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Il faut commencer par simplifier drastiquement : regrouper les taxes diverses, supprimer les exceptions et les niches, créer des "flat taxe" et rendre lisible la fiscalité et les prélèvements
C'est d'abord la dépense qu'il faut baisser, ensuite il faut baisser les impôts sur tout ce qui touche aux investissements, au développement de l'emploi et augmenter les impôts sur les produits de consommation souvent massivement importés (pour être clair mettre en place une TVA sociale)
Si on prend un peu de recul... les gouvernements depuis 40 ans ont décidé la retraite à 60 ans au moment ou la durée de vie augmentait, de passer aux 35h au moment ou la compétition internationale s'intensifiait (d'ou les délocalisations massives), augmenter tous les impots (la CSG est passé de 0 à 17,2%!!!), mis en place l'ISF et la taxation massive des hauts revenus (qui ont depuis quitté le pays pour d'autres cieux plus favaorable) et développer massivement toutes les aides sociales... On voit ou on est aujourd'hui , donc il faut détricoter cela sans faire la révolution . Merci à tous ces stratèges bien pensant qui se reconnaitront et travaillons à mettre en place un système vertueux qui favorise le travail, l'investissement, le made in France, la consommation raisonable et durable. C'est possible faisons le.
c'est plus les conditions en retour : des aides oui bien sûr mais quelles obligations associées. Le salaire est la contrepartie d'un travail, quelle est la contrepartie de chaque aide? Y répondre de serait déjà un pas important. La clé de tout c'est le travail pas le maintien dans l'assistanat
l'accès au travail et à un logement minimum
et si on renversait la question : quels sont tous les domaines d'intervention du domaine publique qu'il faut revoir pour payer moins d'impôts et plus responsabiliser le citoyen?
La simplification du système est la clé principale, en commençant par une feuille de paye réduite à 3 prélèvements : Santé, Retraite, Impôt (= fonctionnement des services publiques) et considérer que c'est le salarié qui paye en lui versant 100% du salaires payé par l'entreprise (les cotisations patronales sont un leurre, c'est en fait le salarié qui paye!), cela permettra déjà de faire comprendre. Pour le reste laisser chacun faire ses choix en fonction de ses moyens et projets. Ce qui est gratuit coute en fait fort cher et plus personne n'a cette notion de cout.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Faire des économies d'énergie massives et sortir rapidement des énergies fossiles charbon, pétrole et gaz
Oui
multiplication des catastrophes naturelles, sécheresse, inondations, feu de forêts
Oui
Économie d'énergies et de ressources naturelles, réutiliser, réparer, recycler
l' aspect économique est la première incitation : Payer une taxe carbone d'un coté oui mais des aides aux projets d'investissements vertueux : financement des études et accès à des prêts de longue durée . 100% de la taxe carbone pour financer les projets d'économie d'énergie et de sortie des énergies fossiles.
Avoir accès à des prêts bancaires à taux réduit et à la durée adaptée au retour sur investissement lié aux économies
Oui
Des arguments techniques d'un coté et une cohérence économique de l'autre : le changement doit avoir une rentabilité économique pour être accepté. cela passe par une taxe carbone pour pénaliser les fortes consommations d'énergie fossiles et des incitations pour des énergies renouvelables ou à bas carbone. Le bon exemple est la pompe à chaleur "géothermique" qui est un investissement assez lourd mais qui permet à la fois une baisse des couts, une baisse importante du CO² émis et le recours à une énergie renouvelable. Ceci en remplacement des chauffages électriques par convecteur ou des chaudières mazout ou gaz. Cela passe aussi par une politique adaptée vis à vis de l'électricité en matière de production (ne pas jeter le nucléaire trop vite), de taxes (pourquoi une taxe pour les énergies renouvelables sur l'électricité et pas sur les autres énergies?) et de normes : le RT2012 exprime l'objectif de 50 KWh ep, pourquoi continuer à prendre le pétrole comme référence en faisant croire que le coefficient de transformation est de 1 vis à vis d'un coefficient de 2,58 pour l'électricité quelques soit son origine et quelques soit son mode d'utilisation (grille pain ou PAC) La production d'eau chaude est aussi à revoir : une chauffe eau thermodynamique sur air extrait permet à la fois d'améliorer la ventilation et de faire des économies.
Oui
La première solution à développer est la marche à pied en sécurisant les itinéraires piétons, et un couplage avec un réseau de transport en commun avec une bonne fréquence de passage. Marcher 10mn et prendre un transport en commun rapide et fréquent!
L'auto partage
Les infrastructures et l'offre doivent être adaptées par les municipalités, mais encombré les hyper centres villes de bus diesel n'est pas non plus la solution. Il faut laisser la place au vrai mode écologique et sain : l'accès aux piétons
monter l'exemple et faire savoir ce qui est fait, le France a tous les atouts pour devenir un modèle même si beaucoup de pays sont déjà largement devant nous
La plupart des projets d'économie d'énergie sont rentables ( gains/couts) et parfois avec un très bon retour sur investissement (2 à 10 ans), d'autre part ils améliorent à coup sûr le confort et la santé : une maison bien isolée, bien ventilée est économe, agréable et saine. Lutter contre l'habitat insalubre est une lutte indispensable et rentable, beaucoup plus que le distribution d'une "prime énergie" qui part en fumée aussi vite que distribuée. De plus la facture énergétique sur les énergies fossiles de la France (50 à 60 milliards par an) est un gisement énorme de financement, encore faut-il bien l'utiliser en réduisant vite et fort la consommation de pétrole et de gaz. Ces projets de transition énergétique ont le potentiel de s'autofinancer, ce n'est pas un cout mais un gain net, encore faut bien inciter à l'investissement et pénaliser la consommation, ce qui nous ramène aux choix de la fiscalité vertueuse
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