Tout ce qui est déjà fait est satisfaisant
Le peuple souverain doit financer trois prestations servies à tous sans discrimination de race, de sexe, d'âge, de lieu, d'état de santé, de handicap, de sexualité, d'idéologie (religieuse ou politique) : la prestation de gestion de la Nation (financée par un impôt national : finances, institutions, affaires étrangères, défense, sécurité intérieure ), la prestation de service public (financée par un impôt national ou local selon la strate intervenante) et la prestation de protection sociale (financée par la CSG, qui remplacent toutes les charges sociales paritaires ). Les trois prélèvements sont effectués mensuellement et à la source sur toutes les plus-values réalisées par tous les citoyens (personnes morales et personnes physiques) et sans jamais dépasser un maximum de 20% chacun de la plus-value. Les plus-values sont : - les salaires, indemnités, avantages en nature des personnes physiques - les bénéfices après investissement des personnes morales lucratives (entreprises) - les successions et les dons perçus par les personnes morales et physiques - les plus-values des ventes et des locations immobilières et mobilières - les gains issus de la chance au jeu Parallèlement, je propose de supprimer toutes les taxes indirectes et de les remplacer par : - une taxe écologique sur la valeur ajoutée de 20%, appliquée sur le bénéfice de la vente ou de la location des biens et services dont l'usage présente un risque scientifiquement démontré pour l'environnement - une taxe sécuritaire sur la valeur ajoutée de 20%, appliquée sur le bénéfice de la vente ou de la location des biens et services dont l'usage présente un risque scientifiquement démontré pour la santé L'impôt direct (somme de l'impôt national et de l'impôt local) et la CSG doivent être progressifs. Un seuil de pauvreté et un seuil de richesse doivent être établis en évaluant le coût d'un panier de biens et de prestations de première nécessité (pour se nourrir, s'habiller, se loger, se chauffer, se déplacer, communiquer, se soigner, se protéger, s'éduquer, se cultiver, s'informer) sur la base du marché de bas de gamme (pour le seuil de pauvreté) et de haut de gamme (pour le seuil de richesse). En combinant ces deux éléments avec le revenu moyen des citoyens (ou le chiffre d'affaires moyen pour les personnes morales), on classe les contribuables en six catégories : - les très pauvres (1% de ceux sous le seuil de pauvreté) sont exonérés d'impôt et de CSG - les pauvres (sous le seuil de pauvreté) sont prélevés à 1% d'impôt (0.5% national 0.5% local) et 1% de CSG - les classes moyennes basses (entre le seuil de pauvreté et le revenu moyen) sont prélevées à 5% d'impôt (2.5% national 2.5% local) et 5% de CSG - les classes moyennes hautes (entre le revenu moyen et le seuil de richesse) sont prélevées à 10% d'impôt (5% national 5% local) et 10% de CSG - les riches (au-delà du seuil de richesse) sont prélevés à 20% d'impôt (10% national 10% local) et 15% de CSG - les très riches (1% de ceux au-delà du seuil de richesse) sont prélevés à 30% (15% national 15% local) d'impôt et 20% de CSG. L'impôt sur la grande fortune (remplacé par une tranche pour les plus riches) et la taxe d'habitation (remplacée par un impôt local progressif selon les ressources) sont supprimés.
Pour moi : les taxes indirectes (voir plus haut)
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail
Toutes les aides sociales devraient être supprimées et remplacées par revenu mensuel de base, égal au seuil de pauvreté plus la moitié de sa différence avec le salaire minimum. Elle serait attribuée après avoir défalqué de cette somme toutes les ressources de la personne : salaires, indemnités, avantages en nature, revenus du patrimoine, pensions de retraite et loyer évité par la propriété d'une résidence principale (sauf si prêt en cours). Le financement des accidents de la vie (retraite, santé) est maintenu.
Avec une indemnité universelle de base, c'est le bénéficiaire qui décide de ses priorités (l'indemnisation du chômage n'existerait plus). La priorité de la Nation doit donc être la retraite et la santé.
Pour moi, aucun service public n'est prioritaire parmi ceux qui satisfont les besoins universels : se nourrir, s'habiller, se loger, se chauffer, se déplacer, communiquer, se soigner, se protéger, s'éduquer, se cultiver, s'informer. La répartition des recettes de l'impôt doit se faire par une requête ascendante et argumentée des ressources matérielles et humaines nécessaires.
En ce qui concerne la retraite, elle doit être organisée de manière à ce que : - tous les citoyens bénéficient d'une durée de retraite d'au moins vingt ans : l’espérance de vie doit être calculée dans chaque corporation, puis des groupes homogènes de corporation doivent être constituée sur ce critère. On défalque ensuite vingt ans de leur espérance de vie et on obtient l'âge de départ dans chaque corporation. - la pension doit être financée par répartition et par capitalisation en fonction des ressources : * pour les très pauvres (voir plus haut) : 100% des dix meilleures années de la vie active, financées à 100% par la CSG * pour les pauvres : 100% des dix meilleures années de la vie active, financées à 90% par la CSG et à 10% par la mutualisation ou la capitalisation * pour les classes moyennes basses : 100% des dix meilleures années de la vie active, financées à 80% par la CSG et à 20% par la mutualisation ou la capitalisation * pour les classes moyennes hautes : 100% des dix meilleures années de la vie active, financées à 70% par la CSG et à 30% par la mutualisation ou la capitalisation * pour les classes riches : 100% des dix meilleures années de la vie active, financées à 60% par la CSG et à 40% par la mutualisation ou la capitalisation * pour les classes très riches : 100% des dix meilleures années de la vie active, financées à 50% par la CSG et à 50% par la mutualisation ou la capitalisation En ce qui concerne la santé, elle doit être organisée de manière à ce que : - tous les citoyens bénéficient d'un financement total de leurs dépenses de santé, lorsqu'elles figurent dans la liste des soins (hospitalisation, médicament, examens médico-techniques, chirurgie, obstétrique, consultation médicale et paramédicale) scientifiquement validés parce que leur service médical rendu est satisfaisant. - le financement doit être financé en fonction des ressources : * pour les très pauvres (voir plus haut) : 100% du coût du soin, financés à 100% par la CSG * pour les pauvres : 100% du coût du soin, financés à 90% par la CSG et à 10% par la mutualisation ou la capitalisation * pour les classes moyennes basses : 100% du coût du soin, financés à 80% par la CSG et à 20% par la mutualisation ou la capitalisation * pour les classes moyennes hautes : 100% du coût du soin, financés à 70% par la CSG et à 30% par la mutualisation ou la capitalisation * pour les classes riches : 100% du coût du soin financés à 60% par la CSG et à 40% par la mutualisation ou la capitalisation * pour les classes très riches : 100% du coût du soin, financés à 50% par la CSG et à 50% par la mutualisation ou la capitalisation
Le député au niveau national, le maire au niveau local, parce qu'ils sont de la même classe sociale que moi (ce qui est sans aucun doute un problème pour les autres citoyens des autres classes sociales).
Oui
Pour moi, il doit y avoir trois personnes morales de la Nation : les associations non lucratives (elles redistribuent la totalité de leurs bénéfices sans rémunérer des dirigeants ou des actionnaires, et se financent partiellement par les subventions), les entreprises (elles ne redistribuent leurs bénéfices qu'après avoir rémunéré les dirigeants et les actionnaires et ne se financent par aucune subvention) et les administrations (elles n'encaissent aucun bénéfice et se financent intégralement par des subventions). Les associations devraient se constituer autour d'une vocation définie dans une liste officielle : exprimer une idéologie politique (parti politique) ou religieuse (culte religieux), aider les humains ou les animaux (les nourrir, les loger, les protéger, les soigner, les informer, les éduquer, les cultiver), aider les artistes et les savants (fondations culturelles), organiser des jeux et des distractions (fédérations sportives, clubs ludiques, festivals, etc), protéger l'environnement, entre autres. Les administrations pourraient passer un contrat avec des associations après un appel d'offres équitable pour leur confier des services publics (par exemple : nourrir et loger les pauvres) tandis que l'Etat ou la Région ou la Commune pourrait leur confier contractuellement une fonction de représentativité auprès de lui (syndicats, associations de consommateurs, de défenseurs de l'environnement, etc) lors de la vie exécutive ou législative du pays.
Que les citoyens puissent adresser plus facilement à leurs élus (par exemple grâce à internet) leurs souhaits de modification de la Loi et que les élus fassent systématiquement un retour, collectif ou individuel. On peut imaginer par exemple une fiche de suivi sur laquelle le suites de la demande du citoyen seraient explicitées et horodatées.
Une bonne chose
Les semaines n'ont que sept jours et les journées que vingt-quatre heures... L'élu représente ses électeurs, qui ne l'ont pas choisi pour qu'il ne leur consacre que la moitié de son temps, voire moins.
Un scrutin à la proportionnelle intégrale à un tour dans les élections des assemblées (nationale, régionale, communale). Lorsque la liste ou le candidat en tête ne dépasse pas 50% des votants exprimés, basculer sur un scrutin mixte : attribuer la moitié des sièges au scrutin majoritaire, puis le reste à la proportionnelle, afin de ne pas paralyser la gouvernance des assemblées. L'élection du président doit rester au scrutin majoritaire à deux tours, afin de garantir que plus de la moitié des citoyens votants exprimés l'ont choisi.
Non
None
Les citoyens doivent être libres de choisir leur destin. Ils auront envie de voter s'ils sont convaincus que ce sera efficace. En corollaire, ils ne doivent pas se plaindre des élus s'ils ne vont pas voter et l'introduction du bulletin blanc doit leur permettre d'exprimer leur souhait de ne pas voter pour les élus qu'on leur propose (voir plus bas).
Oui
Un bulletin blanc parmi les autres bulletins. On proclame ensuite les résultats en indiquant le nombre de bulletins blancs, mais ils ne sont pas comptés pour l'élection. Il s'agit surtout ici de les distinguer des bulletins nuls. Mais on peut envisager de proclamer l'annulation de l'élection si le nombre de bulletins blancs dépasse la moitié des inscrits.
Le citoyen doit pouvoir déposer des recours dans toutes les strates de l'action publique. Toutes les administrations devraient rendre publiques sur leur site internet toutes leurs activités de service public et permettre aux citoyens de signer une pétition de recours, qui induirait l'arrêt de l'activité concernée si la moitié des habitants de la collectivité signe la pétition (par exemple pour les grands travaux, les voies de circulation, les permis de construire, entre autres). Au niveau national, la même démarche pourrait être envisagée auprès du Conseil Constitutionnel ou du Conseil d'Etat pour déposer un recours contre une Loi ou un Règlement. Ces pétitions pourraient être initiées par un citoyen ou par une association non lucrative.
Oui
Dans un premier temps, un référendum pourrait être demandé par les citoyens pour proposer une loi ou pour modifier voire supprimer une loi, sous la forme d'une pétition en ligne par exemple, éventuellement complétée par une pétition papier. Si plus de la moitié des citoyens signe la pétition, le référendum est organisé. La Loi proposée ou les modifications ou la suppression de la Loi déjà existante ne seront acceptées que si plus de la moitié des votants sont d'accord et à condition que plus de la moitié des inscrits se soit exprimée. On pourrait imaginer d'exclure du champ de ce référendum les lois qui exigent de posséder des connaissances très spécifiques à cette Loi. Ensuite, le pouvoir exécutif ou le pouvoir législatif seront tenus d'exécuter cette volonté exprimée du peuple.
Les budgets doivent être rendus publics, accessibles aux associations non lucratives et aux citoyens.. Un recours doit alors pouvoir être déposé (voir plus haut).
Le Sénat a un rôle important car il représente les régions et les communes. Je ne vois pas l'intérêt du Conseil Economique, Social et Environnemental.
Oui
Supprimer le Conseil Economique, Social et Environnemental.
Le principe de laïcité est fondamental car les représentants de l'Etat doivent rester neutres afin de ne pas favoriser une religion par rapport à une autre. mais ce n'est pas une obligation pour les usagers, ne l'oublions pas. Par contre, ces derniers doivent respecter les règles définies pour la vie dans la sphère publique (par exemple, le port du voile intégral y est interdit parce que nous ne souhaitons pas que les autres nous dissimulent leur visage, et non parce que nous le considérons comme un signe religieux).
L'instruction civique est indispensable pendant le cursus scolaire : on doit y apprendre les valeurs de la République selon un programme établi et connu, qui s'impose à tous les établissements scolaires.
Il suffit de donner envie aux gens de s'investir et de ne pas leur opposer des obstacles (notamment financiers ou professionnels).
Toujours promouvoir le respect des autres et enseigner dans le cursus scolaire les comportements tournés vers les autres : le code de la route, les gestes de premier secours, la politesse, la diplomatie, le respect des circuits (déchets par exemple), la limitation des nuisances sonores, les dons aux associations non lucratives
L'instruction civique est indispensable pendant le cursus scolaire, surtout au début. Des personnes du terrain peuvent venir apporter leur expérience aux élèves.
L'engagement citoyen doit apporter avant tout une satisfaction personnelle : les personnes qui s'engagent doivent ressentir une reconnaissance de la part de la Nation.
Essentiellement les incivilités de voisinage et les incivilités de la route. La lutte passe par la prévention (voir plus haut) et puis si elle a échoué par la médiation, puis par la répression.
Les sanctionner, lorsque les possibilités de prévention et de médiation sont épuisées.
Ne pas commettre d'incivilités lui-même...
Les discriminations sont généralement discrètes et déguisées...
L'instruction civique est indispensable pendant le cursus scolaire, surtout au début. Elle doit leur apprendre à respecter les autres lorsqu'ils les respectent en retour sans différence de couleur de peau, de religion, de conviction politique, de handicap, de santé, de vie sexuelle, de sexe, d'âge, de lieu géographique. Des personnes du terrain peuvent venir apporter leur expérience aux élèves.
Oui
Les supprimer et les remplacer par un revenu universel sous le salaire minimum.
La politique de l'immigration est entachée par les lenteurs de l’administration en charge et du pouvoir judiciaire. Il faudrait que dans les six mois suivant leur arrivée, le statut des migrants (asile ou économique) soit défini. L'asile (le migrant figure sur une liste de pays d'origine réputés dangereux pour lui du fait de ses caractéristiques personnelles) induit l'accueil, l'économique (le migrant vient d'un autre pays d'origine) induit le tri. L'Assemblée nationale fixe chaque année le nombre de professionnels dont nous avons besoin et les migrants qui conviennent sont accueillis. Les autres sont raccompagnés avec humanité dans leur pays, quitte à les trier à nouveau s'ils reviennent. Les personnes morales et physiques qui prennent en charge des migrants pour les faire travailler pour eux sans les déclarer doivent être sanctionnées (et pas les migrants). Les personnes morales et physiques peuvent avoir la possibilité de prendre nominativement en charge un ou plusieurs migrants, qui gardent le statut d'ayant-droit de ces personnes qui doivent les héberger, les nourrir, les habiller, les chauffer, les soigner, les transporter, les éduquer, les informer, les cultiver, les éduquer, dans l'attente de l'obtention de leur Nationalité. Un système de "parrainage" peut également être proposé, en collaboration avec une association non lucrative.
Voir plus haut
Voir plus haut
Après avoir été acceptés (voir plus haut), les migrants doivent être intégrés après avoir appris la langue, l'histoire et la géographie du pays, après avoir inscrit leurs enfants à l'école publique et après avoir travaillé pendant au moins dix ans (et pas au noir). Nous pouvons alors leur accorder la nationalité française.
Concernant la citoyenneté : est considéré comme citoyen celui qui paye ses impôts directs et la CSG, quelle que soit sa nationalité, lui-même ou en tant qu'ayant droit d'une personne morale ou physique (mineur, majeur sous tutelle, migrant sous parrainage, personne dépendante). Il peut alors accéder aux services publics et aux prestations sociales. Est considéré comme citoyen français (la nationalité française) le citoyen qui est l'enfant d'un parent français, ou sinon qui est citoyen depuis au moins dix ans et qui a suivi au moins la moitié de son cursus scolaire dans les écoles françaises. Il peut alors accéder aux élections nationales et locales et aux carrières militaires et administratives et participer pour la France aux compétitions et aux guerres.
Pour moi, la Nation s'organise autour de trois fonctions : le régalien (défense, police , justice, diplomatie, finance), le service public (se nourrir, s'habiller, se loger, se chauffer, se déplacer, se soigner, s'éduquer, s'informer, se cultiver, se protéger, communiquer) et la protection sociale (compenser la perte non désirée des ressources) selon trois strates verticales : - la strate de l'Etat (financée par l'impôt direct national et la CSG) qui planifie, décide et contrôle par le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif, mais aussi qui construit et entretient les infrastructures partagées entre ses régions - la strate de la Région (financée par l'impôt direct local et la CSG), qui construit et entretient les infrastructures partagée entre ses communes - la strate de la commune (financée par l'impôt direct local et la CSG), qui propose un guichet au citoyen et qui construit et entretient les infrastructures de sa vie quotidienne sur le territoire de la commune Pour moi, le département et les communautés de communes doivent être supprimés. Les communes doivent être définies par une cellule démographique de base, au-delà de laquelle elle doivent être découpées en arrondissements équivalents et en-deçà de laquelle les petites communes voisines doivent se regrouper afin d'atteindre la dimension démographique de base. Il ne me semble pas souhaitable que les grosses communes s'associent aux plus petites, sauf si ces dernières y tiennent vraiment.
Non
None
Oui
None
Un système de réclamation et de recours contre tous les services publics, avec la possibilité de demander un contrôle sur certains actes publics : les autorisations de construire, la circulation routière, etc.
Non
None
Il devrait pouvoir exister un corps de fonctionnaires "polyvalents" capable de recevoir les citoyens dans une petite commune pour répondre à leurs demandes et démarches du niveau communal mais aussi du niveau régional ou national.
La numérisation
Tous, au niveau de leur relation (au guichet, au téléphone) avec les usagers
Oui
Non
None
Tous les formulaires qu'il faut remplir puis remplir à nouveau lorsqu'on passe d'une administration à une autre... Il faudrait peut-être envisager de créer un "dossier personnel administratif" sur internet (avec toutes les sécurisations nécessaires) accessibles à toutes les administrations selon une procédure d'autorisation provisoire initiée par l'usager.
Non
None
Oui
Je ne comprends pas la raison exacte de l'emploi à vie des fonctionnaires. Je ne comprends pas non plus pourquoi leur rémunération à l'ancienneté n'est pas pondérée par un avancement au mérite, avec toutes les sécurisations nécessaires pour éviter l'injustice et le clientélisme.
L'état et les collectivités territoriales disposent des assemblées nécessaires pour planifier des actions discutées en séance et pour contrôler leur application.
non concerné
non concerné
non concerné
Je n'en suis pas encore là, mais je suis très satisfait de l'état de retraite que nous recevons tous les 5 ans... très bonne idée !
Pas de problème particulier, excepté ceux que j'ai signalés plus haut avec toutes les administrations.
non concerné
non concerné
non concerné
non concerné
non concerné
non concerné
non concerné
Pour moi, la prestation de service public définit une liste exhaustive de missions : nourrir, habiller, loger, chauffer, transporter, informer, éduquer, cultiver, protéger, soigner. A chacune de ces missions doit correspondre un ministère et son ministre. Chaque ministre doit pouvoir planifier sa mission grâce à une administration centrale sous ses ordres, qui construit et entretient les infrastructures nationales nécessaires, puis organise et contrôle (grâce à des agences autonomes délocalisées sur place) la construction des infrastructures locales (dans la région et la commune) nécessaires. Un ou plusieurs guichet(s) spécialisé(s) et/ou polyvalent(s) assurent la communication avec les usagers dans chaque commune, qui disposent par ailleurs de toutes les possibilités de recours souhaitées. Cette mission est d'abord confiée au secteur privé s'il existe et s'il accepte de s'engager dans un contrat à accepter les contrôles de l'autorité publique et le plafonnement de ses tarifs selon les règles du service public (prix sur le marché de moyenne gamme). Sinon, la même démarche est effectuée auprès des associations non lucratives. Si ce n'est toujours pas possible, des établissements publics sont mis en place, avec un Conseil de Surveillance présidé par le maire de la commune, un Directoire présidé par un Directeur Administratif et des praticiens chefs des services responsables de la mission concernée et une Commission Professionnelle présidée par un praticien élu par ses pairs.
La pollution de l'air
Faciliter les activités qui n'émettent pas de substances nouvelles dans l'atmosphère ou qui n'émettent pas dans l'atmosphère des substances qui s'y trouvent déjà dans des quantités qui déstabilisent son équilibre chimique. Pour ce faire, instaurer des taxes indirectes sur les biens et services concernés, soit incitatives, soit dissuasives, mais A LA PLACE des autres taxes indirectes qui pèsent sur ces activités, et non EN SUS de ces taxes.
Non
None
Oui
Ne pas polluer par mes activités personnelles : gérer les déchets, choisir les produits, limiter mes consommations.
J'essaye de ne pas me laisser influencer par les lobbys de l'écologiquement correct, généralement motivés par la politique ou par le mysticisme, jamais par l'intérêt général de l'humanité. Modifier ses comportements individuels ne sert à rien, car il y aura toujours trois fois plus d'individus qui n'adoptent pas les bons comportements et qui rendent donc inutiles les efforts des individus vertueux qui se privent du confort et du plaisir pour rien. Si des produits ou des comportements sont néfastes, il faut les interdire par la Loi et les sanctionner par la force publique, après avoir démontré leur caractère néfaste par des études scientifiques sérieuses : expérimentation en double aveugle contre placebo, démonstration systématique de la relation de cause à effet, pas de modélisations informatiques (facilement manipulables), pas de mesures qui ne sont pas validées par des métrologues, etc. Lorsque c'est possible, on peut aussi ne rien interdire mais recourir aux taxes indirectes (voir plus haut).
Lorsque le changement est uniquement comportemental, il faut interdire et sanctionner (voir plus haut). Lorsque le changement induit un changement dans le choix des biens et des prestations, il faut inciter au changement par les taxes indirectes (les biens et prestations les plus vertueux doivent être les moins chers) et si nécessaire pour les classes les plus pauvres, leur acheter les biens et équipements totalement ou partiellement, avec l'argent des impôts nationaux ou locaux selon les cas.
Oui
Ce n'est pas moi qui décide (je suis locataire). Mais si j'étais propriétaire, il faudrait que le nouveau chauffage soit moins cher et plus facile à utiliser.
Oui
Que les transports en commun ou les véhicules en autopartage soit propres, en bon état, avec des horaires qui me conviennent, avec des durées de trajet qui me conviennent, avec des itinéraires qui me conviennent, avec des fonctionnaires agréables et courtois prêts à m'aider.... C'est pas gagné ! Pour le reste, c'est trop dangereux pour moi (voyager avec des inconnus, arriver en sueur à son travail, risquer un accident bien plus grave quand c'est vélo contre voiture).
Les transports en commun
La strate administrative correspondante pour le transport routier, le transport ferroviaire, le transport maritime, le transport fluvial ou le transport aérien
Les instances existent. Peut-être faut-il obtenir uner évolution de leur gouvernance pour qu'elles soient moins paralysées dans leurs décisions.
Il faut garder à l'esprit que la Terre n'a pas besoin d'être sauvée : sa mort est déjà programmée par la Nature. Elle a toujours vécu avec des dérèglements climatiques et des cataclysmes géologiques sans jamais en souffrir. Ce n'est devenu un problème que depuis l'apparition de la Vie qui, elle, peut gravement souffrir de ces évènements. Les espèces apparaissent et disparaissent depuis des milliers d'années car c'est la règle de la sélection naturelle : la biodiversité a donc toujours été présente. L'espèce humaine disparaitra comme les autres si elle ne se transforme pas pour s'adapter. Souvenons-nous que l'Ecologie n'est ni un parti politique ni une secte, mais plutôt une science, qui étudie l'équilibre des écosystèmes avec l'espèce humaine, qui ne peut survivre qu'en les détruisant pour se protéger de la sélection naturelle. Ses conclusions scientifiquement obtenues sont : - que l'espèce humaine doit gérer ses déchets afin de ne pas libérer dans l'air, dans l'eau et dans la terre des substances que la nature ne peut pas éliminer, soit parce qu'elle ne les connait pas, soit parce qu'elle les connait mais qu'elles ne sont pas en quantités absorbables par elle. - que l'espèce humaine doit gérer les ressources qu'elle prélève dans la nature (animaux, végétaux, minéraux) afin de ne jamais en manquer, soit en limitant leur utilisation, soit en les remplaçant par des copies reproduites à l'infini. Affirmer que l'espèce humaine met en danger la planète par ses activités est prétentieux. C'est elle-même qu'elle met en danger. La planète s'en sortira très bien jusqu'à sa mort programmée, avec ou sans l'espèce humaine, et ne disparaitra pas avant. Par ailleurs, sauver l'humanité est moins urgent que sauver les sociétés. La transition écologique est un défi permanent depuis longtemps, mais elle ne doit pas se faire aux dépens des libertés individuelles et de la survie économique des sociétés et de leurs citoyens : d'abord la société (qui peut s'écrouler en quelques dizaines d'années), ensuite l'humanité (qui peut s'écrouler en quelques centaines d'années), après seulement la planète (qui ne disparaitra qu'après quelques millions d'années).
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