Un plan de communication presse et TV pourrait être élaboré et financé pour développer une information citoyenne, par exemples : courtes émissions sur l'impôt (recettes/dépenses/élaboration mais aussi sur la dette et son financement), à l'instar de ce qui existait sur l'information au consommateur (INC) à l'époque. Doc de presse et iconographie remises aux média...
- tout le monde devrait contribuer à l'impôt sur le revenu, même de manière symbolique pour les plus démunis - augmenter les tranches de l'IR, notamment sur les plus hauts revenus - redonner plus d'importance à l'IR par rapport aux autres impôts et taxes
- la TVA sur les produits de première nécessité et les produits qui participent à la transition énergétique - l'imposition sur les sociétés - à condition que les entreprises qui en bénéficieraient aient une obligation de redistribuer les gains sur les salaires
réduire le chômage permet d'augmenter l'assiette des cotisations sans diminuer les aides
Je suis surpris que les questions posées impliquent qu'on ne peut financer les dépenses sociales qu'en diminuant les aides
- la santé, notamment les structures hospitalières - l'accueil du grand âge
La question est biaisée. Je préconise une réflexion sur la répartition des aides et une augmentation de l'assiette des cotisations par une diminution du chômage
La fiscalité a pour objectif de financer les dépenses publiques et de réduire les inégalités de revenus. Ce deuxième sujet pourrait faire l'objet de mesures correctrices et de communication
Aux représentants élus sous réserve d'un dispositif renforcé de contrôle de l'action
Non
None
Une meilleure transparence de l'action des élus - y compris de leurs votes, et un système d'évaluation collectif et, peut-être individualisé, rendus publics
Une mauvaise chose
un cumul limité - exemple député et maire, améliorerait l'ancrage et la notoriété des élus nationaux à leur territoire
une dose de proportionnelle et un espace d'expression continue des partis politiques et non pas seulement à la discrétion des médias
Non
None
la participation est de mon point de vue trop faible. Rendre le vote obligatoire ne me paraît cependant pas être la solution. Un travail sur le long terme prenant en compte formation citoyenne via les média (de type cours d'instruction civique pour adultes et modernisé, éclairage de tiers indiscutables et de courants de pensées multiples sur les choix de politiques publiques, communication modernisée (par rapport à la pub avant chaque élection nationale). En résumé : éclairer sur les politiques publiques et donner à penser aux citoyens de façon à permettre à chacun d'élaborer et de confronter ses convictions.
Oui
décomptage des votes blancs lors des élections pour donner des indices d'opinion, sans incidence sur le résultat qui ne doit tenir compte que des votes exprimés
les débats citoyens (débats de consensus) qui permettent d'éclairer les élus sur la sensibilité des citoyens pourraient mieux associer les citoyens.
Je ne sais pas
None
une consultation par débats de consensus, voire de sondage. Mais le budget est trop complexe pour associer réellement les citoyens. C'est un rôle qui appartient à la représentation nationale
Le sénat me paraît remplir son rôle, notamment avec sa sensibilité territoriale. Le CESE devrait être réformé pour mieux représenter la société civile.
Oui
Je ne saurais répondre précisément et c'est justement le problème, c'est que le CESE a une action trop confidentielle auprès du grand public. D'où la nécessité de donner de la vitalité à cette chambre, peut-être en rendant obligatoire la saisine du CESE sur certains de ses avis (si ce n'est déjà le cas), en communiquant sur cette chambre, en modifiant peut-être sa représentation à des groupes (par rotation peut-être) pour ne pas en faire la chasse gardée des grands syndicats. Si le CESE représente la société civile, il faut mieux articuler son travail avec celui de l'AN et du Sénat
Je ne saurais répondre, sauf à souligner l'urgence de réussir à mettre en place une meilleure coordination entre l'Etat et l'islam, qui est le souci actuel, et notamment le financement des mosquée et le contrôle des imams pour éviter les dérives extrêmes
L'instruction civique, modernisée par rapport à ce qui existait avant, du CP à la terminale, doit être érigée comme une matière en soi et non comme un enseignement marginal, trop souvent sacrifié par les enseignants d'histoire. Pour les adultes, cela renvoie aux mêmes solutions que l'association des citoyens à la vie publique
Question complexe. Le retour à une forme de service citoyen-militaire ne peut suffire et sera incompris s'il n'est pas accompagné de tout une réflexion et un travail sur l'engagement citoyen, comment le valoriser, y compris en points retraite, etc
L'espace public n'est pas suffisamment associé à un bien commun dont chacun est responsable - propreté, respect des autres. Toutes choses générales
dès le stade de la scolarisation des jeunes, des actions pourraient être mises en oeuvre, dans le cadre de projets pédagogiques. Tout un travail de responsabilisation est à conduire, qui doit valoriser l'action individuelle, mais dans un contexte collectif. Le monde associatif pourrait se voir confier un travail en ce sens
reconnaître l'utilité sociale de l'engagement, au même titre que le travail salarié : indemnisation, points retraite, assurance; simplifier administrativement la mise en oeuvre d'expérimentations; créer des services d'accompagnement des initiatives et des personnes. L'engagement citoyen ne se développera que s'il est impulsé et accompagné. Un bénévole responsable d'une association passe trop de temps à négocier avec les représentants des administrations. Par ailleurs l'Etat et le droit français ont toujours été très méfiants à l'égard des économies solidaires. Il y a un travail culturel à conduire auprès de l'administration
les incivilités de la vie quotidienne (des déjections animales sur la voirie aux comportement irrespectueux et agressifs de certaines personnes ; des comportements dangereux notamment en voiture)
La France pourrait tester le zéro tolérance comme certaines villes américaines. Mais la répression ne peut venir que dans un continuum de sensibilisation et d'action d'information
beaucoup de français vivent dans la peur d'intervenir et le rôle de chacun est difficile à promouvoir si les mesures collectives ne fonctionnent pas et si les incivilités ne sont pas sanctionnées
J'ai plutôt de la chance de ce point de vue. Sans qu'il s'agisse d'une discrimination à proprement parler, je mentionnerai les harcèlements vis à vis des femmes - que ce soit dans la rue, dans le monde professionnel ou la passivité vis à vis des violences domestiques
ne rien lâcher. Mettre en place des actions de sensibilisation, des sécurités quand c'est possible et des sanctions appliquées concrètement
Oui
cela dépend des allocations et de l'analyse individuelle conduite par les services sociaux. Il ne peut s'agir que de contreparties qui visent à une réinsertion et non pas à punir ou à stigmatiser, surtout quand on sait que nombre de droits ne sont pas réclamés par ceux qui pourraient en bénéficier. Des mesures générales, indifférenciées ne conduiront qu'à des réactions hostiles
la position de la France est assez cohérente et équilibrée : accueil des étrangers dont la France a besoin des compétences, respect du droit d'asile et fermeté sur les entrées irrégulières. Cette politique mériterait d'être mieux relayée et surtout que la mise en oeuvre suive et ne reste pas au niveau des discours comme pour les délais raccourcis pour accorder ou refuser le droit d'asile. Par ailleurs on a suffisamment dit que le problème était moins le nombre d'immigrés que celui de leur insertion. Mais ce constat ne semble pas recevoir une réponse rapide et massive. L'exécutif en reste au niveau des voeux pieux. Par ailleurs, les autorités devraient cesser de poursuivre les personnes qui sauvent des vies.
je pense qu'il s'agit d'une mesure démagogique, d'abord parce que concrètement le nombre d'étrangers qui entrent en situation irrégulière est en baisse, ensuite parce les quotas n'empêcheront jamais les migrants de tenter leur chance et enfin parce que le sujet (voir réponse ci-dessus) est moins le nombre d'immigrés que leur insertion dans la société française
il sera illusoire de vouloir régler le problème à l'intérieur de nos frontières. Il s'agit d'un sujet qui se situe au niveau européen et au-delà pour les pays de sortie. Les tensions qui sont à l'oeuvre entre différents états ne laissent guère d'optimisme sur un traitement coordonné et raisonnable de ce problème. L'immigration économique, climatique, du fait de guerre, continuera et il faut craindre des conséquences très inquiétantes pour nos sociétés démocratique et humaniste. La France a eu une position certainement trop arrogante et comme toujours donneuse de leçons à l'égard des autres pays européens et a été assez lâche vis à vis de la Grèce. Réparer un dialogue entre états doit être un objectif de la diplomatie française, mais c'est bien compromis
logement digne, scolarisation, éviter les ghettos, stabiliser rapidement les familles dans des lieux de vie, aider à l'apprentissage de la langue et du fonctionnement et des valeurs de la France, inciter (en limitant les aides dans le temps) et aider à la recherche d'emploi . Conduire tout un travail avec les habitants français pour un accueil accepté des migrants.
Ce débat est une excellente initiative en espérant qu'elle permettra une sortie de crise. le mouvement à l'origine de ce débat exprime avec brutalité que le choix de société, notamment économique, n'est pas réglé par une élection. Depuis des décennies des choix économiques et territoriaux ont été pris sans que les enjeux, les conséquences aient été présentés et débattus. Il y a un véritable déficit démocratique et je crains qu'il sera difficile de recréer de la confiance. J'exprime un très sérieux doute sur les suites qui seront données à cette consultation. Une partie des citoyens sont désabusés et en colère et l'exécutif ne semble absolument pas prêt à infléchir sa politique.
L'organisation des administrations de l'Etat, au sens très large, présente à mes yeux deux problèmes principaux : d'une part la décentralisation n'a pas été conduite à son terme et les missions des administrations déconcentrées de l'Etat et celles des collectivités territoriales, et des collectivités territoriales entre elles ne sont, au mieux, pas très lisibles, et le plus souvent redondantes. D'où des incompréhensions, des difficultés pour les usagers de s'y retrouver et des coûts et moyens qui pourraient être rationalisés. D'autre part le poids de l'administration centrale au sein de l'administration d'Etat est trop important et conduit à une gestion uniformisée et désincarnée de l'administration, insupportable aujourd'hui où tous les services bancaires, GAFA, etc cherchent à personnaliser le lien avec l'usager ou le client. Une déconcentration plus large de certaines décisions serait la bienvenue. Par ailleurs, au sein de l'administration centrale, le poids de "Bercy" a pris une place dominante, écrasant l'autonomie des autres administrations. Il en découle une véritable pensée unique imposée par la haute fonction publique des Finances et du Budget et une politique uniquement préoccupée de contenir les coûts, au détriment de tout autre enjeu. Le problème n'est d'ailleurs pas réduit à l'administration mais touche l'exécutif dans son ensemble, et principalement le Président de la République et le Premier ministre, ce qui ne rend pas optimiste sur les suites qui seront données au Grand débat, et on voit bien que les agents de l'administration sont particulièrement désabusés et il ne faudrait pas que le Gouvernement prenne la difficulté de mobilisation des syndicats de la fonction publique pour renouveler les erreurs de l'année 2017 à l'occasion de la réforme de la fonction publique
Oui
poursuivre la décentralisation en laissant aux collectivités territoriales le pouvoir de gérer ce qui relève d'une analyse locale. S'ensuivra ensuite la réflexion sur les transferts de financement
Oui
None
les services administratifs de l'hôpital
Non
None
None
impôts (très positif), les services préfectoraux, La Poste, les organismes de SS
la relation avec les services hospitaliers
Oui
Non
None
aucune
Oui
déconcentration de l'administration centrale aux services déconcentrés
Non
None
si la décentralisation et la délégation de missions va plus loin qu'aujourd'hui, l'amélioration sera notable. De nouvelles formes de passerelles seront à mettre en place pour harmoniser le fonctionnement de toutes les fonctions publiques
None
None
None
satisfait de la prise en charge du dossier par le service regroupant toutes les complémentaires AGIRC-ARRCO
globalement satisfait du guichet unique de la MSA et du décompte unique géré par la MSA et la complémentaire
None
None
None
None
None
None
None
None
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
réduire les émissions carbone au niveau de la planète, prioritairement par les pays les développés (y compris la Chine). Il faudrait une gouvernance mondiale plus efficace et une recherche active des consensus
Non
None
Oui
tri des déchets, réduction de l'utilisation des plastiques (eau, emballages), réduction de la consommation d'électricité, réduction de la consommation de viande, tendance à privilégier les circuits courts, privilégie les transports en commun quand c'est possible
un meilleur maillage des transports en commun
None
Oui
les alternatives au chauffage (solaire, pompe à chaleur) sont trop chères. Une aide financière ou une déduction d'impôts
Oui
oui en partie seulement.
Les transports en commun
le Département ou le Territoire
Elle fait ce qu'elle peut
None
Votre message a bien été envoyé.