Les maires sont nos premiers interlocuteurs de proximité en principe ; ils se font rattraper par leurs propres intérêts et le système de carrière politique et de réseaux d'influence. Comment demander à un maire ou un autre élu, qui ne nous représentera que pour une infime partie de ce que nous sommes, de trouver des solutions dans une France aussi clivée : les assistés "totaux" de la république qui dépensent sans contrôle et n'ont aucun notion d'argent ou d'éducation quel qu'elles soient mais qui reçoivent suffisamment de l'état et de leur travail dans le meilleur des cas, pour pouvoir continuer ce rythme, et qui finalement se débrouillent bien. Les assistés qui ne s'en sortent pas, les laisser pour compte, qui ne font pas partie des bons réseaux pour être informés de leur droit et de ce qu'ils pourraient recevoir...ou qui ne souhaitent pas être assistés! Et le pékin moyen, qui travaille dans le privé, est assisté grâce à ses allocs familiales de base grâce à ses enfants, qui gère, éduque, bosse et n'a donc pas le temps d'étudier tous ces systèmes d'assistanat public, auxquels il n'a souvent pas le droit, qui coûtent à la communauté et pour lequel il est largement taxé car il a un salaire raisonnable, mais mérité à priori, et pas d'avantages particuliers liés, qui est aux 35h car c'est la loi, mais qui en fait bien plus car c'est la réalité du besoin de l'entreprise et de l'aboutissement de beaux projets...et qui finalement au taux horaires est moins payé que tous ces gens qui manifestent chaque année et à qui nous donnons toujours plus. Le pékin moyen va finir par détester l'assisté, ne plus pouvoir lui parler tant le décalage de responsabilité, d'habitudes et d'éducation est grand. Quand remet-on chacun en face de ses responsabilités? Que fait-on pour accompagner les pauvres "réels"? que fait-on pour contrôler la gestion de l'argent distribué, accompagner les familles qui profitent du système de solidarité vertueux, mais sans éducation au budget et à la dépense? Que fait-on pour sécuriser financièrement et dans le temps, les femmes, qui jusqu'à nouvel ordre portent les enfants, mais aussi sécuriser les femme et les hommes qui accompagnent ces enfants pour ne pas qu'ils deviennent des assisté complets et qu'ils prennent leur place dans la société ainsi que leurs responsabilités. Cette mission naturelle, choisie et pour autant citoyenne, de parents est chronophage et pas que dans les 3 premières années de vie de nos bambins, mais bien aussi jusqu'à ce qu'ils s'"assument" et bien après. Quid des interruptions ou ralentissement de carrière, des difficultés liées aux multiples rebonds inhérents à cette mission quand on choisit de consacrer une partie de son temps de travail effectif (1 ou 2/5) à cette belle mission citoyenne d'éducation et d'écoute des enfants pour les faire grandir le plus sainement possible? Quelles compensations financières ou quelle reconnaissance? Quelle sécurité pour nos vieux jours? Aucune. C'est flippant. Et mon maire n'est absolument pas en capacité, naturelle, intellectuelle et n'a pas le temps, de comprendre et prendre en compte ce type de demande, et encore moins à les faire remonter. Pourtant j'ai bien l'impression que c'est un point primordial pour une majorité de la population qui ne prendra jamais le temps de se fédérer, de râler sur les rond point ou dans la rue, car trop respectueuse de son travail, de l'espace public et de la liberté de chacun de vivre et circuler librement en France. Et trop effrayée à l'idée de récupération politique ou idéologique de quelque sorte que ce soit, féministes, syndicalistes, politiques...
Oui
Surement pas aux syndicats qui ne représentent qu'une toute petite partie de la population et le font de manière négative.
Du temps. des réponses et actions liées aux demandes faites par les citoyens et non en fonction de leurs propres idées, des travaux collaboratifs...Mais quand? les journées ne font que 24h. Que les élus se souviennent de leur vie 100% salarié, de leur vie à la maison. Qu'ils viennent dans les foyers...mais pas seuls...et quand? Qu'ils soient eux-même écoutés et entendu ensuite. Qu'ils se concentrent sur l'essentiel.
Une bonne chose
J'ai une impression de cumul d'indemnités quand vous posez la question... Quand les indemnités ou salaires de ces élus seront rendus raisonnables et corrélés à la réalité économique du pays...peut-être cela sera-t-il raisonnable et logique de cumuler des mandats, force de frappe (chance d'être entendus) et d'influence plus grande pour un territoire?
Je n'ai pas de solutions...que les différentes sensibilités politiques ne soient pas stigmatisées. Les premiers à le faire étant au gouvernement...du respect.
Non
None
On n'a plus envie d'aller voter, mais on y va quand même... Je ne me sens pas représentée...mais n'est jamais tentée de me présenter non plu :)...trop complexe et monde à part...image du monde politique comme d'un monde de requins arrivistes dangereux.
Oui
None
Des référendums pourquoi pas....mais s'ils sont organisés de manière neutre et réprésentative...pas comme ND des landes où la Loire atlantique a pu voter....le nord Loire donc...alors que les autres dpt concernés n'ont pas eu leur mot à dire...une ineptie, étant donné l'économie et l'activité locale, mais aussi étant donné les flux de populations journaliers (et encore je n'ai pas participé aux études...). Heureusement que l'aéroport n'est pas passé au nord de la Loire...sur le plan environnemental...c'est pas terrible de toute façon...lac de st philbert ou ND des landes. Bref, référendum...mais sans prendre les citoyens en otage ou pour des imbéciles. J'ai le sentiment que les représentants syndicaux ou chambres consulaires ou autres assos. ne représentent qu'une infime partie de la population et de l'économie (ils ont leurs propres intérêts également en premier plan et c'est humain) et ont pourtant un pouvoir, une influence incroyable dans les prises de décision...
Je ne sais pas
None
Consultations en ligne? Mais ne pas systématiser... c'est à l'état de gérer en "bon père de famille"...quand il n'y a pas de sous...on fait attention à tout. on peut investir dans des valeur relativement sures, si on a de quoi le faire...mais le budget quotidien doit rester maîtrisé, raisonnable et l'état et les collectivités sont garantes de cela en principe...sinon à quoi bon toute cette organisation et à quoi bon payer autant de fonctionnaires et élus qui sont sensés nous représenter et gérer l'argent public?
Rôle de prise et redescente d'Information (concise et claire - pas comme mes commentaires :)) et de décision. D'ailleurs il serait super que toutes ces institutions parlent français (et pas administration française) et simplifient (pour de vrai cette fois-ci) toute les démarches et formalités quelles qu'elles soient en France (à titre individuel, associatif, entrepeunarial...). Nous nous comprendrons et le fossé se réduira de fait, déjà si nous parlons le même langage....ce qui est très très très loin d'être le cas...cela devrait être faisable...vous n'êtes pas dans une société différente ni dans un autre pays. Alors pourquoi ne pas essayer de vous mettre à notre portée avec notre vocabulaire (celui de tous les jours pour vous j'imagine quand même...). je vous accorde que mon raisonnement est simpliste...mais un peu de réalisme et de simplicité est peut-être ce qu'il manque aujourd'hui à tous ceux qui sont la tête dans le guidon ou noyés dans leurs idéos, ou noyés dans leurs ambitions persos.
None
Surement les faire évoluer, mais il faudrait travailler sur le sujet pour savoir comment
La Laïcité est pour moi la liberté de croire, et de vivre ma religion en France en accord avec son histoire, ses valeurs et sa population, en ayant le respect des autres. Les différentes religions cohabitent de mieux en mieux en France et ont des relais identifiés pour travailler ensemble. Sur la question des relais l'islam a un relais qui ne représente visiblement pas les musulmans de France...il n'y a pas de vision globale et maîtrisée de cette religion en France, contrairement à toutes les autres. C'est un problème qui entraîne confusion, doute, peurs et stigmatisation
L'éducation, dont je parle depuis le début. A commencer pas l'éducation au respect de l'autre et à l'ouverture à l'autre. Tant que les enfants seront seuls chez eux, ou livrés à eux-même dès le plus jeune âge, voire dans la rue..Mettons en place des dispositifs pour inciter un parent à lever le pied et garder un peu plus de temps, pour être présent avec les enfants, les éduquer, les informer, les cadrer, leur interdire etc...(oui c'est pas facile...pas plus que certains jobs). que fait-on avec les parents qui se disent "débordés" avec leurs enfants? (Comment fait-on nous? on assume et on fait, certes pas parfaitement, mais on fait). Cette responsabilité de parent ne devrait elle pas être plus encadrée, contrôlée, voire sanctionnée? Evidemment je pense déjà aux dérives...et c'est sans doute utopiste comme raisonnement, mais tellement basé sur la réalité...qu'il faudrait travailler dans ce sens. En amont. Et sécurisons l'avenir de ces personnes qui donnent de leur temps au service de leurs enfants, souvent au service des enfants des autres aussi d'ailleurs. Valorisons cet acte citoyen (je parle évidemment aussi pour moi.). Je pense à ces parents également d'enfants handicapés ou malade qui eux sacrifient encore bien plus. Là il y a de vraies inégalités qui se creusent suite à un évènement malheureux. En matière de religion, que fait-on quand nous entendons des parents renforcer la haine de l'autre auprès de leurs enfants ou des musulmans empêcher leurs enfants d'écouter un prêtre parler de Jésus ou d'Amour sous des prétexte de bien/mal ou pire de communautarisme idiots (vécu en début d'année)? Personne n'ose intervenir, sur de petits propos ou gestes, car "ce n'est pas grave" ou parce qu'il a peur de l'autre...jusqu'à ce que cela devienne plus grave un tout petit peu plus tard car les habitudes sont prises et les enfants mal aiguillés.
Ménager du temps pour cela. Valoriser d'un manière non financière cet engagement? mais pas sur que cela soit une bonne idée
Reprendre les bases très tôt à l'école (partout et par tous) et sanctionner dès que les bases ne sont pas appliquées. A l'inverse des systèmes de récompenses doivent être mis en place. Offre de bons points, images, photos, de formations, de stages artistiques ou autres. Coéduquer avec les parents autant que possible. Le parent doit être partie prenante et pas responsable de l'acte de son enfant au moment où celui-ci est sanctionné pour irrespect. Charte du respect dans la rue, l'école, les transports etc... hier j'ai pris le bus à Rennes où j'étais pour le travail : moins d'une personne sur deux montant dans le bus disait bonjour au chauffeur... Donc le bonjour, au revoir M, Mme, SVP, merci, je vous laisse ma place, je vous laisse passer devant moi car vous êtes plus agés, une femme ou autre critère plus perso...car j'ai envie de vous faire plaisir, sourire, parler à l'autre dans les transports,promouvoir l'extinction des portables dans la rue ou les transports. Il existe des initiatives dans ce sens, mais il faut absolument les démocratiser. Arrêtons d'avoir peur d'être respectueux, polis, courtois et exigeants avec nos pairs.
Accepter que les adultes fassent des remarques à un enfant qui ne respecte pas...même un grand. et oser reprendre l'autre. Créer des campagnes de pub? organiser des ateliers d'échanges et de jeux sur le sujet
Dédier du temps
En dehors de celles citées au dessus Bousculades Crachats Ordures par terre Incivilités au volant Sanctions et récompenses...mais comment?
Sanctions minimes mais claires et annoncées sur le pouvoir d'achat peut-être
commencer par soi-même et oser intervenir (en ayant l'assurance d'être soutenu par l'état ou les forces de l'ordre en cas de pépin...ne pas se retrouver accusé de harcèlement ou de remarque déplacée ou je ne sais quoi d'autre...en France aujourd'hui un peur existe de se retrouver de victime à accusé...un comble)
Sexiste et âge (au quotidien dans mon positionnement pro/familial) Exemple édifiant de la chambre d'agriculture il y a qqs années qui a fini par m'envoyer les infos pour une réunion d'information au réseau cession reprise d'exploitations, mais qui refusait au début car j'étais une femme, que je veanis tout juste de passer les 40 ans et que donc je n'aurai le droit à rien...je demandais juste à participer à une réunion d'information...pas à être assisté financièrement à ce stade. La culture de l'aide financière et du non projet si pas d'aide annoncée au départ. la couleur de peau reste de mon point de vue un critère de discrimination blanc noir ou autre d'ailleurs.
l'éducation...
Oui
Au moins des sanctions négatives quand on remarque des comportements frauduleux ou inadaptés. Les allocations sont une chose, mais il devrait y avoir (si ce n'est déjà le cas), des formations budget, priorités, éducation...et un travail obligatoire dans un couple si en couple, Voire des régulations pour certaines familles. il y a urgence de mon point de vue à avoir un suivi renforcé sur ces sujets et une adaptation plus fine à chaque situation. Le paysage concernant ces questions est beaucoup trop flou. Cela n'appelle pas au calme des populations qui vont finir par se taper dessus. cela renforce le sentiment de communautés. Nous avons un sentiment d'argent facile qui agace quand nous ne sommes pas concernés (ce qui est le cas car mon mari a un bon salaire pour le moment....mais pas moi :). Nous bénéficions des allocations non indexées sur le revenu. Je "suis" certes mariée, mais je ne "suis" pas mon mari. Je suis un individu en tant que tel et parfois, j'ai le sentiment que la société l'oubli (Quand il s'agit d’impôts on est un individu, quand il s'agit d'aides financières, on est un couple...j'ai le sentiment d'être le dindon, arrivée à 40ans...et suis un peu inquiète pour la suite quand je vois le sort réservé aux "Anciennes" (et aux Anciens de manière générale)
Compliqué Accueil oui...mais c'est comme à la maison, quand on ne peut plus, on fait comment? Chacun doit accueillir si on accueille. On ne doit pas ouvrir trop grand les portes malheureusement ni à tous. C'est dur à dire. Les décisions doivent être dans le contrôle de l'immigration clandestine, dans l'étude des cas des accueillis, et dans la politique à l'étranger. Agir là-bas et pas que ici...et je n'ai jamais vécu "là-bas", ni étudié le sujet...je n'ai malheureusement pas de réponse pour rétablir la paix et/ou la prospérité dans chacun des pays concernés.
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Education à la langue, aux valeurs, à l'histoire du pays et charte d'engagement à l'adaptation au pays et à la transmission des valeurs du pays aux enfants. Tout cela est déjà fait à minima...trop peu mais cela coûte cher et est difficile à mettre en oeuvre sur le terrain. Imposer un travail, une participation financière minime au bout d'un certain temps.
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Simplification et relais locaux efficaces
Non
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Oui
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Non
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Services des finances publiques
Non
Non
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Toutes de manière générale. Celles pour la création de mon autoentreprise t celles liées à la fiscalité perso ou pro de manière générale
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en fonction de leurs compétences...à voir, mais surement oui S'ils acceptent cette responsabilité ce qui, vu de ma lorgnette, n'a pas l'air si évident
Oui
Point central : Recrutement en fonction des besoins et sur profil, expériences, compétences, motivation, et non plus sur concours ouvert à tous et tout nombre et motivation confondus ou presque. Choix des candidats motivé. Liberté fondamentale de l'employeur et du salarié : Droit au licenciement d'un côté, et liberté de rester ou partir du salarié (privilèges et sécurité actuelle qui empêchent beaucoup de bouger notamment vers le privé quand ils en auraient envie), sans avoir été conditionné à rester à vie dans l'administration au départ (illusion de prison "dorée" qui empêche tout mouvement, toute fluidité, toute efficacité de mon point de vue. Pouvoir aller dans le public et dans le privé en fonction de sa carrière et de sa vie, sans perdre son ancienneté, ses droits à la formation etc...Avoir la possibilité d'utiliser ses droits à la formation avec une OPCA identifiée qui paye derrière et non des heures cumulées pour faire beau.
Attirer du monde en valorisant territoire, métiers et formations des enfants et étudiants dans la région. Que Paris et les grandes villes et les grandes formations de la France délocalisent ou au moins ne discréditent pas ces régions.
Formation suite à fin de CDD multiple : pas d'utilisation possible de mon cumul d'heure de formation car pas d'OPCA pour payer... Formation cadre pour reconversion suite à un super accompagnement de pôle emploi juste avant sa restructuration (cadres rejoignent les agences locales...quel flop...) : une fois la restructuration actée, refus de formation...mis en cause, le budget (un peu cher et ne finance quecomplètement les formations, système d'aide au financement ? non), le fait que je sois cadre (eu de financement cadre car cher et plus le budget sur l'agence en question), la nature de la formation (au coaching, considérée comme une formation à la limite de la secte !?)
Nickel
Pole emploi me propose régulièrement des formations de serriste ou conductrice de tracteur, mais pas de poste ou de formation qui corresponde à ma demande de cadre à temps partiel en industrie agroalimentaire. A leur décharge, il y a peu de poste. Aujourd'hui je suis autoentrepeneur ; c'est compliqué et peu sécurisant. Je reste en veille pour un travail.
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Remboursement et tiers payants qui fonctionnent très bien.
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Plusieurs administrations en interlocuteurs pour la création de mon autoentreprise. Je ne peux pas tout comprendre ou lire. J'ai fait la démarche mais reste très méfiante sur des choses que je n'aurai pas fait ou mal fait. L'administration finances publiques est joignable mais ne prends pas la globalité du dossier perso et pro : compliqué du coup d'y voir clair globalement et de prendre des décisions. De plus par mail si on a pas le temps de se déplacer, le contact n'est pas personnalisé et cela complique les choses et rappels. Par téléphone, ils sont quasi injoignables.
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Il est urgent de réformer et d'en parler car "tout le monde en parle mais personne n'ose en parler"...un peu comme les pbs en entreprise, on en parle dans les couloirs mais pas au moment de la réunion. Cela creuse des fossés encore une fois entre les populations. Là encore pour avoir travaillé dans le public et dans le privé, nous ne parlons pas le même langage, pourtant nous avons une langue française parlée tous les jours qui nous permettrait une harmonisation sur ce point, et une première action pour commencer à combler le fossé.
Votre message a bien été envoyé.