Augmenter les moyens et élargir la mission de la cour des comptes.
Cesser les systèmes d'aides ciblés sur autre chose que les revenus, ils entrainent des effets pervers d'augmentation des prix qui vont à l'encontre du but (voir l'exemple du logement social).
L'impôt sur le revenu
Trancher dans le lard de la fonction publique. Arrêter les subventions aux associations loi 1901, ce n'est pas le rôle de l'état.
D"abord se poser la question du but de certaines aides. Le rôle des aides n'est pas d'aider toutes les familles à boucler ses fins de mois mais de favoriser les actions en faveur des français, et uniquement eux. D'autre part, il est anormal qu'il y ait autant de RSA, il vaudrait mieux financer des emplois d'utilité publique.
Aucune, la France suffoque sous la charge et cela ne garantit même pas la paix sociale. C'est plutôt la question : où les aides sociales peuvent-elles être allégées qu'il faut poser. Associée à la question complémentaire : à quand la fin du clientélisme ?
Aucune ! Mauvaise question : les dépenses sont déjà trop élevées partout. Mieux gérer et rogner sur les dépenses superflus, c'est là où il faut trouver l'argent.
Concernant la retraite : c'est bien joli de vouloir reculer l'âge de la retraite, encore faut-il que les emplois correspondants à ce recul existent. Quand on voit le chômage chez les seniors, c'est une aberration de vouloir cela. Ou alors, qui paie casse : le patronat veut la retraite tard, qu'il créé des emplois adéquats. Concernant les dépenses de l'état : à quand une sanction possible contre l'état et ses fonctionnaires en cas de mauvaise gestion ? A quand un débat sur le recentrage du rôle de l'état sur ses vraies missions ? Ce qui influera plus que fortement sur toutes les dépenses parasites. Parce que bon, subventionner un club de bouliste, si c'est cela le rôle de l'état, il y a un problème majeur. A quand une vraie action, inscrite même dans la constitution, contre un état qui vit au delà, non de ses moyens, mais de nos moyens à nous, citoyens-contribuables ? Le premier souffle d'un nourrisson et il a déjà une part effrayante de dette publique sur la tête. Encore, ce serait maitrisé, mais non, cela s'amplifie.
Personne, car aucun ne tient son rôle.
Non
En répondant non, on n'a pas le droit de dire pourquoi ? Étrange débat dans ce cas. Totalement opposé à une fausse représentation par des non élus. Délayer les responsabilités et créer de nouvelles niches de parasites sur le dos du citoyen, ce type d'organisme montre sa nocivité plus que son utilité. A preuve les syndicats français qui font franchement honte.
Que les élus soient conscients qu'ils détiennent un mandat du peuple, pas qu'ils croient qu'ils sont là pour pousser leurs idées personnelles, s'auto amnistier, se faire juge de leurs propres errements (sang contaminé par exemple), promouvoir par des lois l'industrie du copain. Dissoudre l'ENA et sa grande pollution de l'état français par une coterie qui n'est pas en phase avec le monde réel. Que les élus fassent leur job et aient le vrai pouvoir : si un haut fonctionnaire intervient pour changer ou stériliser leur action, direction dehors sans indemnités; voire avec risques de poursuites.
Une bonne chose
None
Ce qui est important c'est que tous soient représentés mais que le système reste gouvernable. Au niveau de l'assemblée, il pourrait y avoir deux types d'élus : ceux chargés de représenter leur circonscription, élus à la majorité, comme maintenant et un nouveau type d'élus, chargés de représenter plus largement les territoires, élus eux à une forme de proportionnelle. Pourquoi pas les seconds les mieux placés lors du vote majoritaire ?
Oui
Les maires : il y en a trop. Il faudrait plutôt un délégué pour plusieurs petites communes, avec un accès facile pour les habitants des ces communes aux services de la mairie. A voir aussi au niveau des départements, il y a double utilité avec les régions. Peut-être faire disparaitre les communes et les départements au profit des communautés de communes qui font plus sens.
Informez les gens, écoutez-les et respectez leur choix. Ainsi par exemple, lors du vote sur la constitution européenne, les gens ont été amenés à voter sans vrai débat (le débat politicard lui n'a pas manqué), sans être informé correctement, avec une presse fortement partisane et des députés croyant savoir mieux que leurs élus. Pour au final, contre l'opinion, à ce qu'on se retrouve avec cette fausse constitution quand même. Alors, comme voulez vous faire confiance à des élus qui se trompent ainsi et ne comprennent même pas où ça coince ? Changez, mesdames, messieurs les élus et la participation citoyenne reviendra. Ceci n'est pas une insulte ou une attaque, c'est un fait constaté et le nier c'est en grande partie la cause de nos problèmes.
Oui
Au-delà d'un certain pourcentage, obligation de lancer un débat d'un an suivi d'un référendum destiné à changer les institutions, si ce sont les présidentielles. Au niveau local, nommer un administrateur au lieu d'avoir un élu. Après tout, si les politiques sont nuls, aucune raison que le citoyen en fasse les frais.
Il n'y a pas besoin de grande révolution, il faut que les élus censés nous représenter fassent le boulot pour lequel ils sont élus et payés. Déjà, au niveau de l'assemblée, arrêtez de tout confondre. Les élus sont là pour représenter leurs concitoyens, pas leur parti ou des lobbys. Ensuite faire en sorte que toutes les catégories socio-professionnelles soient représentées. Combien de paysans à l'assemblée ? 1 ! Ensuite que le politique professionnel soit rayé totalement du paysage. Combien de décisions qui sont de l'ordre du copinage de vieux élus, d'auto protection d'une caste ? Pas plus de deux mandats dans la vie de n'importe qui, c'est largement suffisant. Mais pas que, au niveau de l'information, c'est le degré zéro en France, entre les fake news des réseaux sociaux et le journalisme d'opinion, où les faits sont exposés à charge ou à décharge et souvent décontextualisés. Alors que l'information juste et non partisane c'est la base pour pouvoir choisir ces grandes orientations. On peut envisager un référendum sur des choix fondamentaux, une fois tous les quatre ans par exemple. Le débat sur chaque sujet du référendum devant être lancé deux ans avant le vote, de façon à laisser passer les arguments à chaud, souvent passionnels et erronés. En particulier, tout changement constitutionnel ne devrait se faire que par ce biais. Ce qui limite encore l'utilité du Sénat. Par contre, non au référendum style Suisse, c'est trop différent chez eux pour que cela fonctionne chez nous.
Non
"Si oui, comment ?". Question sans intérêt, c'est juste technique. En plus c'est très orienté comme façon de présenter les choses : c'est à répondre au "non" qu'il est nécessaire de développer. Si on ne fait pas confiance au parlement, comment faire confiance au RIP ? Et puis le nom, c'est déjà tout un programme de pierre tombale.
Ce n'est pas un problème de contrôle direct par les citoyens, c'est un problème de contrôle par des institutions adéquates, avec des règles de fonctionnement judicieuses. En exemple, c'est donner pouvoir à la cour des comptes d'obliger l'état à mieux gérer et possibilité de sanctions, voire de poursuites juridiques. Pas seulement au niveau d'une institution, d'un ministère, mais aussi contre une personne si c'est justifié et nécessaire. Des règles de fonctionnement parmi tant d'autres seraient que les dons aux associations faits par l’État rentrent dans les contrôles de la cour des comptes, que ces aides ne soient autorisés que pour les associations réellement d'utilité publique, avec des montants plafonnés, liées à des résultats constatables et vérifiés.
Le CESE est une aberration anachronique, pire qu'inutile. A supprimer d'urgence. A se poser ensuite la question des besoins réels. S'il s'agit d'un conseil au gouvernement, d'autres instances existent, à inclure dans la réflexion sur l'utilité réelle. Ensuite il est anormal qu'une instance non élue soit citée dans une phrase où il est question de représenter la société civile. Donc CESE : zéro rôle. Le Sénat quand à lui a une légitimité limitée, étant soumis à suffrage indirect non représentatif. Point à voir avant de poser la question de son rôle représentatif car en l'état sa suppression est souhaitable.
Oui
CESE : suppression. Sénat : diminution du nombre de sénateurs, mode d'élection plus représentatif ou suppression. Pourrait reprendre le rôle du CESE. De toutes façons, pour ce qu'ils font l'un ou l'autre....
Les principes de la laïcité, tels qu'établis en France, ne semblent pas à revoir. Ce qui est à revoir, c'est la liberté de prêche, à encadrer par des rappels à la loi, voire des condamnations quand le prêche appelle à des violences ou même à des provocations destinées à crisper l'opinion contre une minorité, ce qui entraine le repli sur soi de cette minorité, ce qui rend facilement manipulable. La frontière est mince entre religion et secte, mais néanmoins on peut se dire que ce qui est au bénéfice des gens dans leur ensemble, c'est de la religion, tolérable et ce qui n'est pas au bénéfice de tous, c'est une secte, à éradiquer. Il faut aussi se pencher sur un autre problème, qui est l'aspect hors État de la relation des religions avec les autres composantes de la société et savoir si une forme agressive de prosélytisme est tolérable.
La question ainsi posée est surprenante. Comment faites-vous pour faire respecter la loi ? La réponse est la même. Il y a l'éducation civique et la prison pour ceux qui prônent des discours de violence, y compris contre l’État. Mais peut-être que le problème de cette formulation étrange vient d'une intelligentsia qui oublie ce que sont les fondamentaux et qui se noie dans des considérations pointilleuses.
Moins de nombrilisme de la classe politique. Qui passe par faire virer les politiques professionnels.
Le respect, à tous les niveaux.
Chacun peut y participer, d'abord en arrêtant les hypocrisies. En France on n'a pas de statistiques liées à la religion, à l'origine, etc. A première vue, cela semble louable à un niveau individuel. Au niveau de la défense du groupe, c'est nettement plus discutable, on voit bien sans ces statistiques qu'il y a un lien. Dans quelle mesure, on ne le sait pas vraiment, c'est à chacun son opinion. Comment bâtir des solutions si déjà l'analyse des causes est biaisée ? Certains pensent que savoir ce genre de choses développerait le racisme. Alors que le racisme se base sur l'ignorance justement. Comment nous aider les uns les autres si on ne sait pas qui on aide, ce qui nécessite d’adapter le discours et/ou la méthode ? Ainsi, s'il y a un problème de comportement incivique lié à la religion : qui est concerné, pourquoi, comment faire pour que cela cesse ? Quel est la part de comportement communautariste dans la drogue ? Etc. Il ne faut alors pas s'étonner des échecs successifs des politiques de la ville, du quartier, si on fait sans analyser sainement la base. C'est à l'état d'assumer son rôle, en faisant respecter la loi. Or quand on voit un dealer libre pendant des mois être finalement être appréhendé suite à des pressions fortes des habitants de son quartier, puis être relâché aussitôt, comment l'état peut-il oser demander un engagement quel qu’il soit ? La bonne volonté est toujours là, mais l"action ne suivra pas si les citoyens savent que leur engagement ne sert pas, voire peut les mettre en danger. Si l'état n'est en mesure d'assumer ce rôle, qu'il passe la main mais que ce soit clair, pour que les citoyens puissent prendre les mesures nécessaires. Solutions : que l'état informe de la réalité du terrain et tienne son rôle.
Bien faire comprendre au personnel des administrations qu'il est au service du citoyen et non l'inverse. Un système de notation de la relation serait le bienvenu, avec effet réel sur la rémunération.
L'agressivité, dans la rue ou de la part de certains conducteurs. Pour arrêter cette incivilité, il y a deux moyens qui marchent bien si on le fait réellement (et non pas seulement dire qu'on le fait...) : l'éducation et la sanction. Une vraie sanction, genre directement une amende laquelle, si elle n'est pas payée mène à la case travaux d'intérêt général.
Éduquer, sanctionner et ne pas tolérer. Ce qui nécessite des moyens qu'on peut trouver en arrêtant de subventionner n'importe quoi.
Le citoyen est ligoté dans son action : s'il agit cela va apparaitre comme un comportement déplacé, on lui dira de laisser faire la police. Si on demande à la police, elle va dire que ce n'est pas son rôle, elle renverra au politique. Lequel revient vers les citoyens en demandant "Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?"... Pardon du peu, mais il n'y aurait pas UN VRAI et très réel problème dans votre façon de poser les questions et de voir les choses ? Après, s'il y a un manque de communication entre citoyens et classe politique, faut pas chercher. Les élus sont là pour quoi au juste ?
La discrimination anti-français qui est d'autant plus pénible à supporter que certains veulent la nier en arguant d'une soit-disant responsabilité. Comme si, à titre personnel, les agissements de personnes n'étant ni ancêtres, ni même de même profil social devait marquer à tout jamais d'une pierre d'infamie. Si ce n'est pas du racisme de base, c'est quoi ? C'est d'autant plus répugnant que c'est de la part de personnes qui ont fait le choix de rester, tout en crachant à la figure des accueillants.
Faire respecter la loi pour tous. Vraiment tous.
Oui
Le respect de la loi, des autres. La recherche effective d'un travail. En attendant un travail, participer à des travaux d'intérêt local, ne serait-ce que pour le lien de socialisation. L'apprentissage de la langue française, des cours d'éducation civique, etc.
La situation de l'immigration manque de transparence mais elle est plus subie que choisie, semble t'il. Donc le premier critère pour se déterminer en matière de politique migratoire : de l'info, de la vraie.
Pour l'immigration ordinaire : établir des quotas, de façon à ne pas, comme c'est le cas à l'heure actuelle, déstabiliser la nation par l'afflux dune population différente trop importante, ce qui a tendance à communautariser et à favoriser des revendications en contradiction avec les valeurs de la majorité déjà en place. Ces quotas doivent être d'origine géographiques, cultuels et culturels, et tendre à rétablir dans un premier temps un équilibre vers des valeurs partagées par la majorité; ce qui diminuera des tensions inutiles. La dimension culturelle doit comporter le français, dont la connaissance doit être privilégiée, ainsi qu'un bagage professionnel permettant l'accès aux emplois ouverts en France. L'aspect comportemental est important, les personnes qui ne comprennent pas que ce n'est pas un du mais un privilège très important, n'ont rien à faire en France. Renvoyer systématiquement, avec prison pour les récidivistes, les immigrants clandestins. Condamner extrêmement durement passeurs ou soutiens, y compris ONG.
Pour l'immigration de réfugiés climatiques : cela va poser de très graves problème. Il faut envisager de changer de braquet; exemple un peu déjanté : réquisition de zones entières dans les coins désertiques de la France, avec établissement de villages de personnes de même origine, auto gérés, avec une agriculture locale, sous une administration transitoire à définir, qui serait sous la dépendance de l'état français mais dont la responsabilité locale dépendrait des chefs locaux, avec une police locale. Cela pourrait être des enclaves à l'intérieur du territoire français, avec un droit de circulation dans le territoire national limité aux personnes ayant fait la preuve de leur attachement à la République, par apprentissage de la langue, par respect des lois, par serment de fidélité, par suivi de cours d'éducation civique, etc. Pourquoi ce type de solutions ? En cas de réfugiés climatiques, il est dans le probable que cela soit durable et massif, il faut donc penser en termes d'années, de dizaines d'années, sur des populations importantes, ingérables si elles ne se prennent pas en main. Il est aussi nécessaire d'exposer progressivement les réfugiés et les français les uns aux autres, sous peine d'un phénomène de rejet. En établissant des enclaves dont seuls les citoyens civiques pourraient sortir facilement, cela permettrait une acclimatation progressive et un pas vers la citoyenneté française, avec une représentativité élargie progressivement. Si on faisait comme on fait maintenant, on se retrouverait avec les mêmes problèmes multipliés par 100, sans avoir nos moyens multipliés par 100, loin de là ! D'autant que si on en arrive là niveau climat, la France risque d'avoir d'autres problèmes à traiter en parallèle. Ce n'est pas un problème d'un avenir lointain, le réchauffement climatique est là et c'est malheureusement un phénomène auto amplificateur qui va et ira de plus en plus vite. Plus de professeurs de français, de médecins, d'infirmières, de policiers, de militaires, envisager des hôpitaux mobiles, un renforcement judiciaire, etc, etc. Se coordonner entre pays européens, mais cela, c'est encore un autre problème.
La solution la plus juste doit être pour l'ensemble des citoyens. Cela veut dire que le réfugié qui désire rester en France doit en accepter les règles, totalement et sans restrictions. Ce n'est pas un citoyen, il doit gagner ce droit, par la connaissance ou l'apprentissage du français, par le suivi de cours d'éducation civique et social, par respect des lois, des autres, par la connaissance d'un métier utile. Tout cela soumis à vérifications, examens, il ne faut pas que cela soit un vœu pieux. Il faut arrêter de voir le réfugié comme un assisté permanent : il doit montrer sa volonté à s'intégrer et à prendre sa vie en main. En cas de double nationalité, il faut qu'il fasse un choix : français ou pas, il n'y a pas l'option francomachin au menu. Il peut être autorisé à demander la nationalité à condition que ces critères soient remplis.
Sur les "gilets jaunes" : le mouvement est multiforme, mais ce qui est choquant dans toutes ses composantes c'est le déni du vote démocratique. : que l'on ait choisi ou pas le candidat Macron comme Président de la République, c'est un choix qui s'est fait dans les règles. La violence n'est alors dans ces conditions, ni légitime, ni même compréhensible. En tant que démocrate, je me sent gravement insulté par ces casseurs qui semblent pour la plupart impunis. Concernant le journalisme en France : il existe des aides à la presse, ce depuis fort longtemps. A une époque c'était légitime, pour favoriser le pluralisme. Force est de constater que ce pluralisme n'existe plus, noyé par une majorité de journalistes de même tendance (80% du même bord, bonjour la démocratie). Ces aides sont donc supprimables, elles sont obsolètes et servent seulement une rente de situation à des journaux d'opinions et non de faits. Concernant le "Grand Débat" lui-même : je n'ai pas apprécié ce côté dirigiste des questions qui orientent avant même de débattre. Cela retire beaucoup de la légitimité de ce débat, et c'est franchement dommage. Il y a beaucoup d'autres points ignorés, la forme de ce débat trop dirigé joue pour beaucoup. Du coup si le but avait été d'obtenir un effet cathartique, le résultat est plutôt inverse.
L'état devrait se recentrer sur ses fonctions régaliennes et sur des rôles de contrôle du respect des règles, d'arbitre et de coordinateur; le reste devant être délégué. Pas forcément à des administrations, des officines privées peuvent assurer un service public, certains services publics gagneraient grandement à ne plus être confondues avec la fonction publique. La recherche publique devrait être déléguée, à moins d’intérêts stratégiques. La gestion de la santé devrait être déléguée. En ce qui concerne la culture, il y a un débat autrement conséquent à mener. Entre autres sur la justification du rôle de l'état ou des collectivités dans l'achat d’œuvres.
Oui
Tout ce qui concerne la gestion de l'éducation, libre à la collectivité d'adopter ou pas le modèle de l'éducation nationale. Le rôle de l'état étant alors d'établir un programme national, en laissant une part du programme libre au niveau local, et de veiller à ce que les solutions retenues par la collectivité territoriale soient favorables aux élèves.
Non
Le transport en commun
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Non
Non
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Les finances publiques.
L'enseignement. Il n'est pas seulement à faire évoluer, le cas est désespéré. Il faut casser ce service public, le refonder totalement autrement. Les campings municipaux. Est-ce normal qu'une activité de loisir soit un service public ? La SNCF. Le service public doit être assuré par des garanties anti blocage (nombreuses grèves illégitimes) en attendant de pouvoir privatiser cette survivance monstrueuse et passéiste.
Oui
Non
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Non
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Oui
En leur faisant adopter un comportement correspondant à leur rôle au service du public alors que certains semblent s'en moquer ou même considérer que c'est au citoyen de faire leur travail. Une notation de la relation, ainsi qu'une reprise d'un dossier par un autre, quand il traine trop seraient souhaitables. Avec sanctions immédiates sur le salaire, sinon ce sera noyé dans l'indifférence.
Le rôle de l'état est si besoin, de coordonner les actions des collectivités territoriales; en finançant une partie de ces actions si nécessaire. Ainsi, la construction d'une autoroute pour désenclaver une région peut se faire ainsi. Les collectivités territoriales doivent être initiatrices et actrices majeures de ces actions.
En voulant utiliser le compte formation, la faible adéquation entre mon besoin réel de formation pratique et l'offre agréée par les organismes de gestion a montré que c'est pas mal du grand n'importe quoi. Les organismes de gestion devraient être dépossédés de ce choix, à confier aux vrais destinataires, c'est à dire les salariés.
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Le principal élément de satisfaction est d'avoir pu retrouver en ligne le résumé exact de toute ma carrière, j'avais des craintes sur sa reconstitution.
Le principal élément de satisfaction est que j'ai rarement eu de problèmes dans les remboursements ou autrement. En fait quand il s'agit de procédures routinières ou automatisées, tout va bien. Par contre, les rares fois où j'ai eu des soucis, à chaque fois c'était un cauchemar épistolaire et il a fallu à tous les coups que je me déplace pour avoir une solution. avec des gens souvent peu aimables en face.
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La formation professionnelle devrait être sortie du rôle de l'état ou de la collectivité, ou même des entreprises mais laissé entièrement à la gestion de l'individu, dans la limite de formations agréées par un collège de salariés (pas forcément syndiqués). L'enseignement est à revoir totalement, déjà en supprimant la grosse machine de l'enseignement national pour la remplacer par différentes machines au niveau des collectivités territoriales.
Augmentation de la température
Au niveau de l’habitat ancien, les aides énergétiques sont souvent un peu n’importe quoi. Liées à l’installation par un professionnel, liées à l’équipement, liées au revenu, liées à la dépense, etc. Cela enferme dans un carcan coûteux, peu efficace et empêchant de développer les vraies solutions durables, comme les panneaux thermiques solaires (à ne pas confondre avec les panneaux photovoltaïques) pour le chauffage d’une habitation. L’important est que cela pollue moins, pourquoi ne pas retenir un critère seulement, celui de la performance énergétique mesurée par un expert avant et après les travaux ? L’aide serait associée au gain de performance. Il pourrait y avoir une avance ou une prise en charge pour les personnes avec un faible revenu.
Oui
Par exemple, lors d'un voyage récent au Portugal : un ouragan et un incendie directement liés au réchauffement climatique.
Oui
Limitation de l'usage de la voiture, baisse de trois degrés pour le chauffage, tri sélectif, compostage.
None
Arrêter de piquer mon argent en tant que contribuable, que je puisse faire des travaux. Je suis juste à la limite pour ne bénéficier d'aucune aide mais payer des impôts. Arrêter de faire des aides qui mécaniquement entraine une augmentation du prix. Laisser faire le marché, on est dans un système capitaliste sans bénéficier de cet avantage !
Oui
Avoir l'argent pour faire les travaux. Sans que ce soit une usine à gaz comme en France où on prend l'argent dans la poche des contribuables pour le redistribuer avec une inefficacité maximale.
Oui
Une nettement plus grande sécurité sur la route en utilisant le vélo.
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Déjà poser la question de meilleure façon : que pourrait faire l'Europe pour arriver à une avancée concrète en matière d'environnement ? La France n'a pas forcément de meilleurs choix que les autres pays. En posant la question ainsi que vous formulez, c'est ouvrir la voie à l'affrontement, alors que le but est le partage.
La transparence est indispensable en matière nucléaire, arrêtez de nous faire rire (jaune) avec le nuage de Tchernobyl qui aurait eu tellement peur des douaniers français qu'il se serait arrêté à la frontière.
Votre message a bien été envoyé.