Arrêter de nous expliquer que le GAFA (Google Amazon Facebook et Apple) paye moins d'impôt que nos entreprises françaises et que c'est normal ! Arrêter de faire peur aux français avec le départ des grandes fortunes... Responsabilisez les grands salaires à l'effort national et aux valeurs de la République... Faire payer des impôts (même modique) à TOUT LE MONDE même les personnes à faible revenus pour les sensibiliser aux causes auxquelles elles participent. (voir proposition des nouvelles tranches d'imposition de la France Insoumise).
Mieux la redistribuer. Plus une ville est habitée, plus elle est riche hors tout le monde ne peut pas habiter au même endroit car cela crée un engrenage du logement absolument inacceptable dans les grandes villes. Il semblerait logique qu'un effort soit fait des personnes riches vers les personnes les plus pauvres. IDEM avec les territoires. Un peu de solidarité...
TVA
Sérieusement ? Aucune autre alternative que de se couper un bras ? .... Taxer les grands groupes autant que les PME ? Taxer les grandes fortunes ?
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La Santé.
Aucun, repartissez les mieux, aller chercher l'argent qui manque chez ceux qui fraudent et ne payent pas.
Si le gouvernement n'est pas en capacité de proposer des solutions plus justes autre que "nous faire payer plus". ou accepter de nous couper la main au lieu du bras.. je vois pas pourquoi nous débattons. Il y a de l'argent en France, pas besoin de sortir de grandes écoles pour s'apercevoir des grandes inégalités sur ce territoire. Légiférez pour les réduire au lieu de toujours taper sur les personnes qui travaillent modestement.
Probablement le Maire car il est le personnage le plus proche du territoire et des habitants.
Oui
Le Maire (même si c'est déjà parfois le cas) devrait obligatoirement s'entourer de représentants d'organisation ou de corps de métier (composer sa liste AVEC ses personnes) liés à la mise en oeuvre des compétences de la collectivité. Si les citoyens se sentent mal représenter, c'est parce que les personnages politiques semblent ne pas avoir fait leur preuve dans les milieux professionnels auprès desquels ils agissent.
Ne plus permettre à des hommes de politique de mener des carrières exclusivement dédiées à cela. La politique doit faire émerger des débats de fond sans langue de bois et ne pas être une opération séduction permanente vers la conquête de la prochaine élection.
Une bonne chose
Une bonne chose mais il faut aller plus loin pour cette réforme. Plus la représentativité est importante, moins les pouvoirs sont centralisés autour d'un seul et même décideur.
Les moyens dédiés aux campagnes électorales sont faramineux et ne permettent pas, de fait, aux sensibilités politiques qui n'en n'ont pas les moyens de s'exprimer.
Oui
C'est le rôle des territoires et des institutions qu'il faut revoir avant de déterminer le nombre d'élus à supprimer.
Le vote blanc doit être pris en compte pour ne pas avoir à faire de choix par défaut. C'est cette pratique qui a, en partie, détourner pas mal de gens des urnes. Le fatalisme de devoir se retrouver avec quelqu'un dont on n'approuve un peu plus les idées que l'autre... (et ces dernières années, le choix entre le nationalisme et le libéralisme). Personnellement, je ne me retrouve dans aucun des deux, donc comment voter dans ce cas ?
Oui
Les élections sont nulles si le blanc l'emporte. Dans le cadre de notre république et de notre constitution, cela semble difficilement applicable puisqu'il faut bien quelqu'un à la tête de l'Etat... c'est pour cela qu'elle doit être réformée en profondeur.
Le tirage au sort et l'obligation de répondre à des devoirs citoyens pourraient être un bon moyen pour faire parler les gens et les impliquer dans les débats.
Oui
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Donner le droit de regard AVANT que les décisions soient prises. Internet, le numérique ouvrent de nouveaux espaces de parole qu'il faut saisir / Reste à déterminer comment prendre en compte les avis, comment les traiter mais un homme ne peut décider seul pour le collectif ou tout du moins, il doit avoir un dessin clair, ce qui n'est pas toujours le cas par rapport aux programmes énoncés. On voit la finalité mais les moyens d'y parvenir sont flous voire "déshabille Paul pour rhabiller Jacques".
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Oui
Je ne sais même pas quoi servent aujourd'hui les conseils économique, social et environnemental et je connais à peine le rôle du Sénat.
Je suis athée et la religion des autres ne me dérange pas à condition qu'elle s'exprime dans le domaine privé. Il doit sûrement y avoir des inégalités de traitement entre les religions donc les traiter sur un pied d'égalité me semble un bon point de départ.
En appliquant le principe "d'égalité" dans le traitement accordé aux personnes pratiquantes. Tout le monde a la droit ou personne n'a le droit , pas de d'exception quelque soit les préceptes de telle ou telle religion.
Une éducation civique participative et intéressante à l'école et (En faire une vraie discipline plutôt que de donner ça à des professeurs qui ne sont pas spécialistes de ces questions.) prolonger ces temps (de rassemblement non politisé) tout au long de la vie. - Peut-être mettre les élus face à leurs responsabilités en les faisant intervenir dans les classes.
L'engagement associatif, l'apprentissage.
Dégager du temps de travail pour favoriser l'implication des citoyens dans des causes associatives, l'apprentissage de nouvelles compétences etc.
Dégager du temps de travail.
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Oui
Sur la base du volontariat et dans un objectif de découverte d'univers professionnels et de ré-intégration de personne socialement en difficulté - NON PAS pour remplacer des métiers à moindre coût.
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La question du travail est centrale et regroupe les problématiques pré-citées. Comment intégrer les immigrés si ils n'ont pas de travail ? Que faire de tous ces élus et de cette caste qui ne connait finalement pas ou peu le travail pour qu'ils sachent ce qui se passe en France ? Comment vivre sans travail ? Comment s'impliquer dans la vie citoyenne quand on a un travail qui occupe la plupart du temps dont on dispose ? La question du revenu universel était très intéressante, car il faut se rendre à l'évidence : la mondialisation, le coût du travail, et l'automatisation ne vont pas vers la création de plus d'emploi. Les tâches nobles sont sous-payées (fonction publique) et les métiers "polluants" , qui dégradent notre société sont sur-payées (PDG de firmes automobiles, de commerces internationales, de grandes surfaces). Certains s'inventent même des métiers car sans travail, on n'existe pas ou à peine dans cette société. Les troubles psychologiques et de santé public (dépression, burn out, harcèlement) qu'il développe sont symptomatiques d'un non sens dans la valeur qui lui a été accordé. Ce quinquennat veut redonner de la valeur au travail.... redonner lui une valeur morale plutôt qu'une valeur financière, ainsi, les gens auront plus de temps pour se consacrer aux causes collectives plutôt qu'à leur cas individuel.
La décentralisation des services de l'Etat ne répond pas, ou répond mal aux problématiques des territoires ruraux. La concentration des Métropoles joue en pleine défaveur des communes périphériques qui deviennent des dortoirs et manquent cruellement d'attractivité. La redécoupage des régions a fait disparaître de la carte les territoires les plus petits, les villes de 50 000 habitants. (Ex : la Région Grand Est). Est ce que ce sont les services publics qui donnent de l'attractivité à un territoire ? Si ils sont couplés à l'emploi : je crois que la réponse est OUI. Seulement, les entreprises ne s'implantent que dans les zones qui proposent des services publics performants (écoles, hôpitaux, équipements culturels et sportifs, logements adaptés...), espérant ainsi y trouver un bon niveau de qualification, de la main d’œuvre jeune et formée. De fait, et la manifestation des gilets jaunes en témoigne, nous nous retrouvons (petits territoires) avec des injonctions de l'Etat irréalisables (des contraintes, normes, lois, réductions budgétaires croissantes qui rendent impossible la re-dynamisation des centres villes ou de monuments "classés" VS des grandes collectivités territoriales qui avancent très (trop ?) vite qui ne nous permettent jamais d'être à niveau... Il existe une concurrence entre les territoires hors, elle ne devrait pas exister. Tout un chacun devrait pouvoir habiter où il le souhaite sans devoir aller s'agglutiner dans les métropoles aux loyers exorbitants et hors de portée des classes moyennes. La répartition des compétences sur les territoires n'est pas équitable. Pour des raisons économiques (et d'économie), elles se re-concentrent. L'Etat devrait avoir un rôle de veille sur ces répartitions territoriales. Il s'agit ici de soutenir les spécificités et non de les enterrer sous de grands principes émanant de Paris. Qui connait mieux les territoires que les Maires qui les régissent, les personnes qui y travaillent et y habitent ? Pourtant, de hauts fonctionnaires viennent régulièrement donner des leçons au lieu de donner des coups de pouce. Quel est dans ce cas l’intérêt d'avoir des services déconcentrés si les personnes qui y travaillent ne résident pas sur le dit territoire et n'ont pour missions que d'appliquer du haut vers le bas, au lieu de faire remonter du bas vers le haut... ?? A l'inverse, pour éviter tout mépris, il faut donner aux élus les moyens d'argumenter. Le manque de formation de la plupart de la classe politique concernant les spécificités des compétences est affligeante et il est évident que les territoires qui s'en sortent le mieux ont des élus compétents (sans dire, des relations étroites avec le gouvernement cf : les villes qui ont un ex-ministre à leur tête). Adosser à un mandat, la formation devrait être obligatoire pour éviter ainsi, le jeu des sièges politiques voire même des non-sens en terme de distribution des rôles... (en quoi un carriériste politique est il pertinent sur les questions liées à son ministère quand celui-ci demande des connaissances très techniques pour bien appréhender le sujet...)
Oui
Je ne sais pas, si nous pouvons parler de transférer de nouvelles missions car elles sont déjà nombreuses, mais plutôt de donner les moyens aux collectivités de mener à bien leurs missions.
Non
Nous disposons du strict minimum en matière de santé : pas d'innovation, pas de recherche, pas de spécialité - un personnel découragé et fatigué. Nous disposons du minimum en matière d'équipements culturels et sportifs (sans parler du fonctionnement pour une vie associative riche qui va avec) Les moyens dédiés à l'école et l'enfance de manière générale sont extrêmement inégaux. (regroupement de classes abusifs, disparition de filière, frais extra-scolaire : cantine, garderie etc.)
Des enquêtes de satisfaction capables de produire des analyses sur les attentes des habitants et de la matière aux élus qui ne peuvent se contenter de ne satisfaire QUE leur électorat OU de réunions publiques "politisées" !
Non
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Même si cela ne concerne pas toutes les générations, la dématérialisation est une bonne chose. (toute sorte de déclaration et paiement par internet). MAIS, quand certains territoires sont à la pointe, d'autres sont à la ramasse. (Tous ne savent pas traiter les donnes numériques rendant ainsi les démarches dématérialisées inutiles puisque le service ne marche pas.) / Même chose quand la couverture internet du territoire est insuffisante.
- L'école a de gros progrès à faire et ce n'est pas en changeant les rythmes à chaque mandant qu'elle les fera. (formation des enseignants, prise en charge des enfants dans les temps extra-scolaires selon les écoles, formation et rémunération des auxiliaires). - L'hôpital public doit être davantage soutenu (meilleures prises en compte des personnels) et non laisser à l'abandon des industries qui n'ont que faire de la santé de leurs "clients." - Les transports publics (le train - TGV) ont des tarifs exorbitants qui ne facilitent en aucun cas la mobilité au profit de l'écologie. Qu'est ce qui s'est passé avec la SNCF ?
Oui
Non
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Oui
Le principe de marchés publics ruine les possibilités de faire appel aux entreprises locales qui n'ont pas le personnel pour répondre à ces procédures complexes et empêchent certaines PME de travailler pour leurs propres collectivités. Ce n'est pas tant l'autonomie du fonctionnaire qui est visée que celle des collectivités au regard des tâches qu'elles doivent accomplir.
Oui
Le Maire ou les élus ne devraient pas être les seuls décideurs des leviers de la politique et des fonds publics. Car élus incompétents = territoires en déclin et ça peut durer très longtemps. (Je ne donnerai en exemple que le Département des Ardennes dont la gestion catastrophique, ne permet plus qu'à cette collectivité aujourd'hui de verser le RSA, à peine payer ses employés, rémunérer ses élus quand même et mener des projets sans fond et pertinence pour l'avenir de ce territoire... - ce qui pose la question de la révocation des élus à mi-mandat par exemple...) La plupart des citoyens engagés dans leur vie professionnelle n'ont ni le temps, ni l'envie d'entrer en campagne de séduction avec un potentiel électorat pour avoir "les clés d'une ville". La politique est devenue un métier alors qu'elle est le propre de tout un chacun qui participe à la vie de la cité. Des questions aussi graves que la santé, l'école, l'emploi, l'écologie, la politique culturelle et sportive, etc. ne doivent pas être remises dans les mains de n'importe qui. (voter entre la peste et le choléra à chaque élection n'a rien de réjouissant). La formation des élus qui ont le temps et l'envie d'aller sur le terrain me semblent le minimum !! Elle ne doit pas non plus appartenir qu'aux personnes retraitées aisées dont la vision des territoires est souvent biaisée et dépassée face aux problématiques actuelles ! La formation des fonctionnaires dans un deuxième temps est crucial. Comment peut-on passer d'une direction des ressources humaines aux finances puis au développement économique juste en ayant un concours d'administration générale ? Quid des qualifications diplômantes du personnel ? quid du management ? ET sur les territoires non attractif vis à vis du personnel qualifié, quid de tout, on prend juste le grade pour jouer aux chaises musicales. Ce n'est pas satisfaisant. Nous avons besoin de personnes qualifiées à tous les étages de l'administration. (Soit dit en passant, on peut aussi poser cette question pour nos chers ministres.) La formation des adultes n'est pas à prendre à la légère, ce n'est pas un marché ouvert à n'importe quel coach qui se réclame d'un vague stage diplômant !
Les collectivités territoriales qui perdent des habitants n'ont pas les moyens de lutter face aux baisses de dotation de l'ETAT car leurs propres recettes fiscales baissent. Il faut qu'il y ait des "cas particuliers" et des soutient accrus vers ceux qui se meurent. La transition écologique, l'innovation, l'expérimentation ne doivent pas être réservées qu'aux territoires les plus riches. La ruralité peut être source d'initiatives formidables à condition qu'on l'écoute et la soutienne. En province, il y a les forêts, il y a les sources, il y a des champs, il y a un éco-systême formidable et un bon vivre que peu d'habitants troqueraient contre la vie citadine. Permettez aux personnes attachées à leur territoire de rester chez eux et ne les obligez pas à faire le choix d'une bonne éducation, d'un meilleur salaire ou de bons services de soins au détriment de leur qualité de vie, de leur patrimoine et de leur famille. (Sans compter bien entendu que beaucoup n'ont pas les moyens de déménager). Alors que Paris se découpent en quartier à petits commerçants bios et chics, on vient implanter les grosses machines commerciales dans les périphéries de nos villes moyennes. Nous n'en voulons pas forcément, nous souhaitons pouvoir faire vivre nos petits commerçants sans que ces derniers aient dans l'obligation de pratiquer des prix bien supérieurs à la grande distribution. Responsabilisons les habitants des territoires vis à vis de ce qu'ils consomment ! Si certaines collectivités souhaitent le faire, elles sont immédiatement déboussolées par l'implantation de multi-nationales qui promettent de nombreux emplois. (sans dire bien sûr que ces emplois seront bien sûrs précaires et mal payés puisque nous sommes sur un territoire en souffrance). Si M. MACRON souhaite que nous soyons des entrepreneurs, soit, laissez les collectivités venir en aide des petits commerces, choisir leurs petites PME, soutenir ceux qui créent et se renouvellent au service du territoire au lieu des les laisser s'enterrer dans la concurrence déloyale que provoque de grands groupes comme Amazon. Remettez la POSTE au premier plan des livraisons puisque le commerce par internet se développe, que le bon vieux "courrier" se meurt, au lieu de laisser cela à des groupes privés qui traitent leurs salariés comme des moins que rien ! Redistribuez équitablement les richesses sur les territoires (stop aux budgets colossaux des grandes institutions qui ne servent à rien vu d'ailleurs que Paris...), BREF, si il est impossible de faire mieux, de se ré-inventer à travers les nombreuses expertises réalisées et expériences vues dans le monde entier, de re-distribuer plus équitablement car c'est de ça qu'il s'agit (Beaucoup trop d'économies ont été réalisés dégradant ainsi tout ce qui cause le mal de ce pays), Si l'Etat n'a pas l'intention de réduire les inégalités (salariales, territoriales, d'accès aux services publics etc.), RENDEZ L'ARGENT AUX CONTRIBUABLES et aux gens qui travaillent modestement pour "survivre" dans une société mondialisée capitaliste et individualiste.
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Taxer sévèrement toutes entreprises responsables de pollution majeure ou utilisant des produits mauvais pour la santé et l'environnement = cela apprendrait peut-être à la vue de la flambée des prix à responsabiliser les consommateurs car ils sont la clé de voûte du déclin... encore faut-il leur permettre de consommer responsablement malgré de petites finances...
Non
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Oui
- Favoriser les transports non polluants (si ma ville avait des infrastructures pour les vélos correctes), - Tri des déchets, (à condition que ceux ci soient correctement traités derrière), - Faire attention à ce que je consomme (à condition que les mentions sur les étiquettes fassent clairement état de la composition des produits), - Consommer moins de viande.
- Avoir un chauffage qui fonctionne correctement (je suis locataire, mon propriétaire se fout d'avoir une chaudière pourrie puisqu'elle a coûté moins chère au départ que la chaudière économique et que ce n'est pas lui qui paye le chauffage). - Avoir de vraies pistes cyclables dans ma ville et des parkings vélos. - Favoriser les rues piétonnes, - Baisser le prix du train, - Un bon étiquetage (et pas obligé de passer par des applis de vérification) des produits / Taxe forte sur les produits qui ne respectent pas les principes d'une agriculture responsable.
- Pouvoir obliger les propriétaires mettre en place des systèmes de chauffage responsable ou renforcer l'isolation des logements (petite taxe sur le loyer qui contribue à cela), Le propriétaire doit justifier des travaux faits et à l'inverse reverser cette taxe à l'Etat (pour une vraie transition écologique et donner des aides quand les montants de travaux sont difficiles pour les propriétaires) si rien ne bouge. - Un service payant (raisonnable) pour emmener les encombrants de chez moi à la déchetterie (comment faire quand on a une petite voiture ?)
Oui
Je suis locataire, ce n'est donc pas moi qu'il faut convaincre mais le propriétaire qui s'en fout.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
Je l'utilise trop souvent pour des déplacements que je pourrais faire en vélo mais il n'existe pas de piste cyclable. Ce n'est pas rassurant de se faire tailler des shorts par les voitures dans ma ville.
Le vélo
La mairie mais si elle n'en a pas les moyens car peu de recettes fiscales, vers qui peut-elle se tourner ?
Se couper de l'Europe pour ce qui est de ce que nous consommons quotidiennement et qui nous empoisonne.
La transition écologique est une question mondiale. Il faut s'attaquer aux entreprises et aux multinationales qui polluent massivement AVANT de tenter de responsabiliser qui ce soit sur son petit impact qui fera l'effet d'un grain de sable sur une plage. On ne peut pas être crédible sur la question de l'écologie en ayant des centrales nucléaires, en consommant du MOSANTO , en encourageant la sur-mobilité pour aller "travailler", en se pavanant pendant ses vacances sur des bateaux de croisière et en cultivant abusivement les sols et en vidant les mers pour surconsommer et avoir des hypermarchés pleins à craquer "juste pour faire beau". De fait, je ne pense pas que ces crimes commis quotidiennement par les grandes entreprises de la planète et les grands Etats du monde soit effacés parce que je prendrai mon vélo au lieu de ma voiture.
Votre message a bien été envoyé.