"Le plus confiance" peut effectivement être interprété comme une valeur quantifiable en sachant qu'il est difficile d'être compétent en tout d'une part, et bien intentionné envers nous, d'autre part. Dans les faits je vote pour ceux et/ou celles en qui j'ai une certaine confiance. Cette confiance est relative ce qui est assez logique dans la mesure où le plus souvent ma connaissance de ces personnes est très limitée et indirecte. J'admets que je peux faire erreur dans mes choix, comme j'admets que la ou les personnes en qui j'accorde cette confiance peuvent elles aussi, faire des erreurs.
Oui
Association de quartier. Pas de fonction au niveau de la direction de cette association.
Retrouver une plus grande confiance. Je pense que les choses évoluant, notamment les moyens de communication, de transmissions de l'information, cela peut aussi entrainer une plus grande méfiance de la part des citoyens. Un élu en 2019 doit davantage communiquer avec les citoyens. Cela fait partie de son rôle. Il y a plus de moyens mis à sa disposition pour communiquer ce qui impose un temps à y consacrer plus important. Cela peut paraître paradoxal puisqu'en contre partie ce temps alloué à la communication ne l'est pas pour faire autre chose (réunions, commissions, réflexion, votes, représentation..etc). A l'ère du numérique il est plus difficile d'admettre de ne pas pouvoir recevoir plus d'explications sur certains choix, certaines orientations. D'avoir, pour le citoyen l'impression qu'on lui cache encore beaucoup trop d'éléments. Ce défaut de transparence, de communication ne va pas dans le sens d'une plus grande confiance, d'une marque de respect de l'élu envers ceux et/ou celles qu'il est sensé représenter. Représenter implique rester au contact, à l'écoute en même temps que restituer, rendre qqe part des comptes. Le contraire de rester dans sa bulle d'élu bien éloigné, bien à l'abri des préoccupations, des besoins, des contraintes et des souhaits des citoyens. Deux niveaux : National mais aussi Européen. Concernant ce dernier, je pense que ce qui est fait à ce niveau m'est mal transmis. Pourtant un élu au niveau européen a les mêmes droits et devoirs qu'un élu au niveau national. Il représente ceux qui l'ont élu comme l'ensemble de la population française. En retour il a des comptes à rendre à ces mêmes personnes. Et là, je trouve qu'il y aurait beaucoup de choses à faire. Le boulot d'élu ne se limite pas à celui de discuter des textes, de voter des lois mais aussi de faire en sorte qu'il y ait un retour d'information, un dialogue avec les citoyens. Hors le niveau de ce retour, ce dialogue, me semblent pouvoir être améliorés.
Je ne sais pas
Le cumul comme le non cumul présentent à mon sens à la fois des avantages et des inconvénients. Je pense que ce point est du même type que celui du nombre de fois qu'une personne pourrait occuper un poste. Être parlementaire "à vie" dans le sens ré-élu un très (trop ?) grand nombre de fois présente également certes des avantages mais aussi je pense, des inconvénients. Notamment celui de se couper quelque part du monde réel, de ne plus être confronté aux problèmes des personnes qu'on est sensé représenter. Le cumul a au moins l'avantage pour un élu de savoir qu'il a autre chose en cas de non ré-élection si on considère qu'il peut être élu au moins 2 fois.
Augmenter une dose de proportionnelle pour ne pas occulter les "petits" partis. Ce qui également devrait être davantage réalisé au niveau de certains "grands partis" avec c'est vrai la difficulté d'établir à la fois une synthèse, une union et en même temps essayer de pas perdre de vue ses idées, ses principes.
Oui
Sur le principe tous les élus si on pouvait réellement connaître le travail qu'ils ont à réaliser en fonction de leur nombre. Dans toute entreprise et théoriquement aussi dans toute administration, le nombre d'employés est d'abord fonction du travail à réaliser. Si 300 élus sont suffisants pour faire le même travail que 350, dans toute entreprise, la décision est généralement vite prise. Problème avec les élus, du point de vue du citoyen, on peut supposer qu'étant juges et partie, certaines largesses auraient été prises. Maintenant c'est aux élus de faire la preuve de leur bonne foi, pas aux citoyens, ni aux contribuables. Inversement si on peut démontrer qu'en terme de travail à réaliser, que 350 élus c'est en fait insuffisant, OK soit augmenter un peu leur nombre et sans doute dans ce cas, peut-être interdire le cumul des mandats. Illogique de dire qu'on aurait trop de travail et de cumuler en même temps 2 emplois.
En démocratie il serait normal qu'au moins plus de 90% des personnes s'expriment, hors dans les faits nous serions très loin du compte. La faute aux 2 parties : les citoyens dont je fais partie, les élus de l'autre. Si on se place dans une hypothèse pyramidale, cad que les élus présentent davantage de qualités, de compétences à eux de mieux écouter à la fois ceux qui ont voté pour eux, mais aussi d'écouter la part non négligeable de la population n'a pas voté du tout. Pour qu'un process soit de type gagnant-gagnant comme cela devrait l'être dans la participation des citoyens aux élections, il faudrait que les élus s'intéressent beaucoup plus à cette question d'intérêt général qu'au simple fait d'être élu. Par là, pour un élu, ne pas se contenter d'être élu (pour lui), mais agir au delà du simple attrait clientéliste. Être élu avec 60% pour sur 40% de votants n'a pas la même valeur qu'être élu avec 51% des voix mais sur 80% de votants. La faute en partie donc aux élus ainsi qu'aux différents appareils politiques auxquels pour la plupart ils appartiennent. Trop éloignés des préoccupations des citoyens. Trop obnubilés à devoir gravir certains échelons au sein même de leurs partis, plutôt qu'à passer davantage de temps à établir des liens plus solides avec les gens qu'ils représenteront. Pour que les gens votent il est nécessaire de leur donner davantage de place, de considération, de temps. Inversement, il faudrait aussi que les citoyens prennent davantage conscience qu'en ne participant pas aux votes c'est aussi eux-mêmes qu'ils pénalisent. Chacun à sa part de responsabilité, élus comme citoyens.
Oui
Voter blanc pour moi c'est exprimer quelque chose, alors que ne pas voter, c'est nier la démocratie. Sur le décompte actuel c'est vrai qu'on ne voit pas trop la différence alors que sur le principe je pense que c'est bel et bien différent d'une absence de vote. Bref, je crois qu'il faudrait en tenir compte au terme du scrutin soit pour un vote à 2 candidats : soit 1/2 voix pour chaque candidat. Soit, puisqu'au final il y a bien un "vainqueur" un vote blanc compterait 1 voix. Cela dit, je serais plus favorable à ma 1ère proposition : 1/2 vote pour chaque candidat. Le plus important est bien de "compter" le vote blanc.
D'abord davantage dialoguer cad présenter le sujet de la façon la plus objective possible, s'en tenir aux faits. Ensuite réellement dialoguer et non pas seulement présenter et voter entre élus. Ok, ça prend du temps. Mais démocratie plus participative suppose plus grande implication des citoyens, respect mutuel accru. Donc la frontière est difficile à trouver. Au élus le travail d'élus, aux citoyens leur travail de citoyen. Si chacun fait tout et n'importe quoi, on court le risque de mauvais résultats en termes de rendement. Néanmoins, si on veut que les citoyens se sentent davantage pris en considération, améliorer tout ce qui touche à la prise en compte de leurs souhaits, comme de leurs craintes.
Je ne sais pas
None
Ne met-on pas un peu la charrue avant les boeufs ? Commencer d'abord par une plus grand lisibilité de ce qui se fait déjà. Comment est déjà utilisé l'argent public par l'Etat comme les collectivités. L'accès aux comptes avec des explications. Comprendre déjà comment c'est fait. Pourquoi et pour qui ? - Consulter pour qqe chose que l'on ne maîtrise pas un minimum me semble peu défendable.
None
None
None
Je ne sais pas s'il faut renforcer ou à l'inverse diminuer les principes de laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions. La France est d'une part un Etat laïque, mais aussi un pays qui comprend une population croyante et non croyante. Et ce, avec différentes religions. Nier cette réalité constitue à mon sens peut-être une erreur. Par là je veux dire que si la gouvernance qui se voudrait laïque était constituée majoritairement que de non croyants et/ou fortement imprégnée des idées et principes d'une seule religion quelque part cela ne faciliterait pas sa représentativité, ni son travail. Exprimé autrement je crois en fait que s'il faut bien renforcer les principes de la laïcité de l'Etat, ceci doit se faire en tenant compte des spécificités de toutes les religions pratiquées en France. Etre un Etat laïque ne signifie certainement pas ignorer les religions mais à mon sens bien mettre en oeuvre la liberté de la religion et de non religion pour tous. Dans ce sens une religion ne peut pas, d'un point de vu laïque occulter les autres religions, pas plus que la liberté de non religion. Ceci ne peut pas être accepté. Un Etat laïque doit expliquer cela et doit se donner les moyens pour le faire appliquer. Et si ses moyens actuels s'avéraient insuffisant (notamment textes législatifs et moyens de mise en application dont bugdet de la justice et de l'intérieur) essayer d'accroître sensiblement ces moyens.
D'abord davantage exprimer, expliquer ce que l'on entend par "valeurs intangibles de la République". Ensuite même réponse que pour la question précédente : " expliquer cela et (doit) se donner les moyens pour le faire appliquer. Et si ses moyens actuels s'avéraient insuffisant (notamment textes législatifs et moyens de mise en application dont budget de la justice et de l'intérieur) essayer d'accroître sensiblement ces moyens."
None
None
None
None
None
None
None
Physique, sexe, couleur de peau, religion. Mais aussi aptitudes sociales et/ou professionnelles. Nous sommes dans une société qui se voudrait ouverte, multiculturelle mais dans les faits nous vivons dans une société faites de "normes". Vu de l'extérieur c'est un peu comme un énorme banc de poissons, tout le monde va dans le même sens. Les rares poissons qui seraient un peu différents et/ou qui voudraient nager dans une autre direction sont mal vus, tenus à l'écart.
Expliquer, faire comprendre que consensus, synthèse, union.. etc, ce sont des notions, des principes utiles, rationnels, réellement dignes d'intérêt. Néanmoins ne pas perdre de vue qu'en réalité nous sommes avant tout des individus, c'est à dire que nous ne sommes pas tous obligatoirement identiques physiquement et dans nos têtes.
Oui
TIG c'est la chose qui me vient en premier à l'esprit.
La situation de l'immigration en France souffre d'abord du fait que la plupart d'entre nous avons du mal à dissocier émotion et faits. Accueillir représente un coût qu'il est bien évidemment irresponsable de nier ou de rejeter sur autrui. Pour donner il faut aussi renforcer sa capacité à s'auto-satisfaire. Dire à quelqu'un qui estime ou qui a réellement des difficultés pour boucler ses fins de mois : la France va accueillir tant de personnes en plus qui pour partie vont "bénéficier" des enveloppes de "solidarité" que l'on estime comme étant déjà insuffisantes pour soi. Quelque part c'est irrationnel. Je pense qu'il faut d'abord expliquer comment on compte soutenir la population actuelle, ensuite expliquer comment on va éventuellement mettre en place des moyens supplémentaires qui seront mis à disposition des migrants. Faire autrement, je me répète, accueillir un besoin (migrants) en plus, à moyens constants (enveloppe fermée) c'est stigmatiser une partie de la population.
Oui mais peut-être pas qu'au niveau National. De ce point de vu, je trouve que manque d'information et d'explications concernant certaines décisions prises au niveau européen. Pourtant comme nos élus au niveau national, au niveau des instances européennes, il y a aussi des élus sensés à la fois nous représenter mais aussi nous rendre des comptes.
Plus grande clarté au niveau du parlement européen en premier lieu. Plus grande clarté ensuite au niveau de l'Etat et du parlement national.
None
None
L'administration a pour finalité d'utiliser au mieux l'argent des contribuables pour l'ensemble de la population. Cette redistribution est complexe et doit être la moins opaque possible ce qui n'est pas facile et mobilise des moyens. Être plus "transparente" permettrait d'obtenir une plus grande confiance. Savoir davantage comment, pourquoi et pour qui on paie doit encore être amélioré.
Non
None
Oui
None
None
Oui
Oui
None
None
None
Oui
Non
None
None
None
None
None
None
Le grand débat est un des moyens d'amélioration. Dans une organisation de type pyramidale, le fait que le sommet ne soit pas coupé de sa base me paraît fondamental.
None
None
None
La préparation de notre propre retraite est rendue difficile car les lois évoluent au cours du temps. J'ai rencontré au moins 2 éléments de difficulté ou de désagrément : la non prise en compte automatique de la période de mon service national, le fait d'avoir travaillé (donc cotisé qqe part) à une certaine période mais pas suffisamment pour valider des trimestres (alors qu'une partie de mon salaire était prélevée). Satisfaction qd même parce que l'administration m'a indiqué la procédure pour au moins récupérer la période de mon service national (4 trimestres tout de même). Pour les trimestres non validés cela dépend des textes et des lois, pas de l'administration.
Pour une grande majorité de soins, l'articulation de la part du remboursement sécurité sociale et celle revenant à la mutuelle s'effectue correctement. C'est bien. Reste une minorité pour laquelle la sécurité sociale (CPAM) ne renvoie pas directement le dossier vers la mutuelle complémentaire avec un libellé qui serait peut-être à améliorer.
Si au niveau des instances supérieures certains handicaps semblent mieux définis (par exemple dyslexie, TSA ou troubles du spectre autistique, TDAH ou troubles du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité..) au niveau du terrain les choses sont beaucoup plus difficiles à priori par défaut de moyen et/ou de formation et/ou de volonté des personnels concernés. Il est clair que sur le terrain, par exemple pour un enseignant et/ou un soignant prendre en charge une personne porteuse d'un handicap alourdi de façon significative sa charge de travail. Comprendre un handicap, ne pas le stigmatiser, constitue déjà une étape pas toujours simple à franchir. Mieux le prendre en charge, est une seconde étape tout aussi importante. Bref, je pense que la connaissance et la prise en charge des handicaps semble progresser, ça c'est pour le positif. Par contre, les moyens tributaires bien évidemment des ressources financières pourraient être augmentés qualitativement et quantitativement. J'en reviens à un point que j'ai cité plus haut, payer plus le cas échéant, mais clairement comment, pourquoi et pour qui ?
None
None
None
None
None
None
None
La priorité pour bcp d'entre nous est notre pouvoir d'achat. La priorité devrait être l'environnement et pas le toujours plus consommer à n'importe quel prix.
Commencer par l'école. Valoriser le bien consommer, le bien produire soucieux de l'environnement. C'est à dire l'aspect qualitatif. Et non se limiter à produire plus, consommer plus à n'importe quel prix. Ensuite, bien évidemment, continuer à valoriser ce qui sert d'abord l'environnement. Difficulté à prendre en compte : la France ne vit pas seule sur terre. La consommation et la production sont mondiales. Produire "propre", consommer "durable" c'est bien mais pas suffisant. Convaincre les autres.
Oui
Hausse globale des températures (même si d'autres facteurs autres que le CO2 jouent vraisemblablement un rôle). Baisse significative de l'enneigement en hiver.
Oui
Essais de diminution consommation énergétique et achat de biens non indispensables. Privilégie aliments bio. Privilégie biens de consommations et/ou produits locaux (essai de limitation des transports mais pas simple). Tri sélectif.
Sur une chaudière, un simple congélateur pouvoir disposer d'indicateurs de consommation instantanée et cumulée. Cela permettrait de plus facilement visualiser les gains ou gaspillages sur différents comportements. Un peu à la manière des indicateurs de consommation de carburant sur les voitures.
Des aides ? Pour qui ? (cela m'intéresse bcp moins qd elles sont destinées finalement aux autres et pas pour moi parce que je ne rempli pas telle ou telle condition) - Montants ? (même faibles, c'est toujours plus facile de faire lorsqu'on se sent "aidé" que seul).
Oui
Durée d'amortissement. Aides ? Idem question précédente (pour qui ? - montants ?)
Non
None
Les transports en commun|Le vélo
La municipalité et/ou l'employeur et/ou l'Etat ou la région.
Pour convaincre ses partenaires c'est toujours plus facile si soi-même on est capable de montrer qu'on fait de réels efforts. Qu'on a un plan de route et des solutions de rechanges. Que l'environnement ça peut aussi être un échange gagnant-gagnant entre la France et les autres pays d'Europe, comme avec les autres pays hors Europe cad Asie, Afrique, Amériques et Océanie. Etre encore plus performants sur le plan environnement, développement durable en France, avec l'accord des français ce qui implique sans doute une poursuite de l'évolution de nos mentalités et de nos priorités.
None
Votre message a bien été envoyé.