Bannir le langage technocratique, être simple et concret sans être simpliste ni réducteur. Donner des exemples qui parlent à tous. Mettre les dépenses en perspective d'un projet de société. Là aussi, il faut un langage clair et direct et pas aligner des phrases creuses, pétries de bonnes intentions pour n'oublier personne mais qui ne contente personne. La France n'a plus les moyens de vouloir tout faire et il faudra un jour avoir le courage de faire des choix forts et de les assumer. Cela sera plus facile si le peuple a été associé à ces choix.
Faire une meilleure progressivité dans les tranches de l'impôt sur le revenu. Les changements de palier sont trop importants. Il faut parler vrai aux Français. Nous savons que le pays est endetté au-delà du raisonnable et que c'est une bombe à retardement qui est léguée aux générations futures. Il faut mettre tout le monde un peu à contribution et non plus taper fort sur chacun à tour de rôle.
Aucun. Le budget de la France n'aura pas les moyens de réduire ses recettes tant qu'il ne sera pas parvenu à réduire durablement et notablement ses dépenses. Et réduire un impôt pour en accroître ou en créer un autre est contre-productif car toute modification fiscale à un coût.
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Toutes. Les aides sociales ne doivent concerner que des personnes légalement admises sur le territoire national, sauf à vouloir encourager l'immigration illégale. De même, il devrait y avoir une durée maximale d'allocation. Aucune personne ne devrait être un poids toute sa vie pour la société. Nous confondons depuis trop longtemps solidarité sociale (temporaire, pour aider à surmonter une période difficile) et assistance sociale (sans limite de durée).
Aucun, elle est déjà trop importante et freine l'ensemble de l'activité économique et la rémunération du travail. Le coût social est devenu supérieur à celui de la rémunération nette du travail et c'est dangereux.
Pour une politique volontariste de désendettement, la seule qui puisse permettre un retour sur investissement en permettant, à terme, de s'affranchir de l'étranglement fiscal.
L’État doit sérieusement s'attaquer à la réduction des dépenses publiques. Cela ne sera pas possible tant que nos dirigeants seront atteint de schizophrénie : vouloir faire toujours plus avec toujours moins de moyens. La simplification ne doit pas s'exercer qu'envers le contribuable mais également au sein des services de l’État. Moi-même fonctionnaire depuis plus de 20 ans, j'ai vu arriver toujours plus de procédures de plus en plus complexes. On veut des procédures réactives, ciblées et individualisées mais les applications et logiciels ne sont pas à la hauteur, le recours croissant au personnels contractuels réduit les compétences des services, les changements réguliers de consignes sèment la confusion et les multiples contrôles systématiques accroissent drastiquement la durée de n'importe quel traitement. Avec les outils informatiques existants aujourd'hui, il n'est pas acceptable que le traitement d'une facture coûte plus de 200 € dans l'administration et que plus personne ne comprenne clairement le cheminement du traitement d'une facture. Il faut alléger les procédures et les contrôles. Il faut responsabiliser et assermenter les agents placés à certains postes, mieux les former, faire des contrôles par exceptions (sauf à partir d'un certain montant de factures). Cette montée en compétence et en responsabilité doit s'accompagner d'une revalorisation salariale mesurée pour mieux motiver et associer le personnel concerné. Sans simplification et dotation en logiciels efficaces, il est vain de prétendre réduire les fonctionnaires de manière sensible. Et le recours aux contractuels ne fera qu'aggraver le problème.
Personne car les mandats sont représentatifs et pas impératifs De plus, c'est le règne de l'irresponsabilité, dans la société comme en politique
Non
Aucune. Les associations ne représentent qu'elles et n'ont aucun mandat ni droit de parler pour certaines franges de la population, sauf à les avoir consulté préalablement.
Que les hommes politiques sont intègres, honnêtes et courageux. Ils sont rares mais il faut admettre que la politique ne prédispose guère à ces qualités. Dire la vérité est aujourd'hui dangereux, surtout quand le sujet est sensible.
Une bonne chose
Quand on entend assurer une fonction élective importante, on doit s'y consacrer à plein temps et pas à temps partiel. Toutefois, il faut que les élus nationaux disposent d'un peu de temps pour aller en province et rencontre les français afin de ne pas être "dans leur bulle".
Une part de proportionnelle, mais une part seulement sinon il deviendra impossible d'avoir une majorité à l'assemblée.
Oui
Pourquoi avoir fermé cette question ? Les premiers dont le nombre doit être réduit sont justement les députés et les sénateurs. Il est anormal d'avoir plus de députés (577) et de sénateurs(348) en France qu'aux Etats-Unis (100 sénateurs et 435 parlementaires). Pour le reste, il y a trop de commissions théodules et de conseils bidules pour y placer les vieux fonctionnaires qui n'ont pas rejoindre le sénat. Au niveau local, il faut éviter la multiplicité des vices-Présidents dans n'importe quelle communauté d'agglomération.
Elle est faible, mais les hommes politiques présents aux dernières élections en sont les premiers responsables. Le vote doit rester un acte citoyen volontaire. Tout ceux qui décident de ne pas voter renforce d'autant l'importance du vote de ceux qui font la démarche. Chacun doit être responsable de ses choix.
Oui
En le comptabilisant dans les suffrages exprimés. Contrairement à l'abstention ou au bulletin nul, le vote blanc est une réelle expression.
Le sujet des référendums revient souvent dans le débat, notamment à chaque élection, mais les français n'en voit jamais. Un référendum doit être organisé pour tout sujet important susceptible de modifier la société française ou le contrat social (mariage des homosexuels, PMA/GPA, droit de mourir/euthanasie, etc.). Un référendum doit servir à connaître la volonté du peuple et ne pas être instrumentalisé ou manipulé. Il doit encore moins être ignoré lorsque le résultat n'est pas celui espéré.
Oui
None
Un service en ligne qui permette aux citoyens de proposer des pistes d'économies pour le budget de l’État. Une prime serait attribuée chaque mois à la meilleure proposition retenue.
Tout le monde se le demande...
Oui
Réduire le nombre de sénateurs, supprimer le CESE qui ne fait que produire des rapports que personne ne lit.
L’État est laïc, pas la France. La France est de tradition chrétienne.
Refuser aujourd'hui tout ce qui menace les valeurs intangibles de la République sous peine qu'elles ne le soit plus demain.
Le problème est qu'il n'y a plus une seule société. Il y a celle de chacune des communauté, celle des sans-emplois qui n'en veulent pas, celle des travailleurs et des chômeurs qui veulent un travail, celle des migrants, etc. Tant que chacun vivra selon ses règles, la société continuera à ses déliter.
L'exemplarité, la constance, l'effort.
Cessons de faire croire à tous que tout le monde à le droit au bonheur sans rien faire et cela ira déjà mieux...
Je ne comprends pas la question.
Il faut lutter contre toutes les incivilités et ne pas décider d'ignorer certaines. On met en avant certaines incivilités en ignorant les autres. Aujourd'hui, certaines insultes sont acceptées alors que d'autres vous placeront au ban de la société parce que certains ont décidé de graduer les injures ou que des associations défendent certaines populations et pas d'autres.
Tolérance zéro et sanction immédiate, doublée d'un volet pédagogique et d'une période probatoire pour les récidivistes.
Difficile car ceux qui commettent les incivilités sont rarement ouverts au dialogue et aux critiques. Dénoncer ces personnes ne fait que souvent que vous attirer des ennuis. C'est le problème dans une société dont les lois continuent de protéger ceux qui ne respectent pas les lois.
None
La solidarité et la tolérance ne peuvent exister que s'il existe un minimum d’homogénéité et des valeurs partagées.
Oui
Pas dans un premier temps, mais les personnes qui dépendent durablement de ces aides devraient effectuer quelques travaux dans la mesure de leurs compétences, ne serait-ce que pour prouver -et se prouver ! - qu'elle peuvent encore se rendre utile et garder un lien avec le milieu du travail ou associatif.
La situation est préoccupante et une communauté non intégrée - voire non intégrable - ne cesse de croître dans notre pays. à quoi sert de mettre une politique migratoire en place puisque, dans les faits, elle ne sera pas respectée ? Pour 100 demandes de séjour refusés, combien de demandeurs quittent réellement le territoire national. L’État est incapable de faire appliquer ses décisions. Les demandes de séjours ne devraient pas être faites sur le territoire national. Aucun étranger ne devrait pénétrer le territoire national sans l'accord de ses habitants ou, a minima, de ses représentants.
Encore une fois, à quoi bon puisqu'il suffit de passer la frontière et de squatter ici ou là, avec la bénédiction de quelques samaritains ou associations.
Faire une vraie collaboration au niveau européen pour ne plus accepter cette invasion rampante. Les personnes refusées doivent être ramenées en-dehors de l'Europe et pas simplement renvoyé dans un pays voisin européen. Ok pour accepter certaines personnes dans des situations particulières (menaces de mort). Revoir le rapprochement familial. Le plus petit nombre doit rejoindre le plus grand nombre. Un seul personne ne doit pas pouvoir faire venir 10 autres personnes à lui.
Menacer d’expulsion ceux qui refusent nos valeurs. Les valeurs de la république sont au-dessus des valeurs religieuses et cela doit être compris par tous. Ceux qui ne sont pas d'accord ne doivent pas rester sur le territoire national. Ceux qui arrivent doivent signer une charte mettant en avant les valeurs républicaines et que leur non-respect peut entraîner leur expulsion.
Sans doute mais je doute fort que cela soit pris en compte...
Votre message a bien été envoyé.