Date de publication : 2019-02-26
Code postal : 33140

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Une lettre d'information lisible et détaillée, adresser à tous les contribuables, particuliers comme professionnels. Après chacun prends la responsabilité de la lire ou pas !

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Tous contribuables ! Même pour un euros par mois...

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Nous ne devons pas baisser les impôts si nous voulons continuer de financer nos dépenses "sociales" et publiques. Il faut mettre en place une juste contribution de tous. Néanmoins le calcul de l'impôt sur le revenu pourrait tenir compte de toutes les charges incompressibles du quotidiens : crédit en cours, taxe foncière et habitation, pensions versées, abonnements aux fournisseurs d'énergies (eau, gaz, électricité), assurance habitation et voiture, etc... Toutes ces dépenses représentant des frais réels bien supérieurs au 10% d'abattement légal appliqué à tout un chacun ! Il faudrait donc relevé le pourcentage de l'abattement en fonction de tranches de dépenses justifiées. Si les dépenses viennent à être réduites comme par exemple le terme d'un crédit, la baisse d'un abonnement ou d'une autre charge, l'abattement deviendra moindre jusqu'à revenir au 10% légal.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Si aucune charge n'est prise en compte dans le calcul de l'impôt qui permet le versement d'aides sociales, alors aucune charge ne doit être prise en compte dans le calcul des sommes attribuées ! Toutes les aides sont donc à revoir. On parle toujours de minimas sociaux, mais il faudrait limité le nombre d'aides à maxima, cesser le cumul sans contrepartie ! Ne pouvoir prétendre qu'à deux aides distinctes par foyer, les aides complémentaires devant être accordées en priorité à ceux qui font la preuve de leur volonté de sortir du "système" grâce à ces aides ponctuelles et exceptionnelles.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Nul ne devrait avoir à dormir dehors !

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Aucun domaine en particulier.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Je voudrais savoir, une fois que la taxe d'habitation sera définitivement supprimée, si ce seront les seuls propriétaires qui devront supporter à eux seuls les dépenses publiques des communes, communautés d'agglomération, communautés urbaines et autres syndicats et organismes, s'agissant des investissements en matières d'urbanismes, de transports, de collecte des déchets, de création de crèche, de construction de classes supplémentaires pour l'école, d'aménagement du territoire en général, etc... Le foncier est un impôt injuste géographiquement et économiquement ! Merci de m'expliquer pourquoi un locataire qui paie un loyer à hauteur de ce que je rembourse pour le crédit de ma maison ne participerait pas à l'identique aux dépenses publiques citées ci-dessus ? Certes j'ai fait le choix d'être propriétaire de ma maison, bien que ce soit la banque qui en soit réellement "propriétaire" ; mais celui qui est locataire profitera bien à l'identique de tous les aménagements et services payer par la collectivité elle-même alimenté par mon impôt foncier? Cet impôt ne me semble décidément pas juste du tout !

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Aux députés par ce qu'il sont élus, qu'ils ont une fonction de contrôle du gouvernement et qu'ils participent à l'élaboration des lois de façon collégiale.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Aux organisations professionnelles, pour qu'elles interviennent afin de promouvoir leurs métiers auprès de notre jeunesse en partenariat avec l'éducation nationale, pour valoriser les filières et orientations professionnelles dès le plus jeune âge et tout au long de la scolarité, et au minimum à partir de la 6ème. Pour faire en sorte que les métiers considérés comme moins "noble" comme les métiers d'aide à la personne dont nous avons et aurons de plus en plus besoin soit valorisé et considéré comme des métiers d'avenir avec de vraies formations et débouchées, et des évolutions possibles ; pas seulement réservé à la voie de l'insertion ou de la réinsertion... Permettre à tous les corps de métiers manuels et artisanaux de présenter leur savoir faire et créer des vocations comme : ébéniste, maçon, boucher, électricien, charpentier, coiffeur, fleuriste, restaurateur "d'art", miroitier, etc...

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Supprimer les étiquettes politiques pour les élus locaux, qu'on les élisent avant tout sur un programme et leur personnalité. Le maire n'est plus force de décision aujourd'hui avec l'émergence des communautés urbaines, communautés d'agglomérations, etc(...). Il devrait néanmoins avoir un rôle prépondérant en tant que représentant du peuple, proche du peuple, pour porter les doléances de ces concitoyens. Peut-être que l'association des maires de France pourrait être structurée de façon à reléguer la parole des citoyens, auprès des élus régionaux et nationaux. Réinventons nos institutions et donnons à chacun de nos élus la place qui lui revient.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Pas de cumul de fonction, égale de meilleures dispositions pour exercer la fonction et être pleinement concerné par les missions confiées.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Nommer un représentant politique par parti s'étant présenté à une élection à laquelle il n'aurait pas obtenu suffisamment de voix pour siéger au sein de nos différentes assemblées. Il s'agirait de créer des commissions politiques dans lesquelles ces "minorités" seraient consultées et pourraient s'exprimer ; ces commissions comporteraient autant de membres que de sensibilités politiques et seraient forces de propositions comme un groupe parlementaire.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Au sein des communautés de commune et d’agglomérations ou autres organismes et syndicats départementaux.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Médiocre ! Il faudrait prendre en compte le vote blanc. Mettre en place le vote par voie électronique. Simplifier la démarche d'inscription sur les listes électorales via le portail "service-public.fr" et ne pas en limiter la date. Si le fait d'être citoyen français implique des droits alors il implique aussi des devoirs ; si une personne ne fait pas son devoir de citoyen alors il faut la limiter dans ses droits.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Si le vote blanc dégage une majorité alors aucun candidat ne peut être élus. Il faudra organiser d'autres élections et que les candidats revoient leur copie...

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Éventuellement organiser des débats au sein des municipalités, animé par le maire ou l'un de ses adjoints suivant le thème abordé et qu'un rapport soit transmis à l'association des maires comme exprimé ci-dessus...

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Cette question, à mon sens, fait partie intégrante de la question précédente sur : mieux associer les citoyens aux grandes orientations et décisions publique !

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Donner une place plus importante au CESE qui semble, bien que ses membres soient nommés et non élus, plus représentatif de notre société et par la même de nous, citoyens !

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

"Dépoussiérer" le sénat et faire en sorte que sont rôle de représentant des collectivités territoriales soit plus "lisible". Renforcer les pouvoirs du CESE et élargir son champ d'action.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Éduquer ! Pousser les responsables et intellectuels religieux à intervenir régulièrement sur nos antennes et réseaux sociaux pour promouvoir le respect de la laïcité dans notre pays en éduquant leurs fidèles, en les éclairant sur la parole religieuse et la libre pratique de leur religion.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Éduquer ! Dès le plus jeune âge, expliquer aux enfants ce qu'est la France et ce qu'est la république. Leur apprendre qu'un citoyen s'il a des droits a aussi des devoirs. Faire de l'éducation civique une matière à part entière dans les écoles, de la primaire à la terminale (âge du droit de vote).

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Éduquer ! Créer un service citoyen obligatoire (garçon et fille) de quelques heures par semaine à partir de 16 ans, avec un engagement plus poussé pour les éventuels volontaires. Apprendre le respect, la solidarité, la mixité sociale et culturelle, la valeur du travail et de l'effort, etc... Un service civique sur une durée de 2 ans, en exploration des différents secteurs et activités des services publics.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'il te fît. Traites les autres comme tu voudrais toi-même être traité. Apprendre à "se" respecter ! Il faut promouvoir les valeurs de la République : liberté, égalité, fraternité !

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

L'éducation est la base de tout. Effectuer son service civique pour les plus jeune. Exercer son droit de vote. Signer un pacte citoyen dès l'âge de 16 ans et que chaque électeur inscrit en soit signataire. S'engager à participer aux débats citoyens consultatifs , en étant tiré au sort sur les listes électorales.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Créer un pacte citoyen. Chacun doit avoir le sentiment de son appartenance à une seule et même république !

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Toutes les incivilités sont pénibles dans la mesure où elles entravent la liberté de chacun et créent des contraintes pour la collectivité. Toujours une même réponse : l'éducation ! Il existe des stages de sensibilisation à la sécurité routière, pourquoi ne pas créer des stages d'éducation civique pour ceux qui auraient commis des incivilités ?

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Sanctionner financièrement, là où ça fait mal, quitte à revoir l'octroi de certaines allocations ou autres aides sociales... Si un citoyen à des droits il à aussi des obligations ! Accompagner cette sanction d'un stage obligatoire d'éducation civique.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Ne pas en commettre soi-même ! Donner l'exemple.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Pour ma part, je trouve discriminatoire le fait de se faire traiter de "sale blanc", "sale riche", "sale raciste"... Je trouve discriminatoire le fait de ne pas pouvoir porter plainte pour ces insultes subies tout au long de mon enfance et adolescence en banlieue parisienne (en Seine Saint Denis pour être précise), insultes que j'entends encore parfois ; alors qu'à contrario... Je trouve discriminatoire de toujours devoir s'excuser, de toujours devoir demander pardon, de toujours devoir assumer des faits du passé dont notre génération n'est pas responsable, ni même celle de nos parents et encore moins celle de nos enfants ! Nous n'avons pas à subir les erreurs et les fautes des siècles passés ; et ce, malgré un devoir de mémoire qui doit être respecter !

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Il faut arrêté de se laisser stigmatiser, souvent à cause de minorités ! Il faut remettre au centre de notre vie citoyenne les valeurs de la République : Liberté, Egalité, Fraternité ! Nous ne sommes pas blanc ou noir, nous ne sommes pas hétéro ou homo, nous ne sommes pas homme ou femme, nous ne sommes pas musulman ou judaïque... Nous sommes des êtres humains, des citoyens de France, des européens, des citoyens du monde !

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Des heures de travail obligatoires au bénéfice de la communauté.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Je n'ai aucune notion de notre politique migratoire. Il me semble néanmoins que l'immigration n'est pas un fléau qu'il faille combattre. Cependant, je m'inquiète des conditions et de notre capacité à accueillir décemment ces migrants, je suis choquée de les voir traîner sous les ponts des autoroutes et du périphérique aux portes de Paris, de voir qu'on les laisse installer des bidonvilles dans les lieux de transit vers les autres pays de l'Union, vivant dans la crasse, de la mendicité ou de petits larcins... Quelle image dégradante pour ces gens, mais aussi pour nos villes et notre beau pays ! Le vivre ensemble est déjà compliqué sur notre territoire avec les différentes communautés arrivées par le passé, dont certaines sont encore en phase d'intégration, parfois sur plusieurs générations... Il apparaît important de poser des conditions pour entrer sur notre territoire, tout en tenant compte des raisons profondes qui ont amener ces personnes à quitter leur terre. Il faudrait aussi prendre en considération les savoirs faire de chacun afin qu'ils puissent valider leurs expériences et diplômes par des équivalences dans notre pays, ce qui pourrait éventuellement faciliter leur intégration, en ne les cantonnant pas à des tâches ingrates, des petits boulots sous qualifiés ou sans qualification. Ne commettons pas les mêmes erreurs que nos "grands-parents", ne considérons pas ces hommes et ces femmes comme des "sous êtres humains", des bons à rien qui viennent prendre le pain des français. Il faudrait aussi mettre en place une meilleur répartition de ces populations sur notre territoire. Ne pas les parquer dans nos banlieue comme nous l'avons fait jadis, politique ou état d'esprit que nous payons lourdement encore aujourd'hui.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non, sinon à limiter le nombre d'individus entrants, pour mieux les accueillir et leur permettre de mieux s'intégrer.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Adapter des structures d'accueil et/ou des bâtiments publics existants pour héberger dignement et répartir sur tout le territoire ces personnes ; de même leur permettre de suivre des cours de français, d'éducation civique et les aider à valider leurs acquis.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L'éducation, la formation, permettre au gens de parler, lire et écrire notre langue, et de valider par équivalence leurs diplômes et expériences professionnelles.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Il s'agit d'une seule et même problématique, chaque problème résultant des autres !

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Taxer les pollueurs, notamment en ayant le courage de mettre en fonction les portiques écotaxe. Mettre en place une taxe sur tous les carburants qui serait financer par toutes les entreprises qui doivent impérativement prendre en charge les frais kilométriques de leurs employés quels qu'ils soient ; étendre à tout le territoire le remboursement des frais de déplacement quotidiens. En contrepartie de la prise en charge de ces frais aucune cotisation ne saurait-être prélevée sur ces sommes tant pour l'employeur que pour le salarié. Il n'est pas normal de devoir payer pour travailler ! Ne pas ou plus utiliser d'énergies ou de modèles énergétiques que nous ne savons pas recycler, tels que les résidus des centrales nucléaires, même si celles-ci restent à ce jour fiables en production, permettant une transition en douceur. Et, que dire des batteries des véhicules électriques, si chères à nos politiques et à l'industrie automobile, dont nous ne saurons que faire d'ici quelques années... Pourtant, il existe d'autres solutions dont certains brevets ont été racheter par de Grandes Entreprises qui font barrage à leur développement. Développons les bios carburants et facilitons la transformation de nos moteurs thermiques afin qu'ils les acceptent ou développons les GNV et les moteurs qui les utiliseront. Mais surtout arrêter de nous vendre le tout électrique ! Rendre obligatoire la pause de panneaux solaires sur toutes les toitures en construction ou rénovation des bâtiments administratifs, locaux et bureaux commerciaux, bâtiments agricoles et industriels, représentant une surface considérable ! Et ce, afin de favoriser et développer l'auto production électrique. Transformer les décharges à ciel ouvert en centre de méthanisation et de recyclage des déchets. Favoriser ces développements et transformations auprès des communautés urbaines et des communautés d'agglomération ou autres syndicats et organismes.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Arrosage plus fréquent du jardin, donc dépense d'eau plus importante. Insectes nuisibles plus abondants et sur une plus longue durée, comme par exemple le moustique tigre qui au demeurant n'est pas une race indigène tout comme le frelon asiatique, mais qui tendent à se développer sous nos climats plus que de mesure !

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

tri sélectif - certains produits ménagers fabriqués maison - achat de produits alimentaires locaux et autres produits made in France - composte - éteindre tous les appareils électriques en coupant leur alimentation en notre absence... Nous aimerions aussi pouvoir "rouler propre" !

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Obtenir une sorte de récompense, des baisses de charges pour ceux dont le comportement traduit l'implication... Pour les petits trajets, il faudrait mettre en place des navettes gratuites : bus, train, etc

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Il faut cesser de subventionner sans engagement de la part du citoyen/contribuable, la récompense ou la baisse de charge doit intervenir une fois la preuve de l'implication obtenue !

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Instaurer une TVA 0%, des prêts travaux à taux zéro, en fait ne pas taxer toute initiative en faveur du changement, le tout sans condition de ressource !

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

J'utilise chaque moyen en fonction de mes besoins, cependant la voiture reste mon principal moyen de locomotion.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Le transport à la demande

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

les mairies, les communautés urbaines, les communautés d'agglomérations, les départements si les structures précitées n'en ont pas les moyens.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

S'appliquer à elle même ses choix, sans attendre l'avis de la communauté européenne ou internationale. Il faut montrer l'exemple !

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None