Elu municipal car issu de mon environnement et connaisseur de mes contraintes locales. En général, belle dynamique de la politique locale et engagement des élus pour le bien collectif quels que soient leurs bords (il y a bien quelques querelles quand même...). le rôle et la compétence des maires doit être renforcé (formation plus spécifique aux aspects techniques de gestion/réglementation...?) afin qu'ils puissent: 1. administrer leur ville 2. représenter leurs concitoyens dans d'autres contextes (à définir selon la régle du cumul des mandats). La "fraicheur" des idées et des motivations doit être encouragée tout en garantissant une certaine compétence "technique". L'un n'allant hélas pas toujours avec l'autre, et c'est ce qui fait toute la critique de la politique actuelle (vieux technocrates aguerris aux rouages administratifs versus jeunes idéalistes de terrain à qui on reproche vite de n'être que des marionnettes).
Oui
Associations qui représentent les citoyens et leurs spécificités/ difficultés (malades, handicapés, sans logis, minorités, consommateurs, parents, enfance maltraité, droits des femmes..) : role consultatif dans tous les débats traitant de dispositions les concernant ou pouvant les impacter. Quant aux organisations syndicales/professionnelles, elles ne m’apparaissent hélas pas conséquentes par rapport à leurs -nobles - missions initiales, car trop partisanes, extrémistes, incapables de consensus et/ou de propositions modérées dans l’intérêt du plus grand nombre (ie dans l’intérêt aussi des autres parties).
Un jeu de chaises musicales! Chacun son tour, prendre le rôle de l'autre (patron, élu, employé, sans emploi) pour comprendre la complexité du système et l'absurdité des oppositions et critiques binaires riches/pauvres, méchants patrons/employés exploités... Plus concrètement, inciter à plus de débat citoyen avec les élus, mais sous quelle forme...? je n'ai pas vraiment de solution !
Je ne sais pas
j'étais favorable au non cumul car un elu ne peut pas assurer correctement plusieurs missions requérant un fort niveau d'engagement (à moins de tout faire mal). MAIS, l'écueil de ce non-cumul est la déconnexion entre la réalité de terrain et la sphère décisionnelle parisienne. Comment nous assurer que nos élus à Paris restent conscients des impacts concrets des décisions prises dans les bureaux de la technocratie (compétences techniques essentielles au demeurant, mais qu'il faut en permanence challenger et recentrer vers les besoins de la vie réelle des français). La technicité ne peut pas être une fin en soit, elle doit être au service (et à l'écoute!) des gens.
None
Oui
ne sais pas, je ne connais pas assez la situation
Elle est insuffisante et déabusée
Non
None
J'imagine une implication plus systématique des citoyens dans les assemblées décisionnelles (par ex réserver des sièges dans les conseils municipaux/assemblée parlementaire) à des citoyens (tirés au sort?) qui auraient une voix décisionnelle. Et pourquoi ne pas aussi y inclure des mineurs à but consultatif pour les éduquer au devoir civique. Comment rendre le français acteur de sa vie politique autrement que par la contestation et le blocage? Comment redorer le blason de l'action citoyenne?
Je ne sais pas
Le RIC ne me satisfait pas vraiment, il ne permet pas de réél débat, où les gens qui réclament qlqch se projettent aussi sur la faisabilité et les modalités d’exécution ( ex le Brexit!). C'est trop facile de dire "je veux" sans réfléchir à "comment on fait". L'exemple Suisse n'est pas si mirobolant, les referendums monopolisent beaucoup d'energie de "votation", souvent portés par des groupes lobbyistes, partisants, qui renouvellent quelques temps après les même sujets même si la majorité les avait débouté.
Avant de consulter, il serait bien de maintenir une stratégie de communication claire, accessible et transparente sur la réalité des dépenses publiques. Je ne suis pas sure les gens souhaitent changer les choses, il s'agit plutôt de COMPRENDRE. Un peu plus de pédagogie de ferait pas de mal! C'est d'ailleurs ce qu'on voir actuellement sur nos chaines de TV: combien un enfant coute à la collectivité par année d'école, combien un accouchement ou une journée d'hospitalisation coute au contribuable... Les rapports de la cour des comptes, s'ils sont publiques (je n'ai pas cherché), sont surement difficiles à lire pour un neophyte, et la synthèse faite via le prisme des médias est rarement exhaustive et objective. Bref il est difficile aujourd'hui d'avoir une vision d'ensemble claire de l'utilisation de l'argent public et de tous ses bénéficiaires (mais est-ce seulement possible??).
je ne connais pas assez le role de ces institution et leurs liens avec les territoires pour répondre
Oui
je ne sais pas
Laïcité ne doit surtout pas vouloir dire ignorance des religions dans le domaine de vie collective. Des cours d'éducation à l'histoire des religions devraient être inscrits aux programmes scolaires (tout comme des cours d'éducation civique) pour permettre aux enfants de comprendre leurs différences culturelles et faciliter la tolérance: "pourquoi sa maman porte un voile? pourquoi on fete noel? pourquoi son zizi ne ressemble pas au mien? comment on reconnait du "sans porc" à la cantine? laisser ces sujets à la porte de l'école n'est pas satisfaisant car ils font parte de la réalité de tous. Sans le défendre en l'état, le statut concordataire résiduel d'Alsace Moselle qui autorise encore les cours de religion à l'école publique (non obligatoires) est un étonnant mélange des genres entre état et religion dans la vie quotidienne. Il démontre en tous cas une facette positive du rôle que peuvent prendre les églises dans la vie sociale (participation des clercs aux Centres communaux d'action sociale par ex...accomagnement personnes agées, malades, prisonniers...).
Une grosse partie dépend de l'éducation: Education civique (en parallèle de l'acceptation des religions qui ne doivent pas être ostracisées par les laïcards). Vers un "uniforme" à l'école pour éviter les signes de différences sociale/religieuses?
Service civique En cas de délit à l'encontre de la collectivité, des biens publics (dégradation, vandalisme, insultes...) sanction systématique qui pourrait consister en une implication de la personne (même mineure) dans des travaux d’intérêt généraux, un engagement associatif sur une durée donnée, une immersion en entreprise, dans un hôpital, dans une maison de retraite...Même si dans la réalité la mise en œuvre de telles actions demandent beaucoup de moyens, de ressources, d'encadrement...
Tolérance de la différence de l'autre Respect de la liberté de l'autre Aide à la personne Précautions vis à vis de l'environnement
Mélange des cultures, des origines sociales, des religions, ...à l'école, dans l'entreprise, dans l'habitat Apprentissage de différentes langues, voyages, esprit de curiosité et d'ouverture vers l'autre qui est toujours une richesse
Des actions collectives? Des bons points citoyens?
Agressions verbales (ou plus...) faites aux femmes. Briser les modes d'éducations hypergenrés où les hommes et les femmes sont cantonnés dans des rôles prédéfinis, le plus souvent basés sur pouvoir masculin/patriarcat versus maternité/servitude Pollution de l'espace public (vider son cendrier au feu rouge, balancer son sac mac do sur la pelouse... ), notre argent public sert à payer des agents pour ramasser nos déchets dispersés aux bord des routes, dans les parcs publics, la rue, les transports en commun..., quelle aberration, quand nous ne savons plus comment faire des économies, que de devoir dépenser pour ramasser ce que nous pourrions nous même d'un geste jeter dans une poubelle.
Les dispositions réglementaires existent, arrêtons de créer de nouvelles lois-pansement à chaque événement, il faut axer nos effort sur notre capacité à mettre en œuvre les textes existant et les faire respecter. je n'ai jamais vu un policier sanctionner quelqu'un qui balançait sa bouteille en plastique par terre (avec une poubelle à moins de 10 m en général...). Sinon, Il y a suffisamment de caméras de surveillance partout pour sanctionner les violences, les vols, mais aussi les pollueurs!!!
Ne pas rester passif quand on est témoin de ces incivilités. Sans se substituer à l'Etat, manifester notre désaccord systématiquement serait déja un signal fort. Mais il faut reconnaitre que ce n'est pas toujours facile, voir périlleux.
Sexisme et racisme (ou l'inverse, j'hésite). L'homophobie ne doit pas être négligée (car elle se traduit par des agressions sérieuses), mais je pense que l'opinion publique à évolué positivement, plus rapidement que sur les autres formes de discimination, suite à la Manif pour tous (à son corps défendant!). Au final, malgrè la libération de propos et comportements honteux qu'elle a suscité, cela a aussi permis de faire connaitre des situations humaines concrètes (familles homoparentales) et des difficultés communes à tous comme la PMA, le don de gamètes, la GPA qui, quoiqu'en disent leur détracteurs, concernent autant, si ce n'est plus, les hétéros que la communauté homo.
Education education education sanction Un point essentiel: le monde 2.0! Internet ne peut pas être une zone de non droit, après les années d'euphorie de ce nouvel espace, la liberté à tout prix ne tient plus face à toutes les dérives que l'on voit sur la toile (insultes, agressions sexistes, racistes, homophobes, prosélytismes de tous bords, calomnies, propagandes, recrutements idéologiques, fake news..). Tout cela devrait être aussi sévèrement réprimé que si c’était exprimé dans le vraie vie, la nouvelle génération doit être éduquée aussi à des règle (et à la présence) de la République sur le web.
Oui
Je manque d'arguments, de principe j'aimerais que l'accès à toute cette solidarité se fasse en pleine conscience des devoirs qui nous incombent vis à vis de la République et de la société française. Dans la réalité, il est difficile d'envisager la privation d'allocations sociales comme sanction pour des gens qui sont souvent dans des situations inextricables (pauvreté, défaillance parentale, maladie...). Il devrait néanmoins être laissé à l'appréciation de la justice la possibilité d'émettre des conditions à l'obtention de certaines allocations dans le cas de délits, quand les récipiendaires des aides (ou leurs proches??) peuvent être objectivement mis en cause dans des manquements aux obligations républicaines.
L'immigration ne m'inquiète pas outre mesure, je pense que les chiffres de population concernés par l'immigration légale progressent avec la population française dans des proportions acceptables. Les flux migratoires entre pays existent de tous temps et continueront au gré des guerres, catastrophes climatiques, marasmes économiques... les critère actuels de politique migratoire me conviennent. Ce qui m'inquiète c'est l'idéologie djihadiste actuelle, mais qui relève d'un autre aspect que l'immigration sensu stricto. Le communautarisme islamiste m'inquiete et je pense que nous n'avons pas à ce sujet les bonnes réponses. Elles ne viennent pas que de l'état français. Le silence et l'absence d'unité au sein des dirigeant/représentants de l'Islam en France pour condamner et contrer ces dérives est préoccupant. Cette passivité va couter cher à tous.
Des objectifs chiffrés sont risqués car risqueraient de se faire au détriment du respects d'autres principes d'accueil déja établis.
Un accompagnement à l'intégration avec respect des règles, conditions pour l'obtention de la nationalité, risques et sanction en cas de délit qui pourraient impacter cette obtention voir entrainer la déchéance
éducation civique, apprentissage langue française, diplômes et équivalences, formation et intégration professionnelle.
J'admire les valeurs de ce pays, Je suis fière d'être née en France, je considère que j'ai beaucoup de chance, que ce pays n'est pas qu'à moi et que chacun peut y vivre s'il respecte notre idéal commun.
Plutôt satisfaisante, même si elle peut apparaître complexe pour le citoyen.
Non
je pense ne pas savoir en fait toutes les compétences qui sont portées par la collectivité territoriale et quels avantages/inconvénients entre la gestion à l'échelle nationale vs délocalisée. Une prise en compte des spécificités de chaque région semble néanmoins indispensable pour répartir au mieux les ressources là où elles seront utiles. Cela passe par des élus qui connaissent le terrain et qui en même temps peuvent prendre part aux décisions (qui si elles se situent à l'étape parlementaire reposent la question du cumul des mandat (député maire): comment faire le lien entre terrain et Paris...?)
Oui
personnellement, avec le développement du numérique, je n'ai pas rencontré de difficultés particulières pour accéder aux services publics dont j'ai eu besoin, mais je n'ai bien sur pas tout testé!
toutes mes données de santé depuis ma naissance (j'ai 43 ans) accessibles sur un seul support numérique sécurisé dans le respect du RGPD.
Oui
Oui
None
mairies (passeports, CIN, certificat de naissance), tribunal d'instance (saisie du greffe)
santé (accès aux professionnels de santé, données de santé)
Oui
Non
None
pas d'exemples à titre personnel, même si sentiment parfois de "lourdeur administrative". En réfléchissant je ne trouve pas de situation concrète où mon mécontentement peut être (uniquement) attribué à l'administration. je comprends aussi les règles et les enjeux pour permettre la mise en œuvre de ces services et prestation de façon universelle et juste.
Oui
sans parler d'autonomie dans le sens de se dissocier des consignes et règles nationales, une attention aux spécificités régionales et une spécialisation des agents selon les contraintes du terrain augmente l'efficacité des actions.
Oui
comment concilier les perceptions des 2 statuts (public/privé) pour que chacun arrête de voir le verre à moitié vide et de réclamer les avantages des autres sans se départir de leurs propres atouts compensatoires: fonctionnaires: emploi garanti à vie, beaucoup de congés payés et journées de travail souvent moins longues, progression salariale moindre, non indexée sur résultats. salariés du privé: incertitude durée emploi, moins de congés payés, salaires et primes plus importants, en relation avec productivité Il conviendrait néanmoins de régulariser/égaliser certains aspects (regime retraite, reconnaissance du travail/mérite, absenteisme, logement de fonction...). et bien sur à revoir: les privilèges des hauts-fonctionnaires, anciens présidents...a minima une fois qu'ils ont quitté leurs fonctions.
en milieu rural, regrouper les compétences de différents services itinérance pour aller informer/aider les personnes isolées
None
Ecole municipale dans une petite ville: très satisfaisant. Ecoute et investissements permanents dans la petite enfance et la jeunesse.
Bureau Pole emploi de proximité: satisfaisant. Personnel organisé, plutôt compétent, toujours à l'écoute. difficultés rencontrées lors de changements de réglementation, le temps que les acteurs locaux aient l'information et les consignes d'application des nouvelles dispositions.
pour l'instant oui (43 ans...)
de principe OK avec la secu locale (Alsace). Difficultés rencontrées lors de perte d'emploi (après 15 ans de salariat et cotisation en Alsace) et passage temporaire en statut d'autoentrepreneur (pour ne pas rester inactive) qui de facto m'a fait quitté le régime local (avec mes enfants) et rendu caduque mon contrat de mutuelle qui était indexé sur régime local...je n'ai reçu aucune information sur ce passage au régime général et il a fallut au final que j'attende de retrouver un statut de salariat Alsace pour régulariser mon système de couverture santé. Un autoentrepreneur en Alsace devrait pouvoir bénéficier du régime local.
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Ne trouvant que peu à répondre à ce questionnaire, cela me permet de prendre conscience que, de manière globale, les services publics tels qu'ils sont déployés dans ma région m'apportent satisfaction pour ceux auxquels j'ai eu recours.
pollution environnement et épuisement des ressources naturelles
Obligation de diminution, tri, traitement des déchets à tous les niveaux (citoyens, entreprises, industrie agro alimentaire, collectivités, états). Modification mode de transports: pas de voitures pour déplacements <5km, accessibilité (coût et desserte) transports en commun, diminution énergies fossiles (je suis pour le nucléaire, il sera hélas incontournable, il faut travailler sur la gestion-rationalisation-sécurisation des déchets, n'en déplaisent à certains), ferroutage pour les marchandises, ce n'est plus possible de voir des centaines de camions traverser la France du Nord au Sud, une taxe poids lourd doit être (re)instaurée (bonnets rouges: un bien triste echec environnemental). Le principe de l'ISF: le transformer en Impot vert où les plus riches paierons plus pour l'environnement (au niveau des entreprises, des déplacements et modes de vie couteux en carbone, des investissements créant de la valeur ajoutée mais hélas aussi impactant l'environnement...).
Oui
(impression? de) mauvaise qualité de l'air, de l'eau à boire au robinet, pathologies infantiles respiratoires, saisons modifiées par rapport à notre enfance (étés secs, hivers chauds sans neige...), faune sauvage rarissime. Forte culpabilité de voir l'empreinte négative de l'homme sur la planête.
Oui
Renoncement à une voiture sur les 2 de notre foyer, utilisation exclusive du vélo pour aller au travail et tout autre déplacement <5 km, éducation de nos enfants dans l'esprit écoresponsable (radiateurs, poubelles, alimentation...), utilisation de la voiture en cas de stricte nécessité, pour les vacances, comparaison avec le train (option qui hélas n'est pas toujours retenue pour un déplacement familial longue distance car au final plus cher, horaires contraignants, voir trop aléatoire avec les risques de grève ou autres écueils techniques récurrents). Passage progressif aux produits bio dans notre consommation en ciblant les plus courants et abordables (fruits, légumes, laitages, oeufs), moins facile pour viande/poisson, parfois incertitudes sur les garanties apportées par les filière.
Que je paie mes déchets au poids, que les produits de consommation vendus sans (triple) emballage soient moins chers (et que les industriels soient contraints de payer une taxe emballage), que j'ai accès à des produits bio et/ou locaux qui permettent de faire vivre correctement leur producteur et dont j'ai la garantie de la qualité (+ bientraitance animale). Que les pollueurs soient sanctionnés (du citoyen à l'industriel) Que l'offre véhicules électriques augmente (ie que l'industrie automobile investisse ENFIN dans ce développement plutöt que de continuer leur efforts R&D sur les véhicules thermiques sous la pression des lobbies energies fossiles). Au sujet de l'industrie Auto, pourquoi déja ne pas produire des véhicule bridés qui ne dépassent pas les vitesses réglementaires (baisse pollution et sécurité routière)? Je n'ai pas forcement besoin de l'aide de l'Etat pour changer de véhicule (je préfère mettre cet argent ailleurs), je veux juste avoir le choix d'un véhicule éléctrique à cout et fonctionnalité équivalente quand arrivera le moment de changer de voiture. Encore faut il que je sois convaincue que l'électricité est une énergie d'avenir en terme de disponibilité, cout, impact environnemental.
Par le biais des impots locaux (qui pourraient augmenter): Taxer de façon personnalisée la production de déchets (bennes "code barre" pesées à l'enlèvement avec système de fermeture à code propriétaire). Promouvoir des points "compostage". Obligation de cotiser pour les transports en commun dans notre localité de résidence (forfait annuel via taxe habitation -comme taxe TV- pouvant dépendre du nombre de personnes par foyer/niveau de revenu), ce qui permettrait ensuite de rendre les transport "gratuits" ad libitum en limitant les couts des contrôleurs. à réfléchir pour les non-résidents (touristes..). Police "de l'environnement" plus efficace pour lutter par ex contre les décharges sauvages...mais aussi contre toutes les incivilités polluantes du quotidien. la sensibilisation et l'éducation doivent bien sur rester constantes, mais il faut aussi des sanctions. l'écoresponsabilité n'est plus "optionnelle", surtout dans les pays occidentaux.
Oui
(chauffage gaz de ville) l'existence d'une autre solution technique à finalité équivalente. la conviction que la nouvelle source d'énergie choisie soit moins impactante négativement sur l'environnement à long terme (électricité? nucléaire?) la garantie que la nouvelle source d'énergie choisie soit fournie à long terme dans des conditions de volumes et de tarifs annoncés (disponibilité, géopolitique...) Conseils avisés et aide financière si gros investissement nécessaire.
Oui
Que mon entreprise m'aide pour mes transports en vélo (achat vélo électrique, subvention au km, mise à dispo d'un parking sécurisé) ce qui n'est pas obligatoire aujourd'hui. Que les espaces collectifs routiers soient adaptées aux déplacements en vélo sécurisés (aujourd'hui vélo trop dangereux dans certaines zones).
Le vélo|Les transports en commun
Ma conscience! bien sur aussi l'Etat, mais nous ne sommes pas que des assistés et c'est à la portée de chacun de prendre conscience des enjeux écologiques à venir et d'adapter ses comportements.
Montrer l'exemple et prendre des positions écologiques assumées, en résistant aux lobbies (industrie Agroalimentaire, chasseurs, routiers, ...)
Toute la difficulté réside dans le fait qu'il faille sortir de sa zone de confort, c'est ce qui rend toute décision/contrainte collective impopulaire. Aucun contingent politique à l'échelle de son mandat ne peut réussir: il faut déja obtenir une majorité sur des questions souvent considérées comme secondaires face à d'autres préoccupations (emploi, sécurité, pouvoir d'achat...), puis lutter contre les bocages systématiques de terrain des mécontents, c'est un dilemne auquel je n'arrive pas à imaginer de réponse politique dans le cadre actuel de l'organisation de notre démocratie. Faut il un totalitarisme écologique? La transition écologique digne de ce nom coutera très cher à notre génération (investissements lourds, promotion de la décroissance, impact sur la qualité de vie...), aujourd'hui personne ne veut se sacrifier, et aucun politique ne tiendra ce discours, même pour la survie d'une hypothétique humanité future.
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