Aucun candidat ne pouvant représenter l'intégralité du spectre de mes idées, j'ai toujours voté par défaut. Le problème récurrent est d'arriver à trouver un candidat visant l'intérêt général, ne pratiquant aucun clientélisme et auquel se fier.
Non
J'estime qu'une association ou un syndicat doit faire exclusivement appel aux dons privés. Je propose l'interdiction des subventions publiques aux associations et aux syndicats.
Que les élus aient le courage de tenir leurs engagements (à l'instar d'une Margaret Thatcher).
Une bonne chose
Parce que cela ne se fait pas dans les autres pays et pour la même raison qu'un prêtre ou un adjudant ne cumule pas d'emploi d'évêque ou de colonel: qui trop embrasse mal étreint. Et en période de chômage chronique, ne convient-il pas de partager les jobs (et les droits à retraite qu'ils apportent)? Depuis l'abolition des privilèges en 1792, il est temps qu'un candidat politique soit élu pour faire le grand ménage et remettre tout à plat. La proposition du point universel de retraite pour tous va dans le bon sens (correspondant au mot "égalité" de notre devise). Il faut étendre cette mesure à tous les privilèges qui demeurent encore dans les pratiques de la République.
- Parler franc comme l'a fait l'actuel président (en dépit des réactions cutanées des bien-pensants) et mettre un terme à la pratique du langage avec des pincettes ménageant les différentes sensibilités, c'est-à-dire principalement vis-à-vis des "communautés". Le peuple fait un, et il convient d'adopter un seul langage, sans pincettes. - Introduire une dose de proportionnelle à l'élection des assemblées législatives ferait courir le risque de revenir aux turpitudes et lenteurs d'avant la 5e République. - Pourquoi ne pas essayer de mettre en place un mode électoral à l'australienne (qui au 1er tour écarte les listes ou candidats que l'électeur ne veut surtout pas voir élus et qui au 2nd tour retient les listes ou candidats qu'il tient le plus à élever au rang d'élus)? Ce mode de scrutin serait plus constructif qu'une illusoire reconnaissance du vote blanc. -
Oui
- Pour sa couverture téléphonique, la France est divisée en 5 zones, et aucun Français ne semble s'en plaindre. Le président précédent aurait dû s'inspirer de ce découpage pour reconfigurer et y calquer la France administrative en 5 grandes régions. C'était (et cela demeure) un moyen de réduire le nombre d'élus de façon conséquente. - Un autre moyen de réduire les frais de fonctionnement de l'administration est le passage au tout-internet (comme en Estonie pour l'administration et comme au Danemark pour la gestion des dossiers médicaux).
None
None
A quel progrès la prise en compte du vote blanc va-t-elle conduire en pratique? Mieux vaut intégrer en amont la proposition de nouveaux paramètres ou de nouvelles nuances (comme suggéré plus haut avec l'exemple du mode de scrutin australien).
S'inspirer de systèmes existants ayant fait leurs preuves sur le long terme (du type suisse avec ses votations régulières ou du type américain avec ses référendums).
Oui
En s'inspirant de systèmes existant ailleurs et en en retirant le meilleur à la lumière de l'expérience.
- S'inspirer de systèmes existant ailleurs. - Inscrire dans la Constitution l'obligation pour les instances dirigeantes de voter des budgets annuels à l'équilibre et de rendre exécutoires avec effet immédiat les avis de la Cour des Comptes. - Inscrire dans la Constitution l'obligation d'imposer un plafond annuel d'emprunts assortie de l'obligation de les rembourser selon un calendrier n'autorisant aucune exception (que l'Etat montre l'exemple d'un professionnalisme inattaquable).
Mais pourquoi vouloir à tout prix maintenir des institutions coûteuses et largement ignorées du grand public qui font plus ou moins double emploi avec l'Assemblée nationale? Il semble possible de faire réaliser de grandes économies au contribuable en confiant l'élaboration des rapports sur les questions spécifiques à des personnels ponctuels rattachés à l'Assemblée et à des experts privés.
Oui
En les abolissant une fois pour toutes.
- Au XXIe siècle, il me semble que l'athéisme serait davantage de rigueur que la laïcité mais bon, nous avons suffisamment de chats à fouetter et il faut donc maintenir et faire valoir le devoir de laïcité, qui constitue une spécificité française dont chaque Français peut s'honorer (en attendant l'avènement de l'athéisme...). - Les religions sont cause de guerres. Il est scandaleux que des écrits religieux tels que le talmud et le coran (qui proclament haut et fort des valeurs radicalement contraires aux valeurs de la république) n'aient jamais été frappés d'anti-constitutionnalité. Je propose donc que la République française s'empare de cette question et déclare de tels livres anti-constitutionnels puis les censure enfin sans perdre de temps. - La loi interdit le port de signes religieux ostentatoires. Dans l'espace public, j'observe qu'on ne voit plus aucun signe chrétien (médaille, croix, sainte-vierge) alors qu'on continue à voir des kippas, des djellabas et des voiles en très grand nombre. Pourquoi l'Etat tolère-t-il ce "deux poids, deux mesures"? Est-ce cela, la pratique de la laïcité? Est-ce cela, la religion tolérée comme une affaire d'ordre strictement privé? Pourquoi le privé est-il ainsi exhibé sur la voie publique? Le naturisme est une pratique (ou une religion) privée, mais a-t-on jamais laissé un naturiste pratiquant libre de se rendre nu sur la voie publique? Alors, je répète, pourquoi "deux poids, deux mesures"? - Je propose aussi l'interdiction catégorique et définitive sur le territoire français de la pratique de la circoncision (et de l'excision) sur des mineurs de moins de 18 ans (y recourir une fois atteint l'âge de la majorité y ajouterait en revanche du panache, à condition toutefois que l'opération soit payée sur les deniers de chaque intéressé). Malgré toutes les dénégations des pratiquants sur le sujet, la circoncision est bel et bien une mutilation du corps, et je propose que ceux qui la pratiquent soient assujettis à des peines pénales. - Je propose enfin que l'Etat trouve des moyens renforcés pour faire respecter l'interdiction de la polygamie, qui coûte tant d'argent à nos caisses d'allocations familiales.
- Un moyen est de s'inspirer en la matière des expériences réussies d'autres pays. - Dans tous les cas, il est plus que temps de mettre fin aux zones de non-droit (et de non-respect des valeurs intangibles de la République). La compréhension réciproque réside tout simplement dans le strict respect des lois de la République (pourquoi cette insistance à vouloir rechercher d'autres moyens?).
- Mettre définitivement fin à l'assistanat et engager les Français à se mettre au travail (en se mettant à leur compte plutôt qu'en recherchant des emplois salariés), sans rien attendre de l'Etat ou d'élus clientélistes, comme l'a bien dit notre président actuel. - Faire verbaliser systématiquement par la police tous les manquements aux règles. - Multiplier les caméras de vidéo-surveillance (et introduire la reconnaissance faciale, comme en Chine, pour décourager les récidives?). - Interdire enfin la production - et la circulation - de tout engin bruyant dépassant le plafond toléré de 30 décibels (voiture, moto, scooter).
- Promouvoir une politique du "donnant-donnant": face à la revendication systématique de droits, faire imposer en contrepartie la notion de devoirs. - Remplacer le mot "fraternité" de notre devise par le mot "responsabilité" (que chaque Français devienne un grand garçon). - Lancer des campagnes nationales de courtoisie (laquelle ne semble plus aujourd'hui être enseignée qu'au sein des grandes entreprises).
- Lancer une campagne nationale renouvelée de publicité/communication qui développe des slogans incitant au civisme.
- Faire comme en Estonie, au Danemark, ou encore chez ma banque française en ligne: dématérialiser les relations avec l'administration et passer au tout-internet, avec quelques passerelles matérialisées pour les inadaptés du clavier. A terme, la question disparaîtra d'elle-même.
- La plus pénible est celle qui fait primer la force sur le droit, et il convient de renverser cette logique, grâce à une présence renforcée des forces de police chargées de sanctionner avec une tolérance zéro. Au besoin, agrandir les capacités d'accueil carcéral (en transférant les détenus les plus coriaces vers des bagnes situés dans les îles Crozet ou de la Guyane).
- Faire respecter les lois avec une tolérance zéro. - Renforcer les effectifs de la police.
- Emulation réciproque des citoyens à partir des slogans de la campagne nationale de civisme (un peu comme de grands refrains dans lesquels ils se reconnaîtraient et grâce auxquels ils se calmeraient).
- Emploi de la force physique et verbale.
- Réprimer la violence avec zéro tolérance.
Oui
- Mettre fin au tout-gratuit médical et revenir au paiement obligatoire des 100 ou 200 premiers euros de chaque visite ou consultation médicale afin d'enrayer la consommation abusive de médecine (tout particulièrement dans les services d'urgence des hôpitaux, encombrés de faux cas d'urgence). - Faire cesser l'esprit de commisération ambiante et instaurer plusieurs jours de carence pour lutter contre le fléau de l'absentéisme (ou - pourquoi pas? - abolir droit de grève et RSA pour ré-inciter les salariés à travailler). - Mettre fin aux passe-droits et abus d'admission dans les crèches pour enfants (combien de femmes étrangères tout juste introduites avec leurs bébés en France par des associations caritatives grillent la priorité à des mamans françaises ayant postulé une année à l'avance et payant des impôts - cela est inique et insupportable).
- Pour des besoins d'effectifs d'enrôlement durant la guerre de 14-18, l'acquisition de la nationalité française par le droit du sol s'est substituée à celle par l'ancien droit du sang. La France n'étant plus en guerre, il est temps de revenir à l'ancien statut d'acquisition de la nationalité française - et d'abolir en même temps le droit au regroupement familial qui contribue tant à la dissolution de notre culture française, vu que la fraction la plus importante de notre immigration depuis le milieu du XXe siècle est issue d'une culture non adaptable, réfractaire et non miscible avec notre culture. La République a le droit de choisir son immigration, non?
- Par définition, il n'existe aucun fatalisme en politique et c'est pour cette raison qu'un électeur va voter. Si un candidat est élu et qu'il n'a aucun projet de réforme, à quoi bon voter? Nos obligations d'asile ne sont donc pas vouées à demeurer éternelles, un élu peut proposer de les modifier. C'est ça, la vraie politique. La France a accueilli suffisamment de monde chez elle, elle a en particulier accueilli suffisamment de musulmans qui lui causent suffisamment de problèmes pour prendre à présent le temps d'une pause et chercher à rasséréner son bon peuple. La priorité est de préserver notre culture, notre esprit français, notre façon de voir le monde, en un mot tout ce qui fait notre spécificité sans que nous ayons à nous justifier face à des militants de la morale qui sont généralement les premiers à enfreindre les règles qu'ils prêchent (militants de l'école publique qui mettent leur progéniture dans des écoles privées, militants de l'accueil d'immigrés qui n'en hébergent aucun chez eux mais qui comptent exclusivement sur le contribuable pour le faire, ...).
- Fermer dès maintenant et pendant plusieurs années le sas de l'immigration afin de nous donner le temps de réfléchir à de nouvelles solutions et de ré-agglomérer et re-densifer notre culture, c'est-à-dire de faire "reprendre la mayonnaise". Quel mal y a-t-il à cela? Nous sommes un pays libre (ou en tout cas, qui peut à tout moment se libérer d'anciennes lois ou d'anciens traités, c'est cela la politique).
- Une réponse de professionnel au vaste problème de l'intégration est d'imposer aux nouveaux arrivants, pendant au moins une période probatoire de 5 années, un programme de formation qui leur apprenne à "jouer le jeu" de nos lois, de nos institutions, de nos valeurs républicaines, de notre mode vestimentaire, de nos comportements en société, en un mot de notre art de vivre. A l'issue de cette prise en mains (sanctionnée par un contrôle de leurs connaissances linguistiques et culturelles), ils doivent impérativement s'être adaptés et s'être intégrés à la culture française, sous peine d'être alors invités à aller voir ailleurs.
Oui.
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