Plus de transparence pour une utilisation non détournée de l'impôt ou des taxes. Exemples : Celui, ancien de la vignette, et plus récemment surtout, l'augmentation des taxes sur les carburants sans qu'on ait de visibilité réelle sur l'utilisation (écologie)
1. Niveau des taxes et des impôts : Il est trop élevé en France et les classes moyennes sont, de fait, « les vaches à lait » d’un système, pendant que d’autres s’expatrient et « vivent bien » ! Il faut réduire drastiquement l’évasion fiscale au profit de notre dette 2. Impôts de l’état : Supprimer les tranches d’impôts et les remplacer par « une courbe d’imposition » pour éviter les sauts intempestifs importants d’une tranche à l’autre : L’outil informatique le permet désormais. Une visibilité (graphique) accessible à tous ! 5. Résidence fiscale : Une clarification s’impose. Pour les citoyens français, comme pour les sociétés, faire obstacle aux trafics concernant la résidence fiscale. Les activités professionnelles sur le sol français doivent être imposables. Qu’en sera-t-il de compatriotes ou de sociétés françaises ayant leurs activités à l’étranger ? Et en Europe, tout n’est pas clair : Taux d’imposition et de TVA différents, sources de déséquilibre.
Si on supprime, on devra compenser ailleurs : Exemple pour la CSG des retraités (vases communicants) qui ont perçu cela comme du racket.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Niches fiscales : Réexaminer tous ces avantages en ne retenant que ce qui est bon pour le pays et juste pour les citoyens !
• Indemnités chômage liées à une vraie formation et à la recherche d’emploi. Certains pays étrangers sont plus efficaces que nous dans ce domaine.
Santé - Aide aux plus démunis pour une meilleur insertion disons un rôle social (donner du sens à la vie !)
Santé - Education - Services publics efficaces et modernisés ce qui ne veut pas dire suppression de postes pour faire des économies mais les missions peuvent évoluer (Désertification du monde rural notamment)
• Les subventions ou aides accordées au secteur privé seulement sous forme contractuelle et avec obligation de résultats. Actuellement, c’est souvent à « fonds perdus ».
Aux élus les plus proches ! Rétablir la proximité du peuple et des élus, c’est aussi éviter des formes de pouvoir abusives et non représentatives. Les scrutins de listes avec des postulants inconnus des électeurs ont leurs limites. A terme, on s'en désintéresse.
Oui
*** En tout cas, pas aux groupes de pression sectaires déguisés en associations, sinon : Associations de consommateurs reconnues. Syndicats reconnus. Courants de pensée laïques. Groupes de citoyens volontaires et tirés au sort, "sorte de boite à idées" pour diverses instances (mairies ...) etc. L'esprit de tolérance prévaut. Ces associations soucieuses de l'intérêt public enrichissent le débat mais n'interviennent pas dans les décisions : Une contribution très utile.
Redonner de l'authenticité, certains ayant retenu qu'ils étaient élus pour faire selon leur bon désir : Gouverner n'est pas manipuler, bien au contraire ! En fournissant les outils, les formations à l'ENA etc. devraient y veiller. Et il y a cet exemple suisse qui nous interroge ! Ils s'en sortent bien, avec tous leurs cantons, toutes leurs langues etc. DONC : Instaurer une « votation » à la manière des Suisses (qui ont acquis une bonne expertise) pour « purger » sur des sujets sensibles, "sociétaux notamment" et où la majorité décide. Les groupes de pression minoritaires ont parfois tendance à compliquer la vie politique même si leur expression est utile au pays. Mais ils ne peuvent, eux seuls, faire la loi. Bien sûr, des précautions sont indispensables pour éviter que populistes, démagogues, manipulateurs, en fassent un mauvais usage : 500.000 à 1.000.000 de signatures et plus de 50% en voix des électeurs inscrits ? Précaution : Validation préalable par le Sénat et/ou le conseil constitutionnel ? ... Mais pas des précautions pour rendre impossible ! Exemple : L’instauration sans guère de concertation des 80 km/h, où Edouard Philippe s’était fait un petit caprice pour la bonne cause, « grands axes ruraux compris ». Cela va coûter très cher. La menace d’une votation aurait éviter les désagréments d’un choix aussi radical.
Une bonne chose
Une seule fonction pour un élu permet une meilleure maitrise des dossiers et aussi plus de présence. Les rémunérations (si elles sont suffisantes) sont ainsi réparties entre ceux qui font réellement le travail. J'y ajouterais qu'un député (par exemple !) devrait être membre de droit de certaines instances pour ne pas être coupé du monde : Il y a un petit souci à ce niveau.
Proportionnelle : Si tous les courants de pensée doivent pouvoir s’exprimer, le retour à la formule de la IVème république serait une régression (souvenirs) ... Les partis arrivés en tête doivent néanmoins disposer d’un bonus pour gouverner sans que cela aboutisse à une écrasante majorité, toute puissante, et au final « pas exactement représentative » ! Un subtil équilibre chiffré, accepté de tous et à trouver. Prudence.
Oui
1. Les députés sont les représentants élus du peuple. "POUR L'HEURE", limiter leur nombre, c’est les éloigner des citoyens, particulièrement dans le monde rural, où l’on observe bien trop de régressions, préjudiciables à terme à notre pays. En effet : La concentration de population dans les villes génère quantité de problèmes insolubles. Les zones d’activités industrielles doivent pouvoir se répartir sur tout le territoire. Services publics et hôpitaux avec personnels très qualifiés désertent bien trop le milieu rural. 2. Peut-être, limiter le nombre de sénateurs (économie), mais préserver le rôle important du sénat. Assemblée « de sages ou d’experts », les sénateurs contrôlent l’action du gouvernement : Combien de sénateurs aux USA ? Deux par département en France, est-ce un bon nombre ?
Par une meilleure crédibilité des hommes politiques. Par une formation citoyenne approfondie à l'école. Par des votations locales sur des sujets pratiques qui impliqueraient les citoyens comme en Suisse : Mais ne pas en abuser.
Oui
Seulement pour exprimer le pourcentage des voix ! Au dernier tour, le candidat arrivé en tête est élu ... s'il obtient au minimum x% des voix, x restant à définir ! (30% - 40% - 50%)
1- Déjà dit : Votation à la manière des Suisses 2- Il pourrait y avoir localement comme un genre de « cahiers de doléances permanents » sur des sujets d’intérêt général : Donc, des boites à idées sous la responsabilité de citoyens volontaires, tirés au sort, et chargés d’en faire la synthèse puis de faire remonter l’information auprès des élus. On ne pourrait ignorer ou cacher les problèmes … voire les bonnes idées !
Oui
Je me répète : 1- Organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral. 2- Organisé suite à une pétition avec signatures validées Bien sûr, des précautions sont indispensables pour éviter que populistes, démagogues, manipulateurs, en fassent un mauvais usage : 500.000 à 1.000.000 de signatures puis, plus de 50% en voix des électeurs inscrits ? Précaution : Validation préalable par le Sénat et/ou le conseil constitutionnel ? ... Mais pas des précautions pour rendre impossible !
D'abord régler les problèmes qui de toute évidence inquiètent déjà les citoyens ; Ils ne manquent pas et la consultation pourra ensuite s'imposer ! 1. La Bourse. (* Les prêts *) Système trop fragile et repaire de prédateurs aux méthodes très sophistiquées, le crash boursier étant une menace permanente. Les paradis fiscaux n’y sont pas pour rien. Elle devrait être au service de nos entreprises. Taxer fortement « les usuriers » et bien moins ceux qui placent à long terme en accompagnant des projets industriels. Nous sommes un petit pays, et « nous devrions être tous d’accord [?] dans l’Union Européenne » pour essayer d’échapper à ce cycle infernal. L’Europe en sortirait renforcée aux yeux des citoyens. 2. La dette de l’état … qui continue d’emprunter. Sommes-nous dans l’attente d’un crash boursier généralisé où on remboursera avec de la monnaie de singe ? Les plus modestes y seront les perdants. Quand commence-t-on à la réduire ? Emmanuel Macron a une bonne expertise … 3. Les rémunérations excessives : Grands patrons etc. La rémunération de certains « frôle » le scandale: Leur talent n’est pas le seul qui fait fructifier l’entreprise. Une échelle de 1 à 20 ? (voir la Norvège notamment). 4. Les rémunérations des élus, hauts fonctionnaires etc. : Distinguer salaire net et frais professionnels nécessairement accompagnés de justificatifs précis. 5• Plafonner raisonnablement la retraite des élus en fonction de la durée de leurs mandats et en évitant les effets de cumuls. 6. A la cessation de fonction des présidents certains avantages n’ont plus lieu d’être, sauf ceux concernant la sécurité, par exemple. etc. La consultation en vogue : "Suppression des fonctionnaires, pour réduire les dépenses de l'état et les impôts". Succès assuré et privatisation avec services plus chers payés par les citoyens qui déchanteront.
Rechercher les meilleures représentativité et proximité possibles pour les territoires et leurs citoyens. Leur histoire apporte les preuves de leur efficacité et peut justifier des réformes de structures. IL est bon que le Sénat continue à contrôler l'action du gouvernement.
Oui
None
Les principes de laïcité doivent être réaffirmés et enseignés dans les établissements scolaires publiques et "privés" car ce n'est pas une religion mais un art de vivre. Les religions contribuent à cet art de vivre en prônant l'esprit de tolérance.
La tolérance vestimentaire : Aucune tenue ne doit gêner la reconnaissance identitaire d'un individu, y compris les systèmes automatiques. Oreilles apparentes ? (pendant les examens notamment). Ensuite, chacun fait ce qu'il veut avec ses coutumes. Néanmoins tout enseignement ou prédication sectaire est interdit, et l'enseignement religieux est prodigué par des professionnels qualifiés, agréés.
Responsabiliser ! Cela commence à l'école ... Par exemple, les écoliers suisses (canton de Vaud) doivent périodiquement participer à la régulation de la circulation (passage piéton etc.) de petites choses certes ... La participation au nettoyage des papiers dans une cours d'école, à tour de rôle etc.
Localement, recensement des incivilités par des groupes bénévoles "agréés" pour ensuite cibler les actions au plus près : On entre dans un processus de responsabilisation pour impliquer un maximum de citoyens. Gestion des déchets ménagers et sur la voix publique, réunions de quartier festives pour resserrer les liens, reconquête de quartiers et d'immeubles (drogue, violences ...)
Voir ci-dessus --
Qu'on ait l'accueil humain nécessaire, et un peu de temps à consacrer aux autres. Au contraire, on éloigne les services administratifs. La rentabilité prime sur l'éthique. Exemples : Celui du téléphone robotisé parfois inadapté à notre demande sans compter le temps perdu. Et toutes ces officines installées à l'étranger peu soucieuses des réalités locales
Gestion des déchets (rue - nature) : Responsabiliser sinon sanctions effectives (Etat). Drogue : Couper au maximum les sources d'approvisionnement (Pays / Fournisseurs) Agressions physiques. Vols avec ou sans violences Respect du code de la route et de ses condisciples conducteurs : Aide à la conduite (pas voiture automatique) - Vitesse assistée - Freinage d'urgence automatique - Camera qui enregistre les quelques minutes précédant l'accident) etc. Toutes ces aides devraient être autorisées avant leur commercialisation. etc.
None
Déjà dit
Aucune ? En milieu rural (lieu d'habitation), les gens sont paisibles. Etonnant ! La concentration de population est source de problèmes, d'intolérance ...
Lutter contre le chômage et avoir un système de rémunération qui limite les excès des gros salaires, "notamment" !
Oui
Vérification systématique de la légitimité en harmonisant les procédures de contrôle (local notamment). A un certain seuil de rémunération, demi-service obligatoire.
1. La France terre d’asile : Autrefois, l’accueil des réfugiés politiques se faisait sur une petite échelle, avec peu de doutes sur les motivations réelles. 2. Par leur politique prédatrice, les « pays développés » ont contribué à déstabiliser parfois les économies de pays du tiers monde, notamment. Les guerres accompagnent. Leurs peuples nous regardent avec une envie légitime. Il est urgent d’inverser nos politiques pour mieux intégrer ces populations dans leurs pays et ne pas les vider de leur potentiel humain. 3. A l’échelle de l’Afrique, de l’Inde … ce sont des centaines de millions de migrants potentiels Ne soyons pas naïfs, nous n’aurons jamais « toute la capacité d’accueil suffisante », sans compter les problèmes sociaux complexes à surmonter. Et nous avons déjà de la peine. 4. Cet accueil doit se poursuivre généreusement, mais en le maitrisant. Le laisser-aller n’apporte rien de bon à un pays. Etre généreux avec l’argent des autres ne suffit pas, c’est une posture.
C'est le pays qui décide des objectifs (son gouvernement par délégation) et dans son intérêt supérieur. Quant aux obligations d'asile, elles doivent être validées après vérification. Exemple : Battisti en France !
Voir ci-dessus : Il est urgent d’inverser nos politiques pour mieux intégrer ces populations dans leurs pays et ne pas les vider de leur potentiel humain. Eviter les appels d'air. Accord avec les pays d'origine pour empêcher les départs sauvages dangereux pour les migrants concernés. Prévoir l'intégration des futurs migrants qui ont fait la demande.
Déjà dit. En tout cas, pas par les associations humanitaires qui ont des actions très généreuses et exemplaires, mais de court terme. C'est ensuite que les problèmes vont se poser.
L'INTERDIT : PMA avec ce qui concerne spécialement les mères porteuses « les nouveaux esclaves des temps modernes ». Avec l'argent, on trouvera toujours des femmes en détresse pour accepter. N'est-ce point une forme d'exploitation ? Celle d'une femme qui veut conserver son beau corps et en profiter au maximum ou celle de deux hommes qui veulent un enfant. L'excès n'est pas une révolution. STOP
Certains disent qu'ils sont pléthoriques, mais les services rendus, le sont-ils ? Listons ces services, jugeons de leur efficacité, modernisons-les si l'Etat a pris du retard dans leur gestion et adaptons les effectifs en plus ou en moins ! (Pas seulement en moins) Il y a des doutes sur la sincérité de certains prédateurs et bonnes âmes conseillères, intéressés par des privatisations. Exemple : La téléphonie est de fait devenu très coûteuse
Non
Ce serait oui, si l'Etat ne transférait pas les missions ... en oubliant le financement. IL y a quand même une crise de confiance.
Non
Ce serait oui, mais on voit certains services menacés à terme dans notre milieu rural, donc prudence. Problème de confiance encore !
Si c'est pour supprimer des services utiles et le précieux contact humain qui va avec "on s'en fout" : Pardonnez l'expression, mais c'est encore un problème de confiance. Néanmoins, tout ce qui peut être rationnaliser "très simplement" c'est oui : Obtention d'imprimés, démarches pour permis de conduire, cartes grises, cartes d'identité, passeport, amendes ... Mais, ATTENTION, comment éviter les falsifications ? En cas de litige, des services de "proximité relais", compétents sont indispensables : Les démarches par téléphone sont devenues très médiocres (robotisation) et les citoyens "explosent de rage" comme actuellement en raison de l'accumulation.
Oui
Non
Cela revient progressivement à supprimer nos services publics de qualité ... Cela peut devenir de "l'enfumage" pour ensuite tout faire disparaitre ! Néanmoins le recours à des services itinérants pour les territoires à faible densité de population sont un moindre mal. Mais plutôt, revivifier nos territoires ruraux, en effet : La concentration de population dans les villes génère quantité de problèmes insolubles. Les zones d’activités industrielles doivent pouvoir se répartir sur tout le territoire. Services publics et hôpitaux avec personnels très qualifiés désertent bien trop le milieu rural. En ce sens, le département conserve encore des liens proches avec le citoyen : Nous, français, avons créé de "supers" régions. Les suisses, eux, sont très satisfaits de leurs cantons (pas les cantons de chez nous!)
Dans tous les services publics, l'informatisation a permis une avancée considérable : Cependant, il ne faut pas que cela se transforme en "machines à papiers" pour faire des rapports qui ne servent à personne. Soyons efficaces ! Cela dépend aussi de la politique gouvernementale : On a pu connaitre de la stagnation au niveau des structures. Il faut moderniser, rationnaliser en définissant les tâches utiles à la nation.
A- Le service des impôts pour lutter contre l'évasion fiscale car elle est considérable : 1- Fausses déclarations 2- Résidence fiscale (lien avec l'étranger) 3- Multinationales Pas certains que cela plaisent à tous ! etc. B- L'Education Nationale où beaucoup d'efforts ont été faits, néanmoins ... 1- Conforter les apprentissages fondamentaux en restant sur l'essentiel : Les missions ne cessent de s'empiler avec des horaires diminués (cf. PISA / OCDE). On se disperse trop oubliant les finalités : Savoir lire, écrire, compter ... avec toutes les richesses que cela impliquent. 2- Et aussi : Pour éviter des études longues sans véritable issue (errance), des formations professionnelles de qualité, pour des métiers utiles à la nation et rémunérés honorablement, ne sont pas assez nombreuses : Voir l’orientation scolaire plutôt précoce des « petits suisses » : On s’est peut-être un peu égaré avec notre collège pour tous qui ne la jamais été. (La déscolarisation est un autre sujet important – Projet Blanquer) C- Etc.
Oui
Non
Le droit à l'erreur (bénigne) une seule fois : Le préjudice doit néanmoins être corrigé (sorte de sursis, en sorte). Pour les fois suivantes, c'est la sanction comme prévu. SINON : C'est la porte ouverte à tous les abus et aux traficoteurs et petits copains ...
Une amende injustifiée : Pourquoi en faire l'avance ? Par contre, si la responsabilité est avérée, on double, triple ... l'amende (frais de justice)
Oui
S'ils ont une bonne connaissance du terrain, ils sont les mieux placés pour juger, agissant par délégation mais avec leur responsabilité engagée ; Ils rendent compte !
Oui
Redéfinir les objectifs de l'ENA : - A l'ENA, forme t-on toujours les futurs grands commis de l'Etat qui établissent avec celui-ci un contrat dans la durée ? Evitons le pantouflage avec ses effets pervers. - De même, les élus du peuple se recrutent-ils dans toutes les couches sociales, l'expérience professionnelle étant un bon atout ? De brillantes études à l'ENA préparent-elles suffisamment à la fonction d'élu (sauf pour les discours, voire la manipulation) : "Le sens pratique" s'acquiert ensuite dans le métier où on est confronté à la réalité. Conclusion : Faut-il encore privilégier l'ENA ?
Rapprocher les pouvoirs de décision du citoyen, sauf bien entendu pour les grands projets de l'Etat qui doit quand même rendre des comptes. Consulter des citoyens (volontaires et "compétents") tirés au sort, sorte de groupes de réflexion indépendants et chargés aussi de collecter les avis d'intérêt général : Ils en font la synthèse et transmettent aux élus. Et, déjà dit plus haut : La concentration de population dans les villes génère quantité de problèmes insolubles. Les zones d’activités industrielles doivent pouvoir se répartir sur tout le territoire. Services publics et hôpitaux avec personnels très qualifiés désertent bien trop le milieu rural. Sinon : Nous auront des terres sauvages et plus personne pour entretenir et faire vivre, pendant que les gens des villes seront bien au chaud ou malheureux dans leurs quartiers à risques.
Néant
Néant actuellement
Néant actuellement
...
Notre couverture ne nous créé pas de soucis, sauf les déremboursements en cours. Malheureusement, nous devrions être beaucoup plus économes par une plus grande responsabilisation. Exemples : • Remboursement complet des frais de maladies graves et distinguer les soins de confort. • Déplacement en ambulance gratuit pour les malades mais toujours avec justificatif. Etc. etc. C'est très long.
Néant.
None
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A égalité : Pollution des milieux et Dérèglements climatiques
• L’état doit affirmer son autorité et prendre le contrôle le cas échéant, pour normaliser et éviter les abus de ceux qui ne recherchent que le profit (ordures disséminées dans la nature) • Concernant le traitement des déchets, créations de nouvelles activités industrielles et recherche aidées par l’état. De l’emploi en perspective. • Tendre vers un recyclage écologique qui s’approche des 100% des productions industrielles avec, si possible, des processus de recyclage connus et validés avant « une autorisation de commercialisation » des produits. Contrôle indépendant par l’état et ses fonctionnaires payés par une fraction de la TVA affectée à cet usage. • Partout, tri manuel systématique des déchets avant le ramassage : Un gros travail d’éducation, en ville comme à la campagne. Voir la discrétion des poubelles suisses en ville !
Non
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Oui
• Les anciens étaient habitués à économiser l’énergie : Dans notre quotidien, il faut revenir à cette pratique ; Education, isolation, création de produits moins énergivores … Nous avons toujours pratiqué ! Quant à la pollution, voir à la fin.
Ici, on essaie de faire le maximum, "le réflexe des anciens" car on est aussi très économe.
L'éducation à l'école principalement, dans les familles (?) et aussi par le biais des médias
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Vous faites les questions et les réponses ! Ce n'est pas aussi simple, en effet, car il manque une vision d'ensemble ! Dans le domaine de l’énergie, on constate actuellement beaucoup d’incohérence pour mener à bien cette politique. • Après l’avoir encouragé, on vilipende désormais le diesel sans discernement : Faudra-t-il changer une chaudière ou une voiture d’un an ? Mais, à l’opposé, que dire des bateaux, avions, machines industrielles … Avec le gaz ou l’essence n’y aurait-il point de CO2 ? Des empressements irréfléchis ! On devrait établir un échéancier tenant compte de l’ancienneté, de la vétusté, et de nos moyens de financements. • Oui, à la voiture électrique dont on parle beaucoup. Néanmoins, on escamote ses insuffisances : recharge, autonomie, pollution cachée. Elle devrait, à terme, devenir obligatoire en ville et dans un petit format : Que font, les grosses berlines et 4x4 d’une certaine classe sociale (et pas que) en ville ? • Le nucléaire : La reconversion sera coûteuse et prendra du temps (choix d’un passé où l’homme croyait tout maitriser) : L’éolien, les panneaux électriques suffiront-ils à prendre la relève ? Où sont les produits français ? Il ne faut pas prendre de retard. • Les anciens étaient habitués à économiser l’énergie : Il faut revenir à cette pratique ; Education, isolation, création de produits moins énergivores … • Quand Emmanuel Macron écrit « Comment finance-t-on la transition écologique », il réagit en financier : A-t-il préalablement connaissance de solutions industrielles futures utiles à la reconversion ? La transition écologique ce n’est pas seulement des discours et prendre de l’argent aux contribuables … c’est la mise en œuvre de solutions techniques que le citoyen comprend puis admet. (« Gare aux gilets jaunes »)
Non
Nous vivons à la campagne, et donc, c'est la marche à pied, le vélo, et très souvent la voiture ... selon les distances ! Les citadins ont bien de la chance avec les transports en communs subventionnés ... parfois gratuits (qui paye ? nous aussi ?)
Le plus souvent ce sont de petits besoins dans le monde rural où le choix est limité !
L'Etat par la pression sur les constructeurs et en concertation avec les autres pays européens, sauf "intérêts divergents" : La voiture électrique à petits prix et de très faible gabarit par les courtes distances et la ville : On produit actuellement des monstres à l'image des véhicules thermiques : Le pire : Tesla pour les riches ... et pas que !
En Europe, chacun roule pour soi : Exemple le charbon avec la l'Allemagne et la Pologne etc. Ne parlons pas de Trump ! Voir ci-dessus pour la voiture électrique.
2. La gestion des déchets et le recyclage. • L’état doit affirmer son autorité et prendre le contrôle le cas échéant, pour normaliser et éviter les abus de ceux qui ne recherchent que le profit (ordures disséminées dans la nature) • Concernant le traitement des déchets, créations de nouvelles activités industrielles et recherche aidées par l’état. De l’emploi en perspective. • Tendre vers un recyclage écologique qui s’approche des 100% des productions industrielles avec, si possible, des processus de recyclage connus et validés avant « une autorisation de commercialisation » des produits. Contrôle indépendant par l’état et ses fonctionnaires payés par une fraction de la TVA affectée à cet usage. • Partout, tri manuel systématique des déchets avant le ramassage : Un gros travail d’éducation, en ville comme à la campagne. Voir la discrétion des poubelles suisses en ville ! 3. Les productions agricoles et la préservation du milieu • Pour améliorer la productivité et ses gains, « la chimie » est allée « au secours » de l’agriculture qui a développé de nouvelles méthodes d’exploitation très performantes. Malheureusement, des effets très néfastes sont apparus pour l’environnement et pour la santé. Nous n’échapperons pas à une reconversion qui oubliera l’usage de produits dangereux. Certains y travaillent déjà, il faut s’en inspirer pour trouver des solutions alternatives avec le soutien de l’état. Mais avec la concurrence étrangère, normes de production à établir. Prudence. • Respect de la nature, certes, mais aussi rejet de toutes formes de maltraitance des animaux, si, possible ! L’univers concentrationnaire de certains élevages est parfois insupportable. Certaines mutilations sont réalisées au prix de souffrances cruelles et inimaginables. Quant à l’abattage, « un endormissement réussi » est le préalable, par « bonté d’âme » : « une votation pour un sujet si sensible » ?
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