Une présentation "brève et rapide" sur l'utilisation des impôts par le ministre de l'économie (à la télévision) mais juste avant la clôture du budget annuel de l' état pour bien expliquer ce qu'il est possible ou pas de "réaliser"... Priorités absolues des premières mesures concrètes à expliquer ! Mais aussi un calendrier des mesures à venir qu'il faut démontrer...
Avec plus de progressivité, une fiscalité qui s’adresse à tous quel que soit le revenu, mais surtout à tous les revenus « sans tabous » (revenus des particuliers et des entreprises, capital d’action, transaction financière et ressources du patrimoine…). Combattre l’exil fiscal aux citoyens français et aux entreprises françaises et étrangères (dont la productivité se situe sur notre territoire) en exigeant le paiement de l’impôt en France. Si toutes ces mesures sont mises en place, et dans un souci d’égalité fiscale, on pourrait observer un accroissement de nos « rentrées fiscales ».
L’impôt sur le revenu en priorité mais aussi la taxe d’habitation concernant la résidence principale et secondaire pour tous les foyers. Ce qui donnerait ostensiblement plus de pouvoir d’achat aux citoyens et relancerait automatiquement la croissance par une consommation « retrouvée ».
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Basé déjà sur la solidarité avec de nombreuses prestations sociales, le RSA et la prime d’activité, le pacte social doit permettre à chacun de subvenir à ces besoins en fixant un plancher de ressources à toute personne active ou non active (environ 1000 € à calculer !). Ce plancher serait validé par des instituts de consommation. En outre, les personnes non actives (entre 18 et 62 ans) devraient « parrainés » une personne âgée ou handicapée en terme de solidarité. Le coût de cette mesure pourrait être financé, en plus de prestations déjà existantes, par une petite taxe de 0,1 % sur les très hauts revenus (plus d’1 million d’euros à calculer et à confirmer !) Remettre les personnes en recherche d’emploi au travail ! C’est la vraie solution à tous les maux de notre société. Le travail est la clé ! Une personne active peut voir l’avenir en toute quiétude si elle est capable d’établir des projets personnels, familiaux et professionnels. L’activité apporte la consommation, la croissance et donc de la richesse au pays…Comment y parvenir car beaucoup ont essayé mais les résultats tardent à se concrétiser ? Si une baisse ostensible des charges patronales doit aider l’entreprise, on peut aller plus loin dans ce domaine. Développer l’export « prioritairement » dans les pays de la communauté européenne en fixant les règles ou des normes communes à ceux-ci. La France est très en avance sur ces points de qualité et de sécurité et donc a tout à gagner en plaidant et en exigeant devant la commission européenne que ces pays adoptent le même principe. Il y a donc un immense commerce à l’export envers ces pays.
Principalement la santé et le logement. Pour la santé, de meilleurs remboursements aux patients sur des pathologies de base concernant "les yeux, les dents et les oreilles..." ; une accessibilité aux maisons de retraite plus étendue et moins couteuse. Pour le logement, continuer à construire plus de maisons ou d'appartements sociaux en instaurant plus d'obligations auprès des élus locaux; favoriser également la location auprès de propriétaires "vertueux" ( diminution de leur impôt) mais aussi en s'attaquant aux propriétaires qualifiés de "marchands de sommeil" qui affichent des loyers très élevés pour des logements insalubres et de conditions indécentes ( exiger immédiatement le remboursement de ces loyers tant que les travaux ne sont pas réalisés).
Développer le service à la personne et accroitre la capacité de nos maisons de retraites avec un objectif de permettre à toute personne d’entrer « gratuitement » dans ces structures. Le coût pourrait être financé par les impôts « restitués » de l’évasion fiscale et aussi par une taxe de 0,1 % sur toute transaction financière…
Réduire le train de vie de l’état, moins de parlementaires, moins de fonctionnaires d’état dans certains ministères, moins de subventions pour des budgets de ministères où les résultats ne sont pas au rendez-vous (ex : La formation professionnelle pour un budget de plus de 30 milliards par an) mais au contraire une meilleure répartition des moyens et des personnels de l’état…Pour la formation professionnelle, cibler les ayant-droits, privilégier avant tout les personnes en recherche d’emploi et non ceux qui en sont déjà pourvus. Réorganiser voire supprimer les services du pôle emploi qui pourraient être confiés au privé « plus près » du monde réel mais aussi beaucoup de services au sein de l’Etat qui n’ont qu’un rôle « consultatif » ou créés ponctuellement au travers de commissions inutiles qui plombent le budget de l’état.
Le maire est l'élu "local" de proximité auquel tout citoyen peut rapidement s'entretenir pour à la fois faire part de ses doléances, de ses informations ou de son mécontentement...
Oui
Plus généralement, les organisations syndicales ont un rôle primordiale pour la défense des droits du citoyen et conformément à la loi. Mais elles doivent être "constructives" dans notre société qui évolue... Avant tout, ce sont elles qui doivent trouver le compromis avec le patronat. Concernant les associations toujours très utiles, elles ne doivent néanmoins pas trop se substituer à l'état. Dans de nombreux domaines associatifs, l'état se décharge de ses responsabilités...
Plus de vérité et de transparence.
Une bonne chose
Parce que le cumul des mandats donne l'impression au citoyen que l'élu "s'éparpille" dans ses fonctions mais aussi augmente illégalement ses revenus bien trop importants...
Il ne doit pas y avoir de « bonne dose de proportionnelle » mais une représentation totale de nos votes quelle que soit la couleur politique votée… En effet, si on parle de représentation plus juste, le bon sens voudrait que l’on prenne concrètement chaque bulletin de vote comme la représentation effective du vote choisi par l’électeur.
Oui
Trop de parlementaires, déjà un bon tiers au niveau de l’Assemblée Nationale et une bonne moitié au niveau du Sénat à supprimer. Réduire ostensiblement le nombre d’élus au conseil régional et départemental, trop de doublons ou de bureaux qui ne servent à rien… Il faut mutualiser et regrouper ces institutions.
Elle n'est pas assez représentée, souvent moins de la moitié de nos compatriotes va aux urnes... Comment changer ? Rendre le vote obligatoire ! Soit par un système de vote électronique qui faciliterait à participer davantage ou soit par un vote par procuration plus "souple".
Oui
Pour ma part, le vote blanc et le vote obligatoire sont liés. Si on reconnait le vote blanc comme un pourcentage « d’un parti d’électeurs » cela veut dire que l’on prend en compte cette population dans le calcul des élections, ce qui est démocratique ! Alors pour une véritable représentation nationale, pourquoi ne pas rendre le vote obligatoire, ce qui serait plus juste démocratiquement et l’élection ne sera pas « faussée »…
A chaque élection « nationale » (législatives, cantonales et municipales), présenter au travers d’un référendum au moins trois propositions concrètes dans tous les domaines de la vie sociale et professionnelle. Ces sujets de la vie active seraient collectés par les députés auprès de leurs administrés. C’est l’Assemblée Nationale, dans un vote parlementaire, qui déciderait du choix de ces demandes. Le gouvernement, au résultat de ce vote, fixerait les priorités à établir pour tenir compte des doléances des citoyens.
Oui
Oui mais en le modifiant ! Organisé à l'échelon local, le recours aux référendums est nécessaire afin de faire remonter des sujets « concrets » sollicités par les citoyens. Ces doléances seraient rapportées par les députés de chaque circonscription et présentées à l’Assemblée Nationale qui déciderait du choix de ces questions.
Le référendum est le moyen le plus direct et le plus simple pour proposer une solution ou un projet dont le coût est défini par l'argent public. N'oublions pas que la cour des comptes est le "garant" de l'utilisation des deniers de l'état...
Le Sénat, le Conseil économique, Social et Environnemental, le Conseil d’état pourraient être regroupés sous la même « égide » avec un nombre de représentants restreint. S’il est nécessaire de contrôler le travail de l’Assemblée Nationale et préserver les instances constitutionnelles, on peut raisonnablement diminuer l’ampleur de ce rôle sans remettre en question notre démocratie.
Oui
Par un vote référendaire au suffrage universel pour modifier notre constitution et donc revoir le rôle et la composition de ces assemblées parlementaires...
La séparation de l’église et de l’état étant actée par la loi de 1905, rien ne doit remettre en question les principes de la laïcité française mais le constat est clairement justifié ; la société française a changé, la population s’est diversifiée avec un surcroit de personnes d’origine « non européenne ». Il faut tenir compte du rapport entre l’état et les religions de notre pays. L’état doit être le garant de la pratique du culte de ces « ouailles » et permettre à chacun d’avoir un lieu de culte. Le financement, comme pour les églises, doit être juste et équitable.
Rappeler à tous les principes de la République : liberté, égalité et fraternité, ça commence dès le plus jeune age à l'école de la république par des cours d'instruction civique et surtout par des leçons de morale qui existaient autrefois. Sanctionner très fermement tout acte de racisme envers toutes les communautés et aussi quelques soient les religions.
Afficher son appartenance à la République Française, c’est rappeler que même si on a des droits, on a également des devoirs qui pourraient exiger une participation plus accrue à la solidarité nationale par des actions concrètes suivantes : - Service civil obligatoire pour tous à partir de 18 ans - Cours d’éducation civique obligatoire pour les parents comme pour les enfants.
La politesse en priorité, la tolérance, le respect et la différence envers l'autre et la solidarité si on le peut...
Rappeler à chacun la loi contre les incivilités, condamner fermement ces actes délictueux mais aussi l'indifférence lorsque l'on voit une personne en danger...
Prôner le goût au travail, les liens forts de la famille, sur le plan personnel. Envers les administrations et les pouvoirs publics, permettre au citoyen de mieux s'exprimer et traiter d'égal à égal.
Les injures, le harcèlement et la malpropreté dans les espaces publics sont les plus pénibles. Ce combat permanent des autorités contre ces incivilités doit s'appuyer par la loi "répréhensible" à appliquer sans tabou. Si la prévention est la première règle, la répression est un acte fort surtout en cas de récidive...
Les pouvoirs publics (en l' occurrence la justice) doivent être impartiaux et se montrer fermes dans les décisions de justice surtout en cas de récidive.
En priorité par l'éducation des parents qui sont au coeur du problème. Obliger les parents à assurer leur rôle d'éducateur en supprimant les allocations familiales dans le cas où manifestement il y a désaffection . Mais aussi par l'école "berceau du savoir" et de la tolérance, inculquer dès le plus jeune age les valeurs morales et civiques prônées par la république.
Les injures de "rue" envers les femmes.
Réprimander le délit immédiatement par une très forte amende et une condamnation en cas de récidive. Lutter contre ces discriminations c'est aussi de fixer des règles drastiques envers les opérateurs des réseaux sociaux contre tous ces messages "haineux" qui inondent la "toile".
Oui
Comme lors d'une petite condamnation, instaurer des travaux d'intérêt général dans la commune du résident voire de la solidarité par du temps donné aux personnes âgées.
La situation de l'immigration en France aujourd'hui est préoccupante. Sans vouloir cibler une communauté en particulier, il est néanmoins nécessaire de définir des critères pour assurer à la fois une bonne intégration de la personne mais aussi protéger nos ressortissants contre des dérives qui pourraient mettre notre démocratie en danger.
Après nos obligations au droit d’asile rempli, nous pourrions accueillir des immigrés en fonction de critères économiques à notre situation financière et surtout de nos dispositions budgétaires. Ces besoins seraient quantifiés sous forme de quotas et soumis aux votes de nos parlementaires. La « ressource humaine » serait suivie et notée individuellement ; l’intégration pourrait être effective sous ces conditions mais la naturalisation pourrait être demandée qu’à partir d’une durée sur le territoire d’au moins 5 ans.
Bien sûr, une obligation d’avoir un emploi « pérenne », de signer une charte exigeant évidemment de respecter le drapeau national et les lois françaises, les coutumes et traditions de notre pays et avoir la nécessité de parler la langue française. De plus, sans renier leurs us et coutumes, ces immigrés devraient s’abstenir dans « l’espace public » de s’afficher dans des tenues rappelant le mode de vie issu de leur origine. Le but premier est de s’adapter au mode de vie à la française pour permettre une meilleure intégration.
L'emploi est la priorité, mais aussi l'apprentissage de la langue française est une évidence. Ceci permettant à l'immigré de s'installer plus facilement pour fonder sa propre famille et ainsi s'intégrer à la société française.
Concernant l'immigration, une règle plus stricte devrait s'appliquer pour tout étranger résidant en France qui commet un délit, à savoir l'expulsion immédiate dans son pays d'origine. Idem pour les "religieux" qui profèrent la haine et l'intolérance.
Oui ça demande à évoluer, mais ne pas tout remettre en cause ! S’il y a trop de niveaux dans notre administration d’état, c’est un fait… On peut à mon avis « supprimer, réduire ou mutualiser » certains échelons de l’état. Hormis les ministères, certaines déclinaisons au niveau des territoires pourraient être restructurées pour à la fois simplifier et économiser le budget de l’état. La Région, le Département, la Commune ou les inter-communautés même si chacun à son rôle, pourquoi ne pas « optimiser » en supprimant, en réduisant ou en mutualisant ces collectivités locales. Peut-être constate-t-on même des doublons… Là, il y a certainement des économies de fonctionnement et de personnels à faire !
Oui
Oui, certainement au niveau régional car bien souvent des décisions sont prises au niveau central avec souvent une méconnaissance des dossiers et une lenteur dans les décisions. Décisions pour des projets locaux qui pourraient être soumis principalement aux maires et aux élus municipaux concernés, ceux-ci proposant aux citoyens lors de réunions pour décider la voie choisie à un projet « ciblé » ou à une consultation. Les élus locaux tiendraient compte sous forme de mini-référendum de l’avis de leurs concitoyens. Principalement pour des sujets liés à la collectivité comme les transports, l’infrastructure locale et le fonctionnement des institutions locales. Ne pas oublier néanmoins de transférer les budgets correspondants aux collectivités territoriales pour ces nouvelles missions...
Oui
None
Plus généralement avec plus de simplification dans les démarches administratives à savoir comme exemple, remplir un dossier ou un questionnaire auprès d’une administration serait systématiquement enregistré dans une base de données qui pourrait servir à tout autre service ou administration lors d’une autre demande…
Non
None
Se servir bien entendu du numérique pour les citoyens dotés de l’outil informatique mais sans oublier d’aider la personne âgée ou non équipée dans ces démarches.
Je ne vois pas de service public ayant évolué de manière positive dans chacun de ces domaines sinon que le développement sur Internet permet néanmoins d'accéder rapidement à des demandes ou informations...
Les services des ministères de l'économie et des finances (centre des impôts), de la justice et de la santé.
Oui
Non
None
Trop de restrictions pour des réductions d'impôts liés à des travaux d'isolation ou des normes environnementales. On nous demande des factures avec des critères très "pointues" pour obtenir une minoration au niveau des impôts sur le revenu (ex: type de chaudière ouvrant droit à réduction).
Oui
Pour les personnes âgées, une aide administrative à domicile effectuée par un fonctionnaire serait bénéfique à la fois pour le citoyen et l'état.
Oui
Encore une fois plus de simplification dans les démarches administratives, avec un interlocuteur "formé" qui prend en charge la demande de l'administré de A à Z...
Développer et non fermer des services (postes, écoles, santé, fiscaux...) contre la "désertification" de nos territoires ruraux. Si le budget de l'état ne le permet pas, favoriser et accentuer le regroupement des communes en communautés de communes, seule manière de préserver des service de l'état nécessaires à sa population. Aider nos concitoyens surtout à pouvoir se déplacer sans grever leur budget. Principalement dans leur déplacement « domicile-travail » qui est pour certains une dépense très importante par rapport à leur salaire…Et donc, par rapport à la déclaration d’impôt, l’état ou les collectivités locales pourraient attribuer plus concrètement un chèque carburant selon un barème fixé comme pour les frais réels.
Plus concerné !
Plus concerné !
Plus concerné !
Plus concerné aujourd'hui, néanmoins satisfait des services de retraite lorsque mon dossier de retraite a été préalablement préparé six mois avant la date "d'échéance"...
Constatation : Non ou peu de remboursement de frais médicaux par la Sécurité Sociale (lunetterie, dentition, ORL…) Ex : Un implant dentaire est facturé entre 2000 et 3000 €. Remboursement de la SS = 0 € Mutuelle = environ 300 €
Pas concerné !
Non concerné !
Non concerné !
Non concerné !
Non concerné !
Non concerné !
Non concerné !
Sur le plan médical, on constate un manque chronique de praticiens et spécialistes de la santé dans certains territoires. On pourrait assurer une répartition équitable sur l’ensemble du territoire en instaurant une obligation pour le « nouveau » praticien sortant de son cycle d’étude à être affecté par les juridictions de l’état pendant ses cinq premières années d’installation. Plus généralement, on s'aperçoit bien souvent que le contact téléphonique est payant pour obtenir un renseignement qui attrait au service public (ce n'est pas normal si l'on parle de service public).
La pollution de l'air
Dans un premier temps, il faut la financer par ceux qui polluent ! Par une taxe « graduelle » appliquée à tous. Constat est établi que les entreprises « dites industrielles » (lourdes, métallurgiques, chimiques et agro-alimentaires) mais aussi l’agriculture intensive et le transport aérien-maritime-routier sont les premiers pollueurs qui affectent à la fois l’air que nous respirons et la terre que nous foulons. N’oublions pas que chaque citoyen, par l’utilisation de son véhicule et son mode de chauffage individuelle, est aussi un pollueur « potentiel » qui vient ajouter du gaz carbonique dans l’atmosphère. C’est pourquoi, il serait judicieux de faire contribuer tout le monde en fonction de ses revenus. Mais qui dit transition, doit permettre à chacun d’améliorer son outil de travail et d’aider au changement de ses habitudes par des incitations financières à partir de « prime ou de prestation » sans restriction… Pour les industries « polluantes », obliger celles-ci à se moderniser selon des normes anti-pollution plus contraignantes, exemple concernant les fumées de toutes combustions par des « filtres hig-tech » empêchant toute pollution de gaz à effet de serre. Mais aider ces industries, au même titre que le particulier, à bénéficier d’une minoration fiscale. Pour le particulier, afin de l’aider dans le changement de sa chaudière polluante, hormis les aides de l’Etat déjà existantes, on pourrait demander une contribution plus importante aux opérateurs de l’énergie mais en contrepartie exiger du particulier à ne pas changer « d’abonnement » et donc d’opérateur pendant une durée de 10 ans. Concernant le changement de sa vieille voiture polluante, en plus des primes octroyées de l’Etat, inciter également le constructeur à un effort notoire dans une aide à l’achat du véhicule mais aussi en contrepartie, le particulier s’engage à acheter tous ces véhicules de la marque pour une durée de 12 ans par exemple. Un système, à la fois pour le changement de chaudière et de véhicule, dont l’intérêt serait d’aider plus rapidement le particulier et aussi de fidéliser le client auprès de l’opérateur ou du constructeur…
Oui
Principalement, la pollution atmosphérique engendre des problèmes "respiratoires" même si l'on réside dans une ville moyenne. De plus selon la position géographique et le type de climat, les effets augmentent souvent ces conséquences. On s'aperçoit d'année en année que des maladies de type "cancer" progressent et par la même augmentent notre budget santé. A réfléchir sur ce lien de causes à effets...
Oui
Protéger la planète commence déjà par des choses simples qui ne coûtent rien à l’état sinon de faire respecter la loi concernant la « propreté de l’espace public ». Combien de déchets aux bords des routes, dans les bois et forêts, dans nos villes, dans nos cours d’eaux et sur notre littoral pouvons-nous constater tous les jours malheureusement ? Faire appliquer la loi par de fortes amendes auprès des contrevenants et leur faire « réparer physiquement et concrètement » leur délit… Voilà ce genre de P.V. qui peut faire l’unanimité auprès du grand public ! Notre société est malade avec l’environnement, aidons-la à réparer les dégâts. Pourtant des déchetteries existent mais nous voyons toujours des décharges sauvages autour de nous ; la raison est peut-être aussi dans les restrictions pour y entrer ! Pourquoi ne pas autoriser à quiconque de pouvoir déposer ses déchets même s’il n’appartient pas à cette communauté de commune locale. Le financement serait collectif et régional. Concernant plus généralement le réchauffement climatique, par exemple accélérer les mesures d’incitation à une énergie verte en développant un réseau de distribution de bornes électriques pour nos futures voitures dans toutes les communes du territoire. Ceci doit devenir obligatoire sur cette mise en place en accord avec les distributeurs de l’énergie (EDF-Total-Elf…) et les préfets de région si l’on veut le « tout électrique ». Avec quel budget ? Renforcer les contrôles sur la fraude fiscale appliquer une taxe minimale d’au moins 0,1% sur toutes les transactions financières, limiter certaines niches fiscales qui ne profitent principalement qu’aux ménages aisés sans « réel besoin », préférer les produits écologiques fabriqués en France plutôt que dans des pays lointains où le transport génère à la fois des coûts importants mais aussi de la pollution à « effet de serre » ou de gaz carbonique.
Favoriser « les transports en commun » quand c’est possible comme en ville mais intégrer, le fait d’habiter en campagne ou en grande périphérie d’agglomération, que la voiture individuelle est nécessaire et obligatoire au citoyen des territoires. Aider nos concitoyens surtout à pouvoir se déplacer sans grever leur budget. Principalement dans leur déplacement « domicile-travail » qui est pour certains une dépense très importante par rapport à leur salaire…Et donc, par rapport à la déclaration d’impôt, l’état ou les collectivités locales pourraient attribuer plus concrètement un chèque carburant selon un barème fixé comme pour les frais réels. Obliger le propriétaire à effectuer des travaux de rénovation quand le logement est insalubre et que le loyer ne correspond pas à un logement décent. Appliquer une TVA « réduite » pour tous les produits alimentaires de marque française de première nécessité afin d’aider à la fois le producteur et le consommateur. Aider principalement le citoyen résidant dans les zones septentrionales et de montagne à se chauffer en diminuant ostensiblement le taux de TVA, ceci afin de baisser cette dépense de chauffage. Pour le particulier, afin de l’aider dans le changement de sa chaudière polluante, hormis les aides de l’état déjà existantes, on pourrait demander une contribution plus importante aux opérateurs de l’énergie mais en contrepartie exiger du particulier à ne pas changer « d’abonnement » et donc d’opérateur pendant une durée de 10 ans. Concernant le changement de sa vieille voiture polluante, en plus des primes octroyées de l’état, inciter également le constructeur à un effort notoire dans une aide à l’achat du véhicule mais aussi en contrepartie, le particulier s’engage à acheter tous ces véhicules de la marque pour une durée de 12 ans par exemple. Un système, à la fois pour le changement de chaudière et de véhicule, dont l’intérêt serait d’aider plus rapidement le particulier et aussi de fidéliser le client auprès de l’opérateur ou du constructeur… En outre, un grand plan national qui inclurait à tous les ministères une partie de leur budget (pourcentage à définir !). Une suppression d’impôt à la hauteur de l’investissement des entreprises dans ce domaine ; une réduction d’impôt à tout citoyen engageant un projet environnemental…
Les technologies environnementales existent et une grande majorité de français adhèrent à ces nouveaux principes de vie écologique mais les incitations à changer de comportement sont souvent liées à des problèmes d'argent dont ne disposent pas nos compatriotes. Donc, soit les salaires doivent augmenter soit les aides de l'état doivent être à la hauteur de ces objectifs...
Oui
Pour le particulier, afin de l’aider dans le changement de sa chaudière polluante, hormis les aides de l’état déjà existantes, on pourrait demander une contribution plus importante aux opérateurs de l’énergie mais en contrepartie exiger du particulier à ne pas changer « d’abonnement » et donc d’opérateur pendant une durée de 10 ans.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
Les transports en commun|Le transport à la demande
Le "niveau local" semble le plus approprié car il est plus à même d'évaluer les besoins de ses administrés et donc d'orienter ses projets.
Déjà harmoniser nos règles européennes en matière d’environnement afin que leurs applications permettent de mettre tous les pays européens sur le même pied d’égalité. Trop de différences apparaissent entre certains pays de l’ouest européen et de l’est européen. Comment faire ? Un aménagement à l’échelon européen afin de définir quelles proportions nous devons utiliser les ressources en matière d’énergie. Tout pétrole, tout charbon, tout nucléaire, le pourcentage devrait être défini sur le long terme et en toute équité dans chaque pays européen…Même norme concernant l’agriculture en matière de pesticides, si une décision est prise, elle doit concerner tous les pays européens de la zone euro. Les produits agricoles et industriels doivent être soumis aux mêmes normes de qualité et de sécurité (sanitaire ou technologique). Concernant le commerce avec les pays « hors zone euro », les soumettre à nos exigences conforme à nos règles de qualité au risque de limiter nos échanges. L’Europe est une force économique collective qui a le poids pour exiger nos critères. C’est à nos élus nationaux de se battre au niveau des instances européennes pour demander cette harmonisation. De plus si l'on veut progresser dans ces domaines, il faut respecter ses engagements et donc faire signer une chartre à tous les intervenants (scientifiques, chercheurs, politiques, tous les élus du parlement) quelle que soit la couleur politique qui gouverne, ceci afin d’engager enfin une véritable politique de l’environnement à long terme même si elle est progressive… Et donc ne pas revenir sans cesse sur des décisions prises à court terme (un pas en avant et deux pas en arrière…).
Autre point important concernant la pollution énergétique... Le nucléaire, s'il est actuellement incontournable dans nos ressources énergétiques, doit être avant la fin de ce siècle remplacé par toutes ces énergies vertes et propres. Mais le traitement des déchets nucléaires et la sécurité de nos installations doit être une priorité en la matière. Il y va de notre vie et surtout de notre survie...
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