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Les prélèvements obligatoires sont en France les plus élevés de tous les pays du monde, y compris des pays scandinaves. Cette situation est le résultat de plus de 40 ans d’augmentation des déficits publics (tous les budgets de l’Etat ont été en déficit depuis 1978), même quand la situation macroécronomique était favorable (comme cela a été le cas depuis l’arrivée au pouvoir de M. Macron...), l’Etat a continué à présenter et exécuter ses budgets en déficit, alourdissant ainsi de façon irresponsabile notre dette publique qui est proche de 100% de notre Produit Intérieur Brut et a dépassé sous l’actuel quinquennat présidentiel les 2000 milliards d’euros. Nos services publics sont pourtant loin d’être les meilleurs du monde, comme en attestent par exemple les performances relativement médiocres de l’éducation nationale qui se sont gravement détériorés tant en termes de performances scolaires (classements PISA), que d’égalité des chances, de confiance des élèves en eux mêmes et dans le système scolaire, ou de transmission des valeurs civiques. Les points faibles de nos services publics en ce qui concerne l’évolution des hôpitaux et des EPHAD ou infrastructures routières de l’état de la voirie ou des réseaux de chemin de fer ou de l’insécurité dans les quartiers sont d’autres exemples de la détérioration relative des services publics français. Excessivement pesants et réduisant l’initiative privée, les prélèvements obligatoires ne sont donc pas facteurs d’excellence de nos services publics. Surtout, l’importance de la dette publique (près de 100% du PIB), des prélèvements obligatoires (près de 50% du PIB) et de la dépense publique (proche de 60% du PIB), se traduisent par la mise en péril ou étouffement de l’initiative privée, de la créativité et de l’innovation dans une société suradministrée, sur taxée, surimposée, et par la perte de conscience des français, élites dirigeantes comprises, des réalités et contraintes économiques et financières. Elle interdit enfin toute marge de manœuvre pour faire face à nos défis sociaux, économiques et environnementaux. Il est donc urgent de mettre un terme à ce désastre national en adoptant des trajectoires claires et résolues de court, moyen et long terme de la réduction de nos prélèvements obligatoires et donc de désengagement progressif et ciblé de l’Etat et des collectivités publiques. Cela n’a pas été fait depuis 40 ans, et n’est nullement fait aujourd’hui. La course à l’endettement se poursuit et la réforme de la puissance publique, et au premier chef de l’Etat, n’a pas été entreprise en profondeur. Propositions : 1/ Elaboration et soumission au vote d’une loi d’objectifs de réduction à court, moyen et long terme (2 ans, 5 ans et 10 ans), de la dépense publique après organisation d’un débat national pour associer les citoyens aux plans nationaux et locaux des choix de réduction. 2/ Inscription dans une Loi organique d’une règle d’or de présentation et d’exécution en équilibre des budgets de l’Etat, des collectivités locales et du budget social de la nation pour une période minimale de 10 ans. 3/ Contrôle par la cour des comptes du respect de ces orientations avec présentation et communication à tous les français chaque année d’un rapport sur le respect de ces engagements et sur l’évolution de la dette publique, incluant les trajectoires françaises et des grands pays comparables (notamment européens) 4/ Mise en place de la règle de non remplacement d’un départ à la retraite sur deux dans tous les services publics là où cela est justifié au regard notamment des comparaisons internationales et en fonction d’échéanciers à déterminer par service public, au regard de ces comparaisons. 5/ Privilégier des financements affectés (cotisations sociales et assurances individuelles en matière de dépenses sociales et impôts et taxes en matière environnementale, impôts et taxes d’Etat pour les dépenses de l’Etat et impôts et taxes locales pour les dépenses locales) de façon à favoriser la maîtrise, le contrôle et la compréhension et l’acceptation publique des dépenses publiques en la matière. 6/ Enfin, élaboration et mise en œuvre simultanée d’une réforme complète de tous les prélèvements obligatoires (impôts, taxes et cotisations) de façon à rendre ces prélèvements plus justes et efficaces en prenant en compte le fait qu’une telle réforme d’ensemble qui n’a pas été entreprise depuis des décennies est aujourd’hui le corollaire impérativement nécessaire de toute politique ambitieuse de réduction des prélèvements obligatoires et de la dette publique, à la fois pour rendre cette politique efficace et acceptable par les français. Cette réforme fiscale est d’autant plus indispensable que les évolutions intervenues depuis la fin des trente glorieuses, évolutions à la fois économiques (baisse tendancielle et structurelle de la croissance), démographique et sociétales (baisse de la natalité, immigration massive, évolutions des structures familiales et des compétences, métiers et parcours professionnels dans une société moins industrielle, de services a valeur ajoutée, et nouveaux enjeux écologiques notamment), et les très fortes inégalités de revenus primaires (avant transferts) la rendent par ailleurs nécessaire.
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L’Union européenne n’est pas démocratique en ce sens que les citoyens européens voient leurs pouvoirs très largement dépossédés, ou usurpés, au profit des exécutifs nationaux (présents aux conseils européens) et européen (la commission européenne), peu efficace et insufisamment protectrice en matière de maintien de droit du travail et de droit social, de droit sur les questions d’éthique et d’environnement, comme en matière de défense économique dans les échanges internationaux contre la Chine, les États Unis et toutes les nations qui pratiquent un duping évident à l’écontre des intérêts des pays de l’Union européenne, et, enfin contre l’immigration subie plus que choisie dans un espace Schengen non protecteur et non protégé. L’extension de l’Union européenne à un trop grand nombre de pays du fait des élargissements successifs est un des facteurs de l’inefficacité et du défaut de protection de l’Europe. Plus que de continuer sans imagination à soutenir une Europe qui ne marche pas au nom du progressisme et Proposition : 1/ Faire une pause totale en matière d’élargissement (d’entrée de nouveaux états dans l’Union européenne), tant que les institutions européennes n’auront pas été profondément réformées. Soumettre par ailleurs tous les élargissements futurs à des référendums auxquels devront pouvoir voter tous les citoyens de l’Union européenne. 2/ Réformer en profondeur les traités européens en distinguant trois espaces avec des compétences et des règles de gouvernance différentes, celui des pays de la zone euro, celui des pays de l’espace Schengen et celui des pays de l’Union européenne au-delà de la zone euro et de l’espace Schengen. 3/ Élaborer dans ces traités nouveaux des règles permettant de renforcer le contrôle des États sur tout ce qui n’a pas de raison légitime et sérieuse de faire partie des prérogatives européennes en renforçant le principe de subsidiarité de façon à diminuer d’au moins 50% le champs actuel des prérogatives de l’Union européenne. 4/ Redonner sa place à la démocratie directe en soumettant au référendum pour tous les citoyens européens toutes les questions concernant l’immigration, l’éthique (et notamment les questions de bio éthique), les traités concernant les échanges internationaux, comme par exemple l’EFTA, les libertés publiques et les politiques de défense. 5/ Élaborer et négocier en plus de ces nouveaux traités une nouvelle constitution europpenne incluant de nouvelles règles de gouvernance pour les trois espaces (UE, Schengen et zone euro), permettant un meilleur équilibre des pouvoirs entre grands et petits pays et une démocratie renouvelée en instituant notamment l’élection au suffrage universel des citoyens de l’Union européenne du président et des membres du collëge des commissaires européens et la soumission à référendum de toutes les décisions essentielles 6/ Intituer dans la constitution nouvelle de l’Union européenne un référendum d’initiative citoyenne et une proportionnelle intégrale pour les élections au parlement européen. 7/ Soumettre ces nouveaux traités et cette nouvelle constitution européenne au vote par référendum de tous les citoyens de l’Union Européenne. 8/ Inviter les citoyens du Royaume Uni à voter sur l’adhésion à une Union Européenne ainsi reformule à travers un référendum.
Informer de façon claire, pédagogique, synthétique, accessible à tous la population française des différentes options de recettes et de dépenses publiques et permette un Grand Débat National de choix de société, avec un taux élevé de recettes et de dépenses publiques et des services publics modernes dont les réflexions, les choix et la mise en œuvre associe pleinement les citoyens. Ou, un modèle de type anglo-saxon saxon, privilégiant davantage le recours aux dépenses et recettes privées, de marché. Ce Grand Débat National qui n’a de débat que le nom, ne peut permette ce type de réflexion, de débat et de partage, et est donc extrêmement frustrant.
Oui
Toutes celles qui intéressent au premier chef les populations locales doivent être prises à leur niveau. Les recettes et dépenses qui vont avec également, ce qui signifie que l’organisation territoriale doit être rééquilibrée pour permettre leur égalité en termes de capacité de recettes et de dépenses et en recourant là où c’est nécessaire à des péréquations. L’état central doit donc se désengager drastiquement au profit du local et réduire à proportion ses ressources et dépenses.
Non
Un gouvernement honnête, visionnaire et compétent, proche des citoyens et veillant à ce qu’ils soient pleinement informés des sujets qui les concernent (tous les sujets de la vie en société), et à ce qu’ils puissent débattre vraiment (et non pas comme aussi à une parodie de débat) et participer à l’élaboration des décisions et à leur mise en œuvre. Une administration réduite, décentralisée, et permettant aux citoyens de participer activement à la décision publique. Des grands services publics de participation à l’administration de la vie quotidienne proches des citoyens, proches géographiquement et culturellement des administrés, les informant pleinement et les associant à toutes les décisions sur les sujets qui les concernent. En un mot, des services publics modernes, et non des services jacobins, technocratiques, loin des réalités et non participatifs.
Un service public d’information des citoyens sur tous les sujets qui les concerner à échéance annuelle et dans une vision d’évolition pluri annuelle et comparée avec les moyens et résultats obtennus dans les meilleures pratiques locales et étrangères. Un service public permanent de Débat Citoyen permettant de débattre de tous les sujets intéressant les citoyens et de les associer aux réflexions, aux décisions et à la mise en œuvre de décisions publiques sur tous ces sujets.
Oui
Non
Plutôt que de plaquer de telles solutions, saines dans leur principe, il faut inviter les citoyens, notamment ceux qui sont le plus concernés (géographique ou de leur situation par rapport au service public), à l’infirmation réflexion en la matière, la conception et la mise en œuvre et le contrôle des solutions. Alors, nous aurons un service public moderne et non conçu d’en haut, loin des réalités de terrain, vieillot, inadapté au fonctionnement de nos sociétés, qui doit être fluide, réactif, partagé.
Une contrainte et une ligne d’actions omniprésents apparaît être celle de la réduction des coûts et porte préjudice aux efforts de modernisation. Le seul point de départ légitime doit être l’amélioration de la qualité du service. À ce sujet, malgré des efforts louables, l’évolution de l’offe de services publics est
Les services centraux de l’Etat qui doivent laisser place à beaucoup plus décentralisation, de délégation, de déconcentration. Aujourd’hui, et particulièrement sous ce gouvernement, nous assistons à une concentration du pouvoir dans ces services d’un autre temps, à l'opposé du modernisme, de la fluidité, du fonctionnement en réseau neuronal, de la prise de décision au niveau pertinent. Première priorité réformer ces services en les réduisant et en confiant leurs missions et tâches à des niveaux plus pertinents. Deuxième priorité, changer leur culture et leurs orientations, pour sortir d’un jacobinisme technocratique désuet et aller vers une société vivante et moderne au sein même de ces services.
Oui
Non
Bonne mesure dans son principe mais information insuffisante, défaut d’association des citoyens à la réflexion, la décision, la mise en œuvre, le contrôle. Encore une mesure trop « d’en haut » ou « top down ».
Renouvellement permis de conduire et tant d’autes mesures qui se font maintenant par démarche numérique du citoyen. Des heures passées sur le site pour rien. Il est étonnant que l’administration se défausse totalement de ses tâches de distribution et information au guichet, pour imposer ces tâches aux citoyens (qui ne sont pas payés pour cela et perdent un temps fou à faire le travail de l’administration), ceci, sans aucune baisse du coût des services publics. Cherchez l’erreur. La démarche digitale ou numérique de l’administration est à repenser...avec les citoyens qui sont ses commanditaires et non ses subordonnés.
Oui
En s’inspirant des nouvelles méthodes de management du type « entreprise responsabilisante et libérée ».
Oui
Formation avec des stages suffisamment longue en alternance en entreprises, grande entreprise, petite entreprise et TPE, TPI, dans des services clients. Supptimer les débouchés de l’ENA à des postes élevés dans des grands corps et la remplacer par une formationde même niveau donnée à l’université et avec des postes de sortie de rang équivalent et une promotion aux postes les plus élevés en fonction des qualités exprimées au cours de la carrière. Developper les échanges avec les administrations locales, centrales, et étrangères et les entreprise au cours de la formation initiale et professionnelles. Developper les formations à l’information et à la communication, à la délégation, aux démarches managériales et participatives, notamment les plus modernes (entreprise responsable et libérée).
En recréant une DATAR associant État et collectivités locales et en privilégiant des rééquilibrages d’activité par des systèmes de subvention, d’incitation fiscale, de péréquation. En favorisant le développement d’activités nouvelles adaptées à la réalité des territoires défavorisés (agriculture biologique, filière meuble dans les zones forestières...). En vérifiant au maintien de services publics de proximité (école, chemin de fer, voirie, poste, services de santé et d’hodpitalisation etc.). En associant les populations concernées à la réflexion, la décision et la mise en œuvre de toute décision les concernant à ce sujet.
Non
Carte scolaire empêchant le libre choix d'établissement hors secteur. Égalitarisme pieds par dessus la tête avec des quotas pour des élèves défavorisés et mauvais élèves dans de bons établissements au détriment de meilleurs élèves des secteurs concernés.
NC
Très bon service offert par mon régime spécial pour la part où j’y été affilié, beaucoup moins bon service de l’usine du régime général (CNAV, AGIRC ARRCO).. Or, le projet de réforme des retraites du gouvernement vise à supprimer les régimes spéciaux alors qu’il a des différences évidentes de métiers et de logique de carrières entre les salariés du privé, les salariés du privé et les travailleurs indépendants.
Le système anglais de total gratuité des soins en pharmacie et à l’hopital est préférable à notre complexe système de remboursement ex post, dont les surcoûts de fonctionnement existent par construction.
NC
NC
Pas de difficulté particulière sur le type d’emploi que je recherche et recrute, sinon un marché très tendu dans les métiers de l’informatique, reflet de l’échec de nos systèmes d’éducation pour susciter un intérêt et un nombre suffisant de candidats vers les formations scientifiques et techniques.
Progrès encore insuffisants et trop lents mais réels de certaines formations dans le service public, plus adaptées à la réalité de nos sociétés et de leur évolution. Progrès très satisfaisants des formations dispensées par les écoles de commerce et de communication.
NC
NC
Trop peu d’offres et d’acvompagnement des démarches lorsque l’on est volontaire pour recruter des personnes handicapées. Pas ou pas assez de dispositifs de recrutement via de la formation en alternance.
Laisser les français vivre et arrêter de tout réglementer d’en haut et du centre (de l’administration centrale parisienne). Informer, consulter et associer les citoyens à tous niveaux (et en particulier à celui d’effet des décisions du service public), aux réflexions, décisions, mise en œuvre et contrôle de ces décisions en n’oubliant jamais qu’ils sont commanditaires du service public et peuvent et doivent en être acteurs.
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Les fermes d’exploitation éolienne défigurent très gravement les paysages de notre pays. De plus, elles : - sont inefficaces en matière de lutte contre le changement climatique du fait du très faible temps de production d’électricité (25% en moyenne) du à leur intermittence, - contribuent même à l’effet de serre puisque les émissions de carbone liées à leurs condition de production et à leur transport en France (Chine premier producteur), produisent des émissions de carbone jamais tracées et évaluées complètement, - contribuent à d’autres dégradations très graves de l’environnement par l’usage intense de métaux, et de béton qu’exigent leur production et l’implantation de leurs mâts porteurs et hélices dont la taille et le poids ne cessent de s’accroitre, - contribuent à l’allourdissement des taxes et de la pression insupportable des prélèvements obligatoires qui pèsent sur les français à travers la taxe de contribution au service public de l’électricité qui s’élève aujourd'hui à plus de 2 milliards d’euro par an pour sa part de subventionnement des énergies renouvelables, et pèse sur tous les citoyens de manière égale, non progressive et non redistributive, dans les tarifs de l’électricité, - elles augmentent donc le prix de l’électricité pour tous les français, - les éoliennes, non produites en France sont importées, ce qui accroît par ailleurs le déficit de notre balance commerciale. Dans les enquêtes publiques, l’avis des citoyens français qui s’opposent à l’implantation d'éoliennes à plus de 95%, est systématiquement bafoué ! C’est un complet déni démocratique. L’énergie éolienne en France développée sous la pression des lobbys est donc un non sens pour la protection de l’environnement auquel elle nuit gravement, un non sens économique pour la France, un élément de l’insupportable augmentation des prélèvements obligatoires et de la hausse d’un produit de consommation de base, l’électricité, et enfin, une atteinte grave à la démocratie. Notre proposition consiste : - à la préparation et au vote d’une loi, dès cette année 2019, instituant un moratoire d’une durée d’au moins cinq ans et d’effet immédiat et total avec l’arrêt total des projets de construction éolienne terrestres et maritimes, - au-delà, à la réalisation d’une enquête publique nationale et de débats citoyens au plan local, sur le bilan complet de l’énergie éolienne dans tous ses aspects, environnementaux (au sens large et non limité à une hypothétique - mais jamais prouvée - baisse induite des émissions françaises de gaz à effet de serre), en termes de compétitivité économique, quant à leurs modalités de financements et à leurs impacts pour les contribuables, les consommateurs et sur la balance commerciale française. Halte à l’aberration économique, environnementale, fiscale et au déni démocratique que constitue le développement actuel en France de l’énergie éolienne.
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