Date de publication : 2019-01-28
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

En plus personne puisque plus personne ne représente le peuple. Les élus ne défendent que leurs intérêts propres et la France fait partie des pays occidentaux les plus corrompus.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Il faut redorer le blason des syndicats en cessant de les vilipender dans les médias et en développant l'éducation populaire.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Il faudrait des hommes et des femmes qui fassent passer l'intérêt de la France avant le leur. Pour cela, il faudrait condamner fermement l'abus de biens publics, pire crime pour une personne politique.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

None

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

SYSTÈME ÉLECTORAL PROPORTIONNEL

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

Question démagogique

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Vote obligatoire sur temps de travail.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Décompte des votes blancs avec pour règle d'annuler le scrutin si majorité de vote blanc. Ou mise en place du vote contre.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Referendum mais à condition de respecter le vote du peuple pas comme en 2005.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Il peut être pour une proposition de loi mais aussi contre. Baisser le nombre de parlementaires : non pas 1/5 mais 1/10 mais laisser le nombre de 10% du corps électoral

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

C'est pas l'utilisation qui pose problème pour l'instant, c'est le budget en lui-même. Il doit plus être question de comment augmenter les recettes de comment baisser les dépenses. Et les recettes, elles peuvent se récupérer en luttant contre la fraude fiscale, en cessant d'assister les entreprises par l'entremise de défiscalisations et autres aides et en imposant les français de l'étranger.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

S'ils pouvaient déjà jouer pleinement le rôel qui leur est assigner, ce serait bien. Par exemple en interdiant ou en limitant au cas de force majeur l'usage de l'ordonnance.

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Assumer l'interdiction de tous signes ostentatoires. Ca implique faire preuve de courage face aux religions qui véhiculent des messages et des signes contre la laïcité et en même temps défendre notre histoire qui repose sur la religion chrétienne. Cela semble paradoxal, mais l'union française repose sur ce diptyque que met à mal les manifestations religieuses islamiques.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

L'éducation demeure la meilleure arme face aux obscurantismes. Mais à vouloir tellement former pour faire des élèves, des futures personnes employables et non pas des citoyens, on en oublie l'essentiel.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Les défis écologiques sont suffisamment rassembleurs pour qu'il n'y ait pas à poser cette question. Mais il semble que ce soit le politique qui oublie l'écologie en s'agenouillant face à l'économique. Replacer le politique au centre par le biais de l'écologie permettra l'engagement des citoyens. Mais ça passe par un changement paradigme qui aliène l'économique à une autorité supérieure...

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

L'incivilité la plus insupportable, c'est le mépris de classe. Penser que tous les Français sont des abrutis parce qu'ils n'habitent pas Paris ou parce qu'ils n'ont pas fait science pô, ENS et ENA, c'est inadmissible.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Former des citoyens et non pas des bénis oui-oui à la finance. Cesser de penser que l'unique valeur d'une existence et que l'unique aspiration d'un Français, c'est de se faire un pognon de dingue.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Que les élites se comportent en modèle. Pantoufler ou pantominer à la télé, c'est catastrophique pour l'image d'un ministre et encore plus d'un président.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

La solidarité n'a pas de contrepartie par définition sinon ce n'est pas de la solidarité.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

A qui sert la politique migratoire ? Et qu'elle en est l'origine ? Il est évident qu'en retrouvant une souveraineté digne de ce nom, nous pourrons alors choisir de la nécessite ou non d'immigrés. Ça implique donc de remettre en place nos frontières et de rompre avec l'espace de Schengen. Ça implique aussi d'imposer à notre fameux capitaine d'industrie d'élever les salaires. Ainsi, ils ne chercheront pas à recruter à l'étranger des salariés moins-disants.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

L'immigration mérite plus que des quotas. Elle mérite un vrai débat avec les réelles raisons de cette immigration. Elle implique aussi le courage de sa pensée. Immigration choisie ? Selon quel critère ? Il n'y a pas de honte à dire, même pour la France, qu'une immigration de personnes de religion chrétienne est préférable à d’autres par soucis d'intégration.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Assumer une immigration choisie selon des critères assumés

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Une sorte de contrat de nationalité avec période d'essai. Soit la personne respecte les règles liées à la République Française et elle s'intègre soit elle échoue et elle retourne dans son pays d'origine.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le plus gros problème est notre perte de souveraineté. De ce fait, le président élu ne peut agir librement. Il est sous la contrainte des traités européens. Il est nécessaire de sortir de l'Euro et de retrouver une souveraineté par l'intermédiaire d'une politique monétaire assumée. De même la mise en place du referendum d’initiative citoyenne afin que le peuple retrouve sa souveraineté.