La réalisation par la cour des comptes d’un rapport très simple (une page) avec des graphiques présentant les budgets de l’État et les impôts. Rappeler les impôts progressifs et ceux proportionnels. Limiter voire supprimer les niches fiscales difficiles à comprendre.
Réduire le nombre d’impôts et d’exceptions : une TVA (plusieurs taux), un impôt sur les revenus des particuliers, un impôt sur les sociétés. Ça en ferait un impôt sur le chiffre d’affaire (ou quasiement), ce qui en fait un impôt sur la taille de l’entreprise et évite les provisions frauduleuses, mais aussi l’incertitude pour les PME : Tout l’argent qui rentre est imposable (mais à un taux nettement plus bas), un impôt sur les successions progressif et pour toutes les successions. C’est également efficace pour les GAFAM et cela évite l’évasion des bénéfices par l’utilisation de charges déductibles au profit d’entreprises à l’étranger. Tout le monde doit payer un impôt sur le revenu (première tranche à 5%, par exemple, voire moins),
L’impôt sur les sociétés doit diminuer en taux mais ne devrait plus proposer de charges déductibles (sauf éventuellement investissements écologiques et en recherche, mais même pas sûr). Les taux de TVA sont à revoir, avec peut-être une TVA luxe plus élevée, par exemple.
uniformiser les régimes, notamment le chômage pour le régime public (pas de cotisation chômage pour les fonctionnaires, pourquoi?))
Les bourses d’étude ne doivent plus se baser sur les revenus des parents lorsque l’étudiant n’y est plus rattaché fiscalement (comme on le fait pour le RSA, et les autres aides).
Le chômage dans les domaines de l’emploi en déclin (certains emplois industriels, etc…)
Transition écologique (notamment énergétique), mixité sociale (et éducative), transports, De manière générale une politique publique efficace mérite des impôts.
Création urgente d’un impôt européen (peut-être la TVA pour empêcher les fraudes à la TVA intracommunautaire), pour stabiliser le budget de l’UE.
Moi, mais aussi les élus, les associations.
Non
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Un changement vers une démocratie plus consensuelle et participative
Une mauvaise chose
La démocratie, c’est quand les citoyens choisissent. Leur dire pour qui ils peuvent voter et pour qui ils ne peuvent pas, c’est leur prendre une partie du pouvoir
Une chambre (assemblée nationale, probablement) parlementaire proportionnelle (ou en partie proportionnelle), renouvelée en partie chaque année.
Non
Ça n’a rien de prioritaire, mais c’est possible, il y en a tout de même beaucoup. C’est malgré tout bien d’être très représenté
Si on élit chaque année une partie de l’assemblée nationale, la politique législative ne pourra pas se construire sur une destruction systématique du travail précédent et favorisera une politique de long terme.
Non
Actuellement, aucune méthode de prise en compte du vote blanc (hormis le signaler séparément de l’abstention) ne me semble apporter quoi que ce soit au débat.
Peut-être faire des assemblées participatives, pour faire des propositions aux assemblées élues (voire impliquer des associations). C’est utile seulement si leurs propositions doivent obligatoirement faire l’objet d’un débat dans les organes décisionnels, avec un rapport présentant les conclusions de l’organe remis à l’assemblée/association.
Je ne sais pas
Un référendum binaire est une réduction de problème grossière et inefficace. Peut-être est-il possible, en utilisant des choix multiples de réponses à classer et un calcul (Chaque vote classé 1 rapporte plus de points que les votes 2, etc…) de la réponse la plus consensuelle d’avoir des résultats plus utiles, mais le référendum n’a aucun intérêt tel qu’il est aujourd’hui.
Peut-être donner la possibilité de flécher un impôt ou une taxe directement
Aider à diversifier les sources et contenus de lois, être à l’initiative et rendre des avis sur les textes parlementaires.
Oui
Le sénat doit arrêter son mode de scrutin indirect et avoir soit un rôle de représentation des territoires (par circonscriptions comme l’assemblée nationale d’aujourd’hui, ou à la proportionnelle par plus grandes circonscriptions), soit une fonction de modérateur législatif et être dans ce cas composé de juristes spécialistes (comme ceux du conseil d’état, par exemple) chargés d’étudier les conséquences des lois sur l’environnement juridique et de faire des propositions de lois en faveur des citoyens. Les autres organes doivent avoir un réel pouvoir contraignant sur les décideurs
Ils sont déjà très forts, et il faut que l’État définisse clairement la laïcité : neutralité en matière de religion, qu’il ne représente ni ne finance.
Éducation, y compris scolaire, mais aussi de la société, ce qui peut passer par des associations, la mixité sociale…
Simplement dégager l’énergie des gens pour cela, peut-être la possibilité d’un temps partiel pour l’engagement financé par l’État l’employeur et une baisse du salaire permettant de laisser du temps aux salariés qui en font la demande, ou un revenu pour l’engagement citoyen (qui pourrait être le seuil de pauvreté) proposé par l’État aux personnes qui ont une activité prenante et non rentable (engagement associatif, permaculture, voire artistique ou politique) ou encore revenu inconditionnel. Ces solutions doivent être testées avant de les décréter pour s’assurer de leur efficacité.
L’écoute et l’entraide.
None
Dégager à moindre frais pour les citoyens, du temps pour son engagement, faire de l’éducation politique à tous les niveaux de la société, et de la mixité sociale.
None
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Les comprendre et éviter de les commettre…
Le sexisme, qui consiste également à simplement compter la proportion de femmes dans un service, une entreprise, une administration, etc… Il est resté dans les mœurs car contrairement à d’autres critères, les statistiques le concernant ne sont pas interdites dans les domaines où il n’est pas objectivement un critère causal (comme la médecine, les relations amoureuses et sexuelles, etc…).
Interdire et faire respecter l’interdiction des discriminations (constitue une discrimination toute distinction opérée entre des personnes en raison de leur appartenance vraie ou supposée à une race, religion, à un sexe, une orientation sexuelle), y compris positives ou simplement statistiques.
Oui
Peut-être que du travail essentiellement non rentable d’utilité publique comme de l’entretien, de la permaculture, mais c’est assez peu prioritaire pour moi.
La politique migratoire doit être en conformité avec la constitution qui stipule que « les hommes naissent et demeurent libres », donc libres d’entrer et de sortir de France, quelle que soit leur origine, etc… Cela signifie qu’aucun motif ne peut justifier de reconduire une personne à une quelconque frontière de la France ou de l’Europe.
J’en vois assez peu l’utilité
Avoir des structures d’accueil correctes, faire du sauvetage en mer la priorité nationale, donner un cadre légal leur permettant de travailler et de subvenir rapidement à leurs besoins.
L’éducation et la mixité sociale.
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Un plan d’action ambitieux, visant la neutralité carbone d’ici moins de vingt ans
Non
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Oui
Tri sélectif des déchets, déplacements en transports en commun et à pieds…
Subventionner plus les transports en commun (remise sous forme d’administration publique la gestion du réseau ferré, incitations financières pour réduire les tarifs des bus interurbains, etc…)
Interdiction des embalages en plastique jetable et obligation de consigne (éventuellement subventionnée) pour les emballages en verre
Oui
Rendre obligatoire pour toutes les villes importantes (plusieurs dizaines de milliers d’habitants) la création d’un (ou plusieurs) réseau de chaleur utilisant une énergie non carbonée (c’est possible notamment par cogénération, à partir des centrales nucléaires, mais il est aussi possible d’utiliser des centrales solaires thermiques). (dans un premier temps pour le centre ville, mais à terme pour tous).
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Les transports en commun|Le vélo|L'auto partage
Toutes les collectivités territoriales, devraient proposer des transports en commun pour tous leurs trajets internes. L’État devrait prendre en charge des réseaux de grande taille, mais aussi certaines liaisons locales stratégiques au niveau national
Être exemplaire, précurseur, en abandonnant les énergies carbonnées pour la production d’électricité et de chaleur urbaine.
Le solaire thermique à concentration peut être utilisé à grande échelle (en témoigne le cas espagnol) pour l’autonomie énergétique de la plupart des territoires français d’outre-mer (et même la Corse), mais aussi en complément du nucléaire et de l’hydroélectricité pour la production métropolitaine (les technologies sont matures et non intermitentes, et certaines zones de France s’y prêtent bien).
Votre message a bien été envoyé.