Date de publication : 2019-02-23
Code postal : 92200

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

A chaque fois que quelqu'un est bénéficiaire d'une aide de l'Etat ou d'un prestataire social, lui indiquer : 1) le coût réel de la prestation dont il vient de bénéficier.2) le montant total national des prestations correspondantes. Plus généralement, communiquer...

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Question trop vaste pour répondre en quelques mots ! J'insisterais cependant sur la lutte contre la fraude fiscale. La "grande" bien sûr mais aussi la petite et quotidienne, notamment le travail au noir. Plus les prestations sociales sont importantes, plus il es important que la situation réelle des bénéficiaires soit vérifiée.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Les Français sont très attachés au régime de protection sociale, la dette de la France est une menace grave : dans ces conditions, la baisse des impôts n'est hélas pas une priorité ! Ou alors il faut parler réforme fiscale, vieux serpent de mer...

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|En complément des 2 réponses ci-dessus, je pense qu'il faut aussi moduler le temps de travail en fonction de l'âge.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Renoncer à l'universalité de certaines prestation pour en donner plus à ceux auxquels elles sont le plus utiles.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

tout ce qui permet de donner une véritable égalité des chances aux enfants et aux jeunes les plus défavorisés.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Une politique de transition écologique enfin à la hauteur du défi.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il y a deux angles morts dans ce questionnaire : 1) tout ce qui concerne les relations financières entre l’État ou les collectivités territoriales d'une part et les entreprises d'autre part. Ces dernières paient des impôts mais aussi touchent des subventions ou bénéficient de niches. Un audit sérieux est certainement nécessaire. Premier critère : incitation à servir la transition écologique. 2) L'existence du marché commun: La fiscalité des pays membres devrait au minimum être encadrée par des décisions prises au niveau communautaire, et à la majorité qualifiée, car l'unanimité est source de paralysie. La situation actuelle de course au mieux-disant fiscal est navrante et source d'absurdités économiques. Faire réfléchir les Français à la question fiscale sans se placer dans ce cadre me paraît contre-productif.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Je cherche des gens qui se préoccupent de servir l'intérêt général plus que de favoriser leur chapelle et de préparer leur (ré)élection. A mon sens, le symptôme le plus éclatant et la cause la plus importante de la crise politique actuelle se trouve dans les partis politiques. Ils se sont peu à peu réduits à l'état d'écuries ayant pour mission exclusive de porter un homme à la Présidence de la République ou de l'y maintenir; sans trop de scrupules sur les moyens. Avec des "programmes" qui relèvent du marketing, alors qu'ils devraient proposer un véritable projet réaliste pour la Nation. Les citoyens ont fini par le comprendre et les rejettent en bloc. L'implosion dont sont victime les deux grands "partis de gouvernement" des années passées est de ce fait méritée. "En Marche" pendant la campagne a montré que de nombreux citoyens sont près à s'engager dans tout autre chose, et en a profité. Malheureusement, le succès obtenu, ses dirigeants ont tout fait pour réduire le mouvement à une simple courroie de transmission uniquement descendante, priée de se cantonner à la "pédagogie" apologétique des actions des gens d'en haut. Il est encore temps de corriger cette erreur qui est aussi une faute citoyenne.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Tous types. Rôle de réflexion et de relais d'opinion (au sens large, y compris revendication). Mais les syndicats en particulier ont, eux aussi, à se réformer.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Pour l'exécutif : qu'il lutte contre sa tendance irrépressible à réduire à l'état de godillots les représentants du peuple qui composent "sa" majorité. Pour l'opposition : qu'elle se comporte en contrepoint constructif plutôt que se livrer systématiquement à un travail de sape à visée électorale. Les meilleures institutions ne peuvent rien contre la perversité de ceux qui sont censés les faire fonctionner.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Élaborer la loi, la voter, veiller à son exécution, évaluer les résultats de son application, tout cela en restant à l'écoute de sa circonscription : cela fait largement une occupation à plein temps.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Réfléchir à la composition et au rôle des différentes chambres.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

None

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La participation est insuffisante et les torts sont partagés. Le processus de rétablissement ne peut qu'être long et dépend en premier lieu du comportement des "élites". Le monde politique en tout premier, mais aussi les médias, la haute administration etc. Il leur faut : Honnêteté, rigueur intellectuelle, sens de l'intérêt général, écoute, modestie... Pour l'ensemble des citoyens, l'éducation civique à l'école est également un élément de base.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Au premier tour, pour le calcul de la majorité dans les élections à deux tours

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Ne pas leur mentir ni rien leur cacher. Faire fonctionner les institutions en respectant leur esprit. La confiance reviendra et la participation suivra.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

En réduisant les seuils.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

L'idée de "panels" de citoyens tirés au sort me paraît intéressante. On pourrait la mettre en place pour les députés. Ceux-ci doivent garder le contact avec le terrain de leur circonscription, via les administrations locales et les élus locaux, mais aussi et surtout avec les simples citoyens. Un panel assez large et suivi régulièrement donnerait plus de profondeur à ce contact.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

A l'Assemblée Nationale, il faut continuer à favoriser l'expression d'une majorité pour éviter la paralysie. En revanche le Sénat pourrait avoir pour vocation de représenter la France dans toute sa diversité à la fois partisane et territoriale. Le Conseil économique devrait prendre en charge la priorité urgente de la transition écologique et du long terme.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

En modifiant leur composition : peu ou pas de changement pour l'Assemblée Nationale. Pour le Sénat, suffrage universel direct avec circonscriptions territoriales et des postes pour les partis nationaux répartis au plus fort reste. Pour le CESE, garder le principe de la compétence et de la représentation des "forces vives" mais sans le biaiser par copinages divers.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Les religions se croyant détentrices de la vérité absolue ont une propension naturelle à vouloir tout régir dans la société. La liberté religieuse peut être invoquée pour exiger que la société tout entière se plie à certaines règles ou interdits. Inversement le principe de laïcité peut être invoqué abusivement pour s'immiscer dans la vie des fidèles. Nous avons besoin pour de multiples raisons de définir plus clairement les frontières.. Sujet explosif dont il faudra bien débattre malgré les risques.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

En revenant aux bases: Chaque être humain tel qu'il est et quel qu'il soit doit être respecté dans sa dignité. Chacun aussi a le devoir d'essayer de se comporter de telle sorte qu'il mérite ce respect qu'on lui doit. Tous les courants de civilisation et toutes les religions doivent admettre cela et en trouver en eux-même l'expression.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

None

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

L'explosion démographique en cours (stabilisation attendue vers 2050 avec un effectif de 10 milliards d'êtres humains) l'aspiration de toutes ces populations à des conditions de vie matérielle décentes, l'épuisement en vue de nombreuses ressources, le dérèglement climatique, le désordre géopolitique qui semble s’accentuer, tous ces éléments font que la pression migratoire va durer et même s'intensifier. Ce défi ne peut être affronté que par coopération de tous les pays, au niveau du monde et des continents. Pour la France, c'est l'Europe en premier.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

On peut essayer, mais au niveau de la France seule, je crois que c'est illusoire.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

La solution de ce défi est étroitement liée à celle de la transition écologique. L'une et l'autre ne peuvent être atteintes que par coopération internationale. Un volet important est évidemment de faire le maximum pour permettre à chaque être humain de vivre décemment là où il est né.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Pour les arrivants : apprentissage de la langue et formation aux valeurs de la République. Leur fournir un travail. Pour les "accueillants" : s'efforcer à l'hospitalité, malgré les difficultés.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Nous sommes des individus qui font Société. Le principe de la démocratie, c'est le respect par tous et chacun de la dignité de chacun, assorti du devoir pour chacun de mériter au mieux ce respect qui lui est dû par les autres. Notre France d'aujourd'hui est profondément divisée. Nos rapports sont beaucoup trop empreints d’indifférence, de mépris, de haine. La violence la plus extrême est de plus en plus acceptée et pratiquée. Le premier devoir des élites et de leur "premier de cordée" le Président de la République est de rétablir l'unité nationale autour d'un projet partagé et solidaire. Cela va bien au delà de la simple justice fiscale qui est la première demande exprimée aujourd'hui. Je crois d'ailleurs que cette réclamation est aussi fondée sur un énorme besoin de considération et de respect.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Organisation et fonctionnement trop étrangers au principe de subsidiarité, dans les deux sens (ascendant et descendant)

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Question mal posée. Il ne s'agit pas de "transfert" mais de partage plus ou moins large. Aux niveaux élevés, il revient de définir un cadre et des orientations, aux niveaux inférieurs, l'application adaptée au terrain. L'application du principe de subsidiarité doit réserver d'autant plus d'initiative aux échelons locaux qu'il s'agit de missions en contact direct avec la population, pour s'adapter à la diversité des situations et des personnes. Missions concernées : éducation, action sociale, police....

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

None

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Application du principe de subsidiarité descendant jusqu'à l'exécutant. Motiver les fonctionnaires par la finalité de leur action et non par l'application d'un formalisme tatillon. Les former en conséquence.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Fonctionnement nouveau et formation nouvelle doivent aller de pair. Cela concerne la "haute administration" au moins autant que les fonctionnaires d'exécution. Dans la France fragmentée d'aujourd'hui, nous avons, citoyens et pouvoirs publics, à nous débarrasser de notre esprit jacobin-napoléonien. Les valeurs et l'ambition nationale doivent être (redevenir?) communes, les moyens pour les servir adaptés aux différences locales et sociales.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

En intensifiant la présence sur le terrain de fonctionnaires préparés aux difficultés qu'ils affrontent et responsabilisés par l'application du principe de subsidiarité.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

J'aimerais demander aux auteurs de ce questionnaire à réponse unique quelle est pour eux la jambe la plus importante pour marcher.

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

D'abord prendre conscience de la nature et de l'ampleur du problème de la transition écologique, que les auteurs du questionnaire semblent ne pas percevoir. C'est un problème global qu'il faut traiter globalement, et d'urgence. Quel sens aura la classification des urgences qui ressortira du questionnaire?. A moins qu'on ne soit dans la politique-spectacle, à la recherche du geste qui sera le plus productif électoralement... Minable!

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

None

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

None

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

None

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

None

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

None

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

None

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

None

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

L'acteur Philippe Torreton a exprimé avec force dans une tribune parue dans "Le Monde" le 21 février la gravité de la situation et l'ampleur du défi à relever. Il faut entre autres choses révolutionner nos manières de produire et de consommer. Tous les secteurs d'activité sont concernés ; industries extractives, chimiques , productrices d'énergie, transports , industries de transformation, agriculture, pêche, commerce. Il faut repenser la vie économique autrement. Notre Président en lançant ce débat a laissé entendre qu'il n'accepterait pas de modifier le cap de sa politique en matière économique. Ce serait rater d'avance son rendez-vous avec l'Histoire. Car c'est à un vieux monde condamné qu'il veut forcer la France à s'adapter. Il faut au contraire la mobiliser pour inventer et mettre en place l'économie de l'avenir. Il a l'intelligence et la jeunesse pour le faire. Aura-t-il l'humilité et la passion de servir qui le feraient entrer dans cette voie ? Ou cherche-t-il seulement à se rétablir dans l'ivresse jupitérienne de ses premiers mois ?