Date de publication : 2019-02-16
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Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Prendre l'habitude de "rendre des comptes" de manière claire et facilement consultable, tant au niveau de l'Etat que des collectivités territoriales. Evaluer les recettes et les dépenses par citoyen, afin de rendre leur lecture plus attrayante et plus claire, plutôt que de toujours chiffrer par milliards, ce qui ne fait pas toujours sens.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Tous les citoyens devaient payer l’impôt sur le revenu, même pour un très faible montant, et même si la perception n’est pas « rentable ». C’est un impôt direct qui permet au contribuable d’être inclus dans le pacte social et non exclu. Il faudrait certainement revoir les innombrables « niches fiscales », les simplifier et probablement en supprimer. Les GAFA et autres grandes entreprises doivent payer des impôts sur leurs bénéfices en France. Il faudra revenir sur la question de l’ISF après évaluation si les effets attendus ne sont pas là. Egalement taxer les exilés fiscaux qui vont dépenser leur argent à l'étranger mais reviennent se faire soigner en France.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Ce qu’il faudrait pouvoir baisser, ce n’est pas tant les impôts que les charges sociales, qui sont impressionnantes.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Augmenter le temps de travail|Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

RSA

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Notre protection sociale est déjà l'une des meilleures du monde! On ne peut pas toujours tout attendre de l'Etat et de la collectivité

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Le niveau des prélèvements en France est déjà énorme. Plutôt que prélever plus, il faudrait répartir mieux.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faudrait reposer globalement la question du rôle de l’Etat dans notre société, afin de supprimer les dépenses qui ne sont pas, ou plus, de son ressort.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les élus, quels qu'ils soient

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Des délégations de services publics pourraient être faites à des associations. Les syndicat en France ne sont actuellement pas représentatifs.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Il faudrait que tous les élus soient exemplaires. Il faudrait que les élus ne soient pas toujours des professionnels de la politique qui sont présents depuis des dizaines d'années.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

On ne voit pas comment un élu pourrait faire un travail efficace en ayant plusieurs mandats. Le cumul des mandats engendre des "professionnels" de la politique, qui confisquent les postes pendant des années. et qui terminent leur carrière au CESE.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Introduire une dose de proportionnelle, mais attention à l’instabilité permanente et à l’impossibilité de pouvoir décider, comme on le voit dans d'autres pays.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Revoir le millefeuille des collectivités territoriales où on ne sait plus très bien qui fait quoi. En France on a tendance à ajouter des échelons partout sans supprimer ceux qui deviennent obsolètes.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Les citoyens participent beaucoup trop peu aux élections. Même si je ne suis pas favorable a priori aux obligations de toutes sortes, il me semble qu’à cause de la démobilisation actuelle des citoyens pour les élections, il serait nécessaire de rendre le vote obligatoire. Elire des représentants dans une démocratie est à la fois un droit et un devoir.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Si le vote devient obligatoire, il me semble que l’on devrait reconnaître le vote blanc, afin que les électeurs ne votent pas pour n’importe qui dans le cas où ils ne se sentiraient représentés par aucun candidat. Il est très clair que le système actuel ne satisfait pas les citoyens et que bon nombre d’entre eux ne se sentent pas concernés car pas représentés.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Avec Internet, il devrait être possible de consulter les citoyens plus souvent et plus facilement sur des questions importantes ou qui ne font pas consensus. Voir par exemple Open source Politics et ce Grand débat, qui semble bien fonctionner. Evidemment le corollaire c’est faire en sorte que tous les citoyens sachent se servir d’Internet!

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

Le recours aux Référendums est tentant, mais on sait les problèmes qu’ils peuvent causer (cf le Brexit). En ce qui concerne le RIP, il faudrait le réexpliquer aux citoyens. L'initiative pourrait venir aussi des citoyens, mais en veillant à ce que les conditions obligent à ce que l'on ne fasse pas des référendums pour tout et n'importe quoi. Il y a déjà dans nos sociétés des instabilités permanentes dans tous les domaines qui font que le besoin d’adaptation est très important et constant, ce qui est déstabilisant pour beaucoup d’entre nous. L’usage des Referendums semble plus facile et plus efficace au niveau local, sur des questions bien précises qui touchent les gens de près.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Des référendums locaux me semblent plus efficaces et nécessaires que des référendums nationaux.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Le Sénat me semble utile. Cependant, comme pour tous les mandats, le cumul dans le temps devrait être limité, et cette limite applicable rapidement. Une limite d’âge devrait également être appliquée, les parlementaires doivent prendre leur retraite, comme les autres citoyens… Evidemment il semble difficile de demander à des personnes de réduire elles-mêmes leurs prérogatives, ces limitations pourraient être décidées par Référendum.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Le CESE devrait être supprimé ou profondément transformé. Il est invisible et inaudible. Apparemment il est très peu sollicité et il fait double emploi avec les multiples commissions consultatives et rapporteurs divers. Je sais que ce processus est engagé, il doit être poursuivi et accéléré. De plus les membres du CESE bénéficient semble-t-il d’avantages non justifiés. Le CESE semble être plus une institution de retraite pour anciens politiciens ou autres personnalités qu'un organisme utile.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Les principes de la laïcité doivent être sans cesse réaffirmés et réexpliqués. Des sanctions doivent être prises pour tout manquement.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Les valeurs intangibles de la République Française doivent être très claires. Elles doivent être expliquées et réexpliquées, sans cesse, à l’école évidemment mais aussi dans les associations etc. On doit montrer d'où elles viennent et au prix de quels sacrifices elles ont fini par s'imposer dans notre pays. Des sanctions doivent être appliquées en cas de non respect, assorties de rappels à ces valeurs, comme on fait des rappels à la loi.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Il faudrait que les citoyens se sentent écoutés et compris. Evidemment il ne faut pas rêver, tous les citoyens ne vont pas devenir des acteurs dans ce domaine. L'idée d'associer des citoyens tirés au sort à la décision publique me paraît bonne. Cela obligerait les citoyens à être acteurs, même s’ils ne se sentent pas concernés, et cela montrerait la complexité des choses à des personnes qui pensent que « y-a-qu’à » ou « faut qu’on ».

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

La politesse et l'attention au autres

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Une fois encore, c'est l'école qui me paraît la mieux à même de favoriser les comportements civiques, même si évidemment la famille est également concernée. Chacun d'entre nous doit également se sentir concerné et doit rappeler les règles élémentaires chaque fois que cela est possible. Et ce même si l'on pense que cela ne sert à rien, il en restera toujours un petit quelque chose.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

En ce qui concerne l'administration et les pouvoirs publics, il faudrait que les citoyens ne soient pas considérés seulement comme des usagers mais comme des partenaires.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Le plus pénible est pour moi est l'égoïsme et le non respect des autres.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Il faut éduquer sans cesse

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

En tant que citoyen-ne, chaque personne devrait se sentir obligée de respecter et de faire respecter le vivre ensemble.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Le fait d'être une femme

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Ceci est une question très vaste à laquelle il est très difficile de répondre en quelques lignes. Il faut encore et toujours éduquer, expliquer, sanctionner et sans cesse rappeler les règles.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

RSA par exemple, qui est une allocation de solidarité et non une prestation d'assurance. Une contrepartie serait à même de re-socialiser les bénéficiaires.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Je ne vois pas de danger dans la situation de l'immigration en France actuellement. Le droit d'asile est bien entendu intangible.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Des réponses aux différentes situations au cas par cas.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Rappeler fortement et en toute occasion les valeurs de la France, le rôle de l’école est primordial. Les objectifs prioritaires sont ceux de notre devise nationale. La France doit être un exemple pour les autres pays et doit porter les valeurs qui sont les siennes, sans rien céder à l’économie mondialisée et à toutes les forces centrifuges qui se font jour actuellement. Liberté : d’expression, de réunion, de culte, Egalité : devant l’impôt, hommes/femmes, jeunes/vieux, Fraternité : solidarité dans notre système social, accueil des émigrés, aide aux plus démunis,. Et j’ajouterais Laïcité, évidemment. En ce qui concerne la naturalisation : cérémonie d’accueil solennelle obligatoire. Aux Etats-Unis par exemple, la cérémonie est très importante et très émouvante. C’est un rite de passage qui doit rester dans les esprits de ceux qui le vivent. Dans l’ensemble, il faudrait renforcer les rites de passage (remise des diplômes etc.) qui sont très importants comme éléments d’intégration. L’apprentissage du fonctionnement de nos institutions devrait être renforcé. Cet apprentissage est nécessaire pour les nouveaux arrivants, et il ne serait pas superflu pour la plupart les Français.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Citation de Norbert Elias, sociologue, toujours d’actualité : « Dans la pratique de la vie sociale elle-même, ce sont constamment des questions de meilleure adaptation et meilleur équilibre qui se posent. Mais l’appareil conceptuel que l’on utilise pour les régler est encore placé sous le signe des cris de guerre, « Vive le collectivisme ! » ou « Vive l’individualisme ! », avec les solutions diamétralement opposées qu’ils proposent. Si l’on y réfléchit en toute tranquillité, on s’aperçoit sans peine qu’il faut en dernier ressort les deux en même temps : il ne peut y avoir de vie collective harmonieuse au sein du groupe social que si les besoins et les objectifs que les individus conçoivent dans le cadre de la société y trouve un degré suffisant de satisfaction et d’accomplissement ; et il ne peut y avoir un degré suffisant de satisfaction des objectifs individuels que si la structure sociale diversifiée que les individus forment et dont ils entretiennent le fonctionnement par leur propre action est constituée de telle sorte qu’elle n’engendre pas constamment des tensions absurdes et destructrices entre les sous-groupes et les individus eux-mêmes. En pratique, même dans les sociétés étatiques complexes des pays industrialisés, on n’a pas beaucoup avance sur cette voie »…

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Toutes ces problématiques sont importantes et elles sont liées

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Consommer local, consommer moins, consommer mieux. Recycler, transformer, réutiliser, réduire, mieux distribuer

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Ce sont surtout actuellement les canicules et la sécheresse qui me touchent personnellement

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Pour contribuer: Je trier soigneusement mes déchets. Je fais attention à ma consommation d'eau. Je chauffe modérément mon lieu de vie. Je prends les transports en commun chaque fois que c'est possible. J'ai une voiture de petite cylindrée essence qui consomme peu, même si elle est assez ancienne

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Mon mode de chauffage est un chauffage de base collectif par le sol, électrique, complété par des radiateurs électriques individuels privés. Dans mon immeuble, nous nous efforçons de régler au mieux ce chauffage de base, mais il y a des réticences de certains résidents, qui demandent toujours plus de chaleur et qui ne veulent pas utiliser leurs radiateurs d'appoint. En l'état actuel de la loi, il ne nous est pas possible d'individualiser la consommation du chauffage de base (même si cela est techniquement possible, au moins par cage d'escalier), puisque cela changerait le mode de calcul des millièmes de chauffage, ce qui exigerait l'unanimité, qui est impossible à obtenir. Peut-être pourrait-on modifier/compléter la loi pour ce cas particulier.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Des aides faciles à obtenir. Des mesures simples pour faciliter les économies d'énergies en copropriété. L’utilisation des CEE paraît intéressante. Mais elle n’est pas simple à mettre en œuvre. Nous essayons de le faire dans la mienne, sans beaucoup de succès jusqu’à présent. Les intermédiaires privés sont peu fiables, les syndics peu pressés de s’impliquer et les modalités peu connues. Dans notre copropriété, certains d'entre nous essayons de promouvoir les économies d'énergie depuis plus de 10 ans, malheureusement sans grand succès.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Dans une copropriété, il ne s’agit pas de remplacer « sa vieille chaudière » mais le système collectif de chauffage. Contrairement à une idée reçue, tous les copropriétaires ne sont pas des « riches » et ce type de travaux est très onéreux. Et il s’ajoute à de multiples autres obligations de travaux (mise aux normes des ascenseurs par exemple). Même si certains copropriétaires sont sensibilisés au problème des économies d'énergie (surtout ceux qui ont résidents), d'autres ne se sentent pas très concernés.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

L'Etat pour les transports en commun longue distance, la région ou le département pour les transports moyenne ou courte distance et les initiatives privées pour les autres solutions

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

-Montrer l'exemple pour montrer que c'est possible

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Viser à notre indépendance énergétique. Ceux qui doivent être concernés en priorité pour financer la transition écologique sont les « pollueurs » avec le renforcement du principe « pollueur-payeur ». Pourquoi toujours vouloir la croissance à tout prix ? Plutôt que de toujours produire plus, il faudrait produire mieux et mieux répartir.