé de le quitter pour cette période (par exemple, des aménagements, des missions adaptées...)
le dialogue, la prise en compte de l'autre, l'action collective
il faudrait valoriser l'action dans des associations d'aide aux personnes en difficulté, de protection de l'environnement, du patrimoine..., et faire en sorte que ceux qui font vivre notre société, la rendent plus humaine, plus active, soient récompensés de leurs efforts
les jeunes devraient être incités, dès leur plus jeune âge, à aller vers les autres, et à aider. Par exemple, en incitant les établissements scolaires à mener des actions citoyennes en tous genres, aide aux personnes handicapées ou âgées, participation à des actions d'associations de protection du patrimoine, de l'environnement ou des animaux... Il faudrait aussi les responsabiliser, et non les infantiliser en les surprotégeant, comme c'est souvent le cas aujourd'hui
le manque de respect vis-à-vis des autres, le "moi d'abord" permanent. Il est exaspérant de constater que de jeunes retraités en pleine forme laissent moins facilement leur place à une femme enceinte ou un handicapé, que leu jeune de banlieue qu'ils auraient traité de racaille et regardé de travers. Le stationnement anarchique est considéré comme un droit par certain, tout comme certaines infractions routières pourtant très dangereuses téléphone, vitesse, alcool...)
Ces incivilités doivent être sanctionnées, mais de façon adaptée, sur le principe de la réparation complète du trouble ou du dommage subi. Celui qui a dégradé un bien public ou privé doit le réparer intégralement. Celui met les autres en danger par sa conduite, doit dédommager la société par des travaux d'intérêt général en lien avec son acte, et être confronté à la réalité du danger qu'il a négligé.
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les discriminations sexistes sont les plus fréquentes, au travail comme dans les activités de loisir. C'est autant ces hommes qui se moquent d'une femme qui ne serait, selon eux, "pas capable" de faire ce qu'ils font, que ces remarques que j'ai subi, étant jeune animateur de colonie de vacances, quand je voulais prendre en charge le groupe des plus jeunes, parce que les animatrices seraient, paraît-il plus compétentes avec les 3-6 ans
il faut faire une place à une plus grande diversité de profils, dans tous les domaines de la société, à commencer par l'état: les hauts fonctionnaires et les cadres de la fonction publique sont encore trop souvent des hommes issus de milieux sociaux privilégiés. Il faut, pour l'ensemble de la fonction publique et notamment l'encadrement, diversifier le recrutement, notamment en limitant l'influence de certaines grandes écoles qui monopolisent certains postes qui leur sont presque réservés, ouvrir la fonction publique aux salariés expérimentés issus du secteur privé, aider les bons élèves de lycées "de banlieue" ou "ruraux" à intégrer des écoles qui sont trop souvent monopolisés par des élèves de milieux urbains favorisés qui en possèdent les codes, casser les successions familiales dans de nombreux domaines (l'officier finls, petit-fils et arrière-petit-fils d'officier par ex.)
Oui
les allocations doivent être associées au respect de règles, et éventuellement de formation ou d'action visant à réduire ou supprimer le besoin de l'allocation lorsque c'est possible. Supprimer les allocations est souvent peu efficace, en revanche, des règles doivent être fixées, et, si nécessaire, des formations obligatoires doivent être imposées (parentalité, gestion de budget, règles de vie, droits et devoirs...). Dans certains cas, des actions citoyennes devraient être imposées (participation à la vie de la commune, aide aux personnes agées ou handicapées, participation à une activité de réinsertion profesionnelle...)
Pour moi, le principal problème de l'immigration est l'accompagnement à la citoyenneté: chaque immigré doit être guidé pour qu'il apprenne la langue, intègre ses droits et ses devoirs s'il choisit d'habiter en France. Les enfants et petits-enfants des immigrés d'hier sont parfois mal intégrés car leurs prédécesseurs n'ont pas été intégrés, voire ont été mis de côté.
Des objectifs chiffrés ne me semblent pas nécessaires. En revanche, des critères de "sélection" liés aux besoins de notre pays et au profil des immigrés doivent être fixés et respectés
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apprentissage de la langue et de la citoyenneté, critères d'accueil à respecter (comportement, vie familiale, éducation des enfants...)
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L'état est un gigantesque millefeuille administratif, tant verticalement qu'horizontalement. Et la plupart de ces strates ne rendent aucun compte aux citoyens contribuables.
Non
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Non
services hospitaliers de proximité. Mais ce manque est probablement aussi dû au manque de praticiens (médecine de ville). Cela pourrait être partiellement soulagé par des règles d'installation des médecins, et la réintroduction des gardes de médecine de ville obligatoires pour tous les médecins. Il pourrait également être développé, dans les maisons médicales qui se créent un peu partout, un système de médecin d'urgence de proximité avec un généraliste formé et des moyens permettant à un praticien spécialisé d'un centre hospitalier d'intervenir (on déplace le médecin, pas le patient) ou d'assister le généraliste. C'est notamment vrai pour les petites maternités: au lieu de les fermer, on conserve les installations à proximité des patientes, et c'est l'équipe médicale qui se déplace en fonction des besoins (ou bien on crée des unités mobiles équipe + matériel si c'est possible)
Toutes les démarches devraient être totalement réalisables en ligne. Pour certaines, qui nécessitent par exemple des contrôles "physiques" (documents d'identité), une première étape en ligne permettrait de fournir l'ensemble des documents et informations, et de fixer un rendez-vous de finalisation. Et pour les quelques foyers qui n'ont pas accès à internet, ne savent pas l'utiliser ou ont un problème pour comprendre les modalités de la démarche, des postes seraient disponibles en mairie avec un agent d'accueil, sur RdV.
Oui
Oui
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En premier lieu, tous les services publics doivent adopter un langage "courant", et abandonner définitivement le langage administratif qui déroute nombre de citoyens. C'est notamment (et surtout) valable pour la justice: nul n'est censé ignorer la loi, mais lorsque la loi est incompréhensible car rédigé dans un langage ampoulé d'un autre temps, cette règle est difficile à respecter.
Oui
Non
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déclaration de paternité, dans un couple PACSé. Il semble curieux de ne pas considérer par défaut que l'homme, dans un couple pacsé, est le père de l'enfant à naître.
Non
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Oui
Mettre fin au régime de la formation unique dans de nombreuses fonctions publiques, et notamment les hauts fonctionnaires tous énarques. Attribuer les postes concours (internes comme externes) en fonction de compétences (expérience profesionnelle, stages...) , et non en fonction du classement du concours ou de l'examen de sortie Intégrer, pour chaque concours de la fonction publique, une proportion de postes réservés à des salariés du privé expérimentés. Imposer à chaque candidat à un concours externe, quel que soit sa catégorie, une expérience professionnel de 5 ans dans le secteur privé marchand ou dans le secteur associatif en rapport avec ses missions futures
Il doit être possible de déroger localement et temporairement à certaines règles pour s'adapter à une situation particulière. Par exemple: - dans les zones d'éducation dont le public est difficile ou spécifique, permettre au chef d'établissement d'adapter les programmes et les méthodes de travail pour améliorer le niveau des élèves - améliorer les transports collectifs sur les territoires ruraux ou périubains vers les centres économiques et administratifs, par exemple en développant le transport à la demande dans les secteurs à faible densité de population, mais aussi, en modifiant localement les règles relatives aux taxis /VTC pour les rendre plus économiques ou mieux adaptés (type de véhicules notamment)
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certains professionnels de santé utilisent toujours des feuilles de soin papier, pour lesquelles le remboursement est souvent très long. Or, ils sont tous équipés d'un ordinateur et d'internet. Pourquoi la CNAM n'a-t-elle pas encore imposé le télétransmission pour tous les professionnels ? d'autant que ça permettrait de réduire le personnel des CPAM, donc les frais de fonctionnement.
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La pollution de l'air
forcer l'évolution vers de nouveaux moyens moins polluants, sans "punir" ceux qui n'ont pas les moyens de changer ces moyens. Par exemple, interdire définitivement dans un délai imparti, la commercialisation des technologies polluantes, lorsqu'il existe une alternative viable. Par exemple, imposer la technologie hybride sur toutes les voitures d'ici 4 à 5 ans maximum en interdisant la propulsion énergie fossiles unique. Interdire la commercialisation des chaudières fuel, des convecteurs électriques gourmands en énergie et peu efficaces). Inciter les communes à rendre piéton les centres-villes, et limiter l'installation de nouvelles zones commerciales péri-urbaines accessibles uniquement en voiture. Remettre en service, avec des moyens modernes et ingénieux les petites lignes de chemin de fer en développant une offre adaptée (trains automatiques de faible capacité, voire "à la demande", par ex.)
Oui
multiplication des épisodes climatiques, tempêtes violentes, hivers trop chauds.
Oui
limiter les déplacements en voiture est relativement simple, dans une grande partie de la France, avec un minimum d'effort: privilégier les commerces de proximité accessibles à pied, se déplacer en vélo ou à pied, ou en transports en commun lorsque c'est possible. Cela demande un effort, qui est souvent très modeste.
le prix du carburant est un critère, mais le plus gros problème est souvent le manque ou l'inadaptation des infrastructures: zones d'activités ou commerciales sans trottoirs, absence de pistes cyclables (et laxisme des forces de l'ordre pour les faire respecter par les voitures ou les motos), parcours piétons alambiqués, encombrement des trottoirs par du mobilier urbain, des emprises commerciales... Il faudrait prendre des mesures énergiques pour améliorer ces points, et mettre les moyens pour le faire respecter, tant par les citoyens que par les communes.
amélioration des réseaux de transports en commun (fréquence, parcours, rapidité)
Oui
une TVA réduite sur les moyens les plus vertueux, et une TVA majorée pour les plus polluants, en attendant leur disparition programmée à court terme
Oui
j'utilise les transports en commun, mais les communes / intercommunalités ne sont pas toujours très performantes dans ce domaine. Il faudrait les inciter, voire leur imposer, une amélioration, en terme de fréquence, de rapidité, de performances. Et surtout les contraindre à dépenser là, plutôt que dans des mesures plus "vendeuses" politiquement
Le transport à la demande|Le vélo
commune / intercommunalité Les entreprises peuvent également inciter: moins de salariés en voiture, c'est moins de surface de stationnement. J'ai vu, dans des entreprises allemandes, des entreprises donner des primes aux salariés qui ne venaient pas en voiture. Une entreprise partenaire de la mienne avait même pu agrandir ses locaux en utilisant les surfaces de parkings ainsi dégagées, réalisant ainsi une économie financière non négligeable
faire pression pour adopter une législation européenne écologiquement vertueuse sur les produits et services importés. Par exemple, taxer les produits qui font le tour du monde pour bénéficier de la main d'oeuvre la moins cher, ou qui utilisent des technologies polluantes, qui déforestent, etc... et/ou moins taxer les produits vertueux. Dans ce contexte, une entreprise française redeviendrait compétitive, et donc cela créerait de l'emploi
Nous avons aujourd'hui une connaissance de plus en plus grande sur les conséquences à long terme de la pollution, de l'usage immodéré de produits phytosanitaires, de la dégradation du milieu naturel. Il serait temps de les utiliser à bon escient
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