Président de la République, député. Parce que (normalement) l'on connaît les valeurs et le références auxquelles ils adhèrent. Les autres échelons traduisent plus des aspects de gestion.
Non
Bien que j'ai répondu "non" je précise que la qualité des associations et de leur fonctionnement devrait être plus transparente. Dans la lutte contre le gaspillage (volet dépenses publiques) s’interroger sur les coûts directs (subventions) ou indirects (exemption de charges) fléchés vers certaines associations au niveau national ou local.
Que leur travail soit mieux connu et analysé par rapport à leur engagement. Une information comme celle donnée par la retransmission des séances "questions au gouvernement" est très intéressante mais aussi assez cruelle pour certains participants (ou grands absents).
Une bonne chose
Le risque des excès individuels est avéré. Par ailleurs souhait de revivifier en permanence la représentation et d'avoir des élus capables de s'interroger régulièrement sur l'adéquation des décisions passées ou futures aux valeurs qu'ils défendent et au contexte qui change.
Les « théoriciens » semblent conseiller une part de proportionnelle. Mais ne pas aboutir à une instabilité due uniquement au manque d'une majorité relativement stable. Le souhait de prise en compte d'une diversité (à un moment donné) des sensibilités et de l'évolutivité (dans le temps) souhaitée de la représentation (cf. question précédente) n'est pas suffisamment fort pour faire prendre le risque de ne pas laisser le temps à une action de politique publique de porter ses fruits et d'être évaluée.
Oui
Réétudier tous les cas entre maire et parlementaire : subsidiarité ? doublons ? coordination? Les élus peuvent cumuler plusieurs attributions en participant à diverses instances dont on ne perçoit pas toujours la valeur ajoutée. Exemple des communautés d’agglomération et des communes : on ne sait pas vraiment qui est responsable de quoi et cela donne l’impression que l’on multiplie les sources de dépenses pour réaliser une mission donnée. Il vaudrait mieux un nombre limité d'élus impliqués dans une tâche et non dans de multiples instances entre lesquelles se dissolvent les responsabilités.
Subordonner l'accès aux prestations à la participation au vote et d'ailleurs aussi à l'impôt ce qui implique le vote obligatoire, le vote blanc (cf. infra) et l'impôt pour tous.
Oui
Vote blanc lié au vote obligatoire. En cas d'un vote blanc très important et d'un résultat cependant majoritairement positif la connaissance du poids de ce vote blanc conduira à faire réfléchir tant ceux qui sont à l'origine de la consultation que le corps électoral sans pour autant empêcher d'avancer.
Ce qui est fait avec le Grand Débat est à renouveler périodiquement.
Je ne sais pas
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Même réponse : ce qui est fait avec le Grand Débat est à renouveler périodiquement.
Leur rôle théorique actuel convient.
Oui
Le nombre de membres du CESE et de sénateurs est très élevé. Leurs travaux font, par construction, en partie double emploi. Un éclairage multiple sur les sujets est intéressant mais l’objectif est d’avancer et pas seulement d’éclairer. La possibilité de procéder à des auto saisines est une source supplémentaire d’inflation de rapports. Ces rapports sont-ils utilisés ? Par qui ? Pour écrire d'autres rapports ? ... Le nombre d’organismes consultatifs (et donc leurs frais de fonctionnement dont les rémunérations de leurs membres) semble élevé en France … et pourtant le Grand Débat montre bien que les citoyens ne se sentent pas complètement écoutés. Problème… Revoir les avantages donnés aux parlementaires et plus généralement aux représentants des institutions. Assurer un contrôle de l‘effectivité de leur implication (présence et travail). Partir du principe « La politique, ce n’est pas un métier, c’est un engagement » récemment cité. Eventuellement ajouter des représentants citoyens tirés au sort.
Ne pas craindre de réaffirmer les principes de la laïcité dans les lieux d'enseignement et dans les lieux publics. Ne pas laisser une partie de la population s’affranchir du respect de ces principes. Sanctionner les cas de non respect. Retirer droit de vote et d’accès aux prestations gratuites en cas de manquement grave. Avec un système de récupération (bonne conduite, travaux d’intérêt général). Exclusion en cas de récidive pour les non nationaux.
Fermeté lors de l'éducation (enseignement). Fermeté dans la sanction : perte des avantages pécuniaires et des aides (ramenées au strict minimum). Action dans les zones de non droit où ces préoccupations sont devenues inexistantes. Créer des évènements fédérateurs spécialement avec la jeunesse.
Campagnes d'informations ? Campagnes de projets visant la jeunesse ?
Respect des réglementations et des personnes chargées de les faire appliquer. Incitation à s'exprimer quand ces réglementations s'avèrent mal faites ou mal appliquées.
Ne pas avoir peur de critiquer et de proposer. Mieux faire connaître le rôle des médiateurs.
Même réponse : ne pas avoir peur de critiquer et de proposer.
Manque de respect ou provocation dans les propos, les attitudes. Dégradations des bâtiments et lieux publics. Non respect de la propreté des lieux. Nuisances sonores dans le voisinage.
Rôle préventif très tôt à l'école où il ne faut rien tolérer qui fasse considérer à l'enfant qu'il peut tout faire en toute impunité. Impliquer les parents par des sanctions sur les aides dont ils bénéficient. Favoriser l'intégration des enfants dans des activités sportives collectives donnant des repères de bon comportement.
Etre aimable et garder un a priori positif sur les autres ... Mais, sauf mise en danger, réagir - par la parole - en cas d'incivilité vécue. Porter plainte si l'incivilité est grave.
Sans doute encore des discriminations répandues visant les handicapés.
Faire que l'atmosphère générale soit plus heureuse. Que chacun ressente la possibilité d'avoir un projet d'avenir. Mais cela ne se décrète pas ...
Oui
Participation à des travaux d'intérêt général, à des projets de bénévolat en faveur d'autres défavorisés (personnes âgées par exemple). Suspension ou arrêt des allocations en cas de non respect constaté des valeurs de la République.
Mis à part l'obligation d'asile, n'encourager que l'immigration avec volonté de s'intégrer et de participer à la vie économique. Il est anormal que l'immigration puisse être acceptée quand elle n'est choisie qu'à cause des avantages sociaux et/ou qu'elle ne s'accompagne pas d'une adhésion ou au minimum d'un respect des valeurs de la Nation. L'immigration ne devrait pas être tolérée quand il y a un rejet de ces valeurs. L'immigration n'est pas un droit.
Ne pas être sans réaction possible face à l’immigration hors asile. Pourquoi pas définir des objectifs annuels mais en fonction des besoins. Si les personnes justifient des ressources et d’un accueil, pas de problème. Exiger pour l'obtention de la nationalité française un effort minimal pour apprendre le français. Pas de regroupement familial automatique. Voir si la demande en termes d’offres d'emploi offre une réelle opportunité justifiant la venue. Ne pas remplacer des difficultés dans le pays de départ par une situation de SDF ou de chômeur en France avec pour seul palliatif des aides sociales qui conduisent inéluctablement à une grande frustration et à ne penser qu'aux droits sans devoirs. Comparer avec les possibilités d'immigration des Français dans des pays supposés plus riches.
Etre ferme quant aux conditions d'accueil et attractif pour les talents. Encourager encore plus ce qui est fait pour que les pays de départ offrent des perspectives d'avenir sur place à leurs ressortissants. Valoriser en les donnant en exemple les actions bénévoles de soutien scolaire, d'apprentissage du français, d'aide aux démarches...
L’école est le meilleur moyen. L'insertion dans le monde du travail est essentielle. Accord avec les mesures déjà prises.
Service national mais non militaire à condition que ce soit autre chose qu'une présence dans un auditoire pour écouter. Un réel travail et un réel brassage sur la base de projets concrets.
Certainement une administration de qualité mais trop d'échelons tant dans les institutions que dans leur fonctionnement. Côté institutions on ne comprend pas toujours la répartition des tâches dans l'exercice d'une mission de politique publique. Impression de redondance et en même temps de manque d'interlocuteur. Dans le fonctionnement des services publics, un équilibre à trouver entre la responsabilisation (qui peut encourager au « service bien fait », au regard critique sur le travail mené et à la force de proposition) et la sécurisation de l’environnement de travail (lutter contre le « pas de vagues »). Paraît devoir être facilité par l’élimination des strates administratives à faible valeur ajoutée – même si cette élimination pose des problèmes de reconversion ; utiliser à plein les opportunités des départs en retraite et/ou d’une mobilité à encourager. La diminution et la simplification des procédures apparemment souvent étudiée mais apparemment peu appliquée est indispensable pour s’améliorer.
Non
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Oui
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Peut-être un service permanent du type de celui du Grand débat pour faire remonter des propositions au fil des évolutions, des sujets et des opportunités.
Non
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CESU, AMELI, impôts (pour la déclaration dématérialisée, les outils de simulation et désormais le prélèvement à la source).
La Justice. Un problème grave de fonctionnement. Dans des cas caricaturaux, une inefficacité entraînant un engorgement des services et une impunité des « escrocs ». Il n'est par exemple pas normal que l’on doive se battre et dépenser (en vain) de l’argent pour tenter de faire appliquer une décision de justice. Il est choquant de constater que la Justice sert plus les avocats et les huissiers que les victimes.
Oui
Non
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Oui
Donner un cadre précis mais responsabiliser quant à l'application aux cas à traiter. Suppose une réglementation moins complexe et une formation actualisée. A coupler avec des contrôles a posteriori fondés essentiellement sur l'atteinte des objectifs de la politique publique concernée.
Oui
Encourager la responsabilisation et sanctionner l'inefficacité. Exiger la pleine implication (y compris en présence) sur le poste occupé. Favoriser voire exiger le décloisonnement entre services. Développer, sur les sujets que l'on doit traiter, la connaissance des pratiques dans les autres pays et des réglementations discutées au niveau international. Veiller à la compétence des cadres envoyés dans les discussions internationales comme délégués et des personnels envoyés comme permanents dans les organisations internationales. Pour ces derniers ne les affecter que pour des durées limitées.
Poursuivre périodiquement la piste des réunions débats telle qu'elle a été pratiquée dans la période récente. Revisiter ainsi périodiquement l'adéquation entre la pratique et les orientations retenues et en déduire une meilleure préréquation des dotations, la proposition de nouveaux investissements, l'accompagnement des évolutions, l'échange d'expériences et de bonnes idées.
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La pollution de l'air
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Non
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Oui
Tri sélectif. Achats plus réfléchis.
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Oui
J'utilise déjà souvent les transports en commun. Mais problème des fréquences.
Les transports en commun|Bien que j'ai dit "oui" j'ajoute : proposer des transports en commun locaux (exemple pass navigo) gratuits.
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Mettre au point et vendre des solutions clé en main basées sur des techniquues innovantes. Les faire largement connaître aux citoyens.
Sur l'innovation et le potentiel de la France : Mettre en application beaucoup plus rapidement les innovations en matière de transports : voitures à carburant différent, voies et trottoirs solaires… Idem en matière de chauffage, de constructions d’habitat économes en énergie… Idem en matière de traitement des déchets et des pollutions (algues dévoreuses de plastique ? …). Plus efficace de viser une élimination des causes (exemple : moins d’emballages) qu’un traitement de leurs effets. Développer des innovations dans des domaines où la France dispose d’avantages comparatifs naturels exceptionnels. Exemple de la mer : la France (continent + Corse + outre mer) dispose d’un énorme potentiel grâce à ses km de côtes. Les mers et le plancton, les algues … Ne surtout pas se désintéresser des zones ultra marines et des côtes métropolitaines. Exemple : utilisation des algues pour remplacer le plastique. Idem pour la forêt : importance des zones forestières en métropole. Richesse de la forêt amazonienne en Guyane. Développement possible de nouvelles médecines. Sur le financement de la transition écologique : Pas par pression sur les individus mais par « don forcé » des entreprises distribuant des dividendes de manière excessive. Imaginer une nouvelle rubrique « avenir » pour le partage des fruits de la croissance : rémunération du travail, du capital, de l’avenir. Cette dernière rubrique correspondrait au financement de la transition écologique par l’innovation. S’assurer que les institutions qui ont été crées ou réorientées pour cela sont efficaces et que leur accompagnement potentiel est véritablement connu et adapté.
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