Avoir une information annuelle sur l’utilisation des impôts.
Avoir une participation de tous à l’effort commun. Dans le cadre des petits revenus, la contribution pourrait être minime, quelques dizaines d’euros par des que l’on touche le salaire minimum ou équivalent. Mais pas zéro impôt sur le revenu, à partir d’un seuil minimum égal au salaire de base. Par contre, il est aussi utile, en contre partie, qu’il y ait une justice fiscale sur des revenus qui optimisent, ne paient pas l’impôt ou très peu et bénéficient du système. Toute richesse créée en France voir en Europe (dans le cadre d’un alignement fiscal, qui devrait être un préalable obligatoire, pas comme l’Europe actuelle), devrait ramener un impôt identique en France. Comment expliquer que les Gafa sont moins imposés en France que les artisans par ex. Ou est la justice? Il faut aussi que le revenu du travail ait une imposition inférieure à celui de la rente. Surtout si le revenu de la rente n’est pas investit, au moins en partie, régulièrement. L’imposition du revenu du travail devrait aussi être en relation avec le travail fourni. Est-il normal que quelqu’un qui travaille 50-60 heures par semaine soit plus pénalisé que quelqu’un qui se contente de 35 heures?
None
Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Selon les cas, il faut montrer que l’on est redevable de la société. A ce titre, ne pas enfreindre la loi, respecter les travailleurs et créateurs de contributions sociales. Contribuer en rendant service à la société si on a du temps libre. Avoir des droits, c’est aussi avoir des devoirs. Ne pas remplir ses devoirs, c’est avoir moins de droit.
Le niveau de protection sociale est déjà très élevé. On peut toujours faire mieux mais je trouve le niveau assez élevé. Il faut surtout aider les citoyens a revenir au plus vite dans l’emploi, s’ils sont en capacité, même dans des proportions moindres (mi-temps, etc.) et compenser le revenu un moment éventuellement. La santé reste un domaine où l’on peut toujours renforcer la protection. Cela demande aussi de l’efficacite. Donc des dépenses mieux réparties et en atteignant plus des objectifs.
Pour une transition énergétique plus rapide, sous réserve de la creation d’une certaine autonomie énergétique. Où l’on retrouverai à terme la contribution supérieure des impôts.
Il faut s’assurer de la bonne utilisation de l’argent public et limiter les abus des citoyens envers la sécurité sociale et optimiser la collecte des impôts de ceux qui pratiquent l’évasion fiscale.
En permettant une adaptation plus rapide des administrations aux besoins des usagers.
Oui
Laisser la possibilité aux collectivités de mettre en place des dispositifs en faveur de la transition énergétique.
Oui
None
None
Non
None
None
None
None
Oui
Non
None
les règles en matière de fiscalité sont assez ardues. Surtout que le personnel n’est pas toujours aidant.
Oui
En ayant une carrière qui puisse mieux s’adapter aux fonctions et non aux grades
Oui
Oui. Travaillant dans la fonction publique territoriale, l’offre de formation est pertinente et doit encore progresser. Mais il existe tout de même une offre importante et large avec un accès facile. Par contre le cloisonnement des carrières de fonctionnaires dans des schèmas « concours , avancement à l’anciennete » ne reflètent plus la société d’aujourd’hui. La fonction publique est souvent très mal adaptée à la transversalité. Or cette transversalité est souvent porteuse d’innovations et de capacités d’adaptation très importantes. Les jeunes générations ont du mal avec ce système qui ne les encouragent en rien à développer leur compétence. Pour moi, la fonction publique est entrain de s’appauvrir car le système d’evolution et de rétribution n’est plus adapté à l’epoque.
Les accompagnements ont besoin d’etre plus personnalisés en fonction des besoins spécifiques des territoires. L’Etat doit aider les élus et collectivités de terrain en contractualisant, en adaptant les objectifs et en évaluant l’efficacite. Les élus de terrain et les fonctionnaires de terrain sont souvent les plus à même de connaître les problématiques et les moyens pour obtenir des résultats.
None
Pour l’inscription des enfants, le fonctionnement est satifaisant. Les enseignants manquent parfois de mise à jour de leur méthode et de savoir être avec les parents.
None
None
Satisfaction des démarches automatiques mises en place avec la carte vitale. Ça marche bien, il faut le dire.
None
None
L’ANPE n’est souvent pas d’une grande aide. L’efficacité de ce service est perfectible.
None
None
None
None
None
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
L’impact de l’activité humaine est considérable sur l’erosion de la biodiversité. Changer le modèle économique et agricole est une priorite. L’agriculture intensive tue la biodiversité et les agriculteurs.
Oui
Les événements climatiques sont de plus en plus violents.
Oui
Nous transformons notre logement pour qu’il soit le plus autonome et économe possible. Nous nous chauffons quasi exclusivement au bois. Nous ameliorons l’isolation et réduisant les impacts des appareils électriques (leds, équipement moins gourmand). Nous limitons notre consommation d’eau aussi.
Nous agissons déjà en limitant nos petits trajets. Cependant, je remarque que la politique d’urbanisme et de développement n’est pas en adéquation avec ces objectifs. Il y a 6 mois, nous avions un supermarché en centre-ville. Nous faisions certaines courses à pied. Il a déménager. Il faut prendre maintenant un véhicule car il est à la périphérie, à 3 kms du centre ville. Il faut donc recentrer les pôles et commerces dans les centres villes pour limiter les déplacements.
J’aimerai que l’on aide les citoyens à évoluer vers l’autonomie énergétique. A l’image de ce que propose J. Rifkin, il faut évoluer vers des habitats et des locaux les plus autonomes possibles et connectés pour échanger les énergies produites. Limiter l’impact du logement permettra de rapidement faire baisser l’impact sur la production de CO2 et redonnera des possibilites financières importantes pour les citoyens.
Non
Mon chauffage utilise déjà du carbone aérien et non fossile. Il me manque juste à optimiser le confort avec un poêle mixte qui génère lames périodes de non alimentation. Étant autonome sur ma production de bois, l’impact financier de mon chauffage est très faible. Cela me dégage du financement pour optimiser mon isolation.
Non
J’utilise mon véhicule de société la majeure partie du temps. Cependant, j’essaie de covoiturer dès que cela est possible. Étant en milieu semi-rural, l’offre de transport en commun est relativement limitée et restreinte à des déplacements entre villes de moyenne importante. Le coût du train est aussi pas toujours compétitif par rapport à la voiture. Ce qui rend le choix souvent en faveur de la voiture. Pour le vélo, rien n’est adapté et la solution est même dangereuse dans notre ville.
Le vélo
La réponse est multiple selon les opérateurs. Pour le vélo, l’aménagement est souvent à réaliser pour les collectivités locales. Les trains et les transports en commun sont à l’echelle du département, voir la région. Enfin l’Etat doit coordonner l’action sur le territoire national et inciter les opérateurs à la mise en place de solutions alternatives. Enfin, l’Europe doit proposer plus d’intermodalités entre les pays pour favoriser les grandes lignes ferroviaires par exemple.
Je pense que si l’Europe est capable de montrer qu’une autre voie est possible et qu’elle est capable d’atteindre une autonomie énergétique rapidement, l’exemple sera suivi au niveau international. Il faut une politique européenne de la transition énergétique visant notamment à une autonomie en énergie renouvelable et ressources agricoles à faible impact (extensif, bio, etc.) au plus vite.
Oui, il est nécessaire d’attaquer la transition écologique et énergétique dans sa globalité et non par une approche sectorielle et ponctuelle. Il faut une acceptation sociale de cette transition. Les citoyens sont prêts mais il faut de la cohérence, une réelle volonté de changement, de la transparence, de la pédagogie et certains mécanismes pour aider au changement. Quelle est la cohérence d’augmenter les taxes sur les carburants des véhicules routiers quant on ne touche pas aux tâches des carburants de l’aviation et encore moins aux carburants maritimes? Cela n’est pas acceptable car pas cohérent.
Votre message a bien été envoyé.