Toute l'information voulue est déjà disponible pour qui s'intéresse à ce sujet. Le problème est surtout que les Français veulent du "pré-mâché" et ne font pas l'effort pour rechercher l'information brute. Il font trop confiance aux médias sociaux et n'ont pas la culture du "doute raisonnable". Avant de croire tout et n'importe quoi, il convient toujours de vérifier.
Élargir la base des contribuables (Tout le monde devrait payer un impôt sur le revenu, même minime pour les classes les plus défavorisées) et compenser par une TVA réellement différenciée : une TVA minime (1 ou 3 %) pour les produits de nécessité vitale (pain, fruits légumes produits localement, pâtes, lait, yaourts nature...) ; une TVA faible (5%) pour les produits visant à changer les comportements des Français ou à améliorer leur éducation (voitures hybrides, produits basse consommation électrique, livres, journaux...) ; une TVA modérée (15%) pour les produits de première nécessité (papier toilette, produits nettoyage, vêtements et chaussures hors marques,...) ; une TVA moyenne (20%) pour les produits de confort (plats cuisinés, téléphones, électronique ...) ; une TVA élevée (30%) pour les produits de luxe.
Baisser l'impôt sur les sociétés, différencier la TVA
Augmenter le temps de travail|Il faudrait que l'âge de la retraite ne soit qu'un plancher légal. Ceux qui veulent poursuivre leur activité devraient pouvoir le faire sans problème.
Je ne suis pas expert et n'ai pas d'avis sur ce sujet
Prise en compte des personnes âgées
Aucune. La France est le pays de l'OCDE qui taxe le plus. Le problème n'est pas d’augmenter les impôts mais de changer l'addiction de l'Etat aux impôts.
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Je fais confiance à mes élus aux différents niveaux de responsabilité car ils ont été élus par la majorité des votants. Le problème principal aujourd'hui est le niveau de légitimité des élus lorsque les élections compte un fort taux d'abstention (jusqu'à 70% lors d'élections européennes). Ceci est inadmissible !!
Non
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Il faut une exemplarité des hommes et femmes politiques et surtout que les citoyens n'aient pas l'impression d'avoir affaire à une caste de privilégiés dont l'unique but est d'être réélu pour continuer à se goberger avec l'argent public. Il est triste de constater qu'un président de la République pense, alors qu'on coupe partout les budgets pour économiser, à faire creuser une piscine au fort de Brégançon ou à changer le service de porcelaine de l'Elysée. Les élus doivent être représentatifs de la société dans laquelle ils évoluent et avoir une certaine expérience : - Pour devenir député ou sénateur, il faudrait imposer un ou deux mandats locaux (maire, conseiller municipal, conseiller départemental, conseiller régional) ; - il faudrait limiter les mandats nationaux : 2 mandats maximum de député 2 mandats maximum de sénateur - il faut instituer une limite d'âge supérieure (70 ans) pour exercer une fonction politique. Le métier est exigeant et pour l'exercer il faut être un homme ou une femme de son époque, pas un fossile d'une période révolue. Si l'élu atteint ses 70 ans après la moitié de son mandat, il est autorisé à terminer celui-ci. S'il fête son anniversaire avant la moitié du mandat, des élections anticipées sont organisées.
Une bonne chose
C'est une bonne chose car il est impossible d'exercer un mandat national et un mandat local à 100 %. Mais l'exercice d'un mandat local devrait être obligatoire avant de prétendre à exercer un mandat national (y compris celui de président de la République).
Les dérives partisanes de la IVème République devraient nous avoir guéri des systèmes avec un fort taux de proportionnelle. Nous avons la chance d'avoir un système où l'exécutif peut gouverner avec efficacité. Je ne changerais pas notre système. Ce sont aux formations politiques de s'adapter et de faire des propositions aptes à rassembler le plus d'électeurs, pas au système électoral.
Oui
Les conseillers régionaux et les conseillers départementaux. Même si la réforme de 2015 a réduit les effectifs, il y a encore des efforts à faire, notamment dans les régions et départements les plus peuplés. Le but des élus est de faire remonter des problèmes et de proposer des solutions. Une zone urbaine à forte concentration démographique peut être représentée par moins d'élus qu'une région rurale où les problématiques sont souvent liées à l'éparpillement.
La capacité de voter est un droit mais elle doit aussi devenir un devoir pour éviter les problèmes de légitimité des élus. Il faut que le vote devienne obligatoire sous peine d'amende dissuasive ou de diminution des aides sociales. Quelqu'un qui ne vote pas n'a pas le droit de se plaindre. De même, il est inadmissible que des gens ne sachent pas pourquoi ils votent. Le système éducatif actuel n'est pas en mesure de former des citoyens responsables et équipés intellectuellement pour faire face à leurs obligations. Les élections actuelles sont souvent le résultat de vote de masses ignares manipulées par des tribuns charismatiques. Il faudrait instituer un "permis de voter" équivalent au "permis de conduire" : s'il est criminel de laisser conduire quelqu'un sans formation, il est tout aussi criminel de donner à des individus sans formation le droit de décider de l'avenir du pays. Atteindre l'âge de 18 ans n'est pas un critère suffisant pour décider des affaires de la Nation. Il faut aussi connaître les institutions, le monde de fonctionnement de notre démocratie et avoir suffisamment de bon sens pour savoir déceler les "fake news" et les bonimenteurs. Ainsi un "permis de voter" délivré à l'issue d'une formation et de la réussite à un examen serait le pendant idéal au "vote obligatoire".
Oui
Le vote blanc devrait être pris en compte uniquement lors du premier tour des élections. Si plus de 50% des votes sont blancs, les élections devraient être reportées et organisées avec de nouvelles têtes de listes.
Je ne veux pas d'une démocratie plus participative car c'est la porte ouverte à la chienlit. Si on laisse le simple citoyen décider de tout, c'est le chaos assuré.
Non
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Il faut plus de transparence dans l'utilisation des fonds publics. En revanche, le simple citoyen n'a pas à décider de l'emploi de ces fonds. Sinon c'est la porte ouverte à l'expression des égoïsmes locaux. Les dossiers sont aujourd'hui tellement complexes que le citoyen de base n'est pas équipé intellectuellement pour décider.
Les assemblées doivent être revues dans leurs fonctionnement (avantages des élus, salaires et statuts mirobolants des administrateurs) mais pas dans leur but. En revanche les innombrables comités Théodule (387 recensés au niveau du Premier ministre) devraient être évalués en fonction de leur utilité et de leur apport à la Nation.
Oui
Il faut que les élus aient un statut suffisamment confortable pour ne pas ouvrir la porte à la corruption mais sans exagération (lucrative retraite...). En revanche, il est indispensable de revoir immédiatement les avantages du personnel administratif des assemblées (un salaire d'embauche à presque 4000 euros pour un personnel de catégorie C qui va changer le papier des photocopieuses, c'est indécent).
La religion doit rester quelque chose de la sphère privée. La règle de vie en commun dans notre société occidentale ne peut être remise en questions par des questions religieuses. Ces dernières doivent clairement être subordonnées aux lois de la République. Tout citoyen qui souhaite vivre sa foi de façon absolue doit émigrer dans un pays conforme à ses vœux : Israël pour la confession hébraïque ; Iran, Arabie Saoudite et consort pour la religion musulmane.
C'est la responsabilité à la foi des différentes confessions et de l'Etat. Chaque confession doit faire comprendre à ses coreligionnaires que les lois de la République sont supérieures aux lois religieuses. L'Etat doit sanctionner sans faiblesse les atteintes aux valeurs de la République.
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Oui
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Il faudrait harmoniser au niveau européen des pratiques migratoires cohérentes soumises à la décision des Etats. Il faudrait un statut de réfugié (pour les gens fuyant une guerre) et un statut d'immigré économique (pour les gens souhaitant une vie meilleure). La France et l'Europe ne peuvent accueillir toute la misère du monde mais elles doivent défendre les valeurs qui ont fait leur grandeur (Droits humains). C'est pourquoi les statuts des deux catégories de migrants devraient être bien séparés : - Statut de réfugié : * pas de quotas * liste des pays en guerre révisée chaque année. Le réfugié dont le pays n'est plus en guerre a 6 mois pour quitter le territoire ou poser sa candidature comme immigré économique * accueil dans des camps de réfugiés sur le territoire où, pendant 6 mois, des cours de langue et de civilisation françaises seront dispensés. Au bout de 6 mois, un test de langue et de civilisation permet de contrôler le niveau atteint. En cas de succès, le réfugié peut quitter le camp et trouver à se loger et à travailler. En cas d'échec, deux périodes complémentaires de 3 mois peuvent être accordées pour satisfaire au test. En cas de nouvel échec, après un an de séjour sur le territoire, le réfugié devra trouver des moyens d'existence. * Le réfugié est un invité sur le territoire national. S'il ne respecte pas les lois, il est jugé, et une fois sa peine purgée, il est expulsé sans espoir de retour. - Statut d'immigré économique * Chaque Etat a le droit de fixer des quotas d'immigrés et de sélectionner les personnes dont il a besoin. Un système de points (comme au Canada) sera institué. * Toute demande d'immigration sera traitée dans le pays d'origine. Tout immigré économique tentant de s'infiltrer sur le territoire français sera expulsé sans espoir de retour. * Tout immigré économique doit pouvoir communiquer dans notre langue et connaître nos valeurs. Une période de formation de 6 mois, renouvelable une fois, peut être accordée sur financement public. Au bout de l'année de formation, si le candidat à l'immigration économique ne satisfait pas aux tests de langue et de civilisation, il peut être expulsé sans espoir de retour. * Tout immigré économique qui commet un crime ou plusieurs délits sur le territoire européen sera immédiatement expulsé sans espoir de retour dès sa peine purgée.
Oui et ensuite cela doit être communiqué au niveau européen, le seul apte à gérer la question des migrations dans sa globalité. Il faut éviter l'exemple de l'appel d'air créé par Mme Merkel en 2015 qui a posé beaucoup de problèmes aux pays d'Europe centrale.
Il faut se mettre d'accord au niveau européen sur une politique migratoire et sur des statuts de réfugiés et d'immigrés économiques. Chaque Etat a le droit de définir combien d'immigrés il peut accueillir. Le candidat à l'immigration pour des raisons économiques peut émettre des souhaits quant au pays de destination (3 priorités par exemple) mais son affectation finale dépendra de la situation des Etats eux-mêmes. Si les souhaits n°1 et 2 du candidat à l'immigration ne sont pas possibles à exaucer, soit il va dans le pays du choix n°3, soit il reste dans son pays d'origine et pourra reposer sa candidature l'année suivante avec une bonification.
Voir la proposition relative aux critères d'immigration.
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Le manque d'alternative crédible aux énergies fossiles favorisant le réchauffement climatique, ce qui est à l'origine de tous les problèmes précités.
Favoriser l'investissement dans la recherche pour offrir une alternative crédible aux énergies fossiles. Avant de forcer les gens à acheter des voitures électriques, il faudrait être sûr que le remède ne soit pas pire que le mal (quid du recours aux métaux rares comme le cobalt , le vanadium, l'iridium indispensables pour la production de batteries ; le recyclage des batteries est-il aujourd'hui crédible alors qu'on veut généraliser cette solution) et surtout il est nécessaire que le reste du monde soit prêt à s'engager dans cette voie. Est-il crédible de contraindre par la force 65 millions d'habitants quand 1,4 milliards de Chinois polluent allègrement sans aucune honte ?
Oui
La pollution de l'air a un impact défavorable sur la santé publique ; les dérèglements climatiques renchérissent les coûts des assurances, provoquent une émigration climatique ; l'eau potable se raréfie ...
Oui
J'ai isolé mon logement, changé de chaudière pour baisser ma consommation de gaz, j'ai ajouté à mes robinets des embouts pour économiser l'eau ; j'ai changé ma pomme de douche par un dispositif qui permet de se doucher avec 8 litres d'eau ; ne supportant pas les transports en commun bondés, je reviens de mon travail à pied : 50 mn de marche qui me permettent de décompresser et font du bien à ma santé. Je regrette de ne pas pouvoir aller à mon travail de la même façon car je travaille en costume et n'ai pas le moyen de me doucher sur place.
J'ai beaucoup apprécié le dispositif d'aide pour le changement de chaudière et l'isolation de mon appartement. Cela m'a permis de financer la dépense plus tôt que prévu. Je ne prends mon véhicule que pour des trajets longs ou lorsque j'ai besoin de transporter quelque chose de lourd ou d'encombrant. Je serai ravi de circuler à vélo à Paris mais les pistes cyclables sur la chaussée ou sur les trottoirs ne sont pas adaptées, je ne m'y sens pas en sécurité. J'ai toujours peur soit de heurter un piéton (qui ne font souvent pas attention) ou de me faire heurter par une voiture ou un autobus. Les autorités parisiennes pourraient heureusement aller voir à Copenhague au Danemark pour prendre des leçons.
Il faut qu'il y ait sur le marché une solution alternative qui offre un vrai progrès. Il faut communiquer sur celle-ci pour convaincre les gens, inciter à changer par des aides et une fois le mouvement bien lancé (+50% de la population équipée), on peut passer à la coercition. De ce point de vue, la campagne pour le changement des ampoules électriques à incandescence est un modèle à reproduire.
Non
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Oui
- Créer de vraies pistes cyclables distinctes de la chaussée et des trottoirs. - Changer le mode de fonctionnement des autobus : il n'y a pas d'horaires fixes, certaines lignes sont fermées le weekend. J'ai habité à Prague où tous les tramways et autobus sont réglés sur des horaires fixes. Vous pouvez prendre le bus de 8h05 à votre arrêt. Et toutes les lignes fonctionnent aussi le weekend, seule la fréquence des bus diminue. - augmenter le nombre de taxis dans Paris (prendre modèle sur Londres où les taxis sont nombreux et abordables).
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La ville, aidée par la région pour les financements d'infrastructures et pour l'augmentation du nombre de taxis. Les sociétés de transport en commun.
Avoir une vraie politique crédible et claire fondée sur les meilleures pratiques : il n'y a que l'exemple qui marche. S'inspirer à l'étranger de ce qui fonctionne et former des noyaux durs avec les pays partageant nos valeurs et notre démarche, interdire aux pays ne partageant pas ces valeurs l'accès au marché français par des normes restrictives.
Je veux reparler de la taxe sur les carburants et les primes misérables pour inciter à acheter une voiture hybride ou électrique. C'est une idée idiote car nous n'avons pas encore suffisamment de recul pour savoir si ce type de voitures est vraiment un progrès car les modèles ne sont pas encore complètement matures. Je viens d'effectuer un voyage de 1700 km en voiture, cela m'a pris 15 heures avec mon véhicule diesel. Combien de temps m'aurait-il fallu avec une voiture électrique ? Tant que la réponse ne sera pas : "le même temps", vous ne me convaincrez pas de passer à l'électrique. Vous pouvez effectivement me taxer plus, mais dans ce cas, n'attendez plus mon vote aux élections suivantes. Vous ne pouvez imposer aux gens une nouvelle solution que quand celle-ci est parfaitement maîtrisée et qu'elle offre un vrai progrès : voir l'allusion ci-dessus aux ampoules électriques. Si l'Etat veut vraiment faire passer les citoyens à la voiture électrique, il faut une vraie politique d'accompagnement financier sur le long terme. Par exemple, en fonction des ressources du foyer fiscal considéré, l'Etat pourrait prendre à sa charge 75%, 50%, 25% de l'acquisition du nouveau véhicule électrique tout en faisant pression sur les sociétés automobiles pour proposer des modèles abordables. Pour les foyers les plus aisés, il n'y aurait aucune prime alors que les foyers les plus modestes auraient une prime maximale (75%), les 25% restants étant couverts soit par la vente de l'ancien véhicule, soit par un prêt à 0%. L'idée est d'atteindre la masse critique (70% de la population équipée) avant de passer à la coercition. Ainsi, l'Etat pourrait chaque année provisionner dans le budget une cible à atteindre (ex : 10% de la population). Sept ans après, les 70% sont atteints et on peut obliger les récalcitrants à changer en augmentant massivement les carburants.
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