Date de publication : 2019-02-11
Code postal : 27210

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Il faudrait que nos élus diffusent au cours de leurs mandats des documents pour indiquer le niveau de réalisation des objectifs qu'ils ont été évoqués durant la campagne électorale. Cesser de systématiquement critiquer les membres des autres formations politiques, en ne considérant comme bonnes que leurs propositions. Inciter au regroupement des communes pour mutualiser les moyens d’entretien.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Prévoir le retour à l’ISF sur les capitaux, immobilisés dans le seul but de produire des intérêts financiers. Exclure de cet imposition les livrets des petits épargnants (Livret »A », LEL, PEL,…) qui ne peuvent recevoir que de petites sommes.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Prévoir le retour à l’ISF sur les capitaux, immobilisés dans le seul but de produire des intérêts financiers. Exclure de cet imposition les livrets des petits épargnants (Livret »A », LEL, PEL,…) qui ne peuvent recevoir que de petites sommes. En ce qui concerne les indemnités des élus, prévoir une imposition comme pour tous les salariés. En cas de non renouvellement du mandat par les électeurs attribuer une allocation chômage sur la même base que les salariés privés d’emploi. Imposer les sommes ainsi versées aux élus au même titre que le sont celles des salariés. Il pourrait être pris en compte le précédent emploi, avant l’élection, des personnes en cause pour le calcul de l’indemnité de chômage. Ne pas attribuer à toute la famille des réductions sur les transports et autres liés à la fonction élective d’un des membres. Aligner le régime de retraite des élus sur celui des salariés, avec l’attribution d’une somme seulement après l’âge légal de départ en retraite soit actuellement 62 ans.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Revoir les conditions d'attribution des aides sociales, et réaliser des contrôles systèmatiques.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Modifier l’attribution des allocations chômage en forçant les personnes à la recherche réelle d’emploi, ne pas accorder de façon systématique un droit sur une période longue, et le rendre dégressif, incitant la recherche effective d’emploi. Revoir l'attribution des aides aux femmes "supposées seules", tant pour le RSA que pour les prestations familiales.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Mieux financer les services publics, santé, police, justice, éducation par des dotations plus importantes permettant d’avoir plus de personnel et de matériel de qualité.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Pour financer les services publics, santé, police, justice, éducation.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

En ce qui concerne les indemnités des élus, prévoir une imposition comme pour tous les salariés. En cas de non renouvellement du mandat par les électeurs attribuer une allocation chômage sur la même base que les salariés privés d’emploi. Imposer les sommes ainsi versées aux élus au même titre que le sont celles des salariés. Il pourrait être pris en compte le précédent emploi, avant l’élection, des personnes en cause pour le calcul de l’indemnité de chômage. Ne pas attribuer à toute la famille des réductions sur les transports et autres liés à la fonction élective d’un des membres. Aligner le régime de retraite des élus sur celui des salariés, avec l’attribution d’une somme seulement après l’âge légal de départ en retraite soit actuellement 62 ans. Prévoir la nationalisation du réseau autoroutier afin de maîtriser les prix des péages. Affecter de façon stricte les sommes collectées à l’entretien du réseau autoroutier.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les maires sont les plus proches des citoyens et donc sont en mesure de mieux les comprendre. Les communautés de communes ou d'agglomérations permettent de bien synthètiser les besoins dans un secteur géographique, et donc d'adapter les moyens aux demandes exprimées, la région prenant le relai pour la répartition équitable des moyens, en évitant le clientélisme. Mettre en place deux aéroports à 20 kms l'un de l'autre ou des gares TGV en rase campagne, pour satisfaire une personnalité est du gaspillage d'argent publique. ces pratiques doivent disparaitre et ne prendre en compte que l'intérêt général. Ne pas décider la mise en œuvre d’une loi au plan national si seulement une partie du pays est concernée. Dans cette hypothèse il conviendrait de renforcer le pouvoir des régions lesquelles pourraient ainsi prendre les mesures adaptées.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Des associations représentatives de catégories de personnes ou de corporations avec toutefois une forme démocratique de désignation des représentants, ainsi qu'une représentativité importante en nombre d'adhérents.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Que les élus apportent une réelle plus value administrative et de gestion, et non ne se montrer qu'avant les élections. Diminuer de façon drastique le nombre de députés, car ils ne sont visibles, pour la majorité des citoyens, qu’au moment des campagnes électorales et oublient de publier régulièrement leurs actions. Utilité du sénat ? Lorsqu’une loi est votée par l’assemblée nationale elle peut être rejetée par le sénat. Mais alors, un deuxième vote à l’assemblée nationale valide le texte. Dans ces conditions il semble inutile de maintenir une assemblée de ce type, puisque sa position est aussitôt contre dite par la première assemblée. Opacité actuelle des actions du sénat. Il faudrait le supprimer comme celà avait déjà été évoqué par un ancien président de la république.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Pour réaliser un travail efficace il faut s'y consacrer à temps plein. D'autre part, il faut aussi aligner les élus sur les salariés qui eux ne peuvent pas avoir deux emplois à temps plein en même temps. Le cumul des mandats étant aussi le cumul des revenus, cette situation était malsaine.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Pour les élections il faut, inciter, inviter fortement, nos concitoyens à participer aux votes proposés, mais il ne faut pas rendre le vote obligatoire. Pour faciliter la prise en compte des souhaits sur des thèmes de société variés, le recours au référendum doit se mettre en place. Il doit l’être également de façon régulière pour des questions importantes, qui seront soumises aux citoyens quant à l’orientation à prendre. Toutefois la liberté individuelle restant fondamentale, le maintien des droits acquis tel que l’IVG, le mariage pour tous ne peuvent pas faire l’objet de référendum, c’est la liberté de chacun qui serait remise en cause, et ce serait discriminatoire.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Eliminer les différentes strates administratives ou pour un même projet il peut y avoir des financements de l’Europe, de l’état, de la région, du département, des communautés de communes, et des communes. Dans ce cas il faut pour un même projet, élaborer plusieurs dossiers présentant des variantes selon les services auxquels ils sont adressés. On multiplie donc les interlocuteurs et de ce fait également les délais d’octroi des crédits. La multiplication des interlocuteurs n’apporte aucune plus-value au projet. Il deviendrait ainsi possible de mutualiser les services, et donc d’en diminuer le nombre. Ne pas décider la mise en œuvre d’une loi au plan national si seulement une partie du pays est concernée. Dans cette hypothèse il conviendrait de renforcer le pouvoir des régions lesquelles pourraient ainsi prendre les mesures adaptées. Diminuer de façon drastique le nombre de députés, car ils ne sont visibles, pour la majorité des citoyens, qu’au moment des campagnes électorales et oublient de publier régulièrement leurs actions.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Pour les élections il faut, inciter, inviter fortement, nos concitoyens à participer aux votes proposés, mais il ne faut pas rendre le vote obligatoire. La démocratie c’est le respect du choix de chacun d’entre nous, y compris dans le vote. Par contre le citoyen qui se déplaçant aux urnes y dépose un bulletin blanc, ce vote doit être intégré au résultat et un élu qui l’est aujourd’hui par la négation des bulletins blancs ne devrait pas l’être demain. Le bulletin blanc est l’expression d’une non représentation des souhaits de citoyens. Si des bulletins blancs sont majoritaires lors d’une élection il ne peut pas y avoir d’élu. Il faudra recourir à un second vote tel que décrit ci-dessous.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

La démocratie c’est le respect du choix de chacun d’entre nous, y compris dans le vote. Le citoyen qui se déplaçant aux urnes y dépose un bulletin blanc, ce vote doit être intégré au résultat et un élu qui l’est aujourd’hui par la négation des bulletins blancs ne devrait pas l’être demain. Le bulletin blanc est l’expression d’une non représentation des souhaits de citoyens. Si des bulletins blancs sont majoritaires lors d’une élection il ne peut pas y avoir d’élu. Il faudrait alors recourir à une nouvelle élection, sur la base d’un débat citoyen qui s’instaurerait dans la circonscription électorale. Les aspects évoqués devraient être pris en compte et sur cette base provoquer une nouvelle élection intégrant les thèmes soulevés, majoritairement par les citoyens. Pour ce second vote il ne serait plus tenu compte des votes blancs puisque le débat aura tranché démocratiquement des sujets à traiter. Dans ce cas l’association de citoyens tirés au sort, comme c’est le cas en matière judiciaire, doit garantir une impartialité des conclusions apportées par le débat, puisque l’assemblée démocratiquement aura défini les orientations.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Il faut, comme en matière judiciaire, tirer au sort des citoyens pour participer à des débats d'orientation sur différentes questions d'actualité. La désignation des citoyens doit être faite par tirage au sort. Si une personne ne peux pas se présenter, elle pourra être de nouveau tirée au sort, si elle n'est pour cette seconde fois pas disponible elle deviendra exclue des prochains tirages au sort. Pour faciliter la prise en compte des souhaits sur des thèmes de société variés, le recours au référendum doit se mettre en place. Il doit l’être également de façon régulière pour des questions importantes, qui seront soumises aux citoyens quant à l’orientation à prendre.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Le RIP doit être plus facile à mettre en oeuvre pas uniquement par les élus. Il doit être possible pour des citoyens de proposer ce type de vote sur la base d'une liste de signatures de citoyens qui s'identifieront de façon claire pour un sujet précis. Il faut que le nombre de citoyens demandeurs soit au minimum de 5 à 10 % des électeurs inscrits sur les listes électorales.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Réaliser des référendums sur la base des professions de foi des élus, afin de bien mesurer l'adhésion des citoyens aux actions engagées. Ensuite en cours de mandat présenter les bilans d'étape et demander de façon claire la suite à engager sur la base de propositions qui seraient soumises lors de ces consultations.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Utilité du sénat ? Lorsqu’une loi est votée par l’assemblée nationale elle peut être rejetée par le sénat. Mais alors, un deuxième vote à l’assemblée nationale valide le texte. Dans ces conditions il semble inutile de maintenir une assemblée de ce type, puisque sa position est aussitôt contre dite par la première assemblée. Opacité actuelle des actions du sénat. Il y a trop de commissions qui débattent de sujets parfois bien dérisoires. L'assemblée nationale doit étudier les différents sujets directement et se faire aider si un sujet est complexe par une commission qui serra constituée parmi ses membres et qui en fin de travail lui donnera son rapport pour un vote de décision en séance plénière.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Dans le système actuel le sénat n'a pas d'utilité. Il faut le supprimer, maintenir l'assemblée nationale comme seule assemblée citoyenne représentative.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

IL est indispensable de maintenir la séparation des églises et de l'état. Toutes les administrations et les services publics, y compris ceux qui sont concédés à des entreprise privés, doivent bannir les liens de quelques natures qu'ils soient avec les confessions religieuses. Les religions doivent n'être que du ressort individuel.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

La dégradation des bâtiments publics par des "tags", et la casse des équipements communs tels les abris bus.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Mettre en place plus de vidéo surveillance et punir de façon plus éducative les casseurs, en utilisant des travaux d'intérêts généraux.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Le non respect du bon sens sur la route, avant même celle du code de la route.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Des travaux d'intérêts généraux, pour monter aux bénéficiaires d'aide de solidarité que ces indemnités qu'ils perçoivent proviennent des impôts et donc son le produit d'efforts de contribuables actifs ou retraités.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

L'immigration doit répondre à un besoin pour le pays et produire une plus value, comme certains pays le pratique tel le Canada.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Le droit d'asile est un principe humanitaire. Mais il faut bien s'assurer de la réalité de la demande. Il faut aussi s'assurer que le nombre de demandeurs soit en rapport avec nos capacités, et nos besoins dans la société.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Obligation aux demandeurs d'asile de bien justifier leurs demandes. Obliger, les demandeurs, au respect des valeurs de la république, faute de s'y conformer l'expulsion doit être prononcée, sans retour possible sur le territoire.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Eliminer les différentes strates administratives ou pour un même projet il peut y avoir des financements de l’Europe, de l’état, de la région, du département, des communautés de communes, et des communes. Dans ce cas il faut pour un même projet, élaborer plusieurs dossiers présentant des variantes selon les services auxquels ils sont adressés. On multiplie donc les interlocuteurs et de ce fait également les délais d’octroi des crédits. La multiplication des interlocuteurs n’apporte aucune plus-value au projet. Il deviendrait ainsi possible de mutualiser les services, et donc d’en diminuer le nombre.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

Les collectivités sont déjà en charge de beaucoup de missions mais n'ont pas reçu les moyens de les assumer, des transferts sont toujours envisageables mais il faut y joindre les moyens réels d'y faire face.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

None

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Dans les communes rurales il est utile de revoir l'accès aux professionnels de santé. Ne pas être contraint en cas d'urgence d'être dirigé vers un seul établissement, dit de secteur, mais laisser au patient d'être dirigé ou il le souhaite , bien évidement dans la limite du raisonnable.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Internet est un outil très intéressant, toutefois aujourd'hui on parle de la "5G", mais est -on certain que tous nos concitoyens disposent bien d'un réseau de téléphonie efficace. Il y a encore à ce jour beaucoup de zones blanches, commençons par les faire disparaitre. D'autre part toutes les personnes ne sont pas familiarisées avec internet et la réponse qui consiste à renvoyer ces dernières vers un proche n'est pas très élégante. Il faudrait mettre à disposition des moyens itinérants pour aider les personnes pour lesquelles cette approche de la technologie reste difficile.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

La polyvalence est aujourd'hui mise en avant pour bien des secteurs. Toutefois elle a ses limites et il n'est pas toujours réaliste de confier à une même personne des missions différentes. On peut envisager une orientation des citoyens vers une plateforme commune, mais au niveau de l'accueil il faut ensuite diriger les personnes vers les bons interlocuteurs. C'est à l'image du médecin généraliste mais qui va ensuite adresser ses patients vers le spécialiste pour le bon diagnostique. Nous constatons régulièrement ces faits lorsque nous avons recours à une plateforme d'appels pour une assurance, un opérateur téléphonique, ou lorsque l'on appel le 112 qui selon l'événement redirige l'appelant.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Les services publics ont déserté certains secteurs géographiques au nom de la rentabilité, mais un service public doit en premier lieu être au service du public et non une ligne de dépense dans le budget de l'état. Il en est ainsi des autoroutes, pour lesquels l'état ne maitrise plus rien, mais le "contribuable-usager" de la route paye.La disparition de lignes de chemins de fer contraint bon nombre d’entre nous à utiliser son véhicule. Il serait souhaitable de proposer une offre adaptée aux besoins particulièrement pour ceux qui font tous les jours des trajets similaires domicile travail, par exemple. La mise en place de transports en commun routiers est aussi intéressante si son offre est adaptée aux demandes. L’utilisation d’autocars électriques doit s’envisager.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Il est très difficile lorsque que l'on contacte les administrations centrales, de bien faire valoir ses droits, souvent il faut s'y reprendre à plusieurs rendez-vous pour obtenir gain de cause. Lorsque que l'on adresse un courrier les réponses sont parfois inexistantes.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

L'adaptation d'une règle ou d'une loi peut donner lieu à interprétation selon le secteur géographique. Il faut respecter le cadre juridique mais accepter un peu de souplesse. Par exemple si un véhicule roule à 75km/h et que pour le doubler durant 10 à 15 s la vitesse du véhicule doublant passe à 90km/h, pour revenir ensuite à 80km/h il ne faut pas verbaliser car un dépassement lent respectant les 80 s'avèrerait plus long et donc plus dangereux. De même un amis c'est fait verbaliser pour défaut de carte grise alors que le policier avait vérifié que mon ami était en règle et lui en a fait part. Néanmoins mon ami c'est vu infliger une amande de 134€, c'est sans aucun doute, là, un abus de pouvoir!

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Dans toute chose il y a la règle et l'esprit de la règle. Il est utile de considérer à priori que l'usager respecte la règle et qu'il n'a pas obligatoirement voulu contrevenir. Cela est particulièrement vrai en matière fiscale, si vous pensez devoir moins payer d'impôts et que vous calculez un versement plus faible mais en deçà de la réalité il est navrant de s'entendre dire qu'il y aura une pénalité de 10% sur la différence, et dans ce cas il ne s'agit pas d'optimisation fiscale comme certaines personnes fortunées peuvent en bénéficier. Faire en sorte que l'usager des services publics que nous sommes tous soit aidé et non suspecté.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Etre plus proche des citoyens en réalisant des déconcentration de service, et non des regroupement comme cela se produit pour les services hospitaliers, la police, la justice notamment.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IL est souvent nécessaire de fournir en de multiples fois des documents dont les organismes peuvent déjà disposer et dont la non production bloque l'attribution de la retraite. Il est fréquent de rencontrer des personnes qui ont cessé leurs activité car en ayant atteint l'âge légal de départ mais qui ne touche par de retraite alors que les charges subies par ces mêmes personnes sont bien pesantes en particulier concernant l'aspect fiscal.

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Si vous subissez un traitement lourd, lié parfois à des conditions environnementales subies, il est déplorable de devoir payer un euro par boite de médicaments prescrits.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

L’Europe pour permettre à ses pays membres d’être concurrentiels, doit se structurer en une fédération comme le sont les Etats Unis d’Amérique, ou la fédération de Russie. Ainsi tous les états auraient les mêmes possibilités, les mêmes contraintes, de production. Les lois étant identiques en France, qu’en Espagne, en Roumanie, ou en Allemagne. La qualité y gagnerait pour les citoyens européens avec les mêmes possibilités, mais aussi les mêmes devoirs. La réalisation de groupements européens devrait être mise en œuvre, afin de concurrencer ceux des autres pays de la planète à l’image de la société Airbus, ou tous les acteurs européens participent dans les domaines où ils excellent, donnant ainsi une production particulièrement performante et reconnue. Cette dernière observation s’applique au problème actuel du rail avec les trains à grande vitesse que « l’Europe » se doit par ses compétences réaliser de façon commune. Il faut avoir une vision à long terme, car la création d’un groupement européen, si elle engendre de façon proche un regroupement de moyens, produira à long terme des développements, et donc générera des emplois.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Si la disparition du diesel au profit de l’essence semble intéressante il faut ne pas augmenter le prix de ces deux carburants en même temps. Le transport routier traditionnel doit être revu, car grand consommateur de diesel. Il est régulièrement évoqué le ferroutage, mais bien peu de lignes sont en activité. Il faudrait développer ce mode de transport en créant des zones de rupture de charges dans les grosses agglomérations puis de mettre en place des systèmes de messageries avec des véhicules routiers. Il serait aussi possible d’utiliser de façon plus importante les voies navigables constituées par nos grands fleuves. Là encore un système de rupture de charges est à mettre en place auprès des centres industriels ou commerciaux importants. L‘utilisation du carburant 95E10 n’est pas préconisé par les constructeurs automobile y compris pour des véhicules récents. Il faudrait l’abandonner comme beaucoup de nos voisins européens. Le développement de moteurs propres à hydrogène devrait être incité en mettant en place des stations de distribution dans les réseaux actuels. Les véhicules hybrides essence devraient aussi être incités, ils sont un intermédiaire intéressant avant la généralisation du moteur à hydrogène. Dans ces deux cas les pouvoir publics devraient demander aux constructeurs automobiles de s’orienter en ce sens. Il faut aussi que les véhicules conçus soient compatibles avec les moyens financiers de la majorité de nos concitoyens. Si les voitures électriques sont aussi un moyen de réduire la pollution, il serait souhaitable de diminuer la part du nucléaire dans la production nationale. Développer des sources propres et renouvelables, comme les éoliennes en mer, la force marémotrice, le solaire, en adaptant ces modes de production selon les régions. La disparition de lignes de chemins de fer contraint bon nombre d’entre nous à utiliser son véhicule. Il serait souhaitable de proposer une offre adaptée aux besoins particulièrement pour ceux qui font tous les jours des trajets similaires domicile travail, par exemple. La mise en place de transports en commun routiers est aussi intéressante si son offre est adaptée aux demandes. L’utilisation d’autocars électriques doit s’envisager. La limitation de vitesse généralisée à 80 km/h a aussi été présentée, outre la sécurité, comme permettant des économies d’énergie. Mais il faut bien se rendre à l’évidence qu’elle n’est pas adaptée partout. Certains tronçons permettent des vitesses supérieures sans risque d’accident, et bien souvent ces endroits sont ceux où l’on rencontre des radars. S’agit-il d’une action financière pour l’état ? Il est souhaitable de ne mettre en place que des limitations, intelligentes, compatibles avec la réelle dangerosité et non pas sur des portions très longues en amont puis en aval des zones à risque ou « fleurissent alors les radars ». En ce qui concerne le chauffage des logements privilégier les systèmes base plus appoint dans les immeubles collectifs. La partie base étant en production collective distribution en eau chaude basse température. Cela permet l’utilisation de techniques d’optimisation et récupération de chaleur sur les fumées, avec des échangeurs. Les systèmes avec des pompes à chaleur sur l’air extérieur, sont aussi très intéressants quant à leurs rendements. Inciter la mise en place de pompes à chaleur pour les maisons individuelles, ce système ayant un très bon rendement. L’électricité ainsi utilisée est donc optimisée. Pour les traitements agricoles utiliser des produits basiques non chimiques mais dont l’efficacité est prouvée depuis des années. Réduire de façon drastique les produits chimiques. L’utilisation de « savon noir, de bicarbonate de soude, de vinaigre… » donne des résultats intéressants et sains pour l’alimentation tant humaine qu’animale. Pour que nos entreprises, nos exploitations agricoles soient compétitives avec les pays européens il nous faudrait avoir un système fédéral.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Saisons déréglées et bien mons marquées qu'auparavant. Apparition d'insectes nouveaux (puce asiatique par exemple). Fréquentes odeurs nauséabondes dans certaines zones proches de sites industriels, ou liées à certaines activités agricoles.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Tri sélectif des déchets d'une façon rigoureuse. Limitation de l'usage des produits chimiques pour les activités ménagères, utilisation de produits naturels pour le nettoyage (Bicarbonate de soude, vinaigre, savon noir…) Utilisation de véhicules à essence avec une conduite souple. Pour la réalisation de travaux de peinture utilisation de produits en phase aqueuse, élimination au maximum du "White spirit". Je souhaiterai acquérir un véhicule à moteur propre utilisant l'hydrogène. Toutefois cette technologie n'est que très peu disponible, et onéreuse. Il n'y a en France qu'une dizaine de station délivrant ce carburant. La mise en place de ce type de production devrait être incitée par les pouvoirs publiques auprès des constructeurs automobiles, au niveau national, mais aussi européen. La création des stations de distribution d'hydrogène dans les réseaux pétroliers actuels devrait accompagner cette action. Les véhicules hybrides essence devraient aussi être incités, ils sont un intermédiaire intéressant avant la généralisation du moteur à hydrogène, et actuellement moins onéreux. Dans ces deux cas les pouvoir publics devraient demander aux constructeurs automobiles de s’orienter en ce sens. Il faut aussi que les véhicules conçus soient compatibles avec les moyens financiers de la majorité de nos concitoyens. Si les voitures électriques sont aussi un moyen de réduire la pollution, il serait souhaitable de diminuer la part du nucléaire dans la production nationale. Développer des sources propres et renouvelables, comme les éoliennes en mer, la force marémotrice, le solaire, en adaptant ces modes de production selon les régions. Enfin pour les véhicules électriques il faut aussi que leurs autonomies augmentent de façon importante et que les temps de recharges soient acceptables quelques minutes 10 ou 15 maximum, et non plusieurs heures comme actuellement si l'on souhaite une extension de ce type de transport, particulièrement pour les véhicules individuels.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

La disparition de lignes de chemins de fer contraint bon nombre d’entre nous à utiliser son véhicule. Il serait souhaitable de proposer une offre adaptée aux besoins particulièrement pour ceux qui font tous les jours des trajets similaires domicile travail, par exemple. La mise en place de transports en commun routiers est aussi intéressante si son offre est adaptée aux demandes. L’utilisation d’autocars électriques doit s’envisager.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

En ce qui concerne le chauffage des logements privilégier les systèmes base plus appoint dans les immeubles collectifs. La partie base étant en production collective distribution en eau chaude basse température. Cela permet l’utilisation de techniques d’optimisation et récupération de chaleur sur les fumées, avec des échangeurs. Les systèmes avec des pompes à chaleur sur l’air extérieur, sont aussi très intéressants quant à leurs rendements. Inciter la mise en place de pompes à chaleur pour les maisons individuelles, ce système ayant un très bon rendement. L’électricité ainsi utilisée est donc optimisée.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Mon habitation principale est chauffée en tout électrique. L'incitation des pouvoirs publics, et du fournisseur d'énergie lors de sa construction, piège maintenant le remplacement de ce mode de chauffage. Si l'on souhaite passer avec une pompe à chaleur, il faut repenser totalement la distribution de la chaleur, avec un coût particulièrement prohibitif.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

La mise en place de transports en commun routiers est intéressante si elle est adaptée. Présentement aucun moyen de transport en commun dessert ma commune. La mise en place de lignes d’autocars doit s’envisager. De façon régulière je réalise des déplacements pédestres lorsque je me rends dans une ville pour différentes activités.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le transport à la demande|Le vélo

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Les collectivités locales en particulier les communautés de communes, doivent être moteurs dans cette mise en oeuvre des solutions alternatives de transports. Pour l'utilisation du vélo il faut envisager des pistes cyclables bien sécurisées séparées du flot de la circulation automobile.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Pour que nos entreprises, nos exploitations agricoles soient compétitives avec les pays européens il nous faudrait avoir un système fédéral. Les lois étant identiques en France, qu’en Espagne, en Roumanie, ou en Allemagne. La qualité y gagnerait pour les citoyens européens avec les mêmes possibilités, mais aussi les mêmes devoirs.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La réalisation de groupements européens devrait être mise en œuvre, afin de concurrencer ceux des autres pays de la planète à l’image de la société Airbus, ou tous les acteurs européens participent dans les domaines où ils excellent, donnant ainsi une production particulièrement performante et reconnue. Cette dernière observation s’applique au problème actuel du rail avec les trains à grande vitesse que « l’Europe » se doit par ses compétences réaliser de façon commune. Il faut avoir une vision à long terme, car la création d’un groupement européen, si elle engendre de façon proche un regroupement de moyens, produira à long terme des développements, et donc générera des emplois.