Transparence. Pour chaque impôt ou cotisation sociale, une fiche récapitulative qui explique qui paie quoi, quel est la ressource globale attendue et pour financer quoi. Une fiche "budget" pour l'exercice à venir et une fiche "réalisé" quand l'exercice est terminé, avec justification des écarts sans langue de bois. Exclure le remboursement de la dette dans la liste des objectifs à atteindre par l'impôt. Le remboursement de la dette doit être financé par des économies de fonctionnement et la réduction des fraudes et évasions fiscales.
Plafonner à un taux maximum global les cotisations et impôts directs des revenus inférieurs à un certain plafond sous la forme d'un remboursement du trop perçu après déclaration des revenus. Cette mesure qui avait été appliquée pour les hauts revenus(bouclier fiscal) aurait du en réalité être appliquée aux revenus les plus modestes. Appliquer un taux de TVA beaucoup plus bas (voire proche de zéro) pour les produits de première nécessité et les produits bios ou de fabrication exclusivement française. Il faut encourager les achats des produits bio ou des produits fabriqués en France en réduisant, par la TVA, l'écart de coût pour le consommateur avec les produits non bio et les produits manufacturés à l'étranger, dans des conditions pas toujours respectueuses des droits humains et de l'environnement. Augmenter le taux de TVA sur les produits de luxe ou de tous les produits ne faisant pas partie de la liste des produits de première nécessité afin de fiancer la perte de recettes due à la mesure précédente.
La CSG pour les retraités et les revenus modestes. Le taux minoré reste trop fort.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Mieux rémunérer le travail,est une façon d'augmenter les recettes destinées à financer des dépenses sociales.
Toutes. Il faut définir plus précisément les conditions d'attribution et surtout les conditions du maintien des aides. Le respect des conditions doit être vérifié en permanence comme on vérifie en permanence l'éligibilité à certaines prestations de base comme les pensions de réversion.
La santé (beaucoup de ne soignent pas assez bien faute de moyens pour assumer le reste à charge conséquence des dépassements d'honoraires ou des forfait actes ou boîtes appliqués aux remboursement des consultation et des médicaments). Il faut , au moins, revenir sur les autorisations de dépassements d'honoraires pour les modérer. Le logement. Nous ne sommes toujours pas sortis de la crise du logement. Logements sociaux trop peu nombreux, logements insalubres et dangereux, abus des marchands de sommeil etc. Le chômage provoqué par les délocalisations et la désinvolture de certains patrons. Que l'on arrête de traiter publiquement les chômeurs de "fainéants" et que l'on mène une lutte discrète mais implacable contre les abus, sans faire d'amalgame et sans l'étaler sur la place publique.
Il n'est pas question de payer plus d'impôts mais de mieux les utiliser, pour ensuite en payer moins. Il faut avant toute choses réduire , l'évasion fiscale et éradiquer la fraude. Il y a plus à gagner qu'a ponctionner encore plus le citoyen lambda. Après l'évasion fiscale et la fraude, il reste encore la chasse à la gabegie, avant de songer à augmenter les impôts. Seuls les plus aisés peuvent maintenant supporter de payer plus, mais majorer encore les impôts pour ces catégories de citoyens, c'est porter atteinte à la rémunération liée aux diplômes ou au mérite et ne tirerait pas notre société vers le haut.
Il n'est pas normal que l'essentiel des actions efficaces contre la misère soient assumées par des associations humanitaires : Resto du cœur, Secours Populaire, Secours Catholique, Fondation Emmaüs. La remarque est valable pour les associations qui gravitent autour des problèmes de santé (Téléthon, Ligue contre le cancer, les maladies orpheline etc.). La France n'a pas fait de grands progrès depuis le fameux hiver 1954. Mal utiliser les fonds publics, c'est laisser la porte ouverte au doute quant à l'intégrité des élites. Les oppositions et ceux qui réfléchissent peu s'y engouffrent et les plus modérés parlent simplement d'incompétence.
Mon souhait n'est pas d'être représenté à titre individuel. Pour cela, pour débattre des problèmes qui me sont propres, je peux dialoguer avec les institutions (Centre des impôts, Sécurité Sociale, Retraite etc.) qui gèrent mes dossiers, et obtenir satisfaction ou tous les éclaircissements nécessaires. Concernant la défense des valeurs Républicaines qui me sont chères, et l'intérêt général, je compte sur le député ou le Maire. Mais il arrive souvent que ces représentants et leurs programmes ne soient pas de la même sensibilité que moi. On a aussi parfois l'impression que même avec des élus dont on se sent proche au plan des valeurs, certaines d'entre elles "passent à la trappe", au moment de la confrontation avec les réalités de l'appartenance à l'Union Européenne et de l'économie mondialisée.
Oui
Il faut que les organisation syndicales qui se disent "apolitiques" cessent de se comporter comme des partis d'opposition systématique, comme elle le font systématiquement devant les médias, alors qu'elles sont plus productives lors des négociations. Les associations devraient être aidées en fonctions de leurs objectifs (solidarité, entraide humanitaire) et non du nombre de leurs adhérents (club sportifs, club de loisirs, associations culturelles..)
Que les demandes formulées ne reçoivent pas de réponse "langue de bois". Juin 1958 : " Je vous ai compris", et on a vu ce que cela a donné en son temps.
Une bonne chose
L'exerce de la politique est devenu de plus en plus complexe et le métier de député ou sénateur doit être à plein temps. Si le non-cumul des mandats devait être remis en cause, cela ne devrait concerner que les petites communes et la rémunération du député ou du sénateur devrait être proportionnelle au temps réel consacré à ce mandat.
Il n'y a pas, de fait, beaucoup de sensibilités politiques : pro ou anti-européen, classe populaire, aisée ou classe moyenne, écologiste convaincu ou peu ou faiblement, extrémistes ou modérés, tout ceci se mêlant de façon transversale.
Oui
Il faut que les effets de la régionalisation se produisent enfin en terme de diminution des effectifs des élus territoriaux, en supprimant les doublons et autres redondances (le fameux mille-feuilles). Par contre, en cas de décentralisation de certaines prérogatives, l'état de doit pas omettre de transférer les ressources nécessaires "en même temps", voire même un peu avant.
La participation est en baisse du fait de l'augmentation de nombre de scrutins depuis les élection européennes et le passage du mandat présidentiel à 5 ans. Il y a une espèce de lassitude et les élections sont polluées par les "affaires". La complexité des lois internationales obligent à maintenir un système basé sur l'élection de représentants, mais le citoyen lambda a du mal à déterminer qui représentera le mieux sa sensibilité, compte tenu de la "transversalité" de certains opinions. Il faut craindre une nouvelle baisse de participation si le R.I.C ou tout autre système de consultations, rapprochées dans le temps et pour des sujets mineurs devait être décidé.
Oui
Pour chaque tour d'une élection à deux tours , une majorité de votes blanc (50 %) devrait provoquer un nouveau vote, avec éventuellement les mêmes candidats, pour donner une chance aux abstentionnistes de se prononcer. Pour le deuxième vote d'un premier ou deuxième tour, le vote blanc ne devrait pas dépasser 30 % sans provoquer un nouveau passage devant les urnes. Il y a lieu d'étudier les délais entre les différents votes pour permettre aux formations de présenter d'autres candidats ou de modifier leur programme. En aucun cas les votes blancs ne devraient être pris en compte dans la répartition de sièges.
Surtout pas en instaurant un scrutin inspiré du référendum d'initiative citoyenne ou populaire. L'exemple de la Suisse (qui s'interroge sur le rapport coût/bénéfice de ce type de scrutin) montre une certaine désaffection pour les urnes et un taux de propositions acceptées relativement bas (de l'ordre de 10 %) et sans impact réelle sur le niveau de vie des citoyens.
Non
None
Le citoyen lambda n'est pas à même de juger de la pertinence d'un choix budgétaire. Faisons confiance à nous élus et à leurs conseillers et aux experts.
C'est l'état qui doit définir ce rôle en consultation avec les instances concernées.
None
None
L'état doit lui-même se laïciser plus. Les jours fériés correspondent majoritairement à des fêtes chrétiennes. Les jours fériés devraient être limités au jour de l'an, au 1er mai, au 8 mai, au 14 juillet et au 11 novembre. La productivité s'en trouverait améliorée.L'état a en charge l'entretien de bon nombre d'églises et de cathédrales au prétexte qu'elles figurent au patrimoine culturel. La religion étant réservée à la sphère privée, toute marque d'appartenance à une religion devrait disparaître sur la voie publique et pas uniquement dans les établissements publics. C'est loin d'être le cas actuellement.
Un étude approfondie du texte de la Constitution devrait être au programme du collège (en troisième). Il semble qu'aujourd'hui, on évoque plus les événements et les personnages qui ont gravité autour du projet de Constitution que du contenu de la Constitution, de tous les composant de la pyramide de la hiérarchie des lois, plus particulièrement des composants du "bloc de constitutionnalité". Pourquoi pas en faire un sujet de l'oral du baccalauréat ou du brevet ?
Il n'aurait pas fallu supprimer le service militaire. Le SNU, pour sa partie obligatoire, ne sert qu'à recruter les volontaires pour la deuxième phase. Pour les autres la durée est trop courte et l'âge trop bas.
Le respect des réglementations de toutes natures. Cette notion de respect a périclité régulièrement depuis que mai 68 a décidé qu'il était "interdit d'interdire". Le laxisme qui s'est installé depuis est peut-être pire que tous les aléas économiques qui ont contribué à la paupérisation de certaines catégories de citoyens. Il faut retrouver de la rigueur dans l'éducation et redonner aux jeunes le goût de l'effort et le sens du devoir envers la communauté. Que ceux qui exigent qu'on les écoute et les respecte, soient eux-même respectueux et tolérants.
Il n'appartient pas au citoyen (sinon aux parents et dans une moindre mesure aux enseignants) de participer au développement civique. Malheureusement, compte tenu de ce que j'ai développé précédemment, l'autorité des parents et du maître ont fondu comme neige au soleil.
Il fut une époque ou l'engagement citoyen n'avait pas besoin d'être valorisé. Le civisme devrait aller de soi et ne pas nécessiter d'encouragement ou de récompense.
J'habite une petite commune qui ne connaît pas les incivilités graves qui sont monnaie courantes dans certaines agglomérations. C'est la répétition quotidienne des petites incivilités qui devient insupportable. Une grand partie de la population considère que les lois et règles ne sont pas faites pour eux. Je ne suis même pas certains que ceux qui veulent participer plus activement à l'élaboration des lois, soient prêts à les respecter, un fois votées.
Plus de sévérité. Motiver les parents.
A par donner l'exemple, ce n'est pas le rôle des individus, mais celui des autorités. Sinon, c'est la porte ouverte à la délation ou à la justice par soi-même.
L'époque est au gémissement et à la victimisation, avec un rappel incessant à l'histoire de la colonisation. Cela devient fatiguant. La discrimination à l'embauche et au logement sont des réalités condamnables (et peu condamnées), mais je connais bien des gens issus de l'immigration qui ont parfaitement réussi et ne se sont jamais sentis discriminés. Si certaines élites, elles-mêmes issues de l'immigration ou natives de département d'Outre-mer n'attisaient pas certaines rancœurs envers notre pays, beaucoup de ceux qui les écoutent ne feraient pas la même analyse de leur situation et se retrousseraient les manches plutôt que de gémir ou de hurler avec les loups.
La société est à l'image de ceux qui la composent. Notre pays est un des plus solidaires et des plus tolérants au monde. La mise en avant de certaines failles de notre système toujours perfectible, est le fait de minorités, elle-mêmes peu solidaires du pays et particulièrement intolérantes. L'état doit continuer son travail sur le long terme et de pas se laisser dicter des fausses mesures dans l'urgence, aux résultats hypothétiques.
Oui
Qui dit droit, dit devoir, en contrepartie. Le respect du pays et de ses institutions, doit être une contrepartie de toute solidarité. Si l'on envisage des contreparties à la solidarité envers la population, il faut également exiger des contrepartie pour les aides aux entreprises. Où sont les belles promesse du patronat de créer 1 million d'emplois ?
La politique migratoire n'est pas bien claire pour beaucoup (dont pour moi). Existe-il une politique migratoire ou seulement quelques principes philosophiques ou moraux et des réaction au coup par coup ?
Oui. Il faut obtenir de l'UE que chaque pays définisse un quota en fonction de ses possibilités économiques et ne soit pas mis à contribution par une règle de trois.
Une aide aux pays en voie de développement, coûtera toujours moins cher, par personne, que l'accueil et l'intégration d'un migrant économique.
Tant que 25 % de la population votera pour le RN, l'intégration sera difficile. On voit bien les réactions des quartiers résidentiels quand une structure doit s'installer tout près pour venir en aide aux migrants.
Les événements qui se produisent depuis la mi-novembre 2018, sont pratiquement tous entachés d'illégalité. Manifestation non déclarées, donc pas de parcours prévu ni d'heure de fin de manifestation, violences contre les biens et les personnes à partir de 16h00, feux de palettes sur les ronds-points, atteinte à la liberté de circuler, insultes et injures, appel au meurtre etc.. La France, dans son désir de respecter le droit de manifestation inscrit dans la constitution et malgré l'utilisation parfois des termes "émeute" ou "insurrection", n'a encore rien engagé pour faire respecter la loi de 1992 qui condamne l'insurrection.
La diminution des dotations de l'état aux administrations décentralisées n'aurait dû se faire qu'après que la régionalisation ait porté ses fruits en matière d'économies d'échelle. Au minimum aurait-on dû introduire plus de progressivité. On a procédé à l'envers comme souvent. On décentralise les responsabilités, mais on n'alloue pas le financement nécessaire a l'exécution des missions ainsi transférées. Il faut également trouver des mesures pour inciter les administrations décentralisées à réduire le "mille-feuilles".
Oui
Oui, mais pas tout de suite. Il faut attendre que les régions et département aient "digéré" les premières vagues de transferts des compétences. Pour une nouvelle vague de transfert, il faudra aussi transférer les moyens. Agir plus vite que nécessaire est dangereux.
Oui
None
Le développement sur Internet est indéniablement source de simplifications et d'économies. Mais, là également, il faut agir avec souplesse et faire en sorte qu'il n'y ait plus de zones blanche avant de décréter qu'une démarche doit désormais se faire par Internet. Cela paraît évident, mais, par exemple, certains lycéens doivent se déplacer pour exprimer leurs vœux sur "Parcoursup". Il faut également tenir compte de certaines personnes âgées qui ont des difficultés avec Internet. Assistance formation,leur sont indispensables. La vitesse des progrès technologiques s'accroît de façon quasi exponentielle. Il convient d'accepter de ralentir parfois pour ne laisser personne sur le bord du chemin.
Non
None
Le regroupement de services publics provoque des frais supplémentaires et du temps perdu pour les usagers. La nécessité de parcourir des kilomètres supplémentaires, vient au moment ou augmentent les prix des carburants. Il faudrait pourvoir rembourser certains déplacements liés au regroupement des services publics, comme on rembourse les déplacements liés au regroupement des structures de santé. Faute de quoi le citoyen a l'impression de subir une double peine : Services publics moins accessibles et frais supplémentaires pour y accéder.
En qualité technique, l'évolution est indéniable. Par contre la "déshumanisation" est évidente et pèse à certains. Elle peut être également vue comme une cause de la désaffection des citoyens pour la chose publique.
Je redoute surtout la disparitions des antennes locales de certains services publics (poste, impôts, transports, santé) ainsi que les incitations européennes à privatiser tout ou partie de certains service publics. Les service publics "à la Française" étaient le reflet de l'âme de notre pays. Les services publics rêvés par l'Union européenne vont nous contraindre à devenir scandinaves ou saxons. Si aujourd'hui, la France peut se vanter d'être un des pays les plus protecteurs au monde, cette qualité risque bien de disparaître. Ce serait une sorte de nivellement par le bas.
Oui
Non
Le "droit à l'erreur" est réservé aux relations avec le fisc, si j'ai bien compris, et concerne seulement les cas de déclaration erronée ayant minimisé l'impôt. Il devrait être étendu à d'autres services publics, comme la santé par exemple et répondre à tous les cas de figure ( prestation perçue en trop ou prestation refusée injustement). Il n'est pas rare de se voir refuser le remboursement d'une prestation suite à une erreur ou à une omission d'un professionnel de santé qui n'a pas "coché la bonne case" sur une feuille de soins ou sur une prescription de transport. Il n'est alors pas possible de faire rectifier l'erreur car on ne peut produire de document rectificatif émanant du professionnel de santé. Seul le document original établi avant l'acte réalisé est valable juridiquement, erroné ou pas.
Je maîtrise parfaitement, Internet et l'informatique et j'ai une assez bonne connaissances des différentes réglementations. A défaut, je me renseigne. Mais tout le monde n'est pas dans mon cas et on peut comprendre que certains soient rebutés ou "affolés" par des demandes nouvelles et inhabituelles. Le problème n'est pas propre à l'administration et on voit beaucoup de décisions prises et appliquées sans tenir compte de spécificités, culturelles, géographiques, sociologiques. Nous allons tout doucement vers un état "formaté" sans plus aucune personnalité. En multipliant les "robots", nous devenons nous-mêmes des robots.
Oui
Dès lors que la décision sera prises, des gens plus compétents que moi, pourront étudier le "comment ?" N'avons-nous pas élu des représentants ? Ces représentants ne sont-ils pas entourés d'experts ?
Oui
Voir ma réponse précédente.
Voir ma réponse précédente.
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J'ai cherché un emploi entre 50 et 53 ans, sans aucune aide de l'ANPE (à l'époque) qui s'est contentée de me demander régulièrement des justificatifs de recherche d'emploi, sans jamais rien me proposer.. Je me suis débrouillé tout seul et j'ai créé mon propre emploi.
R.A.S Tout s'est bien passé. Mais, avec n'importe quelle administration, pour que tout se passe bien, il faut que chacun y mettre du sien : l'administration, mais également l'administré.
J'ai évoqué les remboursements de frais de déplacements et la rigidité des l'administration qui n'admet pas la rectification des erreurs. Une caisse qui connaît une patiente depuis plus de 25 ans, épileptique, diabétique et qui a subi deux opérations au cerveau, continue à prétendre que la nécessité d'un accompagnant à chaque déplacement doit être précisée à chaque fois par le médecin prescripteur. C'est la règle, soit ! Mais, si le médecin omet de la préciser (invoquant qu'il se concentre plus sur son métier que sur la gestion de la "paperasserie"), il n'y a pas de rectification possible, pas de droit à l'erreur !
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Plus d'humain et moins de technocratie aveugle. Mais nous n'en prenons pas le chemin avec le numérique. Appliquer effectivement ce qui était prévu il y a quelques années pour les retraites : les indexer sur l'inflation. En outre, cesser de faire varier les méthodes de calcul de l'inflation. Les taux d'inflation et d'évolution du pouvoir d'achat établis par l'INSEE ne correspondent pas du tout à la réalité et surtout, au ressenti des citoyens. Il s'agit de décalages dangereux pour la confiance, qui alimentant l'idée de "langue de bois" et de mépris.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Appliquer effectivement les décisions des différentes conférences sur le climat.
Oui
Périodes de sécheresse et de canicule, épisodes de tempêtes de plus en plus fréquents. Augmentation des primes d'assurances pour cause de catastrophe naturelles. Eutrophisation des plans d'eau.
Oui
Je fais déjà beaucoup de choses. Peu de déchets de ménage confiés au ramassage : 15 kg par an et par personne. Economies d'électricité : 2400 kw/h par an. Remplacement de toutes les ampoules à filament. Je trie tous les emballages, je composte les épluchures de fruits et légumes. Je n'utilise la voiture que pour des trajets supérieurs à 1 km. Je respecte les limitations de vitesse et j'ai une conduite souple. Je ne brûle ni pneus, ne palettes, ni déchets dans mon jardin. De fortes amendes sont prévues dans ce cas, auxquelles, les manifestants et grévistes échappent systématiquement sur les ronds-points ou les parkings d'entreprises en grève.
Ma chaudière au fuel est régulièrement entretenue et j'ai réalisé des économies en changeant de prestataire pour l'entretien. Les professionnels doivent respecter une certaine déontologie. On a l'impression que les efforts des particuliers sont dérisoires, quand on voit le comportement des groupes industriels ou des contestataires cités précédemment.
Cette question est du domaine des experts.
Oui
Si des aides et subventions doivent être mises en place, elle ne doivent pas servir, en réalité, à augmenter la marge des professionnels. C'est ce que pensait le gouvernement quand il a restreint les aides pour le remplacements des fenêtres : tarifs artificiellement gonflés à cause des aides. Actuellement pour passer du fuel à la pompe à chaleur : devis de 16.000 euros, pour un gain estimé de 500 euros par an. Durée d'amortissement = 32 ans ! Les aides ne sont valables que pour les foyers à ressources limitées. Raisonnement identique pour les panneaux solaires + problème d'éligibilité à partir d'un certain âge. Un des facteur qui peut expliquer la réticence au changement (en matière écologique ou autre) est le manque de constance et de visibilité des politiques gouvernementales sur le long terme. Comme pour le diesel, automobile, longtemps encouragé par les pouvoirs publics, le fuel a longtemps été plébiscité par les particuliers pour le chauffage à cause du coût comparé des deux modes (Fuel et électricité). Aujourd'hui, on peut légitimement s'interroger sur la validité dans le temps de toute solution de remplacement du fuel.
Non
C'est tout le problème des zone rurales par rapport aux agglomérations.
Aucune ne correspond à mes habitudes de déplacement, à des heures et des fréquences incompatibles. Seul mon véhicule personnel me confère l'autonomie, l'indépendance et le confort souhaités.
None
Le mode de fonctionnement de l'Union Européenne ne permet à aucun pays d'imposer ses choix. Tout au plus peut-il susciter l'intérêt en montrant le bon exemple et en faisant la preuve des retombées positives de sa politique. Il n'est même pas certain que les autres pays (qui ont d'autres types de ressources énergétiques ou d'autres caractéristiques géographiques ou sociétales) suivent un exemple qui fait ses preuves ailleurs. Que fait la France pour exiger de M. Donald Trump qu'il respecte les accords signés lors de la COP 21 ?
On insiste beaucoup sur la sensibilisation des simple citoyens, usagers ou automobilistes en pratiquant envers eux la politique de la carotte et du bâton. On oublie simplement que les entreprises (industrie lourde et transport notamment) et certains organismes ont une plus forte responsabilité dans la dégradation de l'environnement ou sa préservation que les simples particuliers. Certains même n'appliquent pas les directives européennes, en particulier pour la gestion des déchets ménagers. L'U.E recommande depuis longtemps une tarification incitative et le principe du pollueur-payeur et certains syndicats de gestion des ordures ménagères continuent à facturer au forfait, en fonction de la composition de la famille, sans tenir compte de la quantité de déchets ménagers réellement produits par les uns ou les autres. Certaines communes ou certains pays de l'UE pratiquent depuis longtemps, la facturation au poids et s'en félicitent.
Votre message a bien été envoyé.