Date de publication : 2019-01-30
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Quelqu'un qui a réussi par ses propres moyens, qui ne vit pas des fonds publics et qui ne sert pas les intérêts financiers des traitres à la nation.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Un retour à un corporatisme modernisé (sur le modèle de celui qui avait cours sous l'Ancien Régime et que les bourgeois et financiers ont brisé par avidité), car il protégeait les patrons et les ouvriers de ces secteurs vis-à-vis d'une prédation menaçant la prospérité des entreprises, des familles et des territoires. Chaque corporation de métiers sera représentée par une Chambre (des Boulangers-Pâtissiers ou des Agriculteurs par exemple) qui sera aussi un organe consultatif auprès du pouvoir, et dont les préconisations pourront être acceptées ou refusées, par un vote du Sénat ou référendaire dans le cas où le sujet est sensible aux citoyens. Le Sénat devra ainsi être transformé et être composé des sénateurs actuels (pour représenter les élus territoriaux) ainsi que des membres du CESE.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Redonner les libertés d'organisation aux territoires et à leurs élus, tel que cela existait avant la Révolution jacobine, par le biais de référendums locaux consécutifs à des débats locaux sur une nouvelle organisation de tel ou tel territoire, librement (au sens des libertés civiques qui existaient sous la Royauté) dans le cadre de la démocratie participative.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

S'ils étaient maires et géraient bien leur ville ou département, cela signifiait conséquemment qu'ils passaient un certain temps à bien gérer leur territoire et donc qu'ils passaient autant de temps en moins à bien s'occuper des missions impératives à leur fonction parlementaire. C'est bien de bien s'occuper de chaque mission, et non de bâcler l'une ou l'autre, car en toute fin ce sont les Français qui les paient et qui trinquent de leurs manquements à leur mission.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Intégrer un taux de proportionnelle à 35% et accorder une prime conséquente au parti arrivé premier, que ce soit aux niveaux communal, départemental, régional et national.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Il faut supprimer les départements et répartir leurs budget et compétences auprès des communes/intercommunalités. Les Intercom (un nom très techno et sans charme) devraient être renommés Comtés, comme cela existait sous la Royauté et qui existent aujourd'hui aux USA et dans d'autres pays anglo-saxons (Canada, UK, Australie, NZ) avec un grand pouvoir d'action sur leurs territoires.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Déjà, il faudrait satisfaire à leurs attentes culturelles, sociales, économiques, sécuritaires et d'autorité dans un esprit de justice véritable et qui ne faillit pas. Pas de confiance possible sans une justesse réconfortante dans l'action et sans une justice radicale dans la réaction.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Oui, afin de montrer de façon factuelle et chiffrée le décalage existant ou non entre les électeurs et les candidats qui se présentent pour soit-disant les représenter en vue d'appliquer une politique au service de la volonté populaire et des besoins du territoire.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

S'inspirer du modèle digital public de l'Estonie pour mettre en place des outils digitaux participatifs ultra-sécurisés fonctionnant sur différents devices (mobile / ordinateur chez soi et terminaux physiques au sein des mairies) permettant d'être directement consulté sur tel ou tel sujet, aux niveaux local et national. Mais pour cela, il faudrait revoir, améliorer et accélérer le passage à une carte d'identité biométrique cryptée, ce qui permettrait (par le biais de la blockchain ?) de créer une clef de sécurité digitale spécifique à chaque citoyen, ce qui assurerait que son vote n'a pas été truqué ni volé ni perdu ou non comptabilisé dans les résultats à la participation.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Abaisser le nombre de parlementaires nécessaires pour la déposition d'un projet de loi référendaire (passer de 1/5ème des membres du Parlement à 1/10ème), car le ratio nécessaire trop élevé, plus le manque de diversité partisane au Parlement bloquent de fait l'effectivité réelle du RIP. Aussi, il faut abaisser le nombre de citoyens signataires nécessaire à 850 000 citoyens français, car actuellement il faut l'accord de 4 550 000 personnes pour rendre possible le RIP, ce qui est la plupart du temps inaccessible, les plus grandes pétitions Change.org ne recueillant que rarement 2 millions de signataires. LE RIP EST PIPÉ et ce fut voulu ainsi, sinon les chiffres demandés auraient été significativement réduits.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Les consulter par référendum avant de créer, fusionner, augmenter ou supprimer des aides sociales pour les non-citoyens ou financières pour les entreprises excédentaires ; demander leur avis quant à la pertinence de dépenses d'argent public pour la création de nouveaux rond-points, HLM en zones déjà ghettoisées, ainsi que sur les dépenses culturelles qui ne correspondent pas toujours à la demande traditionnelle de la population autochtone et qui laisse les églises en décomposition pour à la place financer des centres culturels islamiques (mosquées et madrasas déguisées). Donner la possibilité aux citoyens d'exiger de leurs mairies (de façon coercitive) de s'occuper convenablement de la situation des sans-domicile fixe qui sont citoyens français et qui n'ont pas les aides accordées aux réfugiés nouvellement arrivés (CMU et soins psychiatriques, aides sociales, logement indépendant avec carte de transport offerte).

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Être le porte-voix des élus territoriaux et des diverses organisations économiques, sociales et familiales. Voir plus haut la question relative aux organisations syndicales, professionnelles, familiales et associatives.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Fusionner le Sénat et le CESE, en gardant le nom de Sénat et de sénateurs (autant garder les noms qui ont un charme et faire disparaître le CESE).

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Élargir le Concordat à toute la France, afin de contrôler l'Islam pendant le temps où cette religion sera présente sur le territoire national.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Ne pas accorder l'asile ni le regroupement familial, ne pas renouveler la carte de séjour, ne pas donner la nationalité française aux étrangers qui refusent de vivre selon les us et coutumes français tels que parler français dans la rue/administrations/transports/école ; s'habiller à l'occidentale, y compris le vendredi ; tolérer la conversion à une religion autre que l'Islam ; stipuler par la signature le rejet du salafisme, djihadisme et autres mouvances de communautarismes étrangers à la tradition française ; apprécier favorablement le respect de l'égalité homme/femme ; faire allégeance loyale et éternelle à la France en cas de guerre avec un pays musulman ; accepter la liberté d'action et l'interprétation libre vis-à-vis des préceptes de la religion coranique ; accepter que la France a une tradition chrétienne et catholique et qu'elle n'a pas à se soumettre aux désirs de la Oumma islamique présente sur son territoire ; etc.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Revenir aux valeurs traditionnelles du sens de la nation, du sens de l'effort, du sens de la famille, au sens de la vie et au don de soi, du dévouement au bien humain. Restaurer la devise de la Légion d'honneur : Honneur et Patrie. Qui est fidèle à sa patrie sait aussi aimer la patrie d'autrui.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

La politesse, même dans le désaccord. Le parler non-violent (non-agressif surtout). Le dévouement auprès des enfants orphelins et/ou placés, des personnes âgées, des handicapés, des pauvres, des malades et des infirmes. Agir (par de multiples moyens) pour les nécessiteux, qu'ils soient en France ou à l'étranger.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Des programmes courts, ludiques et réguliers auprès du grand public et des jeunes (scolaire, TV, presse junior), sous forme de jeux participatifs, lectures et fictions, encarts publicitaires.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Créer une Médaille du Dévouement qui serait accordée par les territoires locaux, selon des critères spécifiques et une transparence complète dans son attribution.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Le parler-fort dans la rue et dans les transports (sont-ils sourds ou juste de nature agressive et narcissique ?). Les déchets dans la rue, dans les transports et le long des routes. Les crottes de chien sur les trottoirs, pardi... c'est pas possible, surtout la nuit ou quand il pleut, et c'est pire quand la municipalité s'y met pour éteindre les lampadaires pour être au vert... Cracher, surtout pendant la période du Ramadan, les trottoirs et les gares sont jonchés de crachats ; même l'aspect audible du crachat est désagréable ; cette mauvaise habitude ne fait tout simplement pas partie de l'art de vivre à la française et cela participe au fait que cette salade d'un vivre-ensemble (factice) que les médias et politiques dits "progressistes" nous assènent telle la pravda est en vérité désavouée par une majorité de Français, ayant très bien compris qu'il ne nous est en réalité proposé rien d'autre qu'un mourir-ensemble à petit feu.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Ouvrir les yeux sur les aspects socio-culturels et religieux de tout une partie des incivilités. Expulser les étrangers qui en commettent, sans pitié pour ceux qui n'ont pas de pitié pour le pays qui les accueille. Sensibiliser, rabâcher, sous diverses formes et par différents moyens. Puis réprimander, sévèrement, tout simplement, quand il y a un refus obstiné d'être civilisé.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Bien éduquer et prendre conscience du sens de la vie et du respect d'autrui.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

La discrimination vis-à-vis des difficultés de parcours professionnel (cheminement étudiant, compétences et expérience). Je me méfie de la discrimination positive, étant blanc avec un style "classique non rebelle", même si je n'ai pas encore eu l'impression d'être discriminé au prétexte de ne pas faire partie d'une case "minorité" à cocher dans la politique soit-disant "éthique" de la diversité dans les entreprises.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Retrouver un chemin commun qui aille par-delà de simples valeurs pseudo-républicaines, qui sont par ailleurs bien trop souvent abstraites dans l'immédiat et évolutives dans le temps pour constituer une pierre d'angle autour de laquelle construire ensemble. Donner du sens à la vie, ce que des valeurs républicaines ne peuvent pas faire car étant temporelles et non spirituelles.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Respecter les lois et ne pas avoir de casier judiciaire. D'autant plus pour un étranger ou une famille d'étrangers, lesquels adultes doivent être présents légalement sur le territoire national, avoir travaillé légalement pendant 3 ans pour ouvrir droit aux allocations et dont les enfants doivent être respectueux de la loi, des institutions, des professeurs et des élèves et avoir un niveau scolaire convenable (10 sur 20 de moyenne, au minimum).

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

262 000 entrées légales d'étrangers en 2018, c'est trop. Il ne devrait pas y avoir plus de 20 000 entrées annuelles d'étrangers chaque année en France, en faisant exception des étudiants étrangers sérieux qui repartiront ensuite pour la plupart dans leur pays ou ailleurs dans le monde. Le critère premier exigé pour pouvoir entrer en France devrait être le pays d'origine (selon le quota accordé ou non au pays en question), ensuite la connaissance de la langue française et des codes culturels français, enfin la concordance entre les compétences professionnelles réelles du travailleur étranger et celles recherchées par les entreprises.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui, et pouvoir décider de n'accorder aucun quota aux pays dont on ne veut plus de leurs ressortissants, sans que cela soit illégal, car ce sont les Français qui doivent décider de la loi, et non des frères-la-morale-républicaine qui s'auto-proclament juges (alors qu'ils sont surtout partie) et qui osent confisquer la démocratie au peuple (demos kratos), soit-disant au nom de ces mêmes valeurs démocratiques.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Ne pas hésiter à dire NON, c'est le propre du courage politique que de refuser une situation défavorable pour le peuple et la nation entière. Parmi les mesures possibles et qui sont nombreuses, pourvu qu'on ait de la ténacité et une volonté d'acier : Interdire toute possibilité de régularisation pour les demandeurs d'asile en situation illégale, aussi, n'accorder l'asile qu'aux personnes présentes devant le juge lors du verdict (sauf exceptions rares à faire accepter par voie référendaire) afin de pouvoir placer immédiatement en détention et expulser sous peu les déboutés du droit d'asile ; Instaurer des quotas sur critères de nationalité, linguistique, culturel et de compétences professionnelles, voire d'autres critères à faire accepter par voie référendaire ; Utiliser les moyens de la reconnaissance faciale et de l'identité biométrique pour pouvoir repérer, arrêter et expulser les personnes non autorisées sur le territoire national ; Retirer la nationalité française aux familles dont les deux parents sont binationaux et dont l'un des parents a un casier judiciaire et aussi dans les cas similaires où un des enfants a un casier judiciaire, puis les expulser à la fin de l'année scolaire (le logement social étant ainsi libéré, ou le logement privé devant être indemnisé à hauteur des prix du marché), avec interdiction à vie d'entrer sur le territoire national. Faire de même pour les familles étrangères dont les parents sont au chômage et les enfants en difficulté avec l'école ou la loi. ; Instaurer un système de quota pour le regroupement familial pour les étrangers selon le pays, les revenus et linguistique/codes culturels. Ne pas accorder d'allocations familiales aux familles étrangères arrivées en France via le regroupement familial.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

La volonté de vivre comme un Français en France : usage de la langue française en tous lieux et en toutes circonstances ; la connaissance des cultures locales et l'amour de la civilisation française ; l'acceptation et l'utilisation des codes culturels français anciens et contemporains ; la volonté de voir perdurer à travers les siècles l'architecture, la littérature, l'art de vivre charmant, joyeux et généreux de la France, la catholicité de la nation française, l'histoire royale et impériale de la France, l'espérance française en une vie meilleure et pleine d'amour, où l'innocence y est respectable et respectée. Établir des uniformes pour les écoliers, collégiens et lycéens, et rétablir les cérémonies de remise des diplômes (comme avant 1968) avec toge, chapeau, diplôme roulé en main et médailles décernées aux méritants.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Instaurer le RIC : référendum d'initiative citoyenne ! Sinon vous confirmerez que ce régime ne sert pas profondément les intérêts du peuple français, mais uniquement ceux de l'idéologie dominante au sein des élites.