en tant qu'usager, nous devrions connaître la part que nous payons du service et la part que les citoyens nous offrent pour les entreprises, les infrastructures financées par les services publics et les formations qui font de leurs salariés des professionnels sont déterminantes. il faudrait pouvoir estimer cette part de la valeur ajoutée qui dépend de la dépense publique.
les écarts entre revenus sont trop élevés. le travail est trop taxé par rapport au capital. les défiscalisations ne devraient être acceptées que si elle permettent de financer des projets de bien commun (et non des résidences tourisme pour individus aisés) des contreparties réelles et mesurées aux subventions ou aides aux entreprises.
tva sur les produits de 1ère nécessité
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|ponctionner franchement les entreprises qui délocalisent ou licencient alors que leur chiffre d'affaires est solide.
au-delà de l'aide sociale, prévoir un accompagnement suffisant en lien avec l'âge, les cassures de la vie et les conditions de santé. L'idée de l'aide sociale est quand-même d'en sortir. généraliser le principe de réciprocité (cf. exemple du CCAS d'Angers qui est très concluant) pour des jeunes à la dérive, un accompagnement structurant : projets sur voiliers, randonnées, chantiers, qui enseignent le sens de l'essentiel, de la survie et du dépassement de soi.
prévenir les soucis dès le plus jeune âge. le service public doit se substituer aux familles maltraitantes en assurant aux enfants très tôt des chances pour se construire. handicap seniors isolés : en travaillant d'abord sur le tissu relationnel : voisins, associations (exemple des pays-bas cité par Frédéric Laloux)
protection de l'enfance
encourager ceux qui ne veulent pas payer d'impôts à donner du temps pour le bien commun. transformer euros en heures ?
ça dépend des hommes et des femmes convaincus, à l'écoute et qui roulent pour l'intérêt général
Oui
associations reconnues d'intérêt général, laïques, renouvelées, qui savent appeler les bonnes volontés et qui sont "professionnelles" dans leur fonctionnement et leur gestion.
exemplarité, tirage au sort dans les débats publics, des élus en immersion réelle qui comprennent et éprouvent la vie de tous un paysage politique qui ressemble davantage à la société : part ouvrier / cadres, hommes / femmes, une formation des élus locaux, surtout des petits territoires, qui ont du mal à se faire entendre.
Je ne sais pas
non cumul des mandats dans le temps est prioritaire
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Oui
les élus locaux font un travail formidable, mais certains cumulent les fonctions honorifiques : CA d'hôpitaux, de CCAS et ne préparent pas du tout leurs dossiers. Mieux vaut qu'ils soient moins nombreux dans ce cas.
des programmes vraiment co-construits avec les électeurs, au lieu de débats démagogiques où les petites phrases et le souci d'image prennent le pas sur les questions de fond. la politique doit rendre chacun plus intelligent, c'est rarement le cas.
Oui
c'est un signal important de la crise politique. un vote blanc trop important doit entraîner l'organisation d'une réelle écoute des citoyens.
tirage au sort éducation au débat bien plus approfondie qu'aujourd'hui (philosophie seulement en terminale) Formation généralisée à la communication inter-individuelle et à l'écoute
Je ne sais pas
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La loi donne cette possibilité mais est rarement utilisée. les rapports alarmants de la chambre des comptes pourraient être analysés par des citoyens chargés de formuler des prescriptions à la collectivité ou au service mauvais gestionnaire. systématiser des évaluations ex ante par les citoyens pour éviter les dépenses inutiles.
au-delà des préconisations, des leviers financiers réels pour encourager les bonnes initiatives. des enveloppes innovation (ex : Marseille solutions, catalyseur de changement)
Oui
réellement représentatifs et avec l'obligation d'immersion dans le réel et pas seulement palabre et écriture.
les principes sont déjà forts.
par les personnalités importantes de chaque religion. se baser sur ceux qui ont du crédit.
obligation pour les jeunes de donner de leur temps (ce qui suppose de bien professionnaliser leur accueil dans les associations, les collectivités...)
pollueur = payeur. créateur d'un problème = chargé de sa résolution formation de tous à la médiation, à l'écoute, à l'intelligence relationnelle
une attention aux personnes en repli, qui ne se sentent d'aucun réseau, d'aucun poids et d'aucune responsabilité. financer des accompagnements type coaching pour aider la résolution de problèmes, la lucidité sur les relations aux autres et sur l'environnement.
revoir notre rapport au travail. tout s'accélère et on oublie l'essentiel
agressivité dans les rapports, non respect des handicaps, jet de détritus dans les espaces publics,
réunir la société, faire sentir que chacun y a une place de manière inconditionnelle. et punir les comportements contrevenants comme "apprentissage" d'autres façons de faire.
apprendre à dire ce que l'on ressent sans agressivité
témoin de racisme mépris ostensible pour des personnes qui s'expriment mal
répandre les écrits d'Edgar Morin et notamment les 7 savoirs nécessaires à l'éducation du futur. exemplarité des dirigeants
Oui
du temps "constructif" pour aider les services publics à s'améliorer des coups de main dans la commune
un critère d'humanité et d'hospitalité en premier lieu
Non, je n'en comprends pas l'intérêt
travailler en amont, par une géopolitique ambitieuse et des vraies choix économiques dans les pays en hémorragie
occasion de revitaliser les campagnes absolument enseigner la langue française éviter les ghettos
écouter vraiment les élus locaux et associations qui ont trouvé des solutions opérantes pour l'intégration des personnes immigrées travailler psychologiquement avec les personnes qui ont été traumatisées lutter contre la montée des extrêmes en inscrivant dans la constitution des outils démocratiques : défenseur des droits ou conseil constitutionnel compétents pour reprogrammer des élections si des droits fondamentaux ont été bafoués.
Les collectivités territoriales ont un fonctionnement réactif et constructif qui s'adapte bien aux besoins des habitants. Seul problème : les dérives des élus ne sont pas recadrées, ce qui induit souvent du gaspillage. Les élus locaux devraient garder un rôle de représentation : définir le bien commun, mais pas un rôle de gestion quotidienne des services, qui serait plus utilement confiée à des professionnels devant rendre compte devant les citoyens.
Non
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Oui
Non, nous sommes bien équipés en services de loisirs. il manque des services de médiation ou conciliation pour prévenir les difficultés d'ordre relationnel : entre parents, voisins...
pas de priorité à Internet, ça a déjà bien avancé. priorité aux services qui nécessitent des compétences humaines
Oui
Oui
moins de guerres de clochers entre les différentes administrations qui mettent les agents polyvalents en difficulté. un recours plus systématique à la médiation ou à la conciliation.
Education nationale : beaucoup d'efforts pour les nouvelles méthodes permanence conciliateurs ou médiateurs ou défenseur des droits accessibilité renforcée pour les personnes porteurs de handicap informations en ligne sur les sites de tous les services publics service des déchets : plus de prévention des déchets bibliothèques : des lieux de service public de plus en plus variés et intéressants équipements en pistes cyclables et liaisons douces facilité accrue pour créer une entreprise pour gérer les déclarations fiscales
la justice le service public d'orientation la santé : plus de prévention, moins de médicaments police et gendarmerie : une gestion différenciée de la présence et des patrouilles au regard des vrais besoins de sécurité. L'image de ces services est très mauvaise quand on ne voit les gendarmes que cachés dans les buissons pour attraper les voitures à la jumelle dans des zones sans danger. à l'inverse, des quartiers peu sécurisés et des routes dangereuses mériteraient d'être davantage surveillés. une reprise en gestion publique de réseaux de bien commun : eau, transport ferroviaire, électricité les autoroutes doivent être reprises en gestion publique.
Oui
Non
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urbanisme, cadastre : un non-spécialiste ne s'y retrouve pas. le greffe et le notariat : ont trop peu participé à l'évolution des services publics des formulaires très clairs sur service-public.fr mais qui sont transformés dans l'administration de terrain.
Oui
vérifier leur incorruptibilité et assurer un management de proximité soutenant
Oui
sans formation, les agents public ne peuvent pas délivrer les services attendus par les citoyens. insister sur la formation des managers. permettre des coachings dès qu'une perte de vitesse s'annonce. La motivation des agents sur toute la carrière devrait être soignée.
revoir le statut : garantir une vraie indépendance à l'égard des politiques, faciliter le licenciement pour incompétence, permettre une rupture conventionnelle comme dans le privé. systématiser l'évaluation des politiques publiques pour éviter l"empilement et ne financer que ce qui est de meilleure valeur ajoutée au regard du bien commun.
positif : les maisons de l'emploi, les MOOC, les informations sur les contenus. à améliorer : l'information sur le financement
école publique : beaucoup d'efforts des enseignants pour élever les enfants. collège : des professeurs démotivés pour moitié à améliorer : le climat, les tensions, les handicaps. Je constate que les enseignants sont souvent démunis. les projets autour de la médiation et l'accompagnement individuel sont très positifs mais trop rares.
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du mieux : tout est traçable dans ameli. encore trop de réflexe à prescrire des médicaments alors que d'autres techniques font leurs preuves : sport, hypnose, phytothérapie...
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beaucoup plus facile qu'auparavant, mais il manque une information globale sur tous les droits et devoirs. Exemple : on crée sans savoir combien on devra payer de CFE en fin d'année. C'est la découverte.
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avant de parler de moyens, parlons de service public : que veut-on financer en priorité ? à quoi est-on prêt à renoncer ? que peut-on prendre en charge par nous-mêmes en tant que citoyens ? la logique qui prévaut est celle de l'investissement. Considérons donc que les agents publics sont de l'investissement et non "une charge" de fonctionnement.
La pollution de l'air
faire supporter le coût de prise en charge de l'asthme et des problèmes pulmonaires des bébés par des entreprises qui sont en retard dans la lutte contre la pollution
Oui
un climat de stress ambiant et un sentiment d'impuissance à ne pas voir le virage se produire.
Oui
déjà : inscription famille à énergie positive trajets train vélo et covoiturage attention aux déchets (à renforcer encore) pas d'achat de plats cuisinés recyclage et récupération de vêtements financement participatif agriculture bio à faire : un compteur électrique qui montre en euros la consommation d'énergie. acheter encore plus des produits locaux
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Non
déjà géothermie
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Le transport à la demande
une coordination par les communes ou intercos des infrastructures financées par l'Etat
vous induisez que la France est exemplaire ? Je ne crois pas...
le mode de production est resté le même, indexé sur la croissance et le PIB les indicateurs à observer doivent changer : indice de développement humain, oxygène, santé chez les enfants, biodiversité. La course à la croissance ne donne rien et ne profite pas à tous.
Votre message a bien été envoyé.