Il faut alléger les échelons au maximum et arrêter le mythe du contrôle permanent qui augmente le niveau hiérarchique en permanence. Il faut alléger la paperasse inutile et permanente : un simple prêt donne lieu à 25 pages illisibles de données et explications en tout genre. Il faut abroger un maximum de lois obsolètes et remettre à plat notre fonctionnement pour faciliter les démarches de tous citoyens. Il faut faciliter le travail des fonctionnaires et les sortir d'un carcan institutionnel qui ne laisse aucune place à l'étude du cas particulier qui ne rentre pas dans les cases. Il faut stopper toute nouvelle lois répondant à des lobbyings de quelques individus et qui ne répondent en aucun cas à l'attente de la grande majorité des français. L'objectif d'une loi n'est pas d'assouvir le désir de quelques-uns, mais bien de travailler au bien commun. Par contre, il est indispensable de remettre en route la notion de respect de chacun, quelque soit ses convictions, ses modes de vie, sa religion, notamment pour les juifs et les catholiques, etc.
Non
Non car déléguer sans donner les moyens met en péril la collectivité locale. Aujourd'hui, trop de désengagements et de mise en difficultés. Toutefois, il est indispensable, si les moyens suivent, de redonner toute sa place aux mairies et rester au plus près des citoyens.
Non
Centre des impôts de proximité, l'accès aux soins, l'accès aux bureau de poste pendant mes heures de non travail professionnel, Internet haut débit
Beaucoup de possibilités existent déjà, mais une communication ou un portail d'accès en fonction du besoin faciliterait les démarches de chacun.
Non
None
None
La CAF, la CPAM, Internet et les sites, tout particulièrement les impôts
La Poste, les permanences des impôts, le service médical, la téléphonie et son réseau
Oui
Non
None
Les documents à remplir et les pièces à fournir pour toute démarche. Cela devient imbuvable. Le suivi et les démarches à effectuer quand au changement de carte vitale de nos enfants devenant majeur. Les demandes de subventions pour lesquelles j'ai baissé totalement les bras mais aussi pour éviter les démarcheurs qui nous harcèlent pour des propositions plus ou moins loufoques et pour lesquelles nous n'avons aucun moyen de savoir si elles sont honnêtes ou pas.
Oui
Faciliter la prise de décision en fonction d'une situation particulière et non les contraindre à passer par un cadre restreint ne facilitant pas le suivi individualisé.
Oui
Moins d'étages, plus de proximité. Il faut que les agents soient au travail, qu'ils puissent évoluer pour ne pas rester amorphes ou en travail minimal. Il faut mettre en place des possibilités de d'évolution inter ministères, inter région, etc. Il faut encourager le travail au plus proches du terrain, les décisions au plus proche du terrain et arrêter de payer des fonctionnaires à penser et proposer sans connaissance réelle des attentes et besoins de la base : principe de subsidiarité.
Diminuer les agents dans les bureaux pour penser et les répartir sur le terrain pour agir.
RAS
Les frais de transports infligés aux parents lorsque nous faisons le choix de les inscrire dans le privé pour un enseignement répondant à nos valeurs et non à des lobbyings sans queue ni tête : où est la liberté de choix. La non prise en compte de la gémellité en enseignement supérieur pour l'octroi des bourses : une les obtient et pas l'autre, pourquoi ? Pas de réponse au courrier des parents sous prétexte de majorité des enfants ?
RAS
RAS
RAS
La difficulté de refaire la demande tous les 5 ans pour un handicap à vie. Les conseils d'un médecin du travail pour un appareillage impossible à trouver chez les prothésistes. AGEFIPH et leur vision étriquée quand à la mise en place de financement, l'absence de suivi concret des dossiers et des financements remboursés car ne répondant pas aux attentes dont le chèque n'a jamais été encaissé, etc.
néant
Les plus grosses difficultés rencontrées sont : 1- des demandeurs d'emplois qui prennent rendez-vous et qui ne viennent pas sans s'excuser. Quel respect ! 2- Des personnels à qui l'on propose des CDI et qui répondent non car ils ont retrouvés leurs droits et préfèrent repartir au chômage 3- Des demandeurs d'emplois refusant un poste car gagnent plus au chômage 4- La difficulté à trouver des candidats dans une campagne reculée
RAS
Le coût du personnel et des charges qui alourdissent un budget et pénalisent l'investissement. Les employés qui vivent avec des salaires minimum au vu des conventions collectives
RAS
RAS
Des lois ont été votées portant atteintes aux valeurs de la France. A quand des lois remettant le sens de l'effort, du travail, de la solidarité, du respect du bien commun ! A quand cet arrêt des lois portant atteinte à la dignité de la personne, du bébé à naître, d'une vie contraire à la nature humaine. A quand un pays qui gouvernera non pour le fric mais en laissant l'homme au cœur du projet, à quand un pays où les politiques seront dans un esprit de service, de prise en compte de chacun pour ce qu'il est avec une attention des plus pauvres. A quand un pays ou l'aide sociale sera prioritairement pour les français, qui s'évertuera à supprimer les aides aux tricheurs. A quand une France d'accueil mais pas à fond perdu : une aide pour toutes personnes arrivant remboursable dans les deux ans ? A quand une France qui arrêtera de bafouer les valeurs chrétiennes qui ont construit la France, sous prétexte de laïcisme intolérant. A quand une France laïc et tolérante pour chacun, sans discrimination mais en cohérence avec ses valeurs. A quand une France qui prendra des décisions non en fonction du vent dominant, mais en fonction du bien commun et des conséquences futurs pour pouvoir préserver notre avenir. A quand une France qui comprendra que les enfants à naître sont l'avenir de notre pays, de nos caisses de retraite, et non pas un objet que l'on choisit de posséder parce que l'on en veut un. A quand une France qui remette le sens de la responsabilité et de l'éducation aux parents en fonction de valeurs clairement exprimées. A quand une France qui redonnera le respect de ses institutions de ses forces de l'ordre, de ses enseignants, etc. A quand une France qui défendra ses agriculteurs qui nous permettent de manger au quotidien. A quand une France qui rémunèrera en fonction du travail accompli et non en fonction du marché et de la bourse. A quand une France où les prix auront du sens et seront cohérents ! Que de choses à dire !!!!
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