Ce n'est pas vraiment le sujet... Le sujet est de faire baisser les impôts par des économies au sein de l'Etat et des collectivités. Il faut pousser les réformes administratives, la dématérialisation, le recours à Internet pour les formalités et paiements, qui permettront de supprimer ou réduire les dépenses publique en fermant des bureaux "physiques" et supprimer des postes de fonctionnaires.
La Constitution de 1958 proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946. La déclaration des Droits de l'Homme dispose en son article 13 que "Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés. Il est anormal, que s'agissant de l'impôt sur le revenu, 43 % seulement des français s'en acquitte. Ceci doit être corrigé, CHACUN DOIT CONTRIBUER contribuer même modestement SUR TOUS SES "REVENUS", MEME SOCIAUX. En effet, l'évolution de "l'assistance" fait que des français peuvent avoir pour seuls revenus des aides. L'informatique, et le prélèvement à la source permettent d'envisage sans grande difficulté un prélèvement de l'impôt même symbolique pour les plus démunis (10 € soit le prix d'une place de cinéma ou d'un paquet de cigarette). Cela aurait à l'évidence une vertu pédagogique et consacrerait chacun comme un citoyen de plein droit. Ceci nécessiterait de définir de nouvelles "tranches" plus étendues, (si l'on garde ce système) et trancher le débat par la même du niveau à partir duquel on est "riche". De fait, il faudrait mieux REMETTRE A PLAT LE SYSTEME FISCAL qui devient incohérent. Je prends mon exemple... J'ai été jugé assez "riche" pour ne pas bénéficier de la récente correction du taux de la CSG (la hausse de 1,7 %), et assez "modeste" pour bénéficier de la première baisse de la TVA. La différence d'appréciation de ma "richesse" n'est pas à une dizaine d'euros près, mais à un millier ! C'est incohérent... J'entends bien que le système est complexe et difficilement maîtrisable, c'est pourquoi il doit être "réformé" en profondeur : fiscalité nationale et locale. Les collectivités locales doivent impérativement être maîtresses de leur fiscalité. Elles ne doivent pas être soumises au bon vouloir de l'Etat, par l'approbation de leurs "projets", comme le Président l'a expliqué lors du dernier congrès des maires de France. Les élus locaux rendront compte par les élections...
Les baisses d'impôts ne peuvent s'entendre que si on baisse la dépense publique... C'est donc la première question à se poser. Cela ne pourra se faire que graduellement. L'impôt le plus facile à baisser est donc la TVA. Mais il existe une quantité de "taxes" qui doivent pouvoir être supprimées ou réduites. Nos politiques ont eu tellement d'imagination ces dernières années !
FAIRE DES ECONOMIES !!! Curieux que la case n'existe pas
Il faudrait supprimer certaines allocations qui ont créées à des fins électoralistes : La prime de Noël (prime de quoi, sur quoi ??), la prime scolaire que Hollande s'est empressé d'augmenter de 10 % (avec un inflation à 2 %) dès son arrivée !
Elle ne doit pas être "renforcée mais mieux répartie... A l'évidence, notre modèle social coûte trop cher et n'est plus finançable tel quel. La première raison est sans conteste l'accroissement du nombre "d'ayant droits", du fait du chômage, du nombre d'immigrés qui se cumulent années après années et qui pour la plupart sont sans ressources. On doit leur verser des aides et ils entraînent aussi de grandes dépenses indirectes (traitement administratif, centre dédiés, santé, logement, éducation des mineurs...). La France ne peut accueillir la population d'une métropole comme Montpellier chaque année ! Proposition : faire un audit (Cour des comptes) de ce que coûte réellement l'immigration légale et illégale, en aides directes et coûts indirects. La seconde est l'augmentation constante des allocations diverses et des "gestes" politiques. Le tout se cumulant au fil du temps... Exemple : le Président Hollande en arrivant n'a rien eu de plus pressé que d'augmenter de 10 % (avec une inflation à 2 % !) la "prime de rentrée scolaire" d'ailleurs en partie contestable dans son principe. Ce qui pose la question de la "pertinence" et de "l'efficience" des aides... Prenons cet exemple. C'est le devoir des parents d'éduquer leurs enfants. En France l'instruction est gratuite. Les associations justifient cette "prime" par des dépenses d'habillement et même d'alimentation (cantine) ! Comme si l'Etat, et les contribuables devaient nourrir et habiller leurs enfants... De plus, c'est un lieu commun d'affirmer que souvent cette prime sert à toute autre chose que les frais scolaires. A tout le moins pourrait-elle être servie, non en monnaie, mais en distribution de fournitures à l'école. Il est évident que cette prime a été politique, comme la "prime" de Noël... C'est faire peu de cas de l'argent des citoyens. Cela montre la nécessité d'imposer sur le revenu "tous" les citoyens sans exception, qui percevront mieux que les "primes" ne sortent pas de la hotte du père Noël, ni des poches d'un Président... On pourrait aussi remettre en cause l'UNIVERSALITE de certaines allocations. Le PDG de Renault même en prison au Japon n'aurait nul besoin des allocations familiales, s'il avait des enfants en âge d'y ouvrir droit, ni des primes à la naissance... Ce qui repose une nouvelle fois la question de la définition de "riche" et de "fortunés" qui n'ouvriraient pas droit à ces allocations...
Aucun ! Il y a déjà bien assez d'impôts. Il faire des ECO-NO-MIES. Voici des pistes : Il est déjà indispensable que l'Etat (et les collectivités) baissent "symboliquement" les dépenses de son train de vie qui ne procureront pas les quelques 70 à 100 milliards nécessaires à l'équilibre budgétaire, mais feront accepter les réformes et les "efforts" demandés aux français. Je vise ici des actes simples comme ne pas augmenter 5 de ces collaborateurs, quand on explique que les pensions des retraités ne peuvent l'être que de 0,3 % durant 2 ans (Griveaux), renvoyer devant la Justice une député qui confond sa carte bancaire personnelle avec celle de l'Assemblée, au lieu de l'envoyer devant le déontologue maison... Une bonne méthode serait de donner suite aux avis de la Cour des Comptes qui dénonce chaque année des abus ou mauvaises gestions en pure perte... Même ces "comptes insincères"... Je propose d'en finir avec "l'irresponsabilité" des politiques... il faut instaurer une "responsabilité personnelle" des élus et ministres dans la Constitution, pour en finir avec les mauvais gestionnaires, les décisions budgétaires inconsidérées, imprudentes ou irresponsables à caractère politique (ex.: plan de formation du Président Hollande pour "inverser la courbe" juste avant la présidentielle, ou l'abandon de la taxe carbone par Ségolène Royale, chacun ayant coûté 1 milliard d'euros à la Nation). Il est assez évident que cette mesure générerait des économies ! Les "politiques" doivent répondre de leur gestion comme ils l'exigent de tout comptable publique (TPG, régisseurs d'avances et de recettes...). Comment la mettre en oeuvre ? En donnant à la Cour des Comptes un pouvoir soit de "sanction" administrative (mise sous tutelle, démettre un élu...), ou de "renvoi" devant les tribunaux des fautifs. Les sanctions pourraient être à caractère électives (inéligibilité), et même pécuniaire (on a bien condamné en première instance J. Kerviel à rembourser 5 milliards d'euros à la Société Générale !). On peut citer aussi : - la réduction drastique des 1200 agences, commissions, comités... dont le CESE. Il apparaît que trop souvent les productions ne sont pas à la hauteur des coûts comme le rapporte la Cour des Comptes. De plus, les dirigeants quand ils ont besoin d'un "rapport" semblent ne pas utiliser leurs services, mais désigner des experts, des autorités ou des groupes temporaires pour produire ces rapports (Rapport Borloo, CAP 22...). Souvent ces organismes ne sont que des sinécures dorées pour politiques, syndicalistes enfin de course... - la réduction des "autorités indépendantes" qui ne le sont pas vraiment puisque que l'on verse à leurs présidentes des sommes considérables; sans compter que parfois elles font double emploi (cas C. Jouanno). - la réduction du mille feuilles administratif avec l'objectif de mettre fin aux doublons et réduire les effectifs en supprimant : le département, et les petites communes de moins de 500 habitants qui sont 18.000 en France ! (Cf infra). - les niches fiscales qui ne se justifient pas (journalistes...) ou favorisent trop les placements de conforts - en diminuant le nombre de parlementaires et alignant totalement leurs avantages sur le droit commun (retraite, imposition...). - en réformant le statut de la fonction publique, le limitant aux fonctions régaliennes de l'Etat ou des collectivités. Tous les autres fonctionnaires seraient recrutés en CDI (ou CDD) de droit privé. - en diminuant le nombre de fonctionnaires "intelligemment" en fonction des réformes de simplification et en ne remplaçant pas tous les départs à la retraite. Attention ! Il faut veiller à ne pas appliquer cette mesure aveuglément (risque de départ là où on a des besoins, et aucun dans des fonctions annexes), et sanctuariser les postes "opérationnels" (militaires, policiers, enseignants, infirmiers...). C'est sur les fonctions "administratives" que doivent porter les réductions...
Le MODELE SOCIAL doit être "dynamique" et géré annuellement. Le Parlement doit fixer un budget en équilibre, s'y tenir et moduler les aides en conséquence. Les politiques doivent faire des choix... Le rabotage général ne paraît pas une bonne solution. La priorité, doit évidemment être donnée aux familles françaises les plus pauvres (avec des contrôles), puis aux citoyens européens en vertu des traités, puis aux étrangers accueillis "légalement" après une période de cotisation. On pourrait avantageusement conditionner les aides aux étrangers à la bonne volonté des pays d'origine (retour des illégaux). Il n'y a pas lieu de verser quoi que ce soit aux immigrés "illégaux", ce qui serait un puissant frein à leur désir de rejoindre notre pays, beaucoup trop généreux puisque déjà en déficit chronique important. Hors les soins d'urgence et de vaccination, leurs moyens de vie seraient laissés à la charge des associations, des ONG et à la solidarité nationale des particuliers donateurs. Il faut rétablir une EGALITE DANS LES TERRITOIRES de la République, notamment en matière de SANTE. La situation devient très préoccupante... Mon médecin a pris sa retraite. Il officiait au sein d'une maison médicale regroupant 3 médecins généralistes. La médecin femme qui devait le remplacer lui a fait faux bond. Elle veut "prendre du recul par rapport à la médecine"... Les deux autres médecins refusent de reprendre les patients de mon médecin. Dans le village proche, même son de cloche. Est-ce normal, alors qu'on nous oblige à avoir un médecin référent ? Même problème avec mon ophtalmologiste dans la ville moyenne proche. Plusieurs mois d'attente pour avoir un rendez-vous. Elle est inquiète car il semble que quand elle partira à la retraite elle ne soit pas remplacée. Les jeunes médecins ne veulent plus travailler hors des métropoles et exercer une médecine rurale. Le phénomène est aggravé par la féminisation de la profession. Les médecins femmes veulent se dégager du temps libre pour leurs enfants, pour les loisirs, etc.. Il va falloir prendre des mesures plus fermes, en augmentant le numerus clausus (mais effet dans 8 ans au mieux) et imposer aux jeunes médecins à la sortie de leurs études d'aller pourvoir les postes à honorer sur tout le territoire durant une période à définir (5 ans ? 8 ans ?). Sinon remboursement de leurs huit ans d'études ! Il faut rétablir l'INDEXATION DES PENSION DE RETRAITE. Le calcul de la pension de retraite est fait en fonction du montant des cotisations, de leur durée au moment du départ à la retraite. Il ouvre un "droit à pension". Le stricte maintien de ce "droit" par une revalorisation en fonction du coût de la vie, est un "contrat moral", et devrait être juridique par la loi. Les pertes de pouvoir d'achat des retraités ne se rattrapent jamais... Il faut INDEXER LA REMUNERATION du Livret A sur l'inflation, épargne des français les plus modestes. Si cela s'avérait trop coûteux, il me paraît possible de le faire par tranche. Exemple en 3 tranches : Jusqu'à 5000 €, un peu plus que l'inflation, de 5 à 10.000 € le taux de l'inflation, au-delà de 10.000 jusqu'au plafond (22.950 €) taux légèrement inférieur à l'inflation. Ce système me paraîtrait assez juste... Certains organismes bancaires comme BFM sur son "livret Avenir" utilise (sévèrement !) cette méthode.
Le Peuple par référendum sur les grands débats... Le maire à l'échelon local.
Non
None
Qu'ils soient EXEMPLAIRES, "Noblesse oblige", qu'ils ne se servent pas comme Mme Saal, M. Thevenou, Les collaborateurs de M. Griveaux s'augmentant de 27 %, ou ne s'octroient pas des privilèges exorbitants comme les présidents et membres d'agences, de commission, de comité et tout le CESE qui sert à reclasser les syndicalistes et ne brille pas par sa productivité ! Autre exemple, les PRIVILEGES accordés à vie ou trop longtemps aux anciens Présidents, certains ministres (intérieur), députés (frais d'obsèques) et sans doutes d'autres (Président de Région...). N'oublions pas que les politiques sont tous coupables... Car ce sont bien eux à la majorité, qui se votent leurs privilèges. Il y en a encore eu un "bordée" récemment, dans le "nouveau monde" octroyant de nouveaux avantages aux députés... Il faut en finir avec les BUDGETS DES ASSEMBLEES, hors de tout contrôle externe et indépendant, puisque ces assemblées ont fait et font n'importe quoi... Alors que ce grand débat a des allures "d'Etats Généraux", faudra-t-il une "nuit du 4 août" ?
Une bonne chose
Oui et non. Oui car chacun doit faire son travail à temps complet. Mais le non cumul coupe les politiques parisiens des terroirs et des citoyens... Il faut un juste milieu, par exemple de député et de maire, de commune moyenne ou mieux simple conseiller municipal.
Evidemment instaurer une dose de PROPORTIONNELLE à l'Assemblée Nationale. Elle est devenue indispensable, notamment du fait de l'éclatement des partis, incapables de se rassembler comme jadis. Le chiffre doit tenir compte de l'impératif d'avoir une majorité pour ne pas retomber dans les travers de la IV° République. Il doit être débattu à l'Assemblé Nationale. 25 % me paraîtrait convenable. Parallèlement, il faut arrêter de réduire la taille des "groupes" au Parlement. La proportionnelle pourrait pousser des forces à revendiquer une telle mesure. S'agissant de l'élection présidentielle, il faut revoir le nombre de parrainage et l'élever à 1000. Il y a beaucoup de trop de petits candidats à ce niveau, qui pourraient être représentés à l'Assemblée par la proportionnelle.
Oui
Tous ! Nous avons 600.000 élus c'est beaucoup trop. Il faut mettre le hola aux nombres de "personnages" gravitant autour de chaque fonction d'élu ou de ministre. Un temps, il y avait 42 vice-Présidents dans l'agglomération de Lille ! Ce ne sont que des niches dorées qui ne se justifient pas, et certainement des moyens détournés de financement des partis... Il faut réglementer cela. Il en va de même pour les ministres et leurs collaborateurs. L'augmentation accordée par M. Griveaux aux siens (27 %) est inadmissible quand le même justifie que l'on gèle deux ans les pensions de retraités à 0,3 % ! Il aurait dû démissionner... Et je ne parle pas des cas comme celui de Mme Agnès Saale, condamnée (les taxis), qui retrouve un poste confortable. Elle aurait du quitter l'Administration... Ces agissements qui perdurent même dans le "nouveau monde" doivent être sanctionnés.
Le vote ne doit pas être rendu obligatoire. C'est un droit que chaque citoyen devrait avoir à coeur d'exercer. Mais la Liberté est aussi de ne pas participer. Et comment contraindre ? Faudra-t-il envoyer les CRS allez chercher les jeunes des quartiers ? Une amende encore ? Mauvaise idée... Par contre on pourrait imaginer une sanction indirecte : l'impossibilité de passer les concours de la Fonction Publique si le candidat n'a jamais voté...
Oui
Le vote blanc signifie qu'aucun candidat ne vous convient. Il permettrait au moins de compter ceux qui ne trouvent par leur compte dans "l'offre". Ce fut le cas pour les dernières élections présidentielles.... Mais concrètement quel effet sur l'élection ? Peut-on imaginer qu'au delà d'un certain pourcentage, l'élection soit à refaire ?
Place à l'imagination ! Nous sommes au XXI° siècle, à l'ère de l'IA et d'internet et nous faisons de la politique comme au XIX° siècle ! La démocratie représentative a soudain pris un coup de vieux. On ne peut s'en passer évidemment, mais elle doit être complétée par des dispositions donnant plus souvent la parole au Peuple de manière très souple. Je propose de prévoir le recueil par internet des avis des français, avis qui pourraient avoir un "poids" dans les travaux parlementaires en commission. La lecture d'une synthèse de avis pourrait être rendue obligatoire. "L'avis" pour être spontané, ou suscité. Dans le fond le présent débat en est une anticipation ! Evidemment sur les grands sujets (cf infra) on pense au référendum, disposition existante mais soigneusement évitée par les politiques qui ne l'utilisent plus, et on tout fait pour empêcher que le Peuple exerce le droit accordé !
Oui
Oui mais sans l'intervention de politiques... Si l'initiative est au Peuple, les parlementaires n'ont pas à approuver ou contrôler. Ils doivent rester en dehors du processus.
La question est étroite et pas le fond du problème. La COUR DES COMPTES fait déjà le travail. Il faut lui donner plus de pouvoir en liaison avec une vrai RESPONSABILITE DE ELUS (cf gin fine) qu'il pourrait sanctionner ou renvoyer devant une juridiction. REFERENDUM Toutes les "grandes orientations" institutionnelles, économiques, sociétales doivent être soumises au suffrage des français. L'évolution de la conscience politique, des moyens d'information, le déclin des partis et des grandes idéologies, font qu'on ne peut plus approuver "en bloc" l'ensemble des propositions d'un candidat président. Le phénomène des extrêmes et des votes "contre" plutôt que "pour" accentue ce caractère : 23,86 % des français ont voté pour le candidat Macron au 1er tour, et l'on peut conclure du résultat du second (66,06 %), que 42,2 % ont voté "contre" Marine Le Pen, ce qui est le double de son score initial ! E. Macron est tombé dans le même piège que Chirac contre JM Le Pen... Se persuader qu'il peut mettre son programme électoral en oeuvre grâce à une forte légitimité (renforcée par le résultat mécanique des législatives). C'est faux, sa base est étriquée. Il paraît donc légitime et politiquement "sécurirtaire" que les grandes orientations soient validées par le référendum. C'est en quelques sortes une anomalie démocratique, mais qui est bien réelle... Il faut en tenir compte. Par ailleurs, au niveau local ou régional, il pourrait être organisé plus souvent des consultations (votations des suisses) sur les grands projets. Cela est déjà fait parfois par certains maires. On pourrait étendre ce dispositif, voire le rendre obligatoire sur certains sujets et comme au niveau national, prévoir un dispositif pour que le Peuple de saisisse d'une question. Je suis partagé sur le référendum révocatoire... Il est porteur d'habileté politique et de conflits. Mais "en même temps", comme l'instauration d'une responsabilité personnelle des élus (cf infra), je serai pour un dispositif permettant de donner formellement quitus de leur gestion. _____ Je propose d'en finir avec "l'irresponsabilité" des politiques... il faut instaurer une "RESPONSABILITE PERSONNELLE" des élus et ministres dans la Constitution, pour en finir avec les mauvais gestionnaires, les décisions budgétaires inconsidérées, imprudentes ou irresponsables à caractère politique (ex.: plan de formation du Président Hollande pour "inverser la courbe" juste avant la présidentielle, ou l'abandon de la taxe carbone par Ségolène Royale, chacun ayant coûté 1 milliard d'euros à la Nation). Il est assez évident que cette mesure générerait des économies ! Les "politiques" doivent répondre de leur gestion comme ils l'exigent de tout comptable publique (TPG, régisseurs d'avances et de recettes...). Comment la mettre en oeuvre ? En donnant à la Cour des Comptes un pouvoir soit de "sanction" administrative (mise sous tutelle, démettre un élu...), ou de "renvoi" devant les tribunaux des fautifs. Les sanctions pourraient être à caractère électives (inéligibilité), et même pécuniaire (on a bien condamné en première instance J. Kerviel à rembourser 5 milliards d'euros à la Société Générale !).
Le CESE aucun... Je propose sa suppression devant le faible rendement de ce conseil et son inutilité patente. A chaque fois que le gouvernement a besoin d'un "rapport", il le demande à une personnalité faisant autorité (Perruchot, Atali, Borloo...), ce qui n'est pas illogique. Le Sénat doit être conservé dans un rôle un peu différent (cf infra)
Oui
Le SENAT pourrait être plus spécialisé dans le contrôle de l'Etat (commissions), l'efficience des lois votées à court terme, l'examen des lois devenus obsolètes et proposer leurs suppression ou leurs regroupements (il ne reste parfois plus qu'un article valide). Il faut lui en donner les moyens... Il est important qu'il continue de représenter les "territoires". Partisan un temps de sa suppression, j'ai changé d'avis devant l'existence d'une majorité écrasante à l'Assemblée, et son comportement... Mieux vaut donc conserver la seconde chambre, certes seulement "consultative" (les députés ont toujours le dernier mot), mais faisant entendre une autre voix.
Faire respecter la Loi, celle de 1905 entre autre, ne pas la modifier, et resté ferme face à la politique des petits pas des radicaux.
Par l'Education. C'est le rôle de l'école et de l'instruction civique. Le rôle des parents aussi qui pour les défaillants pourraient être sanctionnés par le biais de suspension des allocations dans les cas les plus graves.
On devine le sens de la question... Il y avait le service militaire. Il n'existe plus. Je suis opposé au SNU imaginé par le candidat Macron et annoncé par Gabriel Attal en expérimentation. L'objectif de provoquer la rencontre entre jeunes de milieux sociaux différents comme le faisait le service militaire ne sera pas atteint. Ce service est trop court et divisé en plusieurs parties distinctes très espacées. De fait, les premiers modules en milieu scolaire ne sont que la réintroduction d'une "instruction civique"... Le régime du "volontariat" pour le dernier module est porteur d'un échec annoncé. Les jeunes qui sont la cible visée, ne feront pas acte de volontariat. Ils resteront chez eux. Pour certains pour ne pas abandonner des activités plus lucratives. Les jeunes filles musulmanes ne seront pas "autorisées" par les familles pratiquant un Coran rigoureux. Ce service volontaire n'attirera que ceux qui ont déjà du "lien social"... De plus, il serait en vitesse de croisière, il sera bien trop onéreux pour nos finances publiques. Il serait dommage de maintenir un "machin" et onéreux, inutile juste pour permettre au Président de cocher la case "promesse électorale tenue"... Le critiquer ici pourrait lui permettre d'abandonner ce projet en sortant "par le haut" : rejet des français.
La politesse, les bonnes manières qui se sont largement perdues... Action : parents et éducation nationale.
Par l'éducation
Introduire une nouvelle condition pour s'inscrire à un concours public comme avoir voté
SO
Faire appliquer la loi.
En tant que parents bien élever ses enfants. Tout part de là. Que ces mêmes parents ne montent pas sur leur grands chevaux quand un enseignant reprend leur progéniture qui n'hésite pas à vous rétorquer "vous n'avez pas le droit !" (expérience NAP !).
SO
SO
Non
None
Le "vivre ensemble" suppose que celui qui vient de l'extérieur accepte de s'intégrer au pays qu'il a choisi et pour ceux qui veulent devenir français à terme, "s'assimiler" comme on disait autrefois, et comme l'ont fait de nombreux européens, asiatiques et africains musulmans au cours de notre Histoire. De fait, ils sont parfaitement "assimilés" et leur présence ne pose aucun problème (animateurs, journalistes, experts comme Mohammed Sifaoui ou le très regretté Antoine Sfeir.) Ne nous voilons pas la face, la machine s'est grippée. S'agissant de populations musulmanes (maghrébines ou sub-sahariennes) de classe sociale défavorisée, dont l'intégration n'est pas effective même dans les 2°, 3° et 4° générations, jusqu'à haïr leur pays de naissance pour certains. Or les associations et ONG font tout pour rendre l'installation de "réfugiés" définitive. Tout juste s'il ne faudrait pas les naturaliser séance tenante ! C'est une position idéologique et irréaliste...
Je retire de la question, "une fois nos obligations d'asile remplies" dont je ne reconnais pas la pertinence. Autrefois, il était facile d'accepter quelques réfugiés politiques. Le statut de "réfugiés" sous-entendait d'ailleurs une situation temporaire avec un retour dans le pays d'origine dès que la menace s'éteignait. Paradoxalement le meilleur exemple est celui de l'Ayatollah Khomeini et de son clan, accueilli en France et reparti en Iran ! Si aujourd'hui ou demain, les réfugiés" se comptent par centaines de milliers ou millions, on ne peut plus écarter l'idée de remettre en cause l'accueil "de plein droit", de réfugiés... N'est-ce pas ce que fait l'Europe en payant la Turquie pour qu'elle garde des millions de réfugiés ? Quelle différence ? La question est difficile mais plus que jamais, l'accueil de réfugiés ne peut-être une "obligation", fusse au prix de remettre en cause les traités internationaux qui n'avaient pas prévus la situation actuelle ni celle ce demain... S'y s'ajoute la question des "faux réfugiés", qui ne sont pas menacés mais se targuent de cette qualité, quand ils ne trichent pas sur leur nationalité, leur âge... La France n'a pas les moyens accueillir toute la misère du monde, fussent des réfugiés... Il faut donc des limites. Ou alors, il s'agit de migrants économiques venus travailler temporairement, qui n'ont pas à s'assimiler, mais à respecter nos lois (sur le port du voile, la prière de rue...) sans avoir tous les "devoirs" d'un citoyen, ni tous les droits : moins d'aides, pas de rapprochement familial, etc... Il faudrait convenir d'une durée maximum de présence sur le territoire.
Mettre en place une vraie "POLITIQUE MIGRATOIRE", transparente, basée sur nos "moyens" réels : - instaurer des quotas discutés chaque année au Parlement en fonction de données fiables, budgétaires et démographiques (rétablissement des statistiques ethniques sous contrôle du Parlement), - favoriser les Etats "vertueux" (ceux notamment qui reprennent leurs ressortissants illégaux). - durcir les lois concernant ces ILLEGAUX (renvois, pas d'aides hors l'urgence vitale). - revoir toute la question de la NATURALISATION en rallongeant la durée de présence nécessaire sur le territoire pour en faire la demande, sous condition d'emploi (plus de travail que de chômage...), - Limiter le RAPPROCHEMENT FAMILIAL et augmenter les conditions de durée avant dépôt d'une demande. - moduler le "DROIT DU SOL" (automatique), le rendre facultatif avec attribution définitive à la majorité "sur demande de l'intéressé", qui pourra ainsi être jugé sur son "envie" d'être français (les choses ont beaucoup évoluées...), et son comportement (casier judiciaire...). Les options résultant de ce débat doivent être validées par un REFERENDUM Il est anormal que le traité de Marrakech n'ait même pas donné lieu à un débat parlementaire... "Non contraignant", le risque est grand de voir les associations, les ONG, cours européennes nous 'opposé rapidement... Il aurait valu un référendum.
Je crains que cela ne soit pas possible dans la mesure où nous n'avons rien à leur offrir : ni emplois, ni logements. En cas de flux entrant trop important (à mon avis c'est déjà le cas) , les migrants ne peuvent être qu'à notre charge. Avec 100 milliards de déficit budgétaire nous n'en avons pas les moyens. Il faut un MORATOIRE sur l'accueil de nouveaux venus sinon nous courrons à la faillite ou pire... En étant exigeant et refuser sans faiblesse ceux qui n'entendent pas s'intégrer ou qui n'ont aucun droit à l'accueil. 90 % des déboutés par la Justice restent en France comme illégaux. C'est inacceptable et mortifère. Ceux là ne s'intégreront jamais... Surtout ne pas les imposer depuis Paris à des petites villes et villages comme cela a été pratiqué. A moins de vouloir allumer une guerre civile bien sûr... Le gouvernement n'a pas vu arriver les "gilets jaunes", qu'il ne recommence pas avec des migrants...
L'Europe Il y a un énorme problème de gouvernance au sein de l'UE, qui provoque son rejet par les Peuples. Nous avons été trop loin dans les transferts de souveraineté, et trop dans le détail. Cela donne l'impression que l'UE ne protège pas les européens (taxes, frontières, immigration), et au contraire met des bâtons dans les roues aux Etat par un "corpus" de normes et règles paralysant. Finalement, les mesures qui paraissent "favorables", sont celles émanant de la redistribution des contributions. Autrement dit nous aurions pu arriver au même résultat sans passer par des décisions d'une commission technocratique... D'autant que nous somme un pays contributeur à solde négatif : nous recevons moins que nous donnons, bien que nous soyons un pays en "faillite" (déficits chroniques, dette, imposition, balance des paiements...). Proposition : la République à accorder à la Polynésie un statut d'autonomie avec des Institutions propres qui lui permettent de pas appliquer des lois pourtant votées par le Parlement français. Ce statut est légal... On pourrait s'en inspirer au sein de l'UE. Les Etats pourraient choisir de ne pas appliquer une directive européenne, sans encourir de sanctions. PMA pour les couples LBGT Je propose de suspendre la généralisation de la PMA durant 20 ans pour mesurer les conséquences de l'absence organisée de père sur leur développement dans les couples LBGT. C'est l'application du principe de précaution si souvent invoqué...
Beaucoup trop lourde, trop centralisée, trop chère. Il faut initier un grand mouvement de décentralisation à la manière des landers, voire des états état-uniens. C'est donc la région qui doit être privilégiée, puisque par hypothèse le département est ici supprimé. A l'Etat le "régalien" et le national, le reste étant de la compétence de la Région qui s'appuiera sur les communes rénovées. Les régions doivent avoir une grande autonomie, notamment en matière de développement économique, et disposer librement de ses propres sources de financement, donc être maître des impôts et taxes locales. On pourrait imaginer qu'elle redistribue une partie aux communes. Tout ce qui relève de la vie courante des habitants et des entreprises serait de la compétence locale. Il faut une grande réforme de l'Etat. En concentrant les moyens sur le "régalien", en déléguant les missions non régaliennes chaque fois que c'est possible, ou en en abandonnant au mécénat, en diminuant le nombre des parlementaires (et plus généralement des élus, 600.000 c'est trop), en recentrant le Parlement sur le "contrôle" de l'action de l'Etat, en lui en donnant les moyens, en diminuant drastiquement le nombre de lois et textes réglementaires (Décrets, Arrêtés...). Cela nécessite la réécriture de textes.
None
Ce n'est pas comme cela qu'il faut aborder la question. Il faut reconsidérer les ROLES de l'Etat et des collectivités. Tout ne peut être décidé à Paris. Les provinciaux en ont plus qu'assez des prétentions et du jacobinisme des "parisiens". L'exemple du 80 km/h est emblématique ! Une décision des plus discutables venant de Paris qui ne roule jamais à 80 km/h... Je le sais j'y ai habité des années durant en lointaine banlieue ! Un "mépris" total des élus locaux capables de prendre les mesures de limitations de vitesse. Ils ne sont pas moins responsables qu'un ministre parisien fut-il le "premier". D'ailleurs de nombreuses portions de routes dangereuses étaient déjà limitées à 70 km/h quand le premier ministre a imposé sa lubie... Insupportable ! Le gouvernement doit revenir sur cette mesure générale du 80 km/h ou en confier l'application aux élus locaux. L'Etat doit s'occuper du régalien et du national et laissé tout le reste aux régions et communes.
Oui
None
Tourt ce qui est possible !
Non
Non
Les créer ! Je ne les vois pas "par chez moi"...
Ils ont trop gros grossis et le nombre de fonctionnaires avec... Paradoxalement, sur la forme, L'administration fiscale a fait de gros progrès en ce qui concerne le paiement par Internet. Mais quand il s'agit de nous faire payer, Bercy ne manque pas d'imagination !
La REDUCTION du MILLE FEUILLES ADMINISTRATIF est un impératif. D'autant que les élus et la Cour des Comptes dénoncent sans cesse des doublons très coûteux et ne permettant pas d'économies d'échelles. Il faut supprimer : - le DEPARTEMENT, aux compétences essentiellement administratives dans le domaine social. La REGION reprendrait ces compétences en recherchant les économies. Un point à faire contrôler par la Cour des Comptes et passible de sanctions... Chien échaudé craint l'eau froide (avec l'intercommunalité) ! Les élus se sont très mal comportés lors de la création des régions en se faisant construire des "hôtels" magnifiques, et lors de la création des intercommunalités en recrutant à tour de bras (800 dans une ville proche de la mienne !) sans chercher les synergies prévues. Et aussi lors de la réforme des conseils régionaux et des nouvelles régions en gardant ne même nombre d'élus et de fonctionnaires. On ne peut plus continuer comme cela... - les PETITES COMMUNES, dont l'existence "administrative" n'a plus de sens. Leurs budgets sont trop faibles pour faire face au moindre événement ou financer des travaux importants. Elles dépendent entièrement d'organismes de niveau supérieur pour tout, et alourdissent la gestion (il faut tout de même passer réglementairement par elles dans beaucoup de domaines). Leurs maires (si dévoués) sont rarement capables de faire face au maquis administratif... Je propose de rattacher celles de moins de 500 habitants (qui sont 18.000 en France !) à une commune proche où l'intercommunalités. Les habitants des petites communes devraient y être représentés obligatoirement par un membre élu. Il serait possible de commencer rapidement ce mouvement en rattachant les communes de 100 habitants ou moins, qui sont au nombre d'environ 3600, à la commune la plus proche. A la fin du XIX° siècle de tels rattachements avaient été opérés avec succès. C'est le cas dans ma commune de Soual (l'actuel quartier de l'Estap qui a été jadis une commune).
Oui
Non
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Une règle générale inutile est de redemander à chaque fois les mêmes renseignements aux administrés...
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Ce n'est pas notre affaire... A l'Administration de s'organiser pour être plus efficace, plus rapide, plus simple, plus compréhensible. Ceci dit, on ne peut pas être contre, la responsabilisation des agents de terrains...
Oui
Oui ! Je parle d'expérience ! L'ADMINISTRATION CENTRALE doit être profondément réformée. J'ai rencontré trop d'énarques, déconnectés, "suffisants", ne connaissant rien du terrain. Sans aller jusqu'à la fermeture de l'ENA (quoique...), la formation dispensée doit être repensée. On ne doit plus voir des énarques sortant de l'école pour aller directement occuper des postes "politiques" dans les cabinets, sans expérience. Cela confine d'ailleurs à la cooptation et au favoritisme de classe... Tout jeune énarque devrait "obligatoirement" commencer sa carrière dans les "services déconcentrés" de l'Etat. Je propose une période de 9 ans hors de l'administration centrale, 3 ans en préfecture, 3 ans dans des services de l'Etat hors préfecture, 3 ans en entreprise publique ou assimilée. De plus, ces périodes "d'apprentissage" devraient faire passer l'énarque obligatoirement dans des fonctions de "personnel", les mettant au contact des organisations syndicales. Les stages (j'ai reçu des élèves de l'ENA dans mon service) ne suffisent pas à former un "administrateur," encore moins un conseiller politique... Ce n'est donc que dans leur 10° année qu'ils pourraient rejoindre l'Administration Centrale ou les cabinets ministériels ou élyséens, pas avant. Tout le monde y gagnerait... C'est une régle qui est en vigueur dans d'autres corps de l'Etat... En cas de carrière politique nationale, les hauts-fonctionnaires devraient démissionner de la Fonction Publique, lors de leur élection à un second mandat ou à leur nomination comme ministre après un premier mandat. A tout le moins ils ne doivent plus ni continuer à "avancer", ni engranger des annuités pour la retraite ! Les fonctionnaires (cat A et B) de l'Administration Centrale devraient aussi connaitre une "mobilité" dans les services déconcentrés en début de carrière. Cette séparation est à bien des égards la cause de dysfonctionnements et incompréhension mutuelle. Il faut améliorer et organiser l'écoute des cadres intermédiaires qui connaissent leur question sur le bout des doigts. J'ai connu un énarque (brillant) qui a interdit à sa secrétaire administratif (SA) de venir étudier un problème dans mon service en région. Son argument : "Nous sommes là pour décider, eux pour exécuter" ! Sa décision était mauvaise... La SA est venue "sur ses congés" et le problème a été résolu. Un tel comportement est inadmissible, et nuit à l'efficacité de l'Administration... Il faut aussi alléger les CONTROLES A PRIORI , pour privilégier le contrôle à postériori et instaurer un vrai contrôle de gestion au sein des administrations. Donner plus de responsabilités aux cadres, avec une mission, des objectifs et si possible les moyens qui vont avec ! Des choses ont été faites, il faut aller bien au delà....
En redéfinissant leurs rôles respectifs. Tout ne peut être décidé depuis Paris. Les provinciaux en ont plus qu'assez des prétentions et du jacobinisme des "parisiens". L'exemple du 80 km/h est emblématique ! Une décision des plus discutables venant de Paris qui ne roule jamais à 80 km/h... Je le sais j'y ai habité des années durant en lointaine banlieue ! Un "mépris" total des élus locaux capables de prendre les mesures de limitations de vitesse. Ils ne sont pas moins responsables qu'un ministre parisien fut-il le "premier". D'ailleurs de nombreuses portions de routes dangereuses étaient déjà limitées à 70 km/h quand le premier ministre a imposé sa lubie... Insupportable ! Le gouvernement doit revenir sur cette mesure générale du 80 km/h ou en confier l'application aux élus locaux. Il faut DESENCLAVER les territoires qui le sont encore. Castres/Mazamet restent une région "coupée" de reste du département et de la grande métropole régionale qu'est Toulouse à 75 km. L'offre en transports publics est limitée, avec une offre ferroviaire rudimentaire sur une voie unique. Il n'existe aucune voie rapide ou autoroute reliant Castres à Toulouse. Un projet existe depuis 30 ans qui tarde toujours à déboucher sur du concret. Peut-être 15 à 20 km fait d'ici 5 ans, côté Toulouse, soit sa banlieue... Si la raison invoquée est budgétaire, elle fut en fait, du mon point de vue, largement politique. Castres vote plutôt à Droite quand le département et la Région sont à Gauche... D'ailleurs Albi et Carmaux au nord sont depuis longtemps reliées par autoroute et voies rapides, à Toulouse. Castres et Mazamet sont les "laissés pour compte" de la Région, bien peu pressée encore aujourd'hui de réaliser cette infrastructure indispensable au développement du pays castrais.
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Euh c'est quoi cette question ? Elle a donné lieu à la publication de 1000 rapports, 10000 débats ! Comment y répondre en quelques lignes ???
Oui
La végétation ne réagit plus pareil. Ce qu"on appelait la vermine (pardon la biodiversité) se multiplie et cause de grands dégâts du fait d'hiver plus assez rigoureux.
Oui
Par des petits gestes du quotidien : économie d'eau (arrosage goutte à goutte), température intérieure modeste, extinction des lampes...
Rien ! Je suis un bon gestionnaire et père de famille. Mon véhicule diesel n'a pas atteint l'âge du remplacement. Ce n'est pas un prime de 4000 € sur 20.000 (et encore pour un véhicule électrique inadapté à mon besoin) qui y change quelque chose...
Le problème doit aborder autrement. Il est inutile d'y aller "au pas de course" comme veut le faire E. Macron. S'il était président du monde, je lui donnerai raison. Mais il est président de la France, un confetti sur un planisphère... Que pesons nous par rapport aux Etats-Unis, la Chine, l'Inde les trois plus mauvais élève ? S'ils ne font pas d'efforts et que nous nous saignons aux quatre veines, le résultat sur le climat sera le même... Même notre voisin allemand a cédé aux anti-nucléaires, et ouvert des centrales où il brûle un charbon de la pire qualité ! Il faut donc entamer la transition, mais il est inutile de se précipiter au risque de dégoûter la population... D'autant que quand les trois cités précédemment commenceront ils ne "courront" pas non plus ! Entamons résolument la transition mais laissons nous un temps raisonnable... D'ailleurs l'objectif à atteindre n'est pas le 100 % de remplacement des véhicules. Quand nous aurons remplacé 70 % du parc de véhicules et de chaudières, l'effet sera déjà très sensible. Je pense que le mouvement doit être initié, et qu'il s'amplifiera naturellement par diffusion dans la société. Il faut faire de la communication et aider les particuliers. S'agissant des véhicules 'électrique, l'Etat doit favoriser les infrastructures de recharge (stations services, ville, mais aussi dans les 36.000 communes). C'est un préalable.
Oui
Oui à condition de démolir ma maison et de la reconstruire ! Inenvisageable. Elle aux normes de 2001 ce qui n'est déjà pas si mal. On verra plus tard quand on saura stocké l'électricité et que l'installation pourra être amortie en dégageant un bénéfice ce qui n'est pas encore le cas.
Non
A la campagne, les transports sont minimums aux heures de bureau, et pas partout. Mais il me semble qu'on fait fausse route... Les transports collectifs ne sont pas l'alpha et l'omega pour les déplacements sauf à ce que ce soit juste bon pour les "gens de rien". Un moyen de transport individuel est indispensable et la règle depuis des siècles... Il vous amène "de porte à porte" à l'heure que vous voulez. Pas le transport public. Et comment ramener un "ravitaillement" complet du super marché (packs d'eau, de lait, sacs...) à pieds, dans les transports ?! Les personnes chargées font l'objet de l'agacement des autres passagers dans les transports bondés ! Et je ne parle pas de la pluie ou de la neige ! Qu'on ne me dise pas qu'il faut y aller tous les jours ! L'avenir ne fera pas l'impasse sur des moyens de transports "individuels", propres, intelligents, voire publiques. Je remarque qu'à Paris, nos ministres se gardent bien de nous montrer l'exemple en prenant les transports collectifs ! C'est plutôt voiture individuelle avec chauffeur et motards ! C'est bien qu'ils y trouvent quelques avantages, non ?
Le transport à la demande|Je pense à des minibus pouvant être appelés par téléphone. Le vélo ! trop drôle ! Avec mes packs d'eau sous une pluie. battante !
Des entreprises privées. On ne va pas encore augmenter les dépenses publiques... D'ailleurs l'expérience parisienne "riche" des autolib a fait une flop !
La question est inquiétante... Elle sous-entends que les choix sont déjà faits et conforme à ce que veux E. Macron....
Comment finance-t-on la transition écologique : par l'impôt, par les taxes et qui doit être concerné en priorité ? (Emmanuel Macron - lettre aux français) Ni impôts, ni taxes sur les français qui en payent déjà bien assez ! Par des ECO-NO-MIES sur les budgets ! Ce mot que nos énarques ne connaissent pas ! Et des choix dans les priorités gouvernementales... La transition écologique ne doit pas être "punitive" si le gouvernement veut qu'elle soit acceptée. Il n'y a pas lieu de l'associer à un impôt ou une taxe spécifique. La seule qui était "cohérente" était de faire payer les pollueurs étrangers. Une politique l'a abandonnée et il nous en coûté un milliard au moins. Reste les "portiques" qui me brisent le coeur à chaque fois que je passe dessous ! C'est donc le budget de l'Etat qui doit financer les mesures d'incitations sans augmentation. Au gouvernement de faire des choix et de faire des "économies" pour la financer. Certes les politiques n'ont pas l'habitude, ni des "ECO-NO-MIES" ni de faire des choix ! Par exemple en abandonnant le service national universel inutile (cf in fine) qui va coûter des milliards en pure perte... Une des choses les plus importantes est de favoriser la recherche, en France mais aussi au niveau européen et même mondial. Les performances limitées sont un frein. Pour aller voir mes enfants, avec un véhicule électrique j'aurais du faire deux recharges d'une heure ou plus sur le trajet. Impossible. Il faut aussi faire payer une taxe sur le kérosène aux compagnies aériennes exemptes de tout "effort" pour la transition écologique et plus généralement tous les pollueurs identifiés (commerce maritime ?)...
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