Adresser à chacun un bilan de sa capacité contributive, sous forme de tableau annuel des Emplois (sa quote-part détaillée dans les dépenses publiques) / Ressources (les contributions directes et indirectes payées dans l'année), avec le déficit qui en découle et la dette reportée sur les générations futures.
Les impôts et taxes qu'on acquitte devraient être totalement proportionnels à l'usage que l'on fait des services publics (sur le principe des redevances).
L'impôt sur le revenu, la CSG (en supprimer la part non déductible) et les droits de succession.
Taxer les activités numériques et les robots.
Conditionner strictement l'attribution des aides sociales au respect des conditions d’attribution de l’aide et à leur bonne utilisation.
La vieillesse.
La recherche.
Un détenteur d’obligations d’Etat, peu rémunératrices, pourrait être intéressé à convertir ses créances en parts du capital d’une société dont l’objet serait la construction de logements et la réalisation de grands travaux d’infrastructure. Les revenus attendus de sa créance seraient remplacés par une forme de garantie sur le niveau de dividendes, assortie d’avantages fiscaux, mais aussi avec l’obligation de conserver ses titres un certain temps. Les besoins de financement initiaux de cette société seraient assurés par l’Etat, jusqu’à ce que l’activité de la société génère ses propres flux de trésorerie positifs, par la vente des logements et via des délégations de services publics pour les infrastructures, etc…. Créant ainsi des emplois et de nouvelles assiettes d’impôts, taxes et cotisations sociales.
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