une fiscalité qui a du sens facilite la communication à tous.
Plus de niches incompréhensibles mais de la fiscalité incitative : associer la création de valeur pour la collectivité, le service rendu à la collectivité à des gains fiscaux et l'utilisation des moyens collectifs à des coûts fiscaux : exemple : je paye plus de taxe en utilisant un véhicule individuel qu'en utilisant une moyen de transport en commun. Je paye plus de taxe en habitant une logement individuel qu'en habitant un logement collectif. Je paye plus de taxe si j'habite en plein centre ville qu'en périphérie.....
On ne peut pas mettre tous les impôts sur les plus riches sinon ils partent. L'impôt sur les revenus (travail/placements/rentes...) permet déjà de faire payer plus d'impôts à ceux qui touche le plus. Ne rajoutons pas en plus de différence sur les allocations perçues comme cela vient d'être fait pour les allocations familiales. Petit à petit on va arriver à un système où ceux qui créent les richesses financent tous ceux qui n'en créent aucune. Plus on favorise ce système, plus on risque d'augmenter le nombre de personne qui ne créent pas de richesse et plus ceux qui en créent vont de moins en moins tolérer cette situation, entrainant une coupure de plus en plus significative entre ces 2 populations. Il me semble donc que conserver de l'égalité de traitement sur certains postes permettra de ne pas accentuer l'écart entre les 2 populations.
moduler le temps de travail selon l'age: 20 à 40 ans : 40h ; 40 à 55 ans : 35h : après 55 ans : 30h
il faut plus d'aide sociale pour les personnes qui contribuent à la création de richesse pour la collectivité.
Pour ceux qui travaillent et donc pour favoriser le retour vers le travail, que ce soit pour du travail en entreprise mais également pour du travail au service de la collectivité.
Aucun. Il y a déjà assez d'impôt. C'est une meilleure utilisation des impôts qui doit permettre de favoriser les choix nationaux ou locaux sortis des urnes.
non
en quelqu'un qui met en œuvre le programme sur lequel il a été élu et qui repasse régulièrement devant ses électeurs pour confirmer qu'il a toujours leur confiance pour avancer dans la direction initiale ou dans une nouvelle direction si la direction initiale s'avère être une impasse.
Non
None
Je pense qu'il faudrait instaurer des "votes de confiance" en cours de mandat pour s'assurer qu'il y a toujours adéquation entre l'élu et ses électeurs. Voir le film "Demain" sur la politique d'un maire en Indes.
Une bonne chose
Etre payé pour un mandat et un seul et n'être payé que si on le remplit, si on participe donc activement. De même on ne peut pas être au bureau actif d'un parti politique et en même temps parlementaire.
Certaines instances consultatives pourraient être établies sur une base proportionnelle de manière à mieux représenter les différentes sensibilités politiques. Par contre les instances exécutives et opérationnelles doivent représenter la majorité pour conduire l'action.
Oui
Je souhaite élire un seul représentant "local" et un seul représentant "national". Donc 1 maire et 1 député.
Je reprends ce que j'ai dit plus haut. Il ne s'agit par simplement d'élire son représentant et après on se revoit au prochain mandat mais chaque représentant doit revenir régulièrement devant ses électeurs pour faire le bilan de où il en est par rapport au programme qui l'a fait élire. Et seul les électeurs qui ont voté ont un droit de regard sur le bilan. A chaque présentation du bilan, il y a un vote pour savoir si l'élu continue ou si de nouvelles élections doivent être organisée car l'élu n'a plus la confiance de ses électeurs.
Oui
Si on vote blanc, cela veut dire que je participe à la vie politique mais que je ne trouve personne (ou pas de programme) qui correspond à mes aspirations. Pour les élections proportionnelles, cela signifie qu'une partie de la population n'est pas représenté mais qu'elle reste engagée pour le mandat en cours, charge à l'élu de les convaincre par la suite dans la durée avec les actions qui seront mises en œuvre.
Oui. Une démocratie plus participative me parait nécessaire, impérative, obligatoire. J'ai déjà expliqué plus haut le comment. On pourrait compléter la consultation participative par axe ou thématique comme cela peut exister au niveau des instances de concertation sur les projets d'infrastructure ou d'urbanisme, de manière à motiver plus de personnes à participer.
Oui
aucune idée
Déjà faire en sorte que l'on aille jusqu'au bout lorsqu'il y a eu une décision (en gros faire l'inverse de l'ecotaxe "poids lourd" avec ses millions d'euros dépensés pour rien). avant de consulter, il faut mettre une communication plus performante et plus transparente sur les comptes publiques (pas sur une année) par finalité sur la période d'engagement. Et il faut dans tous les cas réduire les dépenses, donc réduire le train de vie de la représentation publique des électeurs/contribuables.
Difficile quand on travaille et qu'on a une famille de tout suivre, savoir ce qui se passe et surtout ce qui va se passer. C'est donc bien aux élus (ou à l'autres par délégation des élus) de représenter la société civile : sur le contexte local pour les élus locaux (maires) et sur le contexte national/européen/international pour les élus "nationaux" (députés).
Oui
moins de représentant, une meilleure communication des actions à entreprendre, en cours, réalisées (bilans sur internet), des lieux et temps de rencontre collectifs pour aborder certains sujets de manière thématique.
None
None
Du temps, donc pourquoi pas, comme pour assister à une cour d'assise, demander aux entreprises d'allouer du temps à un ou quelques salariés engagés dans des actions citoyennes.
Respect des autres (propriété privée, vie privée, expression, pensée,...) ; respect des règles collectives ;
Renforcer l'éducation (par les parents principalement mais aussi dans les comportements à l'école) ; renforcer l'égalité des chances et l'accès à l'instruction et à l'extra-scolaire (sport, musique....) :
None
incivilité déshumanisée (voiture car on est "protégé" de l'autre par les vitres..., internet avec des pseudo et un anonymat protecteur....).
Des "travaux"d'intérêt général pour ceux qui peuvent comme ne peuvent pas payer.
Mettre un système de délation en place ? Non. Cela n'est pas à chacun de dénoncer son voisin. Mettre de la vidéo partout ? Non, déjà les radars, c'est dur à accepter !!! Mettre encore plus de policiers ? Non, pas les moyens et cela ne résoudrait pas ce pb. Une idée : accentuer les axes que sont l'éducation (parents : mieux former à être parents) l'instruction(instituteur, professeur : mieux former à se faire respecter)/développement personnel au cours de la vie (tous).
ni témoin, ni victime mais cela se concentre à mon avis sur des discriminations raciales, sexistes et religieuses.
j'aurai personnellement plus de facilité à être tolérant et solidaire envers quelqu'un qui apporte à la société. Pour que la société soit plus tolérante et solidaire, il faut donc que celui qui reçoit une aide ait une obligation envers la société à réaliser.
Oui
RSA. Bourse.... Pas les allocations familiales : la contrepartie, c'est de s'occuper de ses enfants et de les éduquer pour qu'ils apportent plus tard à la société: et ça c'est valable pour tous et quelque soit le revenu.
En premier lieu aider les pays d'où partent les immigrés. Ensuite mettre en place des % de répartition définis sur le plan européen. Enfin réaliser un suivi précis et encadrés des immigrants.
Voir réponse ci-dessus. Il doit y avoir un accord européen sur ce type de sujet....ou alors l'Europe ne sert pas à grand chose.
Encadrement européen de la problématique et application équitable par les différents états.
Répartition territoriale par petits groupes pour éviter les phénomènes de regroupement/guetto.
non
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
réduire les consommations à la source : moins de transport, plus de proximité, plus de transport propre, moins d'émission de CO2 lorsque cela est possible (ex: plus de nucléaire et moins de charbon), réduire les emballages, les déchets ...
Non
None
Oui
Mais c'est à si petite échelle que ce n'est pas ça qui à mon sens peut générer du progrès dans ce domaine. Cela ne peut être envisagé qu'au travers d'ambitions nationales/européennes/mondiales déclinées ensuite en politiques nationales et locales.
Un changement d'échelle dans l'auto partage par exemple: un service payant mais peu cher (voire subventionné en partie) pour mettre à disposition des véhicules électriques de partage un peu partout dans les zones denses.
Aucune idée
Oui
je le ferai quand ma chaudière sera en fin de vie. Donc Rien.
Oui
le même temps de trajet, ce qui est loin d'être le cas à ce jour
Le transport à la demande|Le vélo|L'auto partage|Les transports en commun
une instance politique locale (communauté de commune, département, région)
Il faut une gouvernance européenne sur le sujet pour passer des intentions à l'action, avec une allocation budgétaire sanctuarisée par les états une fois les décisions prises pour qu'il n'y ait pas de retour en arrière à chaque fois qu'on change de gouvernement et de politique.
non
Votre message a bien été envoyé.