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L'impôt sur les successions car, les enfants, notamment, ont souvent été pénalisés par les efforts financiers des parents pour acquérir un bien familial ; on n'a pas toujours mangé à sa faim pour payer les mensualités des prêts. On a donc participé à l'acquisition.
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Je ne peux pas dire que je me sente vraiment représentée dans la société. Une fois l'élection passée, la bataille des égo terminée, le rôle du citoyen est celui d'un petit élève bien sage qui doit respecter la règle que l'on élabore sans son avis. Nous ne sommes, après tout que la "société civile" !!! Qui a, pour la première fois, utilisé cette expression choquante qui scinde la société égalitaire que nous devrions constituer, en deux catégories ? Je me représente, lorsque j'agis, au quotidien. J'essaie de vivre en bonne intelligence avec mes semblables, mais le bal des élus me fatigue. Certes, il y a du travail effectué, des heures et des heures de travail. Mais... en vase clos. Ou alors avec "les partenaires sociaux", dont, hélas, je ne fais pas partie, et qui ne me consultent jamais. Non, vraiment, je ne me sens pas représentée. Je donne un blanc-seing à quelqu'un que je ne connais pas, qui ne me connait pas, le jour de l'élection. Et, pendant tout son mandat, il peut agir à sa guise, sans que je ne puisse lui demander des comptes.
Oui
Les syndicats pourraient être utiles. Mais, pour avoir assisté, une fois, à une réunion de responsables, je suis très dubitative... Les organisations professionnelles ? Mais qui en désigne vraiment les membres ? J'en viens à me demander, si, comme pour les assises, il ne faudrait pas tirer au sort, chaque année, des gens citoyens, qui ont participé aux suffrages, et leur donner la possibilité de se faire les porte-parole de leurs collègues. Il y a, naturellement, le risque de tomber sur des personnes illettrées ou un peu fanatisées, mais, le nombre aidant, et le changement annuel aussi, leur influence devrait être marginale. Finalement, on en revient un peu à l'idée de la démocratie athénienne, avec une circulation de la responsabilité citoyenne au fil des ans.
Des réunions à thèmes, avec des secrétaires qui seraient chargés de prendre des notes et des groupes qui en feraient la synthèse pour leur représentant, puis, avec lui.
Une bonne chose
La démocratie étant le pouvoir du peuple pour le gouvernement de la cité, il n'y a aucune raison que les pouvoirs soient accumulés entre les mains des mêmes, tandis que d'autres n'ont pas leur mot à dire.
Grosse difficulté, tant qu'il y a des partis aussi extrêmistes que ceux que l'on connaît aujourd'hui. Une famille empoisonne le pays depuis un demi-siècle, cela suffit ! Sinon, la proportionnelle serait un système intéressant.
Non
Non, car la démocratie nécessite la participation d'un maximum de personnes. D'où la nécessité d'interdire le cumul des mandats.
Les citoyens qui ne se sentent pas concernés, ne votent pas, cela me paraît normal. En revanche, lorsqu'aucun candidat ne paraît convenir, mais que l'on se déplace pour mettre un bulletin dans l'urne, la prise en considération du vote blanc est indispensable. Certes, le risque est de devoir recommencer l'élection, faute d'un nombre insuffisant de voix. Et alors ? Lorsque l'on regarde autour de soi, on voit des quantité de gens formidables, qui seraient capables d'assumer des responsabilités dans le pays. Mais ils ne cherchent même pas à se présenter, tant la "classe" politique (drôle de chose, dans une démocratie) s'est emparée du pouvoir et en a fait une ploutocratie. Si les votes blancs contribuent à mettre les professionnels de la politique sur la touche, au profit de gens investis, qui n'ont pas soif de pouvoir, mais envie de faire bouger les choses, ce sera une bonne chose.
Oui
Au même titre que les autres suffrages exprimés, c'est-à-dire en comptabilisant les bulletins blancs comme des suffrages exprimés, en pourcentages du total.
Il faut faciliter la création de lieux de rencontre et d'échanges entre les gens et, ponctuellement, demander à tous ces groupes de réfléchir sur telle ou telle question qui aura pu être retenue, car revenue dans de nombreuses discussions.
Oui
Des pétitions circulent sur le net. Pourquoi ne pas les prendre en compte à partir d'un certain nombre de signataires. Bien sûr, il faut probablement changer les modalités de signature, en s'assurant que les signataires existent bien, qu'ils en signent pas plusieurs fois, etc. Mais il ma semble que des consultations populaires pourraient très bien être faites via le net, comme l'est ce débat. Cela serait moins coûteux que les élections avec bureau de vote.
Il faudrait faire la liste des besoins les plus importants exprimés par les citoyens et cibler les plus urgents.
La société civile n'existe que lorsqu'on la place côté de l'armée ou du clergé !!!! Le corps des citoyens, qui forme la nation, ne fait qu'un !!!! Que nos représentants, qui ne sont que des gens parmi les autres, se mettent davantage à l'écoute de la population, qu'ils soient plus accessibles, et moins occupés à des inaugurations et cocktails divers et variés, vrais gouffres pour l'argent public. Être représentant du peuple est une charge et présente des risques : cela signifie qu'il faut aller à la rencontre des gens, pas seulement pour serrer des mains sur les marchés pour gagner ds voix, mais se confronter, en personne, à la population, au cours de débats, de réunions et d'échanges sur des sujets reçus d'elle. Ceux qui n'auront pas le courage de quitter leurs salons et leur gardes du corps abandonneront la partie à plus courageux qu'eux. Le contact avec le corps électoral est indispensable et pas en passant par des repas des "amis du maire" ou autres fadaises. Cesser de considérer que l'on "a le pouvoir", mais savoir que l'on "est au service de ses pairs". Tant que les élus n'auront pas cet état d'esprit, rien n'avancera. Ils continueront à aller aux séances de mercredi, pour ricaner quand leurs adversaires parlent, et dormir ou s'écrire des petits mots, comme des collégiens, pendant que les autres parlent.
Oui
Il me semble déjà que la Constitution originelle de la Vème République interdisait la "discipline de vote"... et bien, il faudrait revenir aux origines. Que chacun apporte avec lui l'opinion de ses électeurs, et non celle dictée par son parti. Ce serait déjà une bonne chose. Que chacun vote en son nom propre et qu'un seul élu ne puisse pas, en l'absence de ses collègues, tourner des clés pour voter à leur place. On s'éreinte, à faire de la politique ? Oui, c'est normal. Une fois éreinté, on laisse la place à quelqu'un d'autre. On ne s'encroûte pas dans une fonction qui devient un métier, au lieu d'être un service.
Oui, pour toutes les religions. Mais la laïcité dans son sens originel, où chacun est libre de pratiquer la religion qui lui convient. Et non, une laïcité violente qui va jusqu'à interdire de chanter "Frère Jacques" en maternelle ! La religion est quelque chose qui colle à l'Homme depuis la Préhistoire, acceptons qu'elle existe, sans agression, ni d'un côté, ni d'un autre.
Éduquons les enfants. Éduquons-les vraiment... Pas en les entassant à plus de trente dans des salles de classes où ils ne peuvent pas bouger de la journée. Éduquons-les à être ce qu'ils ont à devenir, chacun, individuellement, en respectant leur être profond et leur rythme personnel. Cessons de faire peser sur eux nos peurs d'adultes. N'ayons pas peur de leur dire non, lorsqu'il le faut. Et, n'oublions pas que l'éducation ne se réduisant pas à l'école, il peut être nécessaire d'assurer des permanences gratuites, dans les espaces publics, en dehors des heures et des jours de classe. Qu'aucun de nos petits se retrouve livré à la rue, à quelle qu'heure du jour ou de la nuit. Qu'i trouve toujours un lieu d'accueil, où il pourra se ressourcer auprès d'adultes qui lui transmettront quelque chose de la vie : des éducateurs, pourquoi pas, des professeurs, aussi, mais parfois, de simples adultes capables de raconter une histoire ou d'apprendre à bricoler. Plus d'enfant dans la rue, seul ! Ce n'est pas tolérable. Là où les familles ne peuvent assumer l'éducation, c'est aux autres adultes de le faire, soutenus et aidés par les pouvoirs publics.
Il faut tout simplement proposer des actions concrètes aux gens. Des actions variées, de façon à ce que tout le monde y trouve son compte. Tout le monde n'est pas à même de ramasser les sdf dans les rues, mais il y a tant d'autres choses à faire.
Renforcer les liens sociaux. A regarder les gilets jaunes, il m'a semblé que le fait de se retrouver ensemble a été, pour beaucoup d'entre eux, un élément aussi important que les revendications qu'ils portaient. Il est indispensable de redonner aux gens la confiance en leurs semblables. Le lien social s'est totalement délité, dans certains endroits. Chacun est en face à face avec son écran. Mais, lorsqu'on se parle, lorsqu'on fait des choses ensemble, les yeux s'éclairent et les sourires refleurissent sur les lèvres. Entreprendre des projets communs dans les villes et les quartiers ne peut que servir la vie sociale et faire renaître les comportement civiques par la prise en compte de l'autre. Nous sommes trois nombreux à traverser la ville en nous enveloppant d'une bulle protectrice qui nous éloigne des autres. Varions les activités communes et chacun y trouvera son compte.
Je l'ai plus ou moins déjà développé plus haut.
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Les incivilités au volant : distance de sécurité non respectée, queues de poisson, klaxon, excès de vitesse... qui sont vraisemblablement le résultat du stress dans lequel nous vivons et qui nous tue, mais aussi d'une éducation manquée. Le bruit, aussi, est fréquent. Le manque de respect de la propreté des lieux collectifs et la dégradation du mobilier urbain. Le vocabulaire et les insultes qui fusent. Il est difficile de régler des problèmes aussi nombreux et relevant de comportements reptiliens en quelques années. Mais, si l'on développe une vie sociale plus paisible et bienveillante, dans l'ensemble de la population, la violence finira par baisser un peu. Pour l'instant, nous vivons dans une société où un regard peut, seul, être pris pour une agression... Il y a donc beaucoup à faire. Là encore, l'éducation est une priorité. Apprendre aux enfants qu'ils ne sont pas les seuls au monde et que leurs désirs ne sont pas des ordres devant lesquels tout doit céder. Leur expliquer que tout droit est assorti d'un devoir.
Il faudrait, à la fois, fournir des
Ne pas répondre à une incivilité par une autre incivilité.
Le mépris des personnes âgées (les "petits" vieux), les insultes lancées aux gens dont l'apparence est différente des canons actuels (les personnes grosses), le racisme, naturellement, et l'antisémitisme. L'antichristianisme, aussi, même si le terme n'est pas usité. Le mépris de l'intellectuel, le mépris du manuel, le mépris du pauvre.
On avance beaucoup, depuis un certain temps, notamment grâce à la normalisation de l'homosexualité, de la transexualité, de l'homoparentalité. Mais les racismes perdurent et, ces derniers temps, semblent même se réveiller dangereusement.
Non
La solidarité n'attend pas de contrepartie, mais, si elle est bien dispensée, elle peut en amener. Alors, pourquoi ne pas proposer, aux gens qui ont été aidés, la possibilité d'aider à leur tour, en utilisant leur expérience pour améliorer les aides ?
Il faudrait déjà que les gens arrivent à comprendre qu'une personne d'origine étrangère peut très bien être française et que le pourcentage d'immigrés n'est pas bien plus élevé qu'au cours du XXè siècle. Nous avons la chance d'être Français, combien de gens nous envient... !!! Mais il nous faudrait comprendre que nous n'en avons aucun mérite, et que la terre, finalement, ne nous appartient pas, nous ne faisons qu'y passer, pendant quelques dizaines d'années. De tout temps, l'hospitalité a été une vertu. Elle semble bien oubliée aujourd'hui. Ceci dit, les ressources sont limitées et chacun veut conserver sa qualité de vie. Il faut donc demander aux économistes et aux sociologues de faire une large étude et la présenter, peu à peu, à nos concitoyens, preuves en main, de façon à ce que chacun puisse comprendre la détresse des migrants, et la richesse qu'ils peuvent apporter à notre nation. Mais il est aussi nécessaire de calculer ce qui est raisonnable de faire. Ici, la demande d'une contrepartie à l'aide apportée pourrait être utile, car elle désamorcerait un peu les déclarations claironnées qui veulent faire croire qu'un migrant, sans rien faire, aurait plus qu'un Français.
Il paraît indispensable, en effet, de se donner des objectifs raisonnables et de les expliquer à la population. Ensuite, il serait souhaitable de se demander quelles régions sont à même d'accueillir et d'intégrer les migrants. Pourquoi pas, non plus, aider les familles qui souhaiteraient accueillir quelqu'un sous leur toit, mais qui n'osent pas le faire sans garantie que la personne est de confiance et sans aide matérielle ou sociale ? Là, pourraient aussi intervenir des baisses d'impôts. Idem pour les sdf.
Que ce soit pour le développement durable ou pour les migrations, qui ne font que commencer, il va falloir se préparer à la décroissance matérielle. Ce sera difficile. Mais, si la décroissance matérielle est compensée par la croissance de lien social, nous y trouverons notre compte.
Il ne faut pas créer des ghettos, comme on l'a fait autrefois. Sinon, on va se retrouver avec un patchwork de peuples qui garderont leurs modes de vie, au lieu de s'intégrer. Peut-être faudrait-il, au moment où l'on accueille les migrants, trouver un moyen d'évaluer leur envie de s'adapter.
Liberté, Égalité, Fraternité. C'est trois mots suffisent. Que l'on n'y ajoute pas Laïcité, car ce mot prête trop à confusion et entraîne des violences.
L'organisation de l'Etat est satisfaisante. L'administration... c'est plus compliqué. Il y a beaucoup de lourdeurs dûes, notamment aux divers services qui ne sont pas toujours en connexions les uns avec les autres.
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Oui
L'aide aux personnes dépendantes et à leurs aidants.
Si toutes les démarches pouvaient être faites par internet, ce serait formidable, car cela laisserait plus de temps aux fonctionnaires pour accueillir les demandes non conventionnelles et pour aider les personnes qui ne se débrouillent pas ou rencontrent des difficultés.
Oui
Oui
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Le contact avec le public est, dans l'ensemble, plus chaleureux. L'utilisation d'internet facilite les démarches.
La Poste !!!!!!!
Oui
Oui
Un oubli de paiement de l'impôt
Les objectifs et les exigences que l'on demande aux gens qui travaillent dans certaines administrations sont destructrices et génèrent une tension au travail qui entraîne des pathologies très dommageables. Le découragement et la non reconnaissance ne sont pas des techniques efficaces de travail.
Oui
Il faut leur laisser juger de la gravité ou de l'urgence d'une situation.
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Peut-être aider les gens les moins instruits, ou ceux qui n'ont pas accès à internet, à oser faire des demandes et les aider à le faire.
Les formations publiques sont en général, en présentiel et on ne peut les suivre en travaillant. J'ai donc pris une formation privée, le reste étant trop compliqué.
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Aide pour une personne âgée dépendante : Point positif : déplacement à domicile. Point négatif : avis tranchant qui aurait pu amener la personne en placement contre son gré et celui de sa famille ; pas de suivi de la situation et aucune prise en compte de l'aidant.
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Difficile, quand on est enseignant, d'envisager une reconversion par création d'entreprise, puisque l'on doit tout son temps à la collectivité, même si on choisit un mi-temps.... !!! Une année sabbatique ? On perd son poste !!! Que faire ? Difficile d'avoir l'esprit d'entreprise.
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Comme dans tous les autres domaines de la vie en société, il est nécessaire d'introduire plus d'humain dans l'administration. Chaque cas est particulier et on manque d'interlocuteur qui puisse trancher pour aider à résoudre des situations pas toujours classiques. Beaucoup de stress, parfois, pour des choses qui ne devraient pas en valoir la peine. Or, le stress détruit l'être, on le sait.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Il faudrait véritablement prendre du temps pour informer les gens, en particulier les enfants. Créer des groupes de sensibilisation et d'observation intergénérationnels, avec de petites missions qui impliquent les personnes permettrait d'impliquer davantage les citoyens et les futurs citoyens à l'ampleur du problème. Quand on est acteur, on devient très engagé dans les luttes. Cela permettrait, en outre, de créer des liens, ce qui manque cruellement à notre société actuelle. Multiplier les espaces verts, dans lesquels les règles de respect des espèces seraient auto-gérées pourrait aussi être un plus. Même si cela ne se fera pas en un claquement de doigts. Mais, en donnant aux gens la possibilité de se retrouver dans des espaces verts, pour des réalisations concrètes, serait très important, à la fois pour la vie sociale, qui est en grande souffrance, et pour le respect de l'environnement.
Oui
Le déplacement de certaines espèces nuisibles, je pense, notamment aux moustiques tigres, qui deviennent un véritable fléau dans le sud.
Oui
J'essaie de réduire la consommation de produits qui ont un impact négatif sur l'environnement. Mais c'est très difficile, lorsque l'on voit que beaucoup de produits dit bio sont emballés dans plusieurs épaisseurs de plastique... par exemple. Je respecte au mieux le tri sélectif, mais il est bien incomplet. Je change de plus en plus mes habitudes alimentaires, et je vais probablement essayer d'en faire autant pour mes habitudes vestimentaires, auxquelles je n'avais pas pensé jusque-là. Reste le problème du transport. J'habite une ville où les piste cyclables sont extrêmement dangereuses. Mon désir de rouler en vélo n'est pas réalisable dans l'état actuel des structures.
Comme je l'ai dit, des pistes cyclables vraiment sécurisées (comme celles de Strasbourg, par exemple) m'inciteraient vraiment à rouler en vélo.
La sécurité dans les transports en commun, ainsi que leur propreté, et un vrai réseau pour les cycles.
Oui
J'envisageais une chaudière à condensation, mais le prix est très élevé. Le poêle à granules est un peu insuffisant pour mon habitation. J'ai changé le chauffage au fioul pour des radiateurs électriques, mais le problème de l'électricité demeure (production nucléaire...).
Non
J'habite en zone périurbaine et j'ai des horaires qui sont difficiles à accorder avec ceux des autres.
Le vélo|Sans plaisanter, les voitures à traction animales seraient-elles une solution envisageable ? Si oui, je suis prête à investir.
Le ministère chargé des transports, ainsi que celui de l'environnement sont à même de nous suggérer les meilleures solutions. A nous, ensuite, de faire en sorte de les adopter. Mais, pour cela, il faut des outils de comparaison (efficacité environnementale, prix compétitifs, facilités de paiement fractionné, et, si cela est possible, des déductions fiscales).
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Je pense qu'il est important de développer les espaces cultivés, au sein des villes : jardins partagés, agriculture raisonnée. Il faut absolument stopper l'utilisation des produits dangereux pour la santé !!!
Votre message a bien été envoyé.